(Minghui.org)

Maître a dit: « Dans un article sur le site Minghui, une élève tout au long de son chemin parlait de la vérité de Dafa, elle criait : « Dafa est bon » quel que soit l’endroit où elle était emmenée, quoique les policiers mauvais disent je ne les écoute pas, aussi férocement que vous me frappiez ou m’injuriez, je fais de la même façon. Le camp de rééducation par le travail a eu si peur qu’il l’a renvoyée aussitôt : nous ne voulons pas d’elle. Car ils ont pensé : non seulement je ne pourrai pas la transformer, mais elle influencera un grand nombre de personnes, (le public rit) en plus ils n’auront pas de primes. (Applaudissements). N’ayant aucune solution, où le commissariat pouvait-il la mettre ? N’ayant aucune solution, ils la renvoyèrent chez elle. » (Enseignement de la Loi et explication de la Loi lors de la Conférence de Loi du New York Métropolitain)

Récemment, j’ai vécu quelque chose qui m’a fait réaliser que le Dafa peut renforcer mes pensées droites et j’ai réalisé comment sérieux le Dafa est. J’ai encore une fois ressenti la puissance du Dafa sur le chemin du xiulian. J’ai compris profondément un sens complexe du passage de Loi ci-haut. Aussi bien que nous fassions les choses selon les critères du Dafa, nous serons capables de rejeter les arrangements des anciennes forces et serons capables de traverser chaque situation difficile.

C’était le 27 juillet 2003. A ce moment-là, je n’étais pas assidu dans mon étude de la Loi. J’avais encore beaucoup d’attachements, il y avait beaucoup d’interférences dans mon esprit et j’avais aussi un sentiment de regret pour les arrestations des autres pratiquants. Dû à toutes ces lacunes, la perversité a facilement pris avantage de moi. L’après-midi du même jour, plus d’une douzaine de policiers du poste de police local et du département de police du comté, ont cambriolé et fouillé des maisons de pratiquants de Dafa et ils ont arrêté quatre pratiquants. Trois d'entre eux ont pu s'échapper grâce à leurs pensées droites, mais l'un d'eux fut détenu. Les incidents suivants ont eu lieu à ce moment-là.

Avec des pensées droites à l'esprit, les policiers n'ont pas pu m'emporter.

Quand plus d’une douzaine de policiers sont arrivés chez moi, mon épouse et moi avons commencé immédiatement à leur clarifier la vérité. Ils ne voulaient même pas écouter donc j’ai pensé que je devrais faire face à la perversité et aborder la situation avec des pensées droites. J’ai donc ajusté mon esprit, je me suis calmé et j’ai changé de passif en actif, pensant que personne ne pouvait me déplacer avec mes pensées droites. Mon esprit est devenu tranquille et je ne pensais à rien. Je ressentais ces policiers devenir de plus en plus petit. Ils voulaient nous emmener mon épouse et moi. J’ai dit que je n’irais pas avec eux, car je n’avais pas commis de crime. La police a dit que je n’avais pas le choix. Quatre personnes ont commencé à essayer de m’emporter de force, mais ils ne purent me bouger. Ils se sont donc préparé à me soulever pour m’emporter. J’ai crié : « Je ne suis pas allé contre la loi. Je ne suis pas incorrect. Vous commettez un crime quand vous êtes supposés d’être les souteneurs des lois. La constitution permet la liberté de croyance. Je ne suis pas coupable! » Mais ils insistaient pour m’emporter. J’ai émis la pensée droite et j’ai demandé au Maître de me renforcer avec des pouvoirs divins et ne pas leur permettre de me bouger. Les quatre policiers n'ont, bien sûr, pas été capables de m’enlever et ils m’ont posé à terre et sont partis.

Là le chef du « bureau 610 » a crié à haute voix: « Pourquoi est-ce que vous avez arrêté de le porter ? Envoyez quelques autres personnes de plus. » J’ai encore émis la pensée droite, pensant que peu importe combien de gens qu’il y aura, ils ne pourront pas me bouger. Six ou sept policiers sont devenus très fatigués et leurs visages étaient recouverts de sueur. Enfin, encore épuisés, ils ont pu, d’une façon ou autre, me tirer jusqu'à la voiture et essayaient de me charger en arrière de leur véhicule. Un groupe de policiers m’avaient emporté jusqu'à la porte et ils ont essayé de me pousser vers l’intérieur. J’ai continuellement émis la pensée droite, pensant que je n’entrerais pas dans la voiture et que je ne permettrais pas à la perversité de réussir. Tout à coup j’ai ressenti un choc sur ma tête et il y eu un bruit étrange qui est sorti de ma bouche, comme si je vomissais. Je suis tombé de la voiture mais je n’ai ressenti aucune douleur. J’ai émis la pensée droite à plusieurs reprises pendant que j’étais sur le sol. En voyant ce qui venait de se produire, les policiers sont devenus apeurés et n'ont pas oser continuer d'agir. A ce moment-là, les résidents de mon village sont accourus en disant que depuis que mon épouse et moi avions appris le Dafa, que nous étions devenus de bien meilleures personnes. Les gens ont commenté sur cette affaire, ce qui a effectivement supprimé la perversité.

