Commentaire sur "La majesté de la Grande Loi"

Ce disciple a très bien parlé, c'est là la différence entre la rectification par la Loi et la cultivation et la pratique personnelle, en même temps cela montre aussi la base solide pendant la cultivation et la pratique personnelle. Sans avoir la bienveillance d'un disciple de Dafa, on n'est pas un pratiquant, si un disciple de Dafa ne peut pas prouver la Loi, il ne sera pas un disciple de Dafa. En même temps que vous révélez la perversité, vous sauvez les êtres et perfectionnez pleinement votre propre monde.

Li Hongzhi

le 17 juillet 2001

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(Minghui.org) Le Maître adit lors de son enseignement de la Loi outre-mer que "la Grande Loi a sa nature majestueuse",  et que"Ce n'est pas tout le monde qui peux l'obtenir" . L'enseignement du Maître me guide toujours, de sorte que lors de rencontres avec les gens, je considère chacune de mes paroles et chacun de mes gestes en restant dans la Loi. Quand j'ai abandonné mes propres attachements et cherché en moi-même, je fais le mieux possible pour réfléchir en restant dans la Loi. Les questions suivantes se posent souvent : qu'est-ce qu'une compréhension juste lorsqu'il s'agit de se conformer à l'état des gens ordinaires, qu’est-ce que la véritable bienveillance ? Qu'est ce qu'une compréhension rationnelle sur la rectification par la Loi, la cultivation et la pratique personnelle.

A cause de la persécution perverse, je suis depuis longtemps parti de chez moi, et vis tantôt ici tantôt là soutenu financièrement par mes amis. Un jour de congé du début de mois de mai, avec ma femme nous sommes allés chez un parent pour lui parler de la vérité du Falun Gong, et nous avons logé chez lui.Mais son fils a volé dans notre sac les milliers de yuans que nous avions. Suite à cela, ma femme a dit que nous devions en chercher la cause en nous-mêmes,peut-être était-ce pour enlever un de nos attachements, ou bien peut-être avions-nous mal agi quelque part. Les membres de la famille de ce parent ont tous été très inquiets et ont critiqué leur fils. Ma femme a dit aux parents :"tant pis, une fois volé, c'est volé. Vous ne devez pas le prendre trop à cœur." je trouve que dans ses propos ma femme s’est déchargée de toute la responsabilité que l'homme devrait endosser, l'argent des disciples de Dafa est-il donc gagné facilement ? Leur argent doit –il être volé ainsi ? N'est-on pas de ce fait en train d'encourager la force perverse. Certes, nous devons chercher en nous-mêmes pour trouver notre problème, mais cela ne doit pas être fait sans principe, encore moins servir de prétexte à encourager tous sortes de facteurs pervers. Si nos amis nous ont aidé financièrement c'est pour que nous puissions mieux faire le travail dans le but de prouver la Grande Loi, de plus nous avons toujours une stricte exigence envers nous-mêmes, pourquoi en face de ce genre de situation considérons-nous toujours que le problème est en nous. De ce fait, nous laissons une lacune dans notre pensée et la perversité peut finalement profiter de notre bienveillance. Donc, j'ai tout de suite fait part de mon opinion différente à ce parent : " il faut que ton fils endosse sa responsabilité concernant ce vol, voler plusieurs milliers de yuans constitue déjà un crime, nous ne pouvons absolument pas tolérer son comportement. Nous le traitons bienveillamment, mais il vole pourtant tout notre argent, c'est le comportement d’un être humain dégénéré, c'est pourquoi il doit endosser sa responsabilité. Mais nous ne voulons pas que vous ayez un lourd fardeau sur vous, vous devez continuer à vivre sainement."

Après que j’ai exposé mon opinion, ce parent a constaté que mes propos étaient fermes, il nous a tout de suite menacé avec un esprit malveillant :" Nous craignons que cet enfant manque de mesure, si vous le dénoncez à la police, au moment de l'interrogatoire, il pourrait vous dénoncer, cela va nuire à votre sécurité." A ce moment, ma femme a vraiment eu cette crainte, elle a fait chœur avec lui. J'ai perçu la menace derrière ses propos qui apparemment témoignaient de la sollicitude envers nous. J'ai pensé que ce parent n'avait pas un esprit droit, si nous l'approuvions, cela revenait à leur causer du tort réellement. Il était en train de profiter justement de notre bienveillance, et de l'éventuel esprit dévié qu’est la peur d'être dénoncé. C'est pourquoi j’ai dit fermement : " j'espère que ton fils va rentrer, s'il ne rentre pas dans les 24 heures, il n'a pas pensé que je suis capable de le dénoncer à la police." Le lendemain, ce parent m'a dit qu'il promettait de nous rendre cet argent, sinon, il aurait pendant toute sa vie honte devant ses parents et ses amis. J'étais très content qu'il puisse reconnaître la raison, j'ai accepté le cœur tranquille l'argent qu'il nous a remboursé au nom de son fils.

Une pratiquante m'a raconté que son mari interférait depuis le début de sa cultivation et sa pratique de Dafa, il l'a souvent menacée, frappée et injuriée, puis il l’a forcée à accepter le divorce. Je lui ai demandé :"si tu arrives déjà à consentir au divorce en ne demandant rien, si en butte à ces interférences, tu arrives sans la moindre hésitation à garder toujours la croyance droite vis à vis de la Grande Loi, alors de quoi as-tu peur ? Tu es une disciple de Dafa, tu as de la majesté. Un disciple bienveillant de Dafa mérite-t-il de dormir et quémander sa nourriture dans la rue ? Si tu cèdes à ses exigences, n'es-tu pas de ce fait en train d'encourager le facteur pervers derrière ton mari ? En fait beaucoup de personnes sont déjà dégénérées,plus vous êtes bienveillants, plus elles vous malmènent, vous persécutent. Situ enlèves ce qui est impur chez toi, et lui dis loyalement : 'si c'est parce que je pratique le Falun Dafa que tu me demandes de divorcer, alors décides toi, mais pour chacun des biens dans cette maison j'exige ma part'. En même temps, tu émets la pensée droite pour éliminer le facteur pervers derrière lui. Essayes, et tu verras." Le lendemain, elle m'a dit qu’ayant redressé son cœur et dit loyalement ce qu'elle avait à dire à son mari, celui-ci avait ouvert de grands yeux et lui avait dit: "  vous, les pratiquants n'attachez pas l'importance ni à l'argent ni aux biens, n'est-ce pas ?"Elle a répondu : "bien sûr je n'attache aucune importance ni à l'argent ni aux biens, mais tu es en train de profiter de ce point pour persécuter une disciple de la Grande Loi, dans ce cas, je n'ai pas peur non plus d'avoir de l'argent et des biens, de plus, j'ai ma part légitime sur tous les biens dans cette maison." Depuis cela, son mari se contient énormément.

Mon oncle et sa femme auparavant pratiquaient le Falun Dafa. Sous la forte pression de la répression depuis le 22 juillet 1999, ils ont cédé sous la menace de la perversité. Afin de cacher leur attachement à la crainte ils ont souvent dit que "le pot de terre ne peut pas casser le pot de fer", "la dictature du prolétariat" c'est comme ça. En leur cœur, ils pensent que Dafa est bon, c'est pourquoi ils se cachent pour pratiquer, mais ils utilisent pourtant le prétexte de se conformer à l'état des gens ordinaires et agissent en homme ordinaire pour cacher leur attachement à la peur. Par exemple, ils sont allés avec d’autres apprendre le Taiji, ou quelque danse ; lorsque les gens ordinaires discutent sur Dafa, ou critiquent Dafa, ils se montrent indifférents comme s'ils n'étaient pas un élément de Dafa,  cela ne les regarde pas. Ils considèrent que les choses que je fais pour prouver Dafa, reviennent à se mêler à la politique,à lutter contre les gens, et ils ne souhaitent pas me voir. Un jour, lorsque je suis allé chez eux pour leur donner un nouveau Jingwen du Maître, mon oncle m'a critiqué et m'a demandé de ne plus venir chez lui. Je leur ai immédiatement répondu d’un ton sévère : " Vous avez tant bénéficié de Dafa, vous savez très bien que Dafa est le plus droit, mais lorsque le gouvernement Jxx diffuse ses mensonges, vous agissez pourtant avec un esprit sordide vis à vis de Dafa, êtes-vous vraiment des hommes ordinaires ? êtes-vous digne d’être un disciple de Dafa ? Au moment ou Dafa, responsable du grand changement de votre esprit et jusqu'à votre corps, est bafoué par la perversité, vous vous montrez pourtant indifférents, n'osez-vous même pas dire un mot juste en faveur de Dafa; même quand moi, votre proche vous rend visite, je vous fait tellement peur, êtes-vous encore digne d'être un homme ? Je cultive et pratique loyalement Dafa, sans aucune peur ni envie de m'esquiver, ce que j'ai gagné est le respect des collègues, des supérieurs, des policiers envers le Dafa et envers les disciple de Dafa, l'impression que je donne aux gens c'est qu’un disciple de Dafa est quelqu'un de loyal et de digne. Bien que je sois devenu sans abri dans cette persécution, je n’en vis pas moins noblement, ouvertement, et librement. Tandis que vous, bien que vivant êtes comme des fantômes, vous vivez avec un état d'esprit moisi et sombre, est-ce encore l'état normal d'un être humain ? Est-ce encore le comportement normal d'un être humain ? " Ce que j'ai dit a ébranlé leur esprit, a montré la majesté du Dafa et l'état esprit le plus droit d'un disciple de Dafa, ils ont reconnu immédiatement leur état d'esprit dévié.

