(Minghui.org)
Le 5 mars 2002, aux environs de 20 heures, des vidéos de clarifications de la
vérité incluant « Falun Dafa autour du monde » et
« l’auto-immolation une mise en scène ? » ont été diffusées
pendant quelques cinquante minutes sur huit chaînes du réseau câblé de la ville
de Changchun. Le réseau câblé de la ville de Changchun comprend 300'000 inscrits
pour plus d’un million de téléspectateurs. Cet incident a créé des ondes de
chocs parmi la population et beaucoup de personnes ont appris la vérité sur la
persécution du Falun Gong. Jiang Zemin, qui a initié la persécution, a pris
peur et a émis l’ordre secret « tuer [ceux qui sont responsables de
l’incident] sans pardon. » Peu de temps après, des officiers de police de
la province du Jilin ont illégalement arrêté plus de 5'000 pratiquants de Falun
Gong de la ville de Changchun. Durant les arrestations, au moins six
pratiquants ont été battus à mort et quinze pratiquants ont été illégalement condamnés
à des peines de prisons se situant entre quatre et vingt ans.
Mars 2002 – le pratiquant Lei Ming illégalement détenu
Lei Ming, pratiquant de Dafa âgé de trente ans vivait dans la ville de Baishan, situé dans la province du Jilin. Dans le but de clarifier la vérité aux personnes trompées par la propagande du PCC, le 5 mars 2002, Lei Ming et d’autres pratiquants de Dafa ont diffusé des vidéos de clarification de la vérité dans la ville de Changchun. Après que Jiang Zemin ait émis l’ordre secret de « tuer sans pardon », la police l’a arrêté et sauvagement torturé. Lei Ming a été illégalement condamné à 17 années de prison par le tribunal intermédiaire de la ville de Changchun. Il a été envoyé à la prison de Jilin ou il y a été torturé de manière barbare pendant deux années jusqu’au moment ou il s’est trouvé au seuil de la mort. En 2004, Lei Ming a été relâché pour raison médicale, mais il a été mutilé par la torture. Actuellement ses muscles sont encore atrophiés et il ne peut pas marcher ni prendre soin de lui-même.
1. Tortures cruelles au département de la police de la ville de Changchun
Lei Ming a été emmené au poste de police de la rue de Qingming le 5 mars 2002. En moins d’une heure un grand nombre d’officiers de police du département de police de la ville de Changchun se sont rendus au poste de la rue de Qingming. Ils ont mis Lei Ming dans une voiture et l’ont emmené au département de police de la ville de Changchun, au sixième étage dans une pièce et l’ont attaché à une chaise de fer. La chaise en métal est bien plus grande qu’une chaise normale ; une personne a besoin d’être aidée pour s’y installer. Après être assis sur la chaise, les pieds de Lei Ming ne touchaient plus le sol et ils ont été fixés sur les pieds de l’instrument de torture. Une barre en métal a été insérée entre des deux trous sur les accoudoirs de la chaise et pressé fortement contre l’abdomen de Lei Ming. Les officiers de police ont fixé la barre en métal et menotté les mains de Lei Ming derrière la chaise. Un officier de police a soudainement électrocuté le dos de Lei Ming avec une matraque électrique dotée d’un bout coupant [les photos qui suivent sont des mises en scènes de la torture que subissent les pratiquants de Falun Gong.]
Lei Ming a été attaché à une chaise en fer, ses pieds ne touchant pas le sol.
Une barre en métal a été passée à travers la chaise et fortement pressée contre
son abdomen. Ses bras étaient menottés derrière son dos.
2. Torture sauvage à la première division du département de police de la ville de Changchun
A ce moment plusieurs officiers de police sont entrés dans la pièce et ont détaché Lei Ming de la chaise. Ils lui ont mis un bandeau et l’ont transporté en bas dans une voiture. Une fois dans la voiture Lei Ming a entendu les sirènes de nombreuses voitures de police partant en même temps. C’était comme si elles formaient un escadron. Lei Ming n’a pas su où il était emmené.
