(Minghui.org) Il pourrait s'agir d'un vœu longtemps chéri que mon chemin de cultivation m'ait fait acquérir des compétences en informatique afin d'être en mesure d'aider à installer des sites de fabrication de documents, d'apprendre à me servir de divers systèmes et de transmettre ce savoir-faire à d'autres personnes. J'aimerais partager quelques compréhensions concernant le fait « d'apprendre », que j'ai obtenues en enseignant aux autres.

1. Cultiver l'attention à l'autre et la patience

Quand nous avons augmenté la capacité de nos systèmes informatiques en avril 2014, cela a créé un énorme surcroît de travail pour les pratiquants de l'équipe technique. Nous devions alors former des gens dans l'urgence pour qu'ils soient en mesure d'assurer un soutien technique à tous les sites de fabrication de documents de notre région.

J'avais en fait anticipé cette situation vers la fin de 2013 et en avais parlé à d'autres pratiquants. Mais, ils avaient d'autres compréhensions et attachements qui nous ont empêchés d'opérer comme un corps entier. Quand le moment est arrivé d'améliorer le système en 2014, les pratiquants sont devenus très anxieux. La situation s'est emballée quand les pratiquants voulaient mettre à niveau leur système et apprendre à s'en servir.

Les choses se sont vite calmées. Certains pratiquants ont appris à faire la mise à niveau et mes compétences pédagogiques se sont améliorées.

Quand il fallait acquérir des compétences techniques plus approfondies, certains pratiquants ont commencé par moins s'y intéresser et faisaient moins d'efforts. D'autres y ont simplement renoncé et n'apportaient plus d'aide. J'ai été submergé par une fatigue extrême, de la déception et de la tristesse.

Le Maître a dit :

« Savez vous ? Tant que vous serez un pratiquant, quel que soit l'environnement, les circonstances, toute affaire ennuyeuse et fâcheuse que vous rencontrerez, voire même le travail pour Dafa, que ce soit ce que vous croyez le meilleur ou le plus sacré, j'en profiterai pour éliminer votre esprit d’attachement et révéler votre nature de démon afin de la supprimer. Car c’est votre élévation qui compte avant tout » (« Une nouvelle compréhension » dans Points essentiels pour avancer avec diligence)

Je devais chercher à l'intérieur. Je me suis rendu compte que la raison pour laquelle certains pratiquants renonçaient était parce que j'étais trop pressé de réussir. Pour me faciliter le travail, j'avais fait porter trop de responsabilité sur des pratiquants âgés qui avaient peu de connaissances techniques en informatique. J'ai décidé de me débarrasser de ma mauvaise humeur et d'être plus attentif et tolérant.

J'ai commencé à enseigner en tenant davantage compte des capacités des pratiquants et de leur état de cultivation. Tant que quelqu'un voulait apprendre, j'étais résolu à lui enseigner de tout mon cœur aussi longtemps qu'il le fallait et jusqu'à ce qu'il se sente à l'aise en installant le nouveau système. Quand j'étais patient avec eux, les pratiquants étaient plus détendus, ne se sentaient pas sous pression et avaient plus confiance dans leurs propres capacités.

C'était vraiment un processus de cultivation pour moi. Certains pratiquants se montraient enthousiastes au début, mais s'en désintéressaient vite. J'allais chez eux pour leur enseigner en pensant : « Tant que vous ne me mettez pas dehors, je viendrai ».

Voyant ma persistance, ces pratiquants n'ont pas refusé mon aide et ont continué de faire des efforts. Il y avait des pratiquants qui perdaient les notes prises pendant la formation. Je les aidais à les retrouver et reprenais l'enseignement.

Un pratiquant avait reçu peu d'éducation et je ne pensais jamais qu'il serait un jour capable d'installer des logiciels. Je l'ai encouragé à continuer et il a continué.

J'ai trouvé cela très difficile d'enseigner aux pratiquants. Mon corps a rapidement montré des symptômes de karma de maladie. Il y avait des jours où j'aurais voulu me plaindre mais, je me redisais qu'il ne fallait pas me faire du souci quant au nombre de pratiquants qui apprendraient les techniques nécessaires. J'étais déterminé à continuer à faire ce que je devais faire.

