(Minghui.org)


En mai 2007, il a été confirmé que treize pratiquants de Falun Dafa sont morts en raison de la torture en Chine. Parmi ces pratiquants, neuf sont morts entre janvier et mai 2007 et trois sont morts en mai. Huit des victimes étaient des femmes, représentant 61,5 % du total et dix avaient plus de 50 ans, ce qui représente 76,9 % du total.

Les statistiques de Clartés et Sagesse confirment que plus de 3 013 pratiquants en Chine ont été persécutés à mort depuis que la persécution de Falun Gong à grande échelle orchestrée par le régime communiste chinois a commencé le 20 juillet 1999. Depuis cela, le régime communiste chinois a constamment couvert la persécution. Il y a de nombreux autres cas de pratiquants disparus, qui sont torturés à mort, et dont les organes sont prélevés alors qu’ils sont vivants, et incinérés immédiatement afin de détruire des preuves. Le PCC demeure silencieux au sujet de ces cas.

Les treize cas de décès provenaient de neuf provinces et régions autonomes, quatre cas de la province  du Liaoning, deux de la province du Hebei, et un de la province du Heilongjiang, Pékin, ville de Chongqing, province du Sichuan, province du  Hunan, province du Shandong, et province du Guizhou. Les pratiquants de Falun Gong ont été brutalement torturés à mort par le PCC parce qu’ils sont demeurés fermes dans leur croyance et ont clarifié la vérité au sujet de la persécution aux gens. Parmi les treize victimes, certains ont été cruellement battus à mort par la police, certains ont subi la torture physique et mentale et ont été persécutés à mort, et certains ont été tués dans les hôpitaux du PCC.

Tang Xingyun a été battu à mort par dix policiers de la ville de Shenyang qui ont utilisé des matraques électriques

 (Veuillez vous référer à )

Tang Xingyun, âgée de 65 ans, était une pratiquante du district Heping, ville de Shenyang, province Liaoning. Dans la soirée du 10 mars 2007, vers 20 h, elle a été rapporté à la police quand elle envoyait des documents de clarification de la vérité à la communauté du district de Shashan et a été arrêtée par la police du poste de Shashan quelque temps après. Dix policiers ont utilisé des matraques électriques pour l’attaquer simultanément. Elle est morte au poste de police de Shashan.

Tang Xingyun souffrait d’hypertension, d’une maladie cardio-vasculaire et d’autres maladies avant de pratiquer le Falun Gong. Elle a commencé la pratique en 1996. Peu de temps après, toutes ses maladies ont disparu et elle était réellement heureuse d’être sans maladie. Après, elle a utilisé ses propres expériences pour introduire la Loi à d’autres personnes et a aidé beaucoupo de gens à commencer à pratiquer le Falun Dafa.

Après le 20 juillet 1999, le Parti communiste chinois a commencé à persécuter le Falun Gong. Tang Xingyun a fait de gros efforts pour valider la Loi durant ces énormes tribulations. Peu de temps après le début de la persécution, elle a été arrêtée et emmenée au poste de police. Les policiers lui ont donné une liste de noms et lui ont demandé d’identifier les pratiquants. Elle a plutôt raconté aux policiers ses spectaculaires améliorations physiques et mentales après avoir pratiqué le Falun Gong. Elle a dit aux policiers : « Falun Dafa est bon. Vous ne devriez pas arrêter les pratiquants de Falun Gong. » La police était d’accord avec elle et l’a libérée.

Tang Xingyun a aussi utilisé le montant très limité de sa pension de retraite pour aider à produire des imprimés de clarification de la vérité. Une fois elle a appris qu’un point de production d’imprimés manquait de fonds. Alors, elle a envoyé toutes ses économies au point de production d’imprimés. Elle voulait que les gens sachent la vérité et se positionnent bien durant la rectification par la Loi afin d’avoir un bon avenir.

Madame Li Huiqui de Shijiazhuang, province Hebei, est morte cinq ans après avoir été paralysée par la torture lors de son emprisonnement au camp de travail forcé de Shijiazhuang.

Veuillez vous référer à : http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2007/5/16/85688.html



Li Huiqi (avant la persécution)

Li Huiqi était paralysée et dans un coma. Sa trachée a été coupée et elle respirait par un tube.

La pratiquante de Falun Gong Li Huiqi de Shijiazhuang, province Hebei, a paralysé en 2002 en raison de la torture au camp de travail forcé Shijiazhuang. Elle est morte le 27 avril 2007, à l’âge de 40 ans, après avoir enduré cinq années de douleur insoutenable.

Li Huiqi travaillait dans l’usine de fabrication de peinture de Shijiazhuang dans la province Hebei. Elle n’a jamais passé aucun nouvel an chinois en compagnie de sa famille après 1999 à cause de la persécution du Falun Gong orchestrée par le PCC.

Elle est allée à Pékin pour faire appel en faveur de Falun Dafa le 10 février 2000 et a été arrêtée illégalement. Elle a été détenue à l’usine de fabrication de peinture après avoir été libérée du centre de détention. Elle a expliqué la vérité à ses collègues en décembre 2000 et leur a dit que le Falun Dafa est bon. Les cadres de l’usine ont annulé son contrat de travail et ont informé le poste de police de la rue Youyi. Ensuite elle a été arrêtée dans sa maison. Elle a été emprisonnée au centre de détention et plus tard au poste de police de la rue Youyi.

Li Huiqui a été signalée le 2 décembre 2001 pendant qu’elle clarifiait la vérité sur le Falun Gong près de l’usine. Elle a été arrêtée par la police du poste de police de la rue Weiming dans la ville de Shijiazhuang et incarcérée au centre de détention no 1 de la ville de Shijiazhuang pendant deux mois. Elle a été « illégalement condamnée » à un an de travaux forcés et emmenée au groupe 2, 4e division du camp de travail forcé de Shijiazhuang le 2 février 2002.

Elle était à l’article de la mort en raison de la torture qu’elle a subie plusieurs fois au camp de travail forcé. Sa famille a demandé à la voir et a demandé à la mettre sous libération conditionnelle pour des raisons médicales, mais les dirigeants du camp ont refusé.

Li Huiqi a été emmenée au Service d’urgence de l’hôpital du peuple de la province du Hebei le 9 avril 2002, alors qu’elle agonisait. Sa famille a finalement eu l’autorisation de la voir pour la première fois depuis qu’elle avait été envoyée dans le camp de travail. Elle était émaciée.

Malgré cela, les dirigeants du camp de travail force n’ont pas relâché leur surveillance. Lors de son hospitalisation, cinq policiers étaient debout à l’extérieur de la salle pendant que trois policiers habillés en civil restaient dans la salle où elle était et la surveillaient 24 heures d’affilées. Ils ont arrêté les pratiquants qui lui rendaient visite. La police avait peur que soit exposé tout ce qui lui a été infligée et faisaient tout pour empêcher que les leurs crimes soient révélés.

Li Huiqi était totalement paralysée et était dans le coma. Sa trachée étant brisée, elle ne pouvait respirer que par un tube.

Les dirigeants du camp ont retourné Li Huiqu, toujours inconsciente, à sa famille le 3 décembre 2002, prétendant que sa sentence était terminée. Pendant très longtemps, après son retour à son domicile, les voitures de police et les agents du Bureau 610 étaient stationnés à l’extérieur de sa maison chaque jour. Ils surveillaient sa famille et elle pour empêcher que les crimes des policiers soient rendus publics. Le 20 mai 2006, certaines mauvaises personnes sont allées harceler sa famille à son domicile. Âgée de 40 ans, Li Huiqi est morte le 27 avril 2007.

Les hôpitaux du régime communiste chinois ont participé au meurtre des pratiquants de Falun Gong

Durant ces presque huit années de persécution sans précédent, des pratiquants de Falun Gong ont subi des lavages de cerveau et ont été brutalement torturés par le PCC, y compris pendant qu’ils étaient dans les hôpitaux du PCC. Selon un rapport de mai 2004 de l’Organisation mondiale pour enquêter sur la persécution du Falun Gong et China Mental Health Watch, plus de 100 institutions psychiatriques dans 23 provinces, municipalités et régions autonomes en Chine ont participé à la persécution du Falun Gong. Plusieurs centaines de pratiquants ont été soit mutilés, ont souffert de troubles mentaux ou sont morts dans les hôpitaux. Dans les cas de décès confirmés en mai 2007, les pratiquantes Zhao Zhongling et Wei Hua ont été toutes deux persécutées à mort dans les hôpitaux du PCC.

L’hôpital du peuple dans le district Qingyang, ville de Chengdu, a persécuté à mort Zhao Zhongling

(Veuillez vous référer à http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2007/5/18/85826.html)

Zhao Zhonglin, âgée de 44 ans, travaillait à l’usine d’appareils électriques de Jinjiang dans la ville de Chengdu. Elle a été « arrêtée illégalement » et détenue plusieurs fois, tout simplement parce qu’elle croyait en Vérité, Compassion, Tolérance. Zhao Zhonglin a été emprisonnée au camp de travail forcé pour femmes Nanmusi. Les policiers Zhang Xiaofang et Mao Yuchun ont ordonné aux criminels d’utiliser toutes sortes de méthodes pour la torturer. Ils lui ont donné des coups de pied et l’ont battue, enchaînée dans une petite pièce, lui ont interdit de dormir ou d’aller aux toilettes, et l’ont gavée avec de l’eau salée concentrée et des drogues inconnues.