Après environ une demi-heure, les voitures se sont arrêtées et la police lui a retiré le bandeau. Il a estimé qu’il était environ 22 heures. Il faisait nuit et il ne distinguait qu’à peine la silhouette d’un bâtiment. La police a traîné Lei Ming, hors de la voiture dans une pièce où se trouvaient une chaise en métal, des matraques électriques, des sacs en plastique, une grande bassine en métal et des fers à repasser. Au vu de la décoration de la pièce il devait s’agir d’un vieil hôtel déserté qui n’avait pas de système de chauffage. La police a porté Lei Ming sur la chaise en fer. Ils ont attaché ses pieds avec des cordes fines et ont une fois de plus inséré la barre en métal à travers les trous des accoudoirs de la chaise en fer et l’ont fixée à cet endroit. Puis ils ont tiré ses bras en arrière par-dessus le haut du dos de la chaise et ont menotté ses mains. La police a ensuite relié les menottes à la colonne du bas de la chaise avec une ceinture en cuir afin que les bras de Lei Ming soient étirés à l’extrême. Deux officiers de police ont violemment tiré d’un coup sec vers le bas la ceinture et ont essayé de la fermer au trou le plus étroit. Lei Ming a senti une douleur très forte alors que les menottes pénétraient contre les os de ses poignets et que ces mains étaient étirées à l’extrême en arrière. Lei Ming s’est battu de toutes ses forces. La police n’est pas parvenue à fermer la ceinture. Un des officiers de police exaspéré a cogné violemment les menottes et est finalement parvenu à la fermer au plus serré. Lei Ming est presque devenu inconscient à cause de la douleur et transpirait abondement. Il ne pouvait pas décrire ce qu’il ressentait à ce moment avec des mots. Il ne pouvait pas du tout bouger.
Lei Ming avait les mains menottées derrière son dos, et ses bras étaient
poussés par-dessus la chaise. Une ceinture reliait les menottes aux colonnes de
la chaise et des officiers de police tiraient violemment la ceinture.
Les officiers de police transpiraient abondamment après avoir attaché Lei Ming à la chaise. Il faisait froid dans la pièce. Les officiers de police ont enclenché le chauffage électrique et ont discuté entre eux. Un chef de section nommé Gao a blasphémé le Maître. Bien que Lei Ming souffrait encore beaucoup il a immédiatement arrêté Gao d’une voix forte. Gao s’est écrié furieusement « la ferme ». Il a couru vers Lei Ming et a frappé son visage jusqu’à ce qu’il en soit épuisé. Deux officiers de police tenant chacun une matraque dans la main, se sont approchés de Lei Ming, lui ont déchiré son T-shirt, exposant sa poitrine et son cou. Puis ils ont enlevé le pantalon de Lei Ming exposant ses parties génitales et ses cuisses. Le deux officiers de police ont ensuite électrocuté le cou, la bouche, la poitrine, les parties génitale, le rectum et les cuisses. Alors que Lei Ming criait ils l’ont électrocuté jusqu’à ce que les batteries soient à plat et ils les ont mises à charger.
La police a électrocuté le cou la bouche les parties génitales le rectum et les
cuisses avec des matraques électriques.
Deux autres officiers de police sont arrivés et ont enveloppé la tête de Lei Ming dans un sac en plastique. Ils l’ont refermé de telle sorte que Lei Ming ne parvienne plus à respirer. Il a presque suffoqué. Les officiers de police ont ensuite relâché le sac. Lei Ming a pris quelques inspirations avant qu’ils ne referment rapidement le sac. Ils ont répété le processus jusqu’à ce que les batteries des matraques électriques soient rechargées. Puis les deux premiers officiers ont recommencé leurs tortures. Ils ont pensé que les tortures n’étaient pas assez brutales et ils ont ainsi posé un tournevis plat sur le chauffage électrique. Puis ils ont appliqué le tournevis chauffé au rouge sur le cou de Lei Ming, ce qui a provoqué la chute de la chair et de la peau.
La police a enveloppé un sac en plastique autour de la tête de Lei Ming et l’a
brûlé avec un tournevis chauffé au rouge, ce qui a provoqué la chute de la chair
et de la peau.