Sous la protection miséricorde du Maître, mes pensées droites étaient puissantes et j’ai passé à travers.

Criant « Le Dafa est Bon » tout au long

Ce jour-là les policiers ont aussi emporté mon épouse jusqu'à la voiture. Mais rendu à ce point-là il y avait beaucoup de gens présents sur la scène. Ce qui suit, est l’expérience de mon épouse :

C’était juste comme ce que Maître a mentionné dans Enseignement de la Loi et explication de la Loi lors de la Conférence de Loi du New York Métropolitain, « une fois arrêtée je n’ai jamais pensé rentrer, arrivée ici je venais tout simplement ici pour valider la Loi. » Quand j’étais dans la voiture, j’ai crié: « Le Falun Dafa est Bon! » « Falun Dafa est la Loi juste! » « Ce n’est pas incorrect de cultiver le Zhen-Shan-Ren ! » Quand nous sommes arrivées au poste de police, ils avaient peur de m’accepter là-bas. En route à la ville, je continuais à crier « Le Falun Dafa est Bon! » aux gens sur la route qui passaient. Ensuite une pensée m’est venue à l’esprit : ce serait merveilleux si tous les gens ordinaires pouvaient entendre la vérité. Là un miracle est survenu : après avoir entendu des chants, les gens se sont rassemblés. Ensuite l’auto ne pouvait plus aller plus loin et le volant a arrêté de fonctionner. J’ai encore crié: « Le Dafa est bon, les reportages télévisés sont faux et trompent les gens. » Le chef du « bureau 610 » a eu peur que les mensonges soient exposées et il a essayé de couvrir ma bouche avec sa main mais n’a pas réussi dans sa tentative. Ils avaient vraiment très peur.

Ils m’ont envoyé à un centre de détention. Même le centre de détention a refusé de m’accepter. Ils m'ont donc envoyé à une prison. Je leur ai toujours clarifié la vérité et leur ai dit que les bons gestes sont toujours récompensés tandis que les mauvais actes sont toujours punis et je leur ai dit de ne pas persécuter le Dafa. J’avais planifié de crier « Le Falun Dafa est Bon! » à l’entrée. Le chef du « bureau 610 » m’a bloqué et m’a claqué sur le visage. J’ai donc dit: « Tu es coupable de battre de bonnes personnes. Je n’ai violé aucune loi. » J'ai continué d'avancer, les deux policiers tenaient mes bras sur les deux côtés. Ils ont utilisé leurs jambes pour essayer de me faire tomber. Non seulement je ne suis pas tombée, mais j’ai continué à avancer rapidement. C’était comme si rien ne pouvait m’empêcher. Quand j’ai vu les bureaux de la prison, j’ai encore crié « Le Dafa est Bon! » Une groupe de policiers est sorti et m’a menacé avec les mots « Arrête de crier. Si tu cries encore, nous te tuerons avec une balle. » Ils ont aussi utilisé de langage obscène et m’ont battu et donné des coups de pied. J’ai crié encore et encore : « Ce n’est pas incorrect de pratiquer le Dafa. Le Falun Dafa est bon. C’est un pêché terrible de persécuter le Dafa. » Un policier à la porte a pris mes empreintes digitales de force, mais je n’ai pas coopéré avec lui. Ils m’ont ensuite emportée dans une cellule. J’ai crié: « Le Dafa est Bon! » Après avoir entendu ma voix, les autres pratiquants qui étaient détenus dans le prison et les détenus criminels qui avaient appris la vérité ont crié tous ensemble : « Le Dafa est Bon! »

Dans le prison, j’ai refusé de porter l’uniforme et ne répondais pas à l'appel pour les présences. L’officier en devoir s’est fâché. J’ai émis la pensée droite plusieurs fois et j'ai refusé de boire ou de manger. La troisième journée, ils ont essayé à me nourrir de force. J’ai refusé absolument de coopérer avec eux; ils m’ont maudit et maudit.

J’ai récité:

Les grands Éveillés ne craignent pas l'amertume

Leur volonté est fondue de diamant

Aucun attachement à la vie ou la mort

Francs et purs sur le chemin de la rectification de la loi

(Pensée droite comportement droit)

Plus tard ils ont attaché mes bras et mes jambes pour me donner une transfusion.

Le cinquième soir, j’ai émis la pensée droite, demandant au Maître de me renforcer avec des pouvoirs divins. « Je ne devrais pas rester ici, je veux sortir pour prouver la Loi et sauver plus de gens prédestinés. » Quand la police a vu mon corps devenir très faible, ils ont fait venir les fonctionnaires du « bureau 610. » Ils m'ont regardé et ils ont demandé à la police de me relâcher immédiatement. Un policier a dit: