(Minghui.org)

Dans une ville de la province de Jilin vivaient deux sœurs, toutes deux pratiquantes dévouées de Dafa. Pendant la deuxième moitié de l’an 2000, alors que la perversité arrivait à son apogée dans les camps de travaux forcés, la sœur aînée, emprisonnée, maintenait des pensées droites très fortes et persévérait dans sa pratique de Dafa. Malgré les cruelles techniques de lavage de cerveau qui lui ont été appliquées, la police n’a pas réussi à la soumettre ou à la faire changer d’avis même légèrement. Durant les derniers jours de sa captivité dans le camp, elle a réalisé ce fait – dans toutes les circonstances, si les pensées droites sont activement maintenues, les éléments pervers seront enlevés. Sa croyance a été démontrée quand elle est sortie noblement du camp de travail, juste quelques jours après avoir protesté par une action juste, une grève de la faim. Après avoir quitté le camp, elle a repris avec audace la direction d’activités de rectification de la loi encore une fois. Sa sœur était aussi sur une liste noire parce qu’elle avait fait appel à Beijing auparavant.

En mai 2003, dans la ville où habitaient les deux sœurs, une opération a été planifiée par la police pour ramasser 60 ou 70 pratiquants de Falun Gong et les envoyer dans des classes de lavage de cerveau. Juste avant que l’opération n’ait lieu, quelqu’un a rapporté qu’il avait vu les deux sœurs distribuer des documents de Dafa clarifiant la vérité dans un village proche. Suivant cette piste, la police a immédiatement envoyé une équipe pour les arrêter. Sans perdre de temps, les deux sœurs ont immédiatement clarifié la vérité au chef de police dans un certain poste de police, qui a tout simplement refusé de les écouter. Les deux sœurs ont été directement envoyées dans un centre de détention et juste avant d’entrer, la sœur aînée a souri à l’officier en chef et a dit : « Regardez simplement, dans quelques jours, vous allez nous renvoyer chez nous de la même façon que vous nous avez envoyées ici. »

En détention, les deux sœurs ont commencé une grève de la faim pour protester. La police a alors décidé de plutôt les envoyer dans un camp de travaux forcés. Sur le chemin, les deux sœurs ont continué à leur clarifier la vérité et leur ont rappelé en même temps que le bon est récompensé et que le mal allait au devant de rétributions karmiques. Alors en arrivant au camp de travaux forcés, l’officier aux admissions, se souvenant des deux sœurs, dont les pensées et actions droites avaient déjà une fois intimidé tous les officiers du camp, a refusé de les admettre. Il a mentionné toutes sortes d’excuses pour les rejeter, il a insisté sur le fait que les deux sœurs étaient trop malades et pas assez en forme pour rester au camp. Malgré toute sa force de persuasion et son sentiment de dégoût, le chef de la police a dit à l’officier du camp : « A partir de maintenant, je ne vais plus envoyer un seul pratiquant de Falun Gong dans votre camp. »

En ramenant les deux sœurs à la ville, le chef de la police a dit aux sœurs : « Faites ce que vous voulez à partir de maintenant (il sous-entendait de distribuer des dépliants clarifiant la vérité), du moment que ce n’est pas en ma présence. Pour vous arrêter les deux cette fois-ci, nous avons dû dépenser des centaines de yuan. Qui va payer pour cette dépense ? » La sœur a rigolé : « Ne nous arrêtez simplement pas la prochaine fois et tout ira bien. »

La conspiration à l’origine d’arrêter 60 ou 70 pratiquants ce mois-ci a été alors annulée, à cause des pensées et actions droites des deux sœurs. Depuis lors, il n’y a plus de pratiquants de Dafa qui ont été arrêtés dans cette ville.

Traduit en Europe le 6 décembre 2003