Lei Ming a serré les dents et a supporté la douleur. La police a immédiatement électrocuté les parties brûlées avec des matraques électriques puis versé de l’eau froide au même endroit. Lei Ming a eu l’impression de mourir. La douleur s’intensifiait et la pièce débordait d’une atmosphère de terreur. La police s’est ensuite saisie d’un seau en métal l’a placé sur la tête de Lei Ming et l’a cogné avec une grosse barre en métal, provoquant des sons assourdissants.
La police a aussi inséré le bout d’un bâton en bois dans le rectum de Lei Ming et placé l’autre bout contre un barreau de la chaise avant de commencer à électrocuter le rectum de Lei Ming avec une matraque électrique augmentant encore la douleur.
Avec un gros seau métallique sur la tête la police a frénétiquement frappé le
seau avec une grosse barre métallique provoquant des sons assourdissants. La
police a aussi électrocuté le rectum de Lei Ming avec des matraques électriques.
Cinq heures plus tard, Lei Ming ressentait toujours la même douleur qu’au moment où les tortures avaient eu lieu. Il a toutefois arrêté de transpirer bien que son t-shirt soit trempé de sueur. Lei Ming a tiré ses mains vers le haut brisant finalement la ceinture. La police a essayé de la serrer à nouveau mais n’y est pas parvenue. Un des officiers de police s’est saisi de ses mains dans le dos et les a projetées en avant de telle sorte que Lei Ming soit forcé à se pencher en avant et que sa poitrine touche ses cuisses. L’abdomen de Lei Ming était aussi en contact avec la barre de métal et il a été maintenu dans cette posture pendant environ cinq minutes. La police a apporté une corde et essayé de l’attacher mais ils ne sont pas parvenus à la serrer peut importe l’ardeur qu’ils y mettaient. Ils ont ouvert les menottes pour ensuite le menotter au accoudoir de la chaise. Après avoir été étendue pendant un long moment, l’épaule droite de Lei Ming était disloquée et son bras droit se balançait. Ces mains étaient extrêmement enflées et ses doigts avaient doublé de volume.
La police a projeté les mains de Lei Ming qui étaient menottées derrière son
dos de telle sorte que Lei Ming soit obligé de se pencher en avant et que sa
poitrine touche ses cuisses.
La police a torturé Lei Ming pendant une nuit entière sans un moment de pause. A la fin les policiers étaient exténués et sont partis se coucher. Il n’y avait que deux officiers de police qui sont restés pour le surveiller et ils se sont peu à peu endormis. Lei Ming a eu la pensée de partir. Il a utilisé sa main gauche pour enlever l’anneau des menottes de l’accoudoir de la chaise mais n’a pas pu procéder de la même manière avec l’anneau droit à cause de son épaule démise. Il a ensuite utilisé sa main gauche pour enlever les bracelets des menottes droites et y est parvenu après quelques temps. Il a soulevé ses jambes de telle sorte que ses mains puissent toucher les cordes sur ses jambes. Il a délié la grosse corde mais la petite corde était fixée trop fermement. Ses doigts étaient si enflés qu’il ne pouvait pas défaire la petite corde. La barre en métal qui maintenait ses jambes en place était aussi fermée. Les deux officiers de polices se sont réveillés et ont vu que Lei Ming avait retiré les menottes. Ils se sont dirigés vers lui pour le battre et le cogner.
Les officiers de police battant et cognant Lei Ming, qui était encore maintenu
sur la chaise.
Lei Ming a été détenu dans cette pièce pendant deux journées, après lesquelles la police l’a transféré dans un hôtel tout en emmenant la chaise en métal avec eux. Lei Ming a été attaché à la chaise en fer pendant deux autres jours à l’hôtel pour un total de quatre jours et quatre nuits. Après une nouvelle série de tortures barbares la police a envoyé Lei Ming au centre de détention de Tiebei.