Le Maître a dit :

« … un cœur sans agitation peut dominer dix mille agitations ». (« Éliminer le dernier attachement » dans Points essentiels pour avancer avec diligence II)

2. Apprendre à être calme et à dire « Non »

Avec le temps, certains pratiquants comptaient trop sur moi, même quand ils étaient capables de trouver la solution du problème en réfléchissant eux-mêmes. Je trouvais ce problème bien difficile à gérer. Je craignais que si je ne les aidais pas, ils pourraient esquiver la difficulté et laisser tomber. D'un autre point de vue, si je continuais à les aider de cette façon, ils pourraient compter trop sur moi et ne seraient plus en mesure de suivre leur propre chemin, ce qui n'était pas droit par rapport au Fa. Avec tout cela, j'approchais de mes limites physiques. Il me fallait absolument changer.

J'ai arrangé de rencontrer un groupe un certain mardi afin de résoudre leurs problèmes. Mais la veille au soir, j'avais des vertiges et j'ai commencé à vomir. J'ai nié cette forme de persécution et émis la pensée droite afin d'éliminer l'interférence.

Le lendemain, je me sentais un peu mieux et je suis allé voir le groupe. Voyant que je n'étais pas comme à mon habitude, ils m'ont demandé ce qui s'était passé et ils ont partagé leurs compréhensions avec moi. L'un d'eux m'a dit : « Peut-être qu'il serait temps pour toi de renoncer aux choses. Depuis longtemps, les pratiquants qui ont des compétences techniques sont trop pressés par le travail. Ce dont ils ont le plus besoin est de laisser tomber ce qu'ils font et d'étudier le Fa l'esprit tranquille. »

Je me demandais comment je ferais pour arrêter ce que je faisais. Tous ces pratiquants attendaient mon aide. Un article de partage que j'ai lu disait qu'il fallait cultiver son xinxing avant de réparer des problèmes d'ordinateur. Je n'avais pas pris cela au sérieux dans ma cultivation. Ce que le pratiquant avait dit à propos de « renoncer aux choses » m'a alerté sur la nécessité de réfléchir sur moi-même.

J'avais mis en place un site de production de documents du début jusqu'à la fin. Dès qu'il y avait un problème, j'y allais pour donner un coup de main. Je faisais ça régulièrement depuis trois ans. Le site commençait à avoir de nombreux problèmes techniques. Comme d'habitude, le pratiquant responsable du site me demandait de l'aide et je mettais de côté ce que je faisais et j'y allais. Il semblait que plus je donnais de l'aide plus il y avait de problèmes.

J'ai émis la pensée droite avec les pratiquants sur place. Je me suis vite aperçu qu'il ne prenaient pas la pensée droite avec sérieux, se contentant de le faire pour la forme. Je me suis vraiment fâché et j'ai crié contre le pratiquant responsable : « Je passe tout mon temps ici à vous aider et vous êtes tellement distrait. Faites ce que vous voulez, moi je vais me reposer. »

Ceci a rappelé au pratiquant responsable qu'il fallait regarder à l'intérieur. Il a partagé aussi avec le groupe sur la manière de regarder à l'intérieur. Bien qu'ils avaient encore besoin d'aide technique pour résoudre certains problèmes, ils ont fait de grands progrès dans la cultivation du xinxing, surtout pour ce qui concernait leur dépendance vis-à-vis des autres. Cet incident a été aussi pour moi l'occasion de regarder davantage en moi.

Zhang est un jeune homme qui avait appris à installer des logiciels, mais avait arrêté par la suite. Un autre pratiquant, Li, n'avait jamais appris à installer des logiciels. Quand le site Minghui nous a informés qu'il fallait passer à la version 37 de Firefox, Li a suivi les instructions et a réussi à le faire.

En revanche, Zhang n'arrivait pas à installer la bonne version, quel que soit son effort. Il m'a trouvé et je lui ai fait le travail. Lors d'un échange, je lui ai demandé ce qui s'était passé quand il avait eu des problèmes techniques. « À qui as-tu pensé en premier, à moi ou au Maître ? »

« J'ai pensé à toi », m'a-t-il répondu.

J'ai commencé à réfléchir sur moi-même. S'agissait-il d'un problème technique ou un problème dans ma cultivation ? Est-ce vrai qu'ils ne sont pas capables de résoudre des problèmes techniques sans moi ? Que puis-je faire sans le Maître pour me renforcer ?

Je me suis calmé, j'ai étudié le Fa et me suis demandé ce qui m'avait fait tellement travailler que je n'avais même pas le temps d'étudier le Fa ni de faire les exercices. Est-ce parce que j'étais dans un projet technique ?

Petit à petit, je me suis rendu compte que j'étais attaché à « l’ego ». Au début, je faisais bien les choses pour enseigner patiemment aux autres. Dès qu'ils savaient comment faire et comprenaient l'importance d'apprendre les techniques de base, j'aurais dû les encourager à marcher sur leur propre chemin plutôt que de les laisser s'adresser à moi dès qu'il y avait un problème. Ma compréhension limitée avait non seulement crée des obstacles sur leur chemin de pratiquant, mais en plus, j'étais moi-même épuisé physiquement.

En regardant plus en profondeur, j'ai trouvé que je craignais qu'ils n'arrivent pas à tenir la route. En fait, il s'agissait de ma foi en le Maître et le Fa et la confiance que j'avais dans la capacité des pratiquants de bien faire le travail.

Le Maître a arrangé des chemins de cultivation pour nous tous. Je n'avais qu'à bien cultiver et harmoniser le corps entier. Nos attachements humains et nos pensées égoïstes interfèrent avec les autres pratiquants et la rectification de Fa du Maître.

Le Maître a dit :

« En tant que pratiquant, il n'y a pas d'exemple, le chemin pris par chacun est différent, car la fondation de chacun est différente, la taille des divers esprits d'attachements est différente, la caractéristique des vies est différente, le travail parmi les gens ordinaires est différent, l'environnement familial est différent, etc., ces facteurs déterminent la différence du chemin de xiulian de chacun, la différence de l'état dans lequel on enlève les attachements, la différence de la taille des épreuves à franchir, c'est pourquoi en terme de manifestation il est très difficile de trouver un chemin fait par les autres, il est encore moins possible de monter dans le véhicule d'autrui. S'il y avait vraiment un chemin déjà pavé et un véhicule commode, il ne s'agirait absolument pas de xiulian. (« Chemin » dans Points essentiels pour avancer avec diligence II)

Graduellement, j'ai abandonné la notion selon laquelle les problèmes ne seraient pas résolus sans mon intervention et j'ai encouragé les pratiquants à gérer eux-mêmes les problèmes.

Ceci s'est manifesté quand j'ai rendu visite à un pratiquant qui m'a dit : « Nous avons appris à aller sur Tiandixing.org nous-mêmes. Je vais encore apprendre des choses sur les problèmes techniques ». Je l'ai remercié du fond du cœur.

Pendant la vague de dépôts de plaintes contre Jiang Zemin, un pratiquant âgé m'a demandé de l'aider à prendre une décision. Nous avons partagé nos compréhensions concernant la signification de traduire Jiang en justice. Pour conclure, je lui ai dit : « Chacun doit prendre sa propre décision face aux problèmes. »

Quand un membre de famille m'a demandé de l'aider à écrire sa plainte, j'ai été très clair avec elle en disant : « Personne ne peut cultiver à ta place. Tu dois y réfléchir calmement toi-même. »

Aujourd'hui, je ne prends plus les choses en main entièrement, mais j'y réfléchis calmement. Je juge les situations par rapport au Fa et je décide si je dois aider ou dire « non ». Je ne laisse plus la sentimentalité prendre le dessus.

3. Apprendre à être humble et libre d'intention

En transmettant mes connaissances techniques, je suis tombé sans le faire exprès dans la pratique « d'enseigner » et les pratiquants ont aussi développé la mentalité de « l'écoute ». On prêtait toujours davantage de poids à mes opinions et je trouvais cela normal.

Il n'est pas incorrect de signaler les travers d'autres pratiquants, mais cela devient un attachement sérieux si c'est fait en se donnant de l'importance, en se plaignant ou en montrant du doigt. N'ayant pas perçu cela, je suis devenu arrogant et la relation entre moi et les autres pratiquants s'est transformée en quelque chose comme « enseigner » et « suivre les instructions ».

À cause de mes propres attachements, l'habitude de me plaindre des autres a empiré. Mon corps aussi montrait des signes graves d'interférence. Quand un pratiquant avait voulu étudier le Fa avec moi j'ai refusé. « Je n'ai pas besoin que quelqu'un étudie le Fa avec moi. Ça aiderait si vous comptiez moins sur moi. Je ne veux pas que vous me demandiez de l'aide. »

Un autre pratiquant a dit qu'ils m'admiraient vraiment, à quoi j'ai répondu : « Beaucoup de personnes m'admirent ».

Je ne me suis pas rendu compte qu'il y avait quelque chose de mal avec mon ego démesuré jusqu'au jour où j'ai rendu visite à un pratiquant qui se servait d'un autre type de technologie que celui que je lui avais enseigné. Je lui en ai demandé la raison. Il m'a expliqué les points positifs dans ce qu'il faisait et plus tard quand je l'ai essayé, je l'ai trouvé très bien en effet. J'ai découvert aussi qu'il connaissait de nombreux savoir-faire que je ne connaissais pas. Quand il me les a expliqués, je n'avais pas l'impression qu'il m'enseignait quelque chose, il me disait simplement ce qu'il savait.

Plus tôt, au moment où je lui donnais l'enseignement, il n'avait pas montré le moindre « désir d'apprendre » de moi, il avait simplement appris ce qu'il ne connaissait pas. Petit à petit, je suis arrivé à la compréhension que la relation normale qui devait exister entre pratiquants devait être ainsi.

Je commençais à comprendre ce que voulait dire « apprendre » et comment être humble. Une fois, j'ai accompagné des pratiquants pour clarifier les faits parce que je voulais apprendre comment ils s'y prenaient. J'ai observé attentivement comment ils parlaient aux gens, leur comportement paisible et leur sincérité.

J'ai réfléchi à ma façon de faire en la comparant à la leur. Dans le bus sur le chemin de retour, j'ai commencé à clarifier les faits à un homme assis à côté de moi. Ça ne marchait pas bien. À ce moment précis, un jeune pratiquant m'a poussé doucement de côté et il a commencé à parler à l'homme en question. Le jeune pratiquant ne s'est pas plaint de moi ni ne m'a critiqué. Il a simplement continué tranquillement à clarifier les faits. J'ai ressenti la sérénité du pratiquant et mon propre manque d'humilité.

Un jour, j'ai rendu visite à un pratiquant que je n'avais pas vu depuis longtemps. Il pratiquait moins depuis quelques années. Cette fois-ci, je n'ai pas beaucoup parlé, mais au contraire, je l'ai écouté sincèrement partager son expérience de cultivation et je l'ai encouragé sur tous les petits avancements qu'il avait faits.

« Ma belle-fille se plaint que je n’entretiens pas bien la maison, alors j'ai travaillé pour d'autres personnes et j'ai appris comment nettoyer la maison. Tant que j'ai des défauts, je les corrigerai, quelle que soit la personne qui me les montre », m'a-t-il confié.

J'ai senti à quel point ses paroles étaient simples et honnêtes. Autrefois, je lui aurais fait un sermon sur le progrès de la rectification de Fa au lieu d'écouter humblement son partage d'expérience de cultivation.

Quand il a remarqué que j'étais assis en position du double lotus, il a dit : « Je n'ai pas fait l'exercice de méditation depuis des années. En te voyant assis dans cette position, je voudrais de nouveau faire les exercices. »

Ce jour là, bien que je n'avais pas dit grand chose, il voulait de nouveau faire les exercices. J'ai appris un peu plus sur l'humilité.

