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Me souvenir lorsque le Maître a purifié mon corps

11 mai 2013 |   Écrit par une pratiquante de la ville de Dalian, province du Liaoning

(Minghui.org) Il peut être difficile de comprendre « Falun Dafa est la Loi de Bouddha » en utilisant un raisonnement moyen. Cela a été le cas pour moi avant que je connaisse le Falun Gong. En tant que scientifique, j’étais totalement athée et je ne m’étais jamais laissé persuader de quelque chose sans avoir vu la vérité de mes propres yeux. Je n’avais jamais pensé à des choses comme « la Loi de Bouddha » ou la « cultivation », parce que ces concepts me paraissaient sans intérêt dans mon travail expérimental. Je n’ai pas changé mon esprit jusqu’à ce que j'assiste à un enseignement de la Loi donné par le Maître, lorsque d’une façon sage et miraculeuse, il a nettoyé mon corps malade et m’a libérée de ma croyance obstinée et dogmatique en la science expérimentale. L'essence de ma vie a alors été élevée au fur et à mesure que j'ai commencé à suivre le chemin pour retourner vers mon origine première en pratiquant Falun Dafa.

Une erreur de diagnostic

Un jour, j'étais en train de rédiger un rapport expérimental lorsque j’ai soudainement été prise de vertiges. J’ai commencé à vomir et j’étais incapable d’écrire. À l’hôpital, une hémorragie cérébrale a été diagnostiquée. Mon état de santé s’est détérioré les années suivantes et j’ai souvent été hospitalisée. J’ai subi de nombreux scanners, mais il n’y avait aucune trace d’obstruction de vaisseaux. Pourtant, j'étais suivie pour un accident vasculaire cérébral. Très vite, mon état a tellement empiré que je ne pouvais presque plus marcher. L’hôpital a ensuite examiné mes vertèbres cervicales avec un scanner et a conclu que j’avais une pression excessive sur le canal vertébral cervical. J’avais besoin d’une intervention chirurgicale sérieuse.

Les chances contre moi

Cela serait une opération extrêmement difficile, aussi bien en terme d’expertise chirurgicale requise que des risques encourus. La moindre petite erreur pourrait endommager les nerfs et entraîner une paralysie. Effrayée par un tel risque, j’ai pensé à chercher un autre traitement plus sûr. Mais le médecin a dit : « Votre  état est critique. Seule la chirurgie peut vous aider. Sinon vous êtes condamnée à devenir paralysée. Vous devez le faire aussi vite que possible. » Les chances étaient contre moi, je n’avais pas d’autre choix. Je devais accepter la chirurgie, parce que j’étais très effrayée que mes vertèbres trop sollicitées se détériorent davantage.

Une chirurgie très douloureuse

Le 9 juillet 1991, j’ai subi une grande intervention chirurgicale de la troisième à la septième vertèbre pour relâcher la pression. La première et la deuxième vertèbre n’ont pas été touchées, cela était trop délicat et les opérer aurait engendré un trop grand danger de mort. Le chirurgien était l’un des meilleurs de la ville. L’opération a duré 7 heures et demi et a laissé une incision de 15 cm de long. J’ai du ramper sur la table d’opération. Avec une perceuse, le médecin a ouvert la vertèbre à l’arrière de mon cou. Il a pris de l’os de ma hanche et en a inséré des morceaux dans les espaces entre mes vertèbres qui avaient été ouvertes. Il a ensuite utilisé de l’acier inoxydable pour tout assembler. Je suis restée consciente avec un anesthésiant local tout au long de l’intervention. Il est difficile d’imaginer combien j’ai souffert. J’ai dû rester immobile au lit les sept premiers jours après l’intervention, tout en recevant des drogues jour et nuit. Quinze jours plus tard, les médecins ont encastré la partie supérieure de mon corps, de ma tête à la poitrine dans un plâtre pendant trois mois. Pendant ce temps, je ne pouvais pas sortir du lit sans aide.

La chirurgie a relâché la pression sur ma colonne vertébrale. Je me suis réjouie d'avoir fait le bon choix de prendre le risque de l’opération, mais ensuite, j’ai rencontré de nombreux effets secondaires. Mon cou, mes épaules, mon dos, qui étaient en bon état, se sentaient maintenant comprimés et ont commencé à me faire souffrir. J’ai passé un scanner qui a montré que j’avais un déplacement de la colonne vertébrale et une saillie à cause de l’intervention. L’ancien problème avait disparu, mais je devais maintenant souffrir d’un nouveau. C’est devenu une routine pour moi d’être hospitalisée, jusqu’à ce que je sois complètement accablée après avoir attrapé un gros rhume. J’étais trop faible pour aller à l’hôpital, le médecin a donc dû venir me voir à la maison. J’ai essayé toutes les thérapies disponibles, en vain. J’étais alitée et je ne trouvais pas le moyen de me libérer. J’étais désespérée.

Le Maître a créé un miracle

J’ai eu la chance de pouvoir assister à la première conférence de la Loi donnée par le Maître dans la ville de Dalian, province du Liaoning. Je n’oublierai jamais ce jour.