Lorsqu’il est arrivé, les fonctionnaires lui ont retiré ses vêtements pour mener un examen physique. Les gardiens ont vu les blessures recouvrant le corps de Lei Ming et ont immédiatement refusé de l’accepter. Les agents du département de la police de Changchun ont parlé avec les gardiens. Plus tard les gardiens ont modifié leur pensée et ont accepté de prendre Lei Ming. Lei Ming a eu une douche et on lui a coupé les cheveux dès son entrée en cellule. Lorsqu’il a retiré ses vêtements et révélé toutes ses blessures sur tout son corps les détenus sont restés bouche bée. Certains détenus ne parvenaient même pas à supporter de le voir. Lei Ming avaient des pièces de peau carbonisées des marques électriques et des brûlures sur son cou ainsi que des blessures sur ses poignets bras et coudes. Le responsable des détenus a dit « je n’ai jamais cru auparavant que le Falun Gong était persécuté si violemment mais aujourd’hui je le crois totalement. Le Parti Communiste Chinois (PCC) s’enfonce ! »
Les officiers de police Liu Huibin, Jang Tao, Gao Hang et le chef de section Gao ont aussi persécuté Lei Ming.
Atrocités commise à l’encontre de pratiquants de Dafa qui ont permis la retransmission de vidéos de clarification de la vérité pendant le jugement
Au milieu du mois de septembre 2002, le tribunal intermédiaire populaire de la ville de Changchun a illégalement jugé quinze pratiquants de Falun Gong. La police a traîné les pratiquants individuellement dans différentes pièces à l’intérieur du tribunal et les a frénétiquement battus et électrocutés avec des matraques électriques. Les pratiquants Chen Yan Mei et Liu Chengjun, a qui la police avait tiré des balles dans les jambes, ont été battus un long moment. Plus tard, Liu Chengjun, Chen Yanmei et Liang Zhenxing ont été transportés dans des cellules de prison. Concernant les atrocités que la police a commises durant le jugement, un fonctionnaire de la prison de la ville de Jilin a dit « tout ce qui a transparu durant le jugement n’a rien à voir avec nous ! Eux [les fonctionnaires], du département de police de la ville de Changchun, sont responsables pour cela. »
Le tribunal populaire intermédiaire de la ville de Changchun
Hou Mingkai: Le bureau 610 a offert une récompense de 50000 yuans pour sa capture et il a été torturé à mort en moins de deux jours
Le pratiquant de Dafa Hou Mingkai était âgé de 35 ans et vivait dans la ville de Changchun. Il a participé à la retransmission des vidéos de clarification de la vérité à Changchun au mois de mars 2002. Le bureau 610 a offert une récompense de 50000 yuans et une promotion de deux rangs pour sa capture. Hou Mingkai a été arrêté le 21 août 2002 et a été torturé à mort en mois de deux jours. Son corps a été secrètement incinéré le 23 août 2002.
Six pratiquants sont morts au cours d’arrestations à grande échelle
En mars 2002, la police locale a arrêté Mme Li Rong de la ville de Changchun. La police a prétendu qu’elle avait pris part à la retransmission des vidéos. Elle a été torturée à mort très rapidement à la fin du mois de mars ou début avril.
Mme Shen Jianli, âgée de 34 ans et professeur au département des mathématiques appliqués de l’université de Jilin a été arrêtée le 6 mars 2002. Elle a été torturée à mort à la fin du mois d’avril 2002. Son mari Zhen Weidong est aussi un pratiquant de Falun Gong qui a été détenu illégalement lui aussi. Leur enfant âgé de quatre ans vit avec leurs amis.
Le soir du 11 mars 2002, Mr Liu Haibo, une pratiquante de 34 ans a été arrêtée. Ce sont des officiers du département de police du district de Kuancheng dans la ville de Changchun qui se sont occupé de son arrestation. Il a été torturé jusqu’à passé une heure du matin le jour suivant. La police s’est arrêtée lorsqu’elle a découvert que le cœur de Liu Haibo avait arrêté de battre et ils l’ont envoyé au centre des urgences, mais il était déjà mort.
Le 16 mars 2002, un pratiquant dans la trentaine a été battu à mort par la division de la police criminelle du département de police de Jincheng dans la ville de Changchun. Il a enduré un grand nombre de blessure sur tout le corps. Ces organes internes se sont déchirés à cause des coups reçus qui l’ont de plus gravement déformé.
Le 18 mars 2002, M. Liu Yi, un pratiquant âgé de 34 ans, a été battu à mort dans le bureau de la division criminelle de la police du district de Luyuan du département de police de la ville de Changchun.