J'ai ouvert un fichier que j'avais créé et gardé sur le bureau de mon ordinateur : Mettez-vous toujours à une position plus basse. J'avais gardé ceci comme « pense-bête », mais je ne l'avais pas lu depuis longtemps à cause de mes attachements. Vraiment, j'avais honte.

Le Maître a dit :

« Déjà maintenant dans ce stage il y a des gens qui ont une haute opinion d’eux-mêmes et qui se mettent même à parler sur un ton inhabituel. Ce qu’on est soi–même en fin de compte, même dans le bouddhisme, c’est un tabou. » (Zhuan Falun)

La cultivation est très sérieuse. Le fait d'être humble a éclairé les coins sombres dans mon cœur et a exposé mes attachements à la vantardise, l'esprit de compétition, l'égoïsme et la jalousie. L'humilité vous rend capable de garder votre calme dans l'action, de maintenir la dignité et d'ouvrir notre sagesse, ce qui nous permet de voir la nature des choses à un niveau plus profond. Être humble est un état d'esprit et de caractère qu'un pratiquant devrait avoir.

J'ai remarqué qu'un pratiquant que je connais bien ne cherche jamais de résultats dans ce qu'il fait, mais fait simplement ce qu'il doit faire. S'il tombe, il se relève et continue. En comparaison, j'ai vu nombre de mes attachements. Je faisais les exercices, parce que je voulais me sentir bien ; je faisais la méditation, parce que je voulais que mes jambes aillent mieux ; j'étudiais le Fa et émettais souvent la pensée droite, parce que je voulais résoudre des problèmes. J’arrangeais intentionnellement des choses pour moi-même et je faisais les choses avec intention. Tout cela interférait avec la capacité du Fa de se manifester librement.

Petit à petit, je suis arrivé à comprendre que je devrais me cultiver au cours du processus de transmettre un savoir technique. Il me fallait être conscient de ce à quoi je devais me détacher et simplement faire ce que je devais faire, sans chercher de résultat.

Les pratiquants qui ont persisté à apprendre les connaissances techniques ont obtenu beaucoup d'expériences et ont maintenant leurs propres compréhensions. Certains ont aussi compris qu'ils doivent apprendre à davantage de pratiquants la façon d'installer des systèmes informatiques.

Le Maître a dit :

« La cultivation dépend de soi-même, le gong dépend du maître. » (Zhuan Falun)

Les changements chez un pratiquant viennent de la puissance du Fa et cela m'a aidé à obtenir un peu plus de compréhension sur le sens d'être libre d'intention.

Regarder à l'intérieur ne sont pas des mots vide de sens et « Se voir en tant que particule à l'intérieur du corps entier, pas au-dessus » n'est pas simplement un slogan. C'est seulement en rectifiant réellement notre être que nous pourrons nier la persécution.

En coopérant en tant que corps entier, il nous faut renoncer au « soi ». Ce n'est qu'alors que nous pouvons former un corps indestructible. C'est ce que veut le Maître.

Je me souviens d'un pratiquant qui a dit un jour : « Une goutte d'eau ne peut faire partie de la puissance immense des vagues déferlantes qu'en se jetant dans la mer. Une goutte d'eau ne peut faire partie des nuages magnifiques dans le ciel bleu qu'en s'évaporant dans l'air. La puissance d'un seul corps ne peut se manifester pleinement qu'en renonçant au « soi ».

Je voudrais remercier tous les compagnons de cultivation pour leur tolérance, compréhension et coopération. Je voudrais également demander pardon à tous ces compagnons de cultivation que j'ai critiqués sans raison et dont je me suis plaint dans le passé. Merci Maître pour votre aide bienveillante et votre protection. Je suis déterminé à devenir plus diligent sur mon chemin de cultivation.

(Douzième conférence de partage d'expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Chine continental.)

Traduit de l'anglais en France