(Minghui.org)
Le Parti communiste chinois (PCC) continue à commettre ses crimes, quoique sa persécution du Falun Gong ait été largement exposée et méprise la condamnation de grande envergure de la communauté internationale. Au lieu de cela, le Parti a recours à des méthodes plus sinistres et plus sournoises. Quand la torture physique et le lavage de cerveau échouent dans la « transformation » des pratiquants, la police et les médecins du PCC emploient des drogues toxiques et d'autres méthodes fourbes pour torturer et tuer les pratiquants de Falun Gong. Dans un effort pour échapper à la justice, le Parti utilise des mensonges et la violence pour garder bien fermée une cocotte-minute au bord de l’explosion. Ce qui est exposé dans cet article n’est qu’une portion minime de la persécution la plus féroce de toute l’histoire.
Dans les hôpitaux, des vies innocentes disparaissent sans laisser de trace
L’Hôpital du peuple du district de Qingyang
Pour s’assurer de la dévotion du personnel, le Parti promet promotions et gratifications en échange de mauvais traitements choquants commis envers les pratiquants de Falun Gong qui persistent dans leur foi. Pendant le processus, le Parti a transformé des hôpitaux en abattoirs où les pratiquants de Falun Gong sont systématiquement tués, étape après étape, à l’insu du monde extérieur.
L'hôpital du peuple du district de Qingyang dans la ville de Chengdu, province du Sichuan est directement affilié au centre de détention de Chengdu et reçoit ses ordres du bureau 610 de la ville de Chengdu. Ici, les pratiquants de Falun Gong sont violemment gavés et soumis à des injections de drogues toxiques. A ce jour, au moins dix pratiquantes de Falun Gong ont été assassinées dans cet hôpital y compris Zhao Zhongling, Deng Jianping, Chen Guijun, Duan Shiqiong, Huang Lisha, Hu Hongyue et Shen Lizhi.
Voici les photos de ces pratiquantes qui ont été torturées et massacrées à l’Hôpital du peuple du district de Qingyang
Les pratiquantes de Falun Gong incarcérées sont étroitement surveillées dans une section située dans l’aile gauche du quatrième étage. La police militaire entièrement armée fait les trois-huit. Chaque période est gardée par trois officiers qui se tiennent à l’extérieur de l'entrée, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, pour s'assurer qu'aucune évasion des salles ne soit possible sans permission. Pour dissimuler leurs crimes, l'hôpital fabrique noms, âges et dossiers médicaux pour les pratiquants. Le corps des pratiquants assassinés est transporté à une morgue à l'Hôpital central de bureau de la gare No2 dans la ville de Chengdu et plus tard est incinéré au funérarium de Wenjiang, sans qu’on puisse sauvegarder aucun dossier du défunt.
Une pratiquante dans la soixantaine qui a échappé de peu à la mort, nous raconte les horreurs dont elle a été témoin à l’hôpital
« Huang Lisha, une femme dans la trentaine de la province du Emei a été transférée-là d’un centre de détention parce qu’elle avait fait une grève de la faim pour protester contre la persécution, et avait refusé de renoncer à sa foi. Son lit était à côté du mien. On lui injectait sans arrêt une substance inconnue par intraveineuse jusqu'à ce qu'elle vomisse et défèque du sang. Le lendemain de mon arrivée à l'hôpital je l'ai entendue crier de douleur durant toute la nuit. Elle est décédée le matin du 17 octobre 2002. Son corps a été enlevé pour être incinéré quelques minutes seulement après son décès. »
Huang Lisha avant sa persécution. La pratique du Falun Gong a guéri d’une
maladie incurable qui la tourmentait. Elle a développé une peau rosée et
on la prenait souvent pour une adolescente.