Le 20 mars 2002, des officiers de police du poste de police de Changjiu ont arrêté la pratiquante Mme Li Shuqin âgée de 54 ans. Elle a été torturée à mort au centre de détention numéro trois dans la ville de Changchun.
Liu Chengjun est mort après 21 mois de tortures brutales en prison.
Photo publiée sur chinanews.com le 1er avril 2002
Il y avait un grand nombre de taches de sang dans la pièce, et Liu Chengjun ne parvenait visiblement pas se tenir droit à ce moment-là.
À 4 heures du matin le 26 décembre 2003, Liu Chengjun, l’un des pratiquant initiateur qui avait organisé les retransmissions est mort à l’hôpital de l’amitié Sino-Japonaise, hôpital affilié à l’université de Jilin dans la ville de Changchun.
Le 24 mars 2002, Liu Chengjun avait été arrêté. La police a intentionnellement tiré deux fois dans la cuisse de Liu Chengjun alors qu’il était déjà menotté et enchaîné, coups de feu qui ont causé des blessures critiques. Au début du mois de mai 2002, Liu Chengjun a été transféré au centre de détention de Tiebei où il a été sauvagement torturé sur une chaise en fer pendant deux jours. Il a été transporté dans le tribunal durant le jugement illégal. Au milieu du mois de septembre 2002, Liu Chengjun a été illégalement condamné à 19 années d’emprisonnement et envoyé à la prison de Jilin.
A la fin du mois d’octobre 2003, Liu Chengjun était déformé à cause de la torture qu’il avait subie et éprouvait de la difficulté à parler. Il a été envoyé à l’hôpital central de la ville de Jilin. Le docteur au bureau de police a diagnostiqué une urémie et a aussi émis une notice sur son état de santé critique. Le 4 novembre 2003, les fonctionnaires de la prison de Jilin l’ont relâché à contre cœur pour raison médicale, mais il fallait avoir un tampon du poste de police de Debiao du conté de Nongan d’où Liu Chengjun était originaire, car c’était les agents du poste de police de Debiao qui avaient émis le permis de résidence. Les fonctionnaires du poste de police de Debiao ont eu peur à l’idée d’assumer la responsabilité. Les fonctionnaires ont rapporté l’affaire au département de police du conté de Nongan. Le bureau 610 du conté de Nongan a refusé d’apposer le tampon sur les papiers et finalement les documents exigeant que Liu soit relâchés à cause de son état de santé n’ont plus été valides.
M. Liu est décédé à quatre heures du matin le 26 décembre 2003 à l’hôpital de l’amitié sino-japonaise qui est affilié à l’université de la ville de Changchun après avoir subi 21 mois de tortures impitoyables. Le même jour, les fonctionnaires de la prison de Jilin ont regroupé un grand nombre de gardiens qui ont incinéré son corps à 11 heures du matin, malgré les protestations véhémentes de la famille de Chengjun. Les témoins ont vu du sang couler du nez, des oreilles, des cuisses et d’autres parties du corps de Liu Chengjun.
Liang Zhenxing : salle de torture secrète – a subi des tortures
Liang Zhenxing illégalement détenu en mars 2002
Selon une source de Chine continentale, un autre pratiquant nommé Liang Zhenxing qui a pris part à la retransmission des vidéos a été emmené au centre de détention de Tiebei dans la ville de Changchun avant le jugement en septembre 2002. Il y était interrogé tous les deux ou trois jours. Avant chaque interrogatoire on lui bandait les yeux et il était emmené dans une salle de torture. Chaque fois il en revenait avec des blessures couvrant tout son corps. Selon les informations de cette source, la salle serait probablement localisée prêt de l’étang de Jingyue ou il a enduré divers types de tortures.
