Par un pratiquant de l’Amérique du Sud

Le 18 février  2003

(Minghui.org)

Un jour, quelques pratiquants ainsi que moi-même avons rencontré deux chinois qui travaillaient au Consulat chinois. J’ai saisi l’occasion de leur clarifier quelques faits sur la vérité. Après avoir écouté pendant un certain temps, ils ont dit: « Nous connaissons déjà la vérité. Même si nous travaillons pour le Gouvernement, nous vous comprenons».  Ensuite ils ont ajouté:       « Nous avons déjà cette littérature, conservez vos documents pour sauver d’autres personnes du peuple chinois.»  Je leur ai dit que la persécution était étendue maintenant jusqu’à l'étranger et que récemment un  pratiquant de Falun Dafa américain, M. Charles Li avait été enlevé en Chine. L’un d’eux voulait parler davantage sur le sujet, tandis que l’autre voulait partir, comme s’il avait peur d’en parler plus. À celui qui voulait continuer la conversation je lui ai donné un CD de Dafa contenant la musique Pu Du. Il a accepté sans hésiter.

Une autre fois nous avons essayé de clarifier les faits à un chinois d’une cinquantaine d’années sur une rue dans le Chinatown. Il a crié et il hurlait très fort à notre sujet. Néanmoins, mon cœur s'est rempli de compassion pour lui et j'ai envoyé  des pensées droites pour éliminer les éléments mauvais qui se cachaient derrière lui. Il a alors accepté la littérature  de clarification des faits   et le CD que je lui ai donnés. Nous nous sommes  rencontrés l'un l'autre une semaine plus tard. Bien qu'il ait feint  ne pas me voir, il a marché vers moi après un moment et il a dit: « N'êtes pas vous effrayé ?» Je souris et je lui ai demandé: « Mais, de quoi aurais-je  peur ?  Avez-vous lu la littérature ?»  Il n'a rien dit et il a quitté rapidement. Plus tard, je l'ai vu jeter un coup d’œil sur des pratiquants faisant les exercices. Il est revenu plusieurs fois après, toujours se cachant en arrière et nous regardant tranquillement faire les exercices. J’ai senti combien sa vraie nature aspirait connaître Dafa.

 Une fois un jeune homme en marchant tout près  a pris quelques prospectus de clarification de la vérité. Il est retourné peu de temps après et puis nous a observés, à  faire les exercices. Alors, il m’a dit : «Vous êtes tous de bonnes personnes.» Il a lu les mots à haute voix: « Vérité, Compassion,   Tolérance ». De mon cœur, je lui ai bien souhaité ce qu’il y a de mieux  pendant que  je l'ai observé s’éloigner.

TRADUIT AU CANADA LE : 3/7/2003