(Minghui.org) The Times of India (le troisième plus grand journal en Inde) a publié un article intitulé « Falun Dafa : Une tentative de cultiver le bien et d'éliminer le mal. »

« Si vous observez attentivement », commence l'article, « vous pourrez les trouver dans des parcs publics, des écoles ou des maisons, faisant des mouvements d'exercices lents et en rythme avec la musique, ou pratiquant la méditation. »

« Le Falun Dafa ou Falun Gong, une philosophie spirituelle qui a vu le jour dans les années 90 en Chine, est largement présent en Inde, avec plus de 25 lieux de pratique dans la seule ville de Nagpur, en plus de sa présence dans plus de 114 autres pays. »

De jeunes élèves indiens font les exercices de Falun Gong en groupe.

L'article parlait d'une conférence de Falun Dafa de trois jours dans la ville, à Ambedkar Hall, Chhatrapati Nagar, réunissant plus d’une centaine de pratiquants de Falun Dafa de 15 villes. Les participants ont partagé des expériences de la pratique et des compréhensions acquises à la lecture des livres de Falun Dafa. Le groupe a organisé un défilé de Ambedkar Hall à Samvidhan Chowk. Une veillée aux chandelles a également eu lieu pour rendre hommage aux pratiquants de Falun Dafa qui souffrent sous la persécution du Parti communiste chinois (PCC).

« Les États-Unis, l'Union européenne et plusieurs autres pays ont condamné l'ordre des autorités chinoises [de persécuter le Falun Dafa] », notait l'article, après avoir expliqué comment la pratique a été attaquée par le régime communiste en 1999, alors que le nombre de pratiquants atteignait les 70 millions.

« Authenticité, Bienveillance et Tolérance sont les trois principes de cette philosophie », précisait l'auteur, et aussi que la pratique a été introduite en 1992 par Li Hongzhi en Chine. « Li Hongzhi a été nominé pour le prix Nobel de la paix à trois reprises. Le [Falun Dafa] a été introduit en Inde en 2000, depuis New Delhi. »

Marc Luburic, originaire d'Australie, dirige une agence en management de talent à Mumbai et pratique le Falun Dafa depuis quatre ans. « La pratique ne porte pas tant sur les exercices, mais est davantage un moyen de cultiver son esprit et son cœur », a-t-il dit. Luburic se souvient qu'avant de rencontrer cette philosophie, il prenait des pilules, se faisait faire des injections et buvait dans les moments de stress. Il raconte qu'une semaine après avoir commencé les exercices, son corps a rejeté l'alcool ou les autres substances. « Une bonne santé et la guérison des maladies sont un effet secondaire de la pratique », a-t-il dit.

L'article cite également le président de l'Association de Falun Dafa en Inde, Suren Rao, un écrivain indépendant basé à Calcutta : « Regarder à l'intérieur de soi est le point essentiel de la pratique. Au lieu de pointer du doigt, nous devons comprendre que le problème a son origine en nous et peut être résolu par nous. »

Traduit de l'anglais en Europe