« Deux autres pratiquantes Hu Hongyue et Zhang Yalin ont été amenées ici le sixième jour de mon séjour là-bas, soit le 21 octobre 2002. Elles avaient fait une grève de la faim depuis plus de 30 jours. Chaque jour la police les maltraitait verbalement avec des insultes choquantes et les battait en leur donnant des coups de pieds. Ils avaient enchaîné les pratiquantes au lit. Elles n'avaient pas d’autre possibilité que de se soulager dans le lit et elles devaient dormir dans leurs propres excréments. En novembre 2002, les médecins ont commencé à leur injecter des drogues qui abîment le système nerveux, qui provoquaient démence et perte de mémoire. Hu Hongyue a lutté pour sa vie une nuit entière le 11 novembre 2002, et est morte le lendemain matin. Zhang Yalin a souffert d’un effondrement mental et était également incontinente. J'ai été témoin de la destruction de deux personnes par le personnel de l'hôpital en un mois! »
Début mai 2007, on a entendu dire que Zhao Zhongling, une ouvrière de l'Usine de moteurs de Jinjiang dans la ville de Chengdu, avait été tuée à l'hôpital. Zhao Zhongling était aimable et bien-appréciée. Elle avait été illégalement détenue cinq fois pour avoir persisté dans sa croyance en l’Authenticité, la Bienveillance, la Patience. Le Procuratorat du district de Jinniu de la ville de Chengdu a téléphoné à plusieurs reprises à Zhao Zhongling le 22 mars 2007, et ils lui ont dit de se rendre d’urgence à leur bureau. Elle y est allée et elle n'est jamais revenue. Quelques jours plus tard ses parents âgés, presque hystériques d’inquiétude, ont fini par apprendre que leur fille avait été envoyée au centre de détention du comté de Pi où elle faisait une grève de la faim. Les persécuteurs l'ont transférée à l'hôpital de Qingyang où on lui a donné des drogues qui lui ont fait perdre l’usage de la parole. Elle est morte tôt le matin du 5 mai 2007.
Les fonctionnaires n’ont pas permis à la famille de voir son corps. Sa mère en colère a demandé, « Vous l'avez accusée 'de perturber l'ordre social.' Qu'a-t-elle fait exactement? Quelle loi a-t-elle enfreinte? » Les fonctionnaires ont hurlé, « Nous pouvons arrêter un pratiquant de Falun Gong lorsque nous le voulons! »
Plusieurs autres pratiquantes sont actuellement détenues à l'hôpital y compris Huang Min, ancienne responsable adjointe du Bureau d'entreprise du canton de la ville de Chengdu, qui fait une grève de la faim depuis 80 jours. Une autre pratiquante qui a refusé de donner son nom à la police est maintenant au seuil de la mort.
L’hôpital de police de la ville de Harbin
L'hôpital de police de la ville de Harbin a un bâtiment secret dans l’arrière-cour où les pratiquants de Falun Gong sont brutalement assassinés. Le pratiquant Zhang Zhong de la ville de Daqing a été tué là-bas en octobre 2006, de même qu'un autre pratiquant de la campagne
La deuxième porte à gauche, après l'entrée, mène directement à l’arrière-cour secrète où il y a un bâtiment de quatre étages. Toutes les fenêtres sont complètement couvertes de stores blancs. Le bâtiment est entouré d’une clôture métallique de trois mètres de haut. Deux hommes forts surveillent le bureau à l’entrée. Après la mort de Zhang Zhong, ce bâtiment a été baptisé l’Hôpital pour les détenus malades, mais il n'y a aucune enseigne.
L’édifice secret de l’arrière-cour de l’Hôpital de la ville de Harbin
M. Zhang Zhong travaillait à l'Usine de Lahua de Daqing. La pratique du Falun Gong a transformé Zhang Zhong en une personne très prévenante. Cependant, il a été impitoyablement persécuté pour avoir persisté dans sa croyance et pour avoir clarifié les faits sur le Falun Gong. Après que les pratiquants de Falun Gong à Changchun aient diffusé des vidéos de clarification de la vérité en 2002, Zhang Zhong a été condamné à 12 ans de prison et détenu à la prison de Daqing. Il a souffert d’une défaillance de multiples organes en raison de la torture et est tombé dans le coma et sa tension artérielle a chuté à 40 mmHg (systolique). Il était très émacié. Les autorités ont finalement accepté de le mettre en liberté conditionnelle pour raison médicale alors qu’il était au seuil de la mort.
M. Zhang Zhong avant la persécution
M. Zhang Zhong, émacié et en état critique en raison de la persécution (photo
prise en juillet 2004)
À la maison M. Zhang Zhong a écouté les conférences de Maître Li Honzhi avec l’aide de compagnons pratiquants. Il a commencé à faire les exercices quand il a pu se déplacer. Miraculeusement, il a récupéré en un mois et plus tard il a quitté la ville pour éviter la police
Il a été arrêté encore en août 2006 alors qu’il rencontrait des amis au Jardin de Honglang dans la ville de Harbin. Les persécuteurs l'ont emmené au centre de détention du département de police de Nangang où il a été sauvagement torturé. Deux semaines plus tard il a été emmené à l'hôpital de police de la ville de Harbin pour de plus amples persécutions. Après un mois son (ses) ami(s) lui a (ont) rendu visite à l'hôpital mais l’entrée leur a été interdite. Le fonctionnaire Xin, qui a reçu ses amis, a indiqué que M. Zhang avait été examiné à l'hôpital et qu’aucune maladie n’avait été trouvée. Le 16 octobre 2006 l'hôpital a soudainement annoncé la mort de Zhang Zhong, mais a refusé de permettre à sa famille et ses amis de voir la dépouille.
Assassinats récents par substances inconnues
Beaucoup de décès récents de pratiquants de Falun Gong en raison de la persécution indiquent que la consommation forcée de drogues est généralisée et existe encore dans les prisons, camps de travail, centres de lavage de cerveau, hôpitaux psychiatriques, hôpitaux de police et même des hôpitaux civils. Après que le Parti ait échoué dans sa tentative de « réformer » les pratiquants de Falun Gong, les fonctionnaires détruisent insidieusement leur système nerveux et les exterminent physiquement. Une telle horreur sanctionnée par le PCC a lieu dans l'ensemble de la Chine quotidiennement.
M. Zhao Wenpeng, dans la quarantaine, travaillait à l'Usine d'équipement de télécommunication de Guiyang dans la ville de Guizhou. Il a expliqué aux gens comment il avait tiré bénéfice de la pratique du Falun Gong et a exposé les faits brutaux de la persécution en août 2006. Il a été arrêté chez lui et emmené au centre de détention de Yunyan dans la ville de Guiyang où il a été sauvagement torturé. Il a présenté des signes d'œdème sur tout le corps. La chair sur sa jambe gauche était ulcérée au point où on pouvait voir un grand trou qui suintait constamment de pus et de fluide. Il a été transféré à l'hôpital de police de Guiyang pour recevoir des injections pour être « soigné », des comprimés et des intraveineuses. Son état s’est détérioré de façon drastique en raison des combinaisons de drogues, il a perdu toute sensation dans ses membres et il est devenu incontinent. Il est mort à l'hôpital de police de Guiyang le 7 mars 2007.
M. Zhou Zuofu, âgé de 57 ans, travaillait à l'Usine de toile de la ville de Ruichang dans la province du Jiangxi. Les agents du bureau 610 de la ville de Ruichang et la police l'avaient arrêté et l’avaient soumis à des classes de lavage de cerveau et envoyé dans des camp(s) de travail huit fois. Son poids est passé de 65 kilogrammes à 40 kilogrammes en raison de la torture. Les autorités du camp de travail de Majialong l'ont soumis à divers types de torture, mais elles n’ont pas pu le faire fléchir dans sa croyance en l’Authenticité, la Bienveillance et la Patience. Pour finir, les autorités ont mélangé des drogues dans sa nourriture, ce qui a été la cause de son effondrement mental. Il est décédé le 6 mars 2007.