Retransmettre des vidéos de clarification de la vérité revient à défendre le droit de la population à être informée
Durant les dernières années, le PCC pervers et le groupe de Jiang n’ont épargné aucune méthode pour sauvagement persécuter les pratiquants de Falun Gong, ce qui a provoqué la mort de pratiquants dont la plupart étaient des citoyens chinois sans histoire. Le PCC pervers a engagé toutes les chaînes de télévisions et d’autres instruments de propagande à travers la Chine pour déformer la vérité, restreindre les pratiquants de Falun Gong innocents et tromper le peuple chinois. Le monde entier était et est toujours trompé par les mensonges du régime dictatorial du PCC. Les gens ne savaient pas qu’il existait une persécution si cruelle à l’encontre d’un groupe de croyants spirituels dans cette ère actuelle de la civilisation humaine.
Un chinois a dit en colère après avoir appris les faits de la persécution « Cette persécution est plus brutale que celle des Allemands nazis contre les juifs, car ils persécutent un groupe de personnes des meilleures dans le monde – des personnes qui appliquent Authenticité-Bienveillance-Tolérance. »
Si les juifs avaient pu briser ce que Hitler essayait de couvrir alors qu’ils étaient massacrés sans raison et s’ils avaient exposé la vérité à travers différents canaux médiatiques, ils auraient effectivement arrêtés les atrocités fascistes et les gens les auraient considérés comme des héros. Aujourd’hui les pratiquants de Falun Gong, qui croient en la vérité, résistent à la persécution par des moyens non-violents. Les pratiquants de Chine vont dans les villages pour distribuer pendant la nuit des prospectus et suspendre des banderoles. Ils risquent leur vie pour exposer les mensonges de Jiang et les faits sanglants, alors qu’en même temps ils démontrent la beauté de Dafa, dans le seul but de dire au gens ce qui se passe à côté d’eux. Ils veulent que les gens comprennent et les soutiennent en condamnant le PCC pervers et le groupe de Jiang aux comportements fascistes pour empêcher davantage de gens de subir des nuisances.
Beaucoup de lecteurs de Chine continentale ont écrit au site Minghui et on exprimé leur admiration pour les pratiquants de Falun Gong. Un des lecteurs a écrit « Ce n’est pas tout le monde qui peut devenir un héro. S’il vous plaît pardonnez ma lâcheté, mais j’ai encore une conscience. Vous êtes en train d’entreprendre une chose juste et de réveiller de plus en plus de gens. J’espère que vous continuerez. » « Cette grande, pièce métallique a besoin de plus de lumière du jour ! » « Je pense que si tout le monde dans la société d’aujourd’hui se comportaient comme les pratiquants de Falun Gong, il n’y aurait pas autant de gens qui violent les lois. Comme ce serait magnifique si chacun pouvait se discipliner soi-même, chérir la vertu et devenir une bonne personne avec des critères moraux élevés. »
Les pratiquants de Falun Gong ont souffert avec endurance et rationalité. Ils ont même versé leur sang, mais leurs sacrifices ne sont pas vains. Le PCC moralement en faillite ne peut pas effacer avec désinvolture le critère pour juger le bien et le mal qui est inscrit dans les veines de chaque descendant de la civilisation chinoise dotée d’une histoire de plus de 5000 ans. Les gens commence à sortir pour soutenir la justice et les pratiquants de Falun Gong continueront leurs efforts jusqu’à ce que la sincérité, la bienveillance et la tolérance remplisse se monde humain.
Ville de Changchun
City: code de la région 431
Le poste de police de la rue de Qingming dans la ville de Changchun: 8932168
Le tribunal
populaire intermédiaire de la ville de Changchun
Adresse: No. 1 Place Jingyang, code postal: 130062
standard: 7685400-5408, 7685410, 7600123, 7681381, 7631202, 7631205 7650973,
2627516
Le haut tribunal
populaire de la Province du Jilin
Adresse: No. 1399 Grand Route de Jingyang,
Code postal: 130062
Standard: 8556000,
Fax: 8556825
centre pour les rapports: 7617802, 7697055
Département de police
de la ville de Changchun
Adresse: No. 67 Avenue Renmin, code postal: 130000
Centrale: 8986842, 8986830, 8908000
Centre de détention de la province de Jilin Province
Adresse: No 3516 Grand Rue Yatai, ville de Changchun,
Code postal: 130000
Téléphone: 2692299, 2692255, 2692266, 2673105
Traduit de l’anglais le 6 juillet 2006