(Minghui.org)

Afin de forcer plus de personnes à renoncer à la cultivation pratique de Falun Dafa, les policiers pervers au camp de travail de Wanjia, ville de Harbin, province de Heilongjiang, emploient toutes sortes de moyens pour persécuter les pratiquantes de Dafa. Les diverses punitions cruelles employées par la police incluent des coups de pied, les claques, le prolongation des  périodes à rester debout, à s'accroupir, les coups avec les bâtons électriques et l’électrocution prolongée avec les bâtons électriques.

Quelques pratiquantes ont même été choquées avec dix bâtons électriques en même temps. La police a aussi utilisé les détenues criminelles pour battre les pratiquantes. Les pratiquantes de plus soixante cinq ans ne sont même pas épargnées. Les policiers les ont forcées à s’asseoir sur des chaises de fer, les ont éclaboussées d'eau froide, ont déchiré leurs chemises et ouvert des fenêtres pour les geler et puis elle  les a électrocutées avec des bâtons électriques. Avec le bâton électrique dans un main et un papier dans l'autre, la police forçait les pratiquantes à signer les prétendus « trois rapports » (la déclaration de garantie, la déclaration de repentir et la déclaration des dénonciations qui sont employées pour renoncer à Dafa.) Les pratiquantes refusant de signer les déclarations sont attachées et électrocutées pendant de longue période. Quelques pratiquantes sont devenues très faibles après avoir été torturées pendant longtemps. Quelques policiers hommes ont suspendu les pratiquantes et caressé indécemment leurs seins.

Les policiers dans le camp de travail de Wanjia ont également forcé les pratiquantes à passer un examen avec des questions calomniant Dafa. La police a prolongé la peine des pratiquantes qui étaient sur le point d'être libérées si leurs réponses ne répondaient à ce qu'elle attendait. Quelques pratiquantes ont été maintenues dans le camp de travail pour plus de trois mois, de plus que leur  terme.

La police a également tenu une prétendue  « la classe éducative avant la libération» pour les pratiquantes dont les peines étaient sur le point d'expirer. Excepté un bref moment pour se brosser les dents et prendre leur repas, ces pratiquantes ont été forcées de s'asseoir sur les bancs minuscules de 5h:00 du matin jusqu'à minuit. Quiconque désobéissait à la police, était suspendue et électrocutée avec les bâtons électriques. La police a aussi dit aux pratiquantes inscrites pour être libérée qu'une fois qu'elles seraient libérées, elles devraient dire à d'autres qu'elles étaient vraiment réformées [signifiant « avoir abandonné sa pratique de Dafa »] et qu'elles n'avaient pas été obligées de le faire. 

http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2003/3/10/33132.html

http://www.minghui.cc/mh/articles/2003/2/28/45446.html