Mme Xu Hongmei et Mme Xu Zili de la ville de Qiqihar, province du Heilongjiang ont été arrêtées le 13 janvier 2007. Parmi ceux qui ont participé à l'arrestation, il y avait des policiers du commissariat de police de la rue de Qingyun. La police a contraint les deux femmes à trahir d'autres pratiquants. Après cinq jours de torture 24 heures sur 24, les deux pratiquantes ont présenté des défaillances d’organes, vomissant du sang et souffrant de convulsions. Le 17 février 2007, elles ont été emmenées dans un service du département de médecine interne de l'Hôpital No 2 alors qu’elles portaient des chaînes. Leur famille ne pouvait pas se permettre de payer les 20 000 yuans de « caution pour libération » exigés par les agents du bureau 610. Les fonctionnaires ont juré qu’ils ne laisseraient pas les pratiquantes partir, même si elles mouraient. Le 27 février 2007, on a injecté de l'albumine (plasma sanguin), à chacune des pratiquantes Par la suite, leurs yeux sont devenus blancs et elles ont perdu connaissance. Elles sont décédées quelques heures plus tard, en souffrant terriblement. Xu Hongmei avait 37 ans, et Shen Zili avait 49 ans
M. Chang Yongfu vivait dans le comté de Mulan, province du Heilongjiang. Il a été arrêté chez lui le 26 juillet 2004 pour avoir affiché des documents de clarification de la vérité. Les persécuteurs l'ont emmené au camp de travaux forcés de Changlinzi dans la ville de Harbin, où les gardiens et les détenus l'ont sauvagement battu. Les autorités du camp de travail et les agents du bureau 610 l'ont secrètement emmené à l'hôpital psychiatrique de Puning dans la ville de Harbin. Deux ans plus tard, les fonctionnaires de l'hôpital ont dit à sa soeur de le ramener à la maison. C'était en octobre 2006. Son visage était difforme et son corps était enflé. Il ne pouvait pas dormir en raison de la douleur et il s’est effondré mentalement. Au cours des moments où il reprenait une certaine clarté mentale il disait à sa famille qu'il avait été injecté avec des substances inconnues à l'hôpital. Son état s’est empiré, et il a graduellement perdu la vue dans les deux yeux. Entre-temps, son nez s’est enflé terriblement hors de toute proportion et saignait sans arrêt. Tôt le matin du 18 janvier 2007, Chang Yongfu âgé de 44 ans a cessé de respirer. Il saignait des yeux et des oreilles, et son nez et sa bouche étaient remplis de sang séché au moment de sa mort.
M. Chang Yongfu au moment de sa mort
M. Shi Baoqi, âgé de 40 ans vivait dans la ville de Taiyuan, province du Shanxi. Il a été arrêté en novembre 2006 et emmené au centre de détention de la ville de Taiyuan où il a été cruellement torturé. Il a été transféré à l'hôpital de police du numéro 109 le 5 décembre 2006. Le docteur lui a injecté des drogues par transfusion intraveineuse. Il a alors transpiré abondamment et il est mort soudainement après avoir été ramené dans sa chambre. La police a offert 50 000 yuans à la famille en échange de leur silence. Sa famille a refusé l'offre.
Beaucoup de pratiquants de Falun Gong avaient été tués à l'hôpital de police du numéro 109 avant le meurtre de Shi Baoqi.
Mme Bo Shufen, âgée de 59 ans vivait dans le comté de Fuxin, province du Liaoning. Elle avait une cirrhose du foie qui lui avait provoqué un œdème généralisé (gonflement) avant de pratiquer le Falun Gong. Après avoir commencé la pratique cependant, toutes ses maladies ont disparu. Elle pouvait faire des travaux domestiques et travailler dans les champs. Sa famille était extrêmement reconnaissante envers Dafa pour l’avoir sauvée. Après que le Parti ait commencé à persécuter le Falun Gong, elle a fait appel en faveur de la justice pour le Falun Gong à partir de sa propre expérience personnelle de première main et a été envoyée au centre de détention de Fuqin. On l’a forcée à s'asseoir sur une planche de bois. Elle a été également soumise au confinement en cellule isolée de temps à autre, au banc du tigre et menottée les mains derrière le dos. Plus tard, elle a été transférée au camp de travaux forcés de Masanjia où elle a fréquemment reçu des électrochocs par matraques et torturée avec une méthode appelée la grande pendaison (1) Après un an, elle a été injectée avec des drogues qui endommagent le système nerveux qui ont entraîné un effondrement mental. Elle est décédée le 15 novembre 2006.