Un jour, une pratiquante de Dafa sans abri est allée à un rendez-vous chez un ami afin de lui clarifier la vérité sur le Falun Gong. Hors de son attente, ses parents, son mari et cet ami agissaient de connivence avec son unité de travail et la police et l’ont kidnappée pour un stage de transformation. Cette pratiquante a pris conscience que la perversité avait profité de sa bienveillance, et de son sentiment envers ses parents et amis pour persécuter les disciples de Dafa. Donc, elle n'a pas cédé au sentiment humain, ni aux propos hypocrites des parents et amis soi-disant pour son bien,elle a utilisé sa croyance droite intrépide même en risquant sa vie pour prouver la Grande Loi, en même temps elle a utilisé la pensée droite et la compassion pour révéler l' action perfide de toutes ces personnes, éradiqué les facteurs pervers qui interféraient sur eux et les contrôlaient dans d'autres espaces, de ce fait toutes ces personnes ont reconnu rapidement leur comportement erroné, elle a été relâchée immédiatement du stage de transformation. Les complices dans cette affaire ont tous changé d'attitude vis à vis d'elle, l'ont traitée bienveillamment. En même temps qu'elle a obtenu sa libération, elle a libéré aussi les nombreux êtres liés à cette affaire.

Un disciple de Dafa est allé à Beijing pour prouver la Grande Loi, une fois arrivé, il n'arrivait pas à trouver un hôtel pour se loger, partout on luia demandé une pièce d'identité. En cherchant il a pensé :" Est-ce pour que je subisse un peu de souffrance ? Est-ce à cause de mon attachement ?" Ensuivant cette logique de pensée il a réfléchi pendant un certain temps,finalement il a trouvé que la cause ne venait pas de là. Puis il a pensé, je suis venu à Beijing pour prouver la Grande Loi, c'est l’affaire la plus sacrée et la plus droite dans l'Univers, tout doit être le meilleur et le plus droit,comment serait-il possible que je ne trouve même pas un endroit où me loger.Aussitôt qu'il a eu cette pensée, il a trouvé un hôtel convenable, qui ne demandait aucune pièce d'identité.

L'état d'esprit pur et bienveillant des disciples de Dafa peut faire fondre le diamant. Si dans notre pensée nous ne recherchons pas la souffrance,les épreuves, si nous ne "prenons pas la malpropreté pour le bonheur", alors chez nous se manifestera la majesté du Dafa. Car vous ne penserez plus que les gens qui vous frappent vous donnent en fait du De, mais qu'ils sont en train de persécuter Dafa ; vous ne penserez plus que les gens qui s’emparent de votre argent et de vos biens vous donnent en fait du De, mais qu'ils sont en train de faire intentionnellement du sabotage contre la grande Loi et ses disciples ; vous ne penserez plus que les gens qui vous jettent dans la prison vous donnent en fait l’occasion de faire le Xiulian, mais qu'il s'agit complètement d' une persécution visant la Grande Loi. C'est à dire qu'il faut considérer tous les comportements de la perversité sous l'angle de la rectification par la Loi, à savoir il ne faut laisser aucune lacune dans notre pensée dont la perversité puisse profiter, ni reconnaître tacitement aucune persécution de la perversité envers nous.