La conférence a eu lieu le 27 mars 1994. Mon mari m’a portée sur son dos de notre domicile au troisième étage jusqu’à une voiture qu’il avait loué à son employeur. Quand nous sommes arrivés à la porte du hall où la conférence de Loi était donnée, il m’a portée à l’intérieur jusqu’à la première rangée la plus proche de la scène de la conférence. Il m’a ensuite installée sur une chaise transat qu’il avait amenée avec lui. J’étais allongée et raide dans la chaise, portant un gros manteau, avec une couverture et une écharpe autour du cou. Je paraissais être une patiente très malade et avant que la conférence ne commencee, des employés de la salle de conférence et quelques personnes de l’association de qigong de la ville de Dalian sont venus me voir et m’ont demandé de partir et de rendre le billet d'entrée. J’ai compris plus tard que le Maître leur avait demandé de me parler. La conférence de la Loi devait enseigner aux gens à cultiver, pas à guérir les maladies. Les patients gravement malades n’étaient pas autorisés à assister à la conférence.

Nous étions impatients d’entendre la conférence. Mon mari a sauté sur la scène où il a trouvé le Maître et il lui a expliqué mon état. Il a dit : « Nous ne sommes pas ici pour être guéris. Nous avons commencé à lire vos livres et à écouter vos conférences audio il y a deux semaines. Nous sommes ici pour apprendre le Falun Gong. » Le Maître a répondu : « Cette pratiquante a une bonne qualité d’éveil. Laissez-moi l’examiner. »

Le Maître est venu vers moi et je me suis redressée. Il m’a demandé de m’asseoir tout en me tapotant deux fois sur le cou et le sommet de la tête. Il a ensuite fait quelque chose pour nettoyer mes épaules et mes bras. Puis il m’a demandé de me lever et de marcher. Alors que je marchais sur le devant de la scène, il a continué à faire des gestes pour nettoyer mes jambes. Toute la procédure a duré moins de deux minutes. J’ai ensuite marché en avant et en arrière deux fois devant le podium et tous les participants m'ont applaudi. Quand je suis retournée jusqu’à mon siège, quelques participants de Pékin à côté de moi m’ont dit : « Vous avez beaucoup de chance. Nous avons assisté de nombreuses fois aux conférences de Loi du Maître mais nous ne l’avions jamais vu nettoyer le corps de quelqu’un en personne. » J’ai dit : « Je ne m’attendais pas du tout à ce qu’il nettoie lui-même mon corps. Vraiment, j’ai tellement de chance. Je suis si heureuse ! »

Pendant que nous apprenions les exercices après la conférence de Loi, le Maître est venu vers moi et m’a demandé d’un ton aimable : « Bougez-vous plus facilement la nuque maintenant, comme si elle avait été lubrifiée avec de l’huile ? » J’ai répondu : « Oui, c’est ainsi ! » Il a dit : « Vous n’auriez pas dû subir cette opération qui vous a fait tant souffrir par la suite. Si vous aviez pratiqué la Falun Gong avant, vous auriez déjà guéri depuis longtemps. »

Quand la conférence a été terminée, mon mari était sur le point de me porter jusqu’à la maison. Je me suis levée et j’ai trouvé que mes jambes allaient mieux, alors j’ai quitté la salle sur mes deux pieds. Alors que nous nous trouvions à l’entrée du bâtiment où nous vivons, il allait me porter dans les escaliers. J’ai dit : « Tu n’as pas besoin de faire ça. Je peux maintenant marcher moi-même. » Puis j’ai marché jusqu’à notre appartement au troisième étage. Tout s’est passé de façon tellement inattendue que je pouvais à peine le croire. C’était si miraculeux. Le Maître est tellement surprenant ! Mon état, qui avait mis la médecine moderne en échec, a été guérie par le Maître en quelques minutes. C’était vraiment un miracle, un miracle incroyable. Le Falun Dafa est une science véritable, une science qui transcende le monde humain !

Dans ses conférences de Loi, dans ses mots clairs et compréhensibles, le Maître nous a enseigné le principe le plus profond de l'Univers, la Loi de Bouddha que nous n’avions jamais entendue auparavant. Ma vie a trouvé un sens à partir de ce moment- là. J’étais en train de retourner à mon origine première en cultivant dans le Falun Dafa. De la poussière du monde terrestre naîtra la quintessence cosmique forgée par le Falun Dafa en accord avec ses principes universels Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Absorbée par ses enseignements, j’ai compris que le Maître avait nettoyé mon corps pour paver le chemin de ma cultivation authentique. C'est alors que j'ai commencé ma cultivation pratique dans le Falun Dafa. Je suis restée ferme dans la pratique et n'ai jamais été ébranlée.

Dix-huit ans se sont écoulés aussi vite qu’un instant. Si je n’avais pas rencontré le Maître et le Falun Dafa, j’aurais déjà péri dans de terribles souffrances. Ce jour où le Maître a nettoyé mon corps est si mémorable que je peux le revivre dans mon esprit intensément même dix-huit ans plus tard. Mon histoire s’est répandue rapidement parmi le public et a engendré des réactions locales enthousiastes. Beaucoup de gens, grâce à mon histoire, ont appris que le Falun Dafa est une voie vertueuse et ont commencé à pratiquer le Falun Gong.

Merci encore, Maître, pour votre salut bienveillant !

Traduit de l’anglais en Belgique