Presque 1 000 rapports semblables ont été édités sur le site Internet de Minghui/Clearwisdom/ Clartés et Sagesse. De nombreux pratiquants de Falun Gong se sont effondrés mentalement, sont devenus invalides, et ont même été tués par injections de substances toxiques sous les ordres du Parti. Selon les investigations conjointes de la Coalition d'investigation sur la persécution du Falun Gong (CIPFG) et de la China Mental Health Watch (CMHW), les mauvais traitements psychiatriques des pratiquants de Falun Gong sont monnaie courante dans les 23 provinces, villes et régions autonomes. On a obligé la plupart des hôpitaux et services psychiatriques à participer à la persécution en leur donnant l’ordre de ne pas tenir compte de l'éthique médicale. La plupart des médecins ont dit aux enquêteurs qu'ils reconnaissaient clairement que les pratiquants de Falun Gong étaient de bonnes personnes en bonne santé, pourtant ils sont allés à l’encontre de leur propre conscience et ont administré de grandes doses de drogues extrêmement toxiques, « parce que c'était une tâche politique, et qu’ils auraient été mis à pied s'ils n’avaient pas suivi les ordres » Pendant la persécution systématique organisée et mise en application depuis les hautes instances jusqu’aux niveaux inférieurs, l’esprit d’un nombre incalculable de gens a été empoisonné par des mensonges et ils ont été acculés à la complicité. Ces gens sont également des victimes de la persécution.
Étrangler et frapper la tête de la victime contre un objet dur – un complot cruel dans les camps de travail
Les fonctionnaires de certains camps de travail ordonnent aux détenus de serrer une corde autour du cou du pratiquant puis de lui claquer la tête contre un objet dur pour lui causer une hémorragie intracrânienne, tout en évitant de laisser des signes externes de dommages. On pourrait peut-être penser qu’on ne voit cette méthode que dans les films et les romans, mais dans le camp de travaux forcés pour femmes de Pékin, cela est vraiment utilisé sur les pratiquantes de Falun Gong qui refusent de renoncer à leur croyance.
Combien de crimes cache cette entrée apparemment luxueuse du camp de travaux forcés pour femmes de Pékin?
Les gardiens ont donné l’ordre aux détenues de serrer une corde autour du cou de Zhang Lianying et de lui frapper la tête quand elle allait être sur le point d’étouffer, tout cela afin d'essayer de l'inciter à renoncer au Falun Gong, alors que le Falun Gong lui avait donné une nouvelle vie. Elles ont serré la corde davantage tandis qu’elles lui cognaient la tête jusqu'à ce que Zhang Lianying souffre d’une hémorragie intracrânienne généralisée et tombe dans le coma. Elle a été emmenée à l'hôpital de Renhe dans le district de Daxing de Pékin pour un traitement d’urgence et elle a été dans un état critique pendant plus de dix jours. C'était la neuvième fois que les gardiens à ce camp de travail la soumettaient à cette torture. Deux fois auparavant, elle a été presque étouffée et a été battue jusqu'à ce qu'elle devienne incontinente
Mme Zhang Lianying âgée de 46 ans était chef de division et expert comptable pour le China Everbright Group de Pékin. Elle n'a jamais demandé un seul jour de congé maladie après avoir commencé à pratiquer le Falun Gong, un contraste saisissant avec son ancien état de santé fragilisé par de nombreuses maladies. Elle travaillait dur et ne prenait jamais de pots de vin. Elle a volontiers donné à un collègue un nouvel appartement de 120 mètres carrés, que la compagnie lui avait assigné. Sa famille est restée dans son ancien appartement de 40 mètres carrés. Un collègue a dit, « Je souhaiterais que tous les fonctionnaires pratiquent le Falun Dafa » Elle a été arrêtée sept fois, ces huit dernières années. Elle et sa famille ont été persécutées de façon brutale simplement en raison de sa croyance dans l'Authenticité-Bienveillance-Patience.