Au mois d'avril 2000, la perversité m'avait trompé et m’a conduit au centre de détention. Lorsqu'ils m'ont fait passer un interrogatoire, je n'avais aucun sentiment d'être interrogé, j’ai montré pleinement d’ cœur bien heureux tout ce qui est droit chez un disciple de Dafa. Et j'avais ma conscience maîtresse (Zhu Yishi) très lucide : je devais dans toutes les circonstances rectifier ce qui n'était pas droit. Lorsqu'ils m'ont demandé si j’étais venu ici dans le but d’élever mon niveau, et que nos élèves disaient que c’était là un bon environnement de Xiulian. Je leur ai répondu clairement :" Non, ce n'est certainement pas un endroit où moi, personne à l’esprit noble doit rester. Je suis arrivé ici par la duperie et le kidnapping, c'est une persécution absurde envers moi, ce n'est pas non plus le bon endroit pour que nos disciples de Dafa s'élèvent dans notre cultivation. j'espère que vous allez rapidement me relâcher." Lorsqu'ils m'ont demandé quel était mon contexte familial, je leur ai parlé de professeurs, de docteurs, de directeurs d’école dans ma famille, pour qu'ils sachent quelle catégorie de personnes pratiquent le Falun Gong, pour le dire clairement nous, les pratiquants de Dafa sommes des personnes talentueuses, nombre d’entre elles sont des élites, les principaux éléments dans la société ordinaire. Ce ne sont certainement pas des personnes à l'esprit vide apprenant le Falun Gong dans le but de combler ce vide. Après chacune de leurs paroles, je les ai conduit vers le droit chemin, j'ai utilisé ma croyance droite et ma conscience maîtresse puissante pour les guider, à la fin, ils ont tous été ému, leur regard a manifesté du respect, ils n'ont plus eu aucune pensée d'oser me persécuter.

Dans la cellule, lorsque j'ai vu que les prisonniers se bagarrer entre eux, je ne les ai pas critiqué, mais je leur ai parlé de la Loi (ou du principe) : " Si on réprime le mal par le mal, l'homme apprend le mal,parce que vous pouvez décharger sur les autres le mal qu'un autre vous a fait.Mais si on traite le mal en utilisant le cœur bienveillant, l'homme peut apprendre la bonté, cela lui permettra de connaître le bonheur dans l'avenir.Les policiers ont une fausse bienveillance tandis que dans leur cœur ils manquent de bonté, c'est pourquoi vous pouvez ressentir la méchanceté de leur part, ce que vous apprenez c'est toujours la méchanceté. C'est pourquoi la rééducation par le travail ne peut changer l'essence de l'homme, tandis que le Falun Dafa peut réellement changer un homme depuis son essence, peut conduire l'homme à s'orienter pour toujours vers la bonté, peut faire que l'homme inspire toujours le bonheur, et voit l'espoir du bonheur." Après m'avoir entendu, les prisonniers ne se bagarraient plus, ils pouvaient se comprendre mutuellement. Avant d’arriver dans le centre de détention, j'ai entendu beaucoup d'élèves raconter comment ils avaient fait connaître la Loi dans la prison, comme il était facile de cultiver dans la prison. Lorsque j'y suis allé réellement, je me suis demandé : comment cet endroit peut-il être un lieu où les pratiquants demeurent ! Partout on entend des grossièretés ; tous les propos et tous les comportements manifestent la vulgarité. J'ai parlé de la vérité sur le Falun Gong, je leur ai fait connaître la Grande Loi à travers ma propre cultivation et pratique, mais certains m'ont posé des questions dans le but de combler leur temps mort ; dans ce cas comment pouvais-je parler de la Loi comme d’une rengaine ? n’est-ce pas là outrager la Grande Loi. C'est pourquoi j'ai toujours gardé une compréhension rationnelle pour faire connaître la Loi aux prisonniers. En plus ce genre d'endroit malpropre n'est pas un bon endroit pour la cultivation des disciples de Dafa. J'ai eu une pensée très forte pour sortir de là et aller faire le travail que je devais faire pour le Dafa.

