(Minghui.org) J'ai dû subir six interventions chirurgicales, dont trois interventions cardiaques, avant de commencer à pratiquer le Falun Gong. On m'a ensuite diagnostiqué un cancer du sein en août 2010, ce qui requérait encore davantage d'interventions chirurgicales, de la chimiothérapie et de la radiothérapie.

Même si la vie était dure et que je me sentais seule, je n'étais pas désespérée. Au contraire, je cherchais tout ce qui pouvait améliorer ma vie et me ramener la joie que j'avais auparavant.

Même maladie, résultats différents

Après la chirurgie mammaire, je devais porter une poche de colostomie pour contenir les matières fécales, mais je fredonnais encore quand je me promenais à l'hôpital.

J'y ai rencontré trois sœurs, la plus jeune desquelles devait subir la même opération que celle que je venais d'avoir. Elle semblait effarée et inquiète. Sa sœur ainée la consolait et disait : « N'aie pas peur, ma sœur. Regarde comment elle se porte, elle fredonne une chanson après son opération. » Nous sommes devenues amies et nous nous sommes vues après notre retour chez nous.

J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa un an après mon intervention chirurgicale, tandis que mon amie ne l'a pas fait.

Pendant que j'étais en vacances avec mes parents, on m'a dit que ma copine avait fait une rechute et que son état empirait vite. Au moment où je suis retournée chez moi, elle était déjà décédée. Je savais que si je n'avais pas pratiqué le Falun Dafa, j'aurais pu mourir aussi. Nous avons souffert de la même maladie, mais nous avons choisi des chemins différents. Je marchais sur le chemin de la cultivation dans le Falun Dafa, tandis qu'elle se fiait aux interventions médicales.

Célébrer la vie

Je me suis relâchée dans ma cultivation quand j'ai fêté le Nouvel An chinois de 2014 avec ma famille. Je n'étudiais pas les livres de Dafa ni ne faisais les exercices.

Mon sein droit me causait vraiment de la douleur et j'y ai trouvé une bosse dure. La douleur me faisait penser au cancer du sein d'il y a quelques années. Cela m'a fait réaliser que, pour quelqu'un qui ne cultive pas, cela résulte souvent en décès.

La bosse était plus grande que celle que j'avais eue dans le passé. Je me demandais si je devais aller à l'hôpital.

J'ai ensuite changé d'avis et j'ai considéré cet incident selon la perspective du Fa. J'ai pensé : « Tout ce qui nous arrive est là pour une raison. Je suis une pratiquante. Maître Li Hongzhi, le fondateur du Falun Dafa, prend soin de moi. Ceci doit être un test. Je dois avoir une croyance ferme en le Maître et le Fa. »

J'ai arrêté de me relâcher : j'ai étudié le Fa, fait les exercices et suivi le principe de Dafa Authenticité-Bienveillance-Tolérance. J'ai abandonné tous les sentiments qui me parcouraient l'esprit, y compris la douleur, le désespoir et la peur.

Afin de m'aider à être plus diligente, j'ai commencé à recopier le livre principal du Falun Dafa, le Zhuan Falun. La bosse a vite disparu. Dafa a de nouveau montré sa puissance extraordinaire et, au lieu de la mort, j'ai pu célébrer la vie.

Les membres de famille en bénéficient

Après avoir entrepris mon chemin de cultivation, mon mari, mes parents, ma sœur cadette, mes amis et d'anciens camarades de classe ont tous été témoins des bienfaits du Falun Dafa. Ils ont démissionné du Parti communiste (PCC) et de ses organisations de la jeunesse.

Ma belle-mère a commencé à pratiquer le Falun Dafa. Mon mari, qui se mettait facilement en colère, est devenu quelqu'un de jovial et me rappelle quand il est l'heure de partir à l'étude du Fa en groupe. Ma famille entière a bénéficié du Falun Dafa.

Traduit de l'anglais en Belgique