Mme Zhang Lianying avant la persécution
Mme Zhang Lianying et sa fille
Mme Zhang Lianying après une intervention chirurgicale à l’Hôpital de Renhe de Pékin
Mme Zhang a été arrêtée encore chez elle le 14 juin 2005, alors qu’elle s’occupait de sa fille encore bébé qu’elle allaitait toujours. Elle a été condamnée à deux ans et demi de travaux forcés. Pendant dix mois de détention à la Division d'expédition de ré--éducation, le gardien Zhang Dongmei a ordonné à huit détenus de la fouetter avec des tapettes à mouches pendant dix heures et plus par jour. On ne lui permettait ni de se laver ni d'employer les toilettes. Elle devait se soulager dans ses vêtements, même pendant ses menstruations. Elle a été privée de sommeil pendant des périodes prolongées, et ses pieds quand elle a été suspendue touchaient à peine le sol. Elle a été également attachée à un banc en bois, avec le torse tordu dans une position douloureuse. Elle était battue toute la journée jusqu'à ce que son corps soit couvert de blessures, elle saignait même des yeux, elle a perdu son audition, et elle était à deux doigts de s’effondrer mentalement. Elle pouvait à peine se déplacer. Les mauvais traitements se sont intensifiés après qu'elle ait été transférée au camp de travaux forcés pour femmes de Pékin. Elle a été enfermée dans une cellule isolée de deux mètres carrés à la Division de formation de groupe où elle mangeait, dormait, se soulageait, tout cela dans cet endroit minuscule.
Niu Jinping, le mari de Zhang Lianying et pratiquant de Falun Gong, a surmonté des difficultés extrêmes et le 21 mai 2006, il a rencontré M. Edouard McMillan-Scott, vice-président du Parlement européen pour exposer la persécution contre le Falun Gong par le Parti et tout particulièrement les prélèvements des organes des pratiquants de Falun Gong. En dépit des observations intenses de la communauté internationale, un chef de division du camp de travail a ordonné aux détenues d’étrangler Zhang Lianying et de lui frapper la tête. Mme Zhang Lianying a alors fait une grève de la faim.
Après que le traitement violent de Zhang Lianying par les autorités du camp ait été exposé, les fonctionnaires ont essayé de couper tout contact avec l’extérieur et l'ont secrètement transportée à l'hôpital de Tiantanghe affilié au camp de travail tandis qu'elle était toujours en état critique.
Mot final
Les pratiquants de Falun Gong ont obtenu une compréhension profonde quant à la vraie signification de la vie en cultivant l'Authenticité-Bienveillance-Patience dans leurs coeurs. Ils ont éprouvé une amélioration physique et spirituelle. Les mots ne peuvent décrire ce qu’eux tous et leurs familles ont bénéficié de Dafa. Le Parti pervers a mis en place une persécution inhumaine de ces personnes innocentes et bonnes, persécution qui perdure depuis huit ans.
Pourquoi est-ce que les pratiquants de Falun Gong persévèrent-ils face à la terreur, au danger et aux tribulations ? Pourquoi est-ce qu'ils clarifient la vérité et s'opposent à la persécution quoique tout semble être contre eux?
Les gens qui ont appris les faits disent que les pratiquants de Falun Gong prouvent et sauvegardent l’Authenticité, la Bienveillance et la Patience avec leurs vies, et ils dissipent les mensonges toxiques du Parti et réveillent leur conscience, ainsi chaque personne précieuse peut avoir l'occasion de voir la nature perverse du Parti, de couper tout lien avec le Parti et de choisir un futur triomphant pour eux-mêmes. Les commentateurs ont précisé que les pratiquants de Falun Gong exposant cette persécution résistent à la contamination et à la destruction de l'humanité par le Parti. La résistance et le sacrifice des pratiquants de Falun Gong ont avec succès empêché la justice de s'effondrer pendant la persécution la plus perverse de l'histoire. Leurs actes de compassion montrent et poussent les gens à réfléchir sur la corruption et la nature féroce du Parti. Dans une société où la corruption morale est commune, les exploits des pratiquants illuminent la magnificence et le caractère précieux de leur croyance dans l'Authenticité-Bienveillance-Patience, et ils apportent un grand espoir à l'humanité.
Remarque :
(1) « La grande pendaison » - Il existe deux variantes à cette torture : (1) La victime est suspendue avec une corde à un encadrement de fenêtre, ses deux mains sont menottées derrière le dos, ses orteils touchant à peine le sol. (2) La victime a une main menottée à l’armature d’un lit superposé et l’autre main à un autre lit, les deux lits sont tirés dans des directions opposées. La douleur ressentie est celle d’un écartèlement.
Traduit de l'anglais au Canada le 21 juin 2007