5/3/2003

(Minghui.org)

Sous l'instigation « du bureau 610 » [un service créé spécifiquement pour persécuter le Falun Gong avec pouvoir absolu sur chaque niveau de l’administration du Parti et tous les autres systèmes politiques et judiciaires], le centre de détention de la ville de Hanzhong s'est servi du chef des prisonnières et des autres détenues pour persécuter inhumainement les pratiquantes de Dafa. Afin de forcer les pratiquantes de Dafa à trahir leur croyance, elles ont sévèrement battu les pratiquantes chaque jour, utilisant toutes sortes de méthodes différentes de tortures cruelles.

Quand les pratiquantes de Dafa  perdaient conscience d'avoir été battues, les gardes incitaient les détenues à leur verser dans le nez,  de l'eau mélangée des assaisonnements à nouilles instantanées et de poivre piquant. Elles continuaient à frapper les pratiquantes même après qu'elles aient repris conscience. Les gangsters ont aussi enfoncé des brosses à dents dans le vagin des pratiquantes pour leur causer des douleurs, les dégrader et les humilier. Une autre forme plus vicieuse de torture sexuelle a été quand des  prisonnières, encore sous l'incitation des autorités, ont forcé les pratiquantes à s'étendre  sur le plancher, puis d'autres prisonnières en ligne,  les unes après les autres, chacune leur tour,  ont pressé douloureusement le bout des seins des pratiquantes. Ils appellent cette torture  « la traite » ce qui est tellement douloureux que les pratiquantes crient de douleur sans arrêt. Si l’une des prisonnières avec un peu de conscience ne veut participer, le chef des prisonnières intimidera d'autres prisonnières à l'attaquer, en utilisant la peur d'être, elles aussi,  torturer de même,  comme moyens pour les contraindre à torturer les autres. Les mamelons d'une pratiquante de Dafa de 50 ans ont été pressés à un point tel qu'ils saignaient. C'est tellement  tragique que c'est  insupportable à voir.

Le soir, pendant qu'elles regardent la télévision diffusant des programmes qui diffament Dafa, elles forcent les pratiquantes de Dafa à s'asseoir très droites et elles ne leur permettent pas de bouger ou de clignoter des yeux. Quelques gangsters observent les pratiquantes. Si les pratiquantes bougent ou clignotent leurs yeux, elles tirent sur leurs paupières, sur leurs cils, leur tortillent les  oreilles ou leur claquent le visage, elles leur frappent la tête, ou leur donnent des coup de poing et des coups de  pied. Quand les pratiquantes de Dafa sont torturées jusqu'à ce qu'elles s'évanouissent, la police d'instruction entrent dans la salle et prétend condamner celles qui les ont battues. Ensuite, les prisonnières disent toujours d'un air désinvolte: « On dira que vous vous êtes suicidées si on vous bat à mort. Votre mort n'a pas de sens ».   Avec cette attitude, elles frappent les pratiquantes plus violemment encore. Une pratiquante a été battue et a eu des bleus  partout sur le corps, même   « le bureau 610 » a eu peur qu'elle ne meure dans le camp de détention. Il a alors ordonné à  sa famille de payer un cautionnement de 1000 Yuan [la devise chinoise, le salaire mensuel moyen pour un ouvrier urbain chinois est environ 500 Yuan] et de la ramener à la maison ainsi les autorités ont pu éviter d'être tenues responsables de  son état physique.

Sous les ordres  « du bureau 610 », les autorités du centre de détention de la ville de Hanzhong ont concertés les efforts de toutes leurs détenues pour les aider dans leur persécution vicieuse  et cruelle contre les pratiquantes de Dafa; les prisonnières sont rassurées, en reconnaissance, d'avoir  le grand support des autorités. À moins qu'elles ne renoncent à leurs vicieux moyens et arrêtent de persécuter les pratiquantes de Dafa, la police perverses et les gangsters qui suivent leurs ordres rencontreront le châtiment karmique sous le principe céleste que  « le bon sera récompensé par le bon et le mal par le mal ».

Nous espérons que tous les pratiquants de Dafa émettrons la pensée droite pour éliminer complètement tous les facteurs pervers dans les autres dimensions qui contrôlent « le bureau 610 » de Hanzhong et le centre de détention.

P.S.: Un rapport de persécution de quelques pratiquants de Dafa dans la ville de Xianyang, ville de Xian, province de Shaanxi

Ma Minghai, un pratiquant de Dafa de la ville de Xianyang, province de Shaanxi, a déroulé une banderole sur la Place Tiananmen à la fin de l'année 1999. Il a été illégalement condamné à 3 ans dans un camp de travail forcé et a souffert de nombreuses tortures. Bien que son terme soit échu depuis  un certain temps, il a été illégalement prolongé pour une autre demie année. Sa sœur et sa belle-sœur ont été kidnappée à leur maison en janvier 2002. Malgré que leur famille ait recherché partout, elles n'ont pu obtenir aucune nouvelles d'elles. Cependant, nous venons tout juste d'apprendre  que Wang Dailey, sa belle-sœur, a été persécutée à mort par la police du comté.

Ren Liping, une pratiquante de Dafa de la ville de Xianyang, province de Shaanxi, a rendu visite à un pratiquant et a été rapportée par un membre de la famille de ce pratiquant. La police a confisqué la maison de Ren Liping et lui a volé 6.000 Yuan dans sa maison. Ren Liping a été illégalement condamnée à 3 ans dans un camp de travail forcé.

Lui Aiying, une pratiquante de Dafa de la ville de Xian, province de Shaanxi, a été renvoyée à sa maison alors qu'elle était presque morte des tortures subies aux mains de la police perverse de Xian. Juste quelques jours plus tard, elle a été kidnappée à  sa maison et illégalement condamnée à 3 ans dans un camp de travail forcé.

Sun Yuncheng, un pratiquant de Dafa de la ville de Xian, province de Shaanxi, a été forcé de quitter de sa maison, son épouse et  son fils. Il ne sait pas où son épouse est maintenant. Nous avons appris que la police de Xian a ordonné l'arrestation de son épouse et qu'elle ne la libérera pas.