(Minghui.org)

Au début de novembre 2002, le Centre de réhabilitation pour droguées de la ville de Harbin, province Heilongjiang, a changé sa stratégie de longue date qui consistait à « laver le cerveau » des pratiquantes du Falun Dafa qui étaient emprisonnées à cet endroit, pour de la persécution physique - torture - pour celles qui étaient déterminées. Ce qui suit sont les méthodes de persécutions physiques le plus souvent utilisées :

1.     Privation de sommeil : Les pratiquantes sont menottées à des barreaux de métal, accroupies pendant de longues durées. Ceci est utilisé souvent pour les pratiquantes qui refusaient de renoncer à leur croyance, qui ne suivaient pas les consignes, ou qui écrivaient des déclaration solennelles pour résister au lavage de cerveau. Cette punition dure des heures et certaines pratiquantes sont restées ainsi pendant 10 jours. Souvent, cette persécution est répété à maintes reprises. Voici une énumération des pratiquantes qui ont été torturées de cette manière, avec leur âge et durée de torture.

2.     Wang Guixiang (plus de 50 ans, 2e terme en camp de travail), plus de 10 jours; Din Hongjuan (plus de 30 ans), plus de 10 jours; Lui Shengkun (plus de 30 ans), plus de 10 jours; Gao Shuyan (plus de 30 ans), 9 jours; Gao Xiurong, premièrement attachée à une chaise en métal pour 8 jours ensuite menottée pour plusieurs jours; Yang Ruiqin (plus de 50 ans), forcée de s’accroupir de 6h à 12h chaque jour jusqu’en 2003 (elle a tenue une grève de faim pour plus de 20 jours- sa situation présente n’est pas connue). Les autres pratiquantes qui ont été menottées pour des heures sont Li Hongxia (plus de 30 ans), Lu Shouhe (plus de 30 ans), Zhang Guixiang (plus de 40 ans, menottée de 6h à 24h), Piao Yingjie (40 ans), Sun Xiumin (plus de 50 ans), Hao Xiuzhi (aussi plus de 50), Tian Yulan, Wang Jianhui (plus de 30 ans), He Lixia (plus de 30 ans), Ma Xiuqin (40 ans), Ma Shufan (plus de 30 ans), Yu Linqun (plus de 30 ans), Wei Jun (plus de 30 ans), Sun Yanchun (plus de 30 ans), Leng Xiuxia (plus de 30 ans), Lui Linghua (51 ans), Tang Zengye, Wang Lei, An Fenghua, Lui Qingping (plus de 50 ans), Shi Shuhua (48 ans), Guang Fengxia, Lu Lijuan ainsi que d’autres 

3.     Exposition au froid  Les pratiquantes sont dévêtie de leur manteaux lors de       l'accroupissement forcé. Elles n’ont droit qu’à un gilet et certaines n’ont que de       chaussons aux pieds. Elles sont placées dans un sous-sol froid et sombre avec les       fenêtres grandes ouvertes pour laisser entrer l’air froid d’hiver.

3.     Humiliation par coupe de cheveux : A 19h:00  le 3 novembre, le vice directeur Li Quanming donna l’ordre aux criminelles Ma Yufang et Zhang Shuling, qui se sont porté volontaires pour avoir une diminution de leur sentence, de couper les cheveux des pratiquantes en les  rendant le plus laid possible. Toutes les 40 pratiquantes qui ont été forcées de s’accroupir dans le sous-sol ont eu leurs cheveux coupés de cette façon par ces brutes.

4.     L’accroupissement forcé : Si les pratiquantes baissent la tête à cause de la somnolance, allonge les membres ou s’assoie par terre, ces mêmes brutes les tabassent immédiatement. Des gardiens pincent les muscles des bras des pratiquantes et mettent en équilibre  fréquemment un petit banc sur leur tête. Si le banc tombe, ils les battent en leur donnant des coups de pieds et en leur versant de l’eau froide sur leurs vêtements. Même les brutes Ma Yufang et Zhang Shulin ont dit :  « On ne trouve même plus de nouvelles places où frapper. »

5.     Privation des toilettes.

6.     Affamer : Chaque jour les gardiens fournissent que 2 repas, toujours en quantité insuffisante. D’habitude on donne à chacune la moitié d’un petit pain et un peu de soupe. Elles n’osent pas non plus trop manger ni boire à cause de la restriction des toilettes. Yang Ruiqiug, Zhang Guixiang et Li Hongxia ont mangé seulement 2 repas par jour pour une très longue durée de temps. Parce qu’elle a refusé de saluer le directeur, Li Hongxia fut menottée à une chaise en métal avec ses bras allongées pendant 7 jours.

7.     Sceller la bouche et couvrir les yeux : le 3 novembre, des agents de police, aidés par des  criminelles, ont bourré la bouche d’une pratiquante avec des guenilles et leur scella la bouche avec du ruban gommé. Le 16 décembre, ils ont bandé les yeux de Ding Hongjuan, Wang Guixiang, Hao Xiuzhi et Sun Xiuming et les ont enfermé dans une petite cellule du 2e  étage. Les gardiens ont ouvert les fenêtres pour laisser entrer le froid d’hiver. Les bouche des pratiquantes était scellé en tout temps sauf pour les repas.

8.     Décharge électrique après être trempé d’eau : Parce que Wang Guixiang a refusé d’écrire une déclaration d’abjuration, des gardiens l’ont traînée en montant les escaliers, lui enlevèrent son gilet et versèrent de l’eau sur son corps nu. Les brutes ont par la suite donné des décharges électriques à l’aide de baguettes électriques sur tout son corps, surtout près du coeur. Elle refusa de céder, même après beaucoup d’abus, donc elle a été remise dans sa cellule. Par la suite, elle n'a pu manger pendant  2 jours et elle  ressent maintenant toujours une douleur dans la région du coeur et ne peut pas marcher fermement; auparavant elle était en bonne santé physique.

9.     Forcer les pratiquantes à injurier le Maître : Quand certaines pratiquantes manifestent des symptômes d’affaiblissement sous la pression de la persécution, les directeurs les forcent de dire des jurons contre le Maître et d’écrire des déclarations d’abjuration. C’est dans le but de diminuer la volonté des pratiquantes.

10.  L’emploi de « collaborateurs » : Les collaborateurs (des anciennes pratiquantes du Dafa qui se sont retournées contre Dafa sous la  torture et les  pressions) infligeaient encore plus de douleur aux pratiquantes lorsqu’elles étaient torturées. Les pratiquantes résolues ont une prolongation de leur sentence, par exemple, celle de Wang Guixiang fut prolongé d’un mois et Ma Xiuqin de deux mois. Pour empêcher que les pratiquantes envoient la pensé droite suivant les heures prévues mondialement, les autorités de la prison ont confisqué leurs montres au printemps 2003, même que depuis octobre 2002 c’est interdit de fermer les yeux.

Traduit au Canada le 6/13/2003 de :