Le 23 mars 2007, Zhao Zhonglin a été arrêtée à nouveau et enfermée au centre de détention du comté Pi. Elle a commencé une grève de la faim pour protester contre la persécution du Falun Gong et a ensuite été transférée à l’hôpital du peuple du district Qingyang pour y être persécutée. Le 2 avril, l’hôpital lui a injecté des drogues inconnues. Le 4 mai 2007, sa sœur est allée la voir, mais Zhao ne pouvait plus parler. Elle pouvait faire que des gestes de la main indiquant qu’elle était malheureuse. Zhao Zhonglin est morte à l’hôpital du peuple du district Qingyang à 4 h 50 du matin le 5 mai 2007. Ce n’est que dans l’après-midi du 8 mai qu’un agent du Bureau des procureurs dans le district Jinniu a informé la famille de Zhao de son décès et leur a dit que « la dépouille sera incinérée après sept jours ». Les autorités ont interdit à la famille de Zhao Zhongling de voir sa dépouille.

L’hôpital du peuple du district Qingyang dans la ville de Chengdu, province Sichuan, est affilié avec le centre de détention de la ville de Chengdu. C’est hôpital-prison utilisé pour persécuter illégalement les pratiquants. L’hôpital a coopéré activement avec le Bureau 610 de la ville de Chengdu et le Political and Law Enforcement Committe du Parti communiste chinois pour tuer systématiquement près de dix pratiquants de Falun Gong. De nombreux pratiquants ont été gavés et injectés de drogues endommageant les nerfs.

Les pratiquants tués par l’hôpital incluent Deng Jianping, Duan Shiqiong, Chen Guijun, Hu Hongyue, Huang Lisha, Shen Lizhi et plusieurs autres pratiquants qui n’ont jamais révélé leur nom.

La pratiquante Wei Hua de Chongqing est morte en raison de la persécution subie dans une institution psychiatrique

(Veuillez vous référer à )

Wei Hua, âgée de 57 ans, était une employée retraitée du grand magasin Xiejiawan dans la ville de Chongqing. Elle a été condamnée à deux années de travaux forcés parce qu’elle persistait à pratiquer le Falun Dafa et a été incarcérée et torturée dans le camp de travail forcé pour femmes de Chongqing à Maojiashan entre 2001 et 2003.

Le 6 septembre 2005, juste avant la tenue de la réunion de Asia-Pacific Economic Cooperation (APEC) dans la ville de Chongqing, la police du poste de police de la rue Xiejiawan l’a emmenée et envoyée à un centre de lavage de cerveau. Le 18 octobre 2005, Le 18 octobre 2005, le Secrétaire du comité des résidants  de la rue Xiejiawan, Yu Fulin, et Yang Zhixue, du centre de lavage de cerveau, l’ont envoyée à une institution psychiatrique, alléguant qu’elle souffrait de « maladie mentale de culture ». En ce temps-là, Wei Hua était en bonne santé physique et mentale. Le mari de Wei Hua est allé voir sa femme à l’institution psychiatrique plusieurs fois et a demandé sa libération de nombreuses fois. Cependant, toutes ses requêtes ont été refusées.

Le 25 novembre 2005, l’institution psychiatrique a soudain émis un « avis de mort imminente ». Les membres de la famille de Wei se sont rués à l’institution et ont vu qu’elle agonisait. Elle était méconnaissable et ne pouvait pas parler. Elle vomissait et avait la diarrhée. Il y avait un tube d’oxygène sur place et sondée. Wei était paralysée et mentalement traumatisée, nécessitant ainsi les soins des autres. Après avoir souffert pendant plus d’un an, elle est morte le 30 avril 2007.

Wei Hua après avoir été torturée dans une institution psychiatrique

La brutale persécution des gens qui pratiquent Vérité, Compassion, Tolérance orchestrée par le Parti communiste chinois a duré presque huit ans et continue à ce jour. En mars 2007, le ministre de la Sécurité publique du PCC, Zhou Yongkang, a émis des directives pour commencer une nouvelle vague de cruelle persécution du Falun Gong dans le pays. Peu de temps après, dans beaucoup de régions de Chine telles que la ville de Changchun dans la province Jilin, la ville de Daqing dans la province du Heilongjiang, les villes de Shijiazhuang et de Yantai, il y a eu des arrestations massives de nombreux pratiquants. Face à la persécution agressive du PCC, les pratiquants de Falun Gong n’ont pas bronché et sont restés inébranlables. Ils ont continué à clarifier la vérité aux gens du monde pour qu’ils puissent faire clairement la distinction entre le bien et le mal, se positionner dans la droiture et aient un bon avenir.


Traduit au Canada de l’anglais le 26 juillet 2007.