Dès que je suis arrivé, j'ai dit aux gardiens que je voulais pratiquer,ils ne m'ont pas donné de réponse, par contre ils ont ordonné au chef de la cellule de me surveiller. Je n'étais pas inquiet. J'ai profité plutôt des occasions où les gardiens dialoguaient, j'ai clarifié la vérité avec eux, j'ai parlé de l'essence de la cultivation et pratique dans le Dafa, par diverses voies j'ai brisé leur pensées et leur conceptions influencées par la perversité, rectifié tout ce qui n'était pas droit chez eux, éveillé leur côté bienveillant. Tout ce temps là je n'avais qu'une seule idée : utiliser un état d’esprit purement bienveillant pour dissoudre la perversité dans leur pensée. Souvent ils étaient plusieurs autour de moi ;du fait de mon état d’esprit heureux et du fait que je clarifiais bienveillamment sans cesse la vérité, leur côté bienveillant s’est aussi éveillé, ce qui a provoqué un changement chez eux. Même le policier considéré auparavant par les prisonniers comme le plus méchant, le plus cruel s’est transformé.  Il m'a dit : " quand c'est mon tour d'être de garde, je t'autorise à pratiquer 10 minutes, mais pas plus."j'ai dit : "ce n'est pas suffisant, dix minutes est tout juste suffisant pour commencer le mouvement." "Alors, quinze minutes." A-t-il dit. J’ai souri, car je savais que ce n'était pas la peine de négocier plus avant, il était de toute façon en train de changer, la promesse de quinze minutes ou d’une heure n'avait pas vraiment d’importance. Comme j’étais toujours souriant, le gardien m'a demandé de ne pas sourire devant les prisonniers, sinon il lui serait difficile de faire son travail. Je lui ai dit que c'est à travers ma cultivation dans le Dafa j’étais devenu une personne heureuse, c'était ma vraie nature. Comme j’étais toujours souriant en parlant avec eux, les prisonniers ont eu peur, ils ont pensé que j'avais une relation avec les policiers, car lorsqu'ils parlaient avec les policiers, ils devaient  tous baisser la tête, même le plus cruel des prisonniers devait faire de même ; qui oserait rire devant un policier ? Les prisonniers ont eu du mal à comprendre pourquoi les policiers me soutenaient pour la pratique des exercices.

Plus tard la direction a donné l’ instruction qu’ il fallait plus me surveiller, le gardien m'a demandé de ne plus parler de la Loi aux prisonniers.Je lui ai dit : " A condition que vous ne me le demandiez pas, je ne parlerais à personne." En fait je savais très bien que les gens sont curieux de nature, si vous ne leur parlez pas, ils vont venir vous parler. En plus la Grande Loi a sa nature majestueuse, il n'est pas convenable d’en parler comme d’une rengaine. Le gardien a donné l'instruction au chef de cellule : personne ne doit me questionner au sujet de Falun Gong. Je ne disais plus rien, en travaillant je pensais à la Grande Loi, mon visage étais toujours souriant. Pendant 18 heures de travail, je n'ai pas dit un seul mot,le visage restait toujours souriant. Le lendemain, le chef de cellule a rapporté au gardien : " Cet homme a vraiment une capacité de concentration, quand il ne parlait pas, personne d’entre nous ne pouvait parler." C'est vrai, je n'avais pas le sentiment d’être sous pression dans une prison ; j’étais très clair : je devais m'en sortir."

Mon cœur était tranquille comme une eau stagnante mais libre selon mon souhait, rien ne pouvait influencer mon cœur. J'ai dit aux prisonniers : "vous tous ne connaissez pas la durée de votre peine, mais moi, je maîtrise parfaitement la mienne. Il suffit que je prononce la phrase : "je ne pratique plus", et je serais immédiatement libéré, mais c'est justement parce que je ne prononce pas cette phrase que je suis resté ici." Mes propos et mes comportements ont gagné le respect des policiers et des prisonniers. Lorsque je pratiquais les exercices, personne n'intervenait, même les policiers l’ont vu, ils ne disaient rien.

Une soir, j’étais de garde. Comme il faisait chaud, j'ai agité l'éventail pour le chef de cellule et les prisonniers autour de moi. Hors de mon attente, le chef de cellule s'est levé en sursaut avec un air affolé :" Monsieur, il ne faut surtout pas agiter l'éventail pour nous, c'est contre la justice divine." J'ai cessé de le faire immédiatement, je ne prenais plus cette action comme un geste bienveillant que je devais faire.

Un mois plus tard, ils m'ont relâché. Au moment où j'ai quitté le centre de détention, le gardien n'osait pas m'approcher, car il était en train d'essuyer ses larmes. Le chef de cellule a regretté de ne pas m’avoir accompagné au dernier repas. Je lui ai écris les Jingwen du Maître dont je mes ouvenais.

Lorsque je suis retourné au commissariat de police, les policiers m'ont demandé d'écrire un compte rendu sur le Falun Gong, écrire pourquoi je pratiquais dans le centre de détention, pourquoi je parlais de la Grande Loi dans le centre de détention. Je savais très bien quelle était leur intention malveillante, donc je n’ai fait qu’écrire ma compréhension de la Grande Loi,pour le reste je n'ai point suivi leur exigence. Ils l'ont lu,  et ont dit que ça ne marcherait pas, ils m'ont insulté et m'ont menacé de me donner trois ans de rééducation par le travail. Ils m'ont rendu ce que j’avais écrit en me demandant d’écrire de nouveau. Dans ma pensée je ne suivais aucune de leur logique, il n'y avait rien venant de leur part que j'ai admis tacitement. Je pensais seulement que si je devais le refaire c'était parce que dans ce que j'avais écrit il n'y avait pas suffisamment de détermination, cela manquait de poids. Alors j'ai écrit au début de mon rapport : "je trouve que le Falun Dafa est la cultivation et la pratique de la plus grandiose Loi juste, qu'on ne peut rencontrer même après une éternité!" Et j’ai fixé tout mon esprit sur cette phrase, voilà ma réponse contre la perversité. Tout de suite ils m'ont relâché.

Au mois d'octobre 2000, les responsables du bureau 610 de notre province m'ont convoqué. J'ai parlé avec eux en ayant la croyance droite et la sagesse. Lorsqu'ils ont mentionné le nom de notre Maître, je leur ai dit raisonnablement, paisiblement mais avec détermination : " vous devez absolument respecter mon maître, c'est le point de base de notre conversation,sinon, notre conversation ne pourrait pas continuer." Ils ont fixé leur regard sur mes yeux, ont vu derrière le calme ma détermination vis à vis de la croyance droite, ils ont donc changé leur façon d'agir. Bien que nous ayons parlé avec esprit et humour, en réalité nous avons joué au plus fin, chaque phrase manifestait le reflet de sabres, chaque mot tendait un piège. Ils ont parlementé pendant toute une journée, le but final était d’anesthésier ma conscience maîtresse, afin d'obtenir ce qu'ils voulaient. Mais dès le début je connaissais leur intention réelle, j’ai utilisé la sagesse donnée par la Grande Loi pour complètement dissoudre leur intrigue. Derrière les paroles apparemment calmes se cachaient en fait de nombreuses menaces, mais de ma bouche ils n’ont pu qu'entendre la croyance droite vis à vis de Dafa. A la fin ils n'ont pas pu trouver la faille, ni obtenir ce qu'ils voulaient. Je leur ai dit calmement:" Même s'il ne vous reste pas la moindre pensée bienveillante, ni une compréhension juste vis à vis de Dafa, nous, disciples de Dafa vous sauverons." Ils n’ont pu que me remercier.

Plus tard je suis allé chez une pratiquante dans une autre province,son mari est un directeur de recherche dans un domaine scientifique, aussi directeur des étudiants en doctorat. Après avoir lu mes expériences de cultivation et de pratique, il avait de l'estime pour moi. Il m’a laissé son bureau (son cabinet de travail), grâce à ça, j'ai pu écrire tranquillement de nombreuses expériences de ma cultivation afin de prouver la Grande Loi. Tandis que lui dormait dans la petite pièce mal aérée, et écrivait là-bas un plan de recherche dans son domaine scientifique. Beaucoup de pratiquants ne comprenaient pas : " c'est incroyable, lorsque nous sommes allés chez lui,il s'est montré mécontent, nous tous sans exception avons logé dans la petite pièce. Pourquoi te traite-t-il aussi amicalement, il t'offre même ce qu'il y a de mieux pour lui." A ma compréhension, lorsque tu montres à quelqu'un les aspects rationnels, sages, harmonieux d'un disciple de Dafa et la majesté de Dafa, un respect envers Dafa va naître chez cette personne. S'il a eu une attitude bienveillante envers moi, c'est parce que la sagesse et la majesté du Dafa se manifestaient chez moi. Bien que je ne connaissais rien de son domaine scientifique, j'ai utilisé la sagesse que Dafa m'a donnée, sous de multiples angles pour l’ aider à réfléchir dans son domaine scientifique. Je lui ai dit :" Professeur, je ne connais rien de votre domaine scientifique, mais je suis sûr que même votre étudiant en doctorat n'arrive pas à avoir une compréhension aussi profonde, , même vous-même vous n'avez pas un esprit aussi large, cependant toute ma sagesse provient de la Grande Loi." J’ai plaisanté : " professeur, vous auriez dû me donner un diplôme de doctorat." Il a souri, et m'a dit qu'il allait étudier sérieusement le <<Zhuan Falun>>.

(Ecrit par une particule de Dafa en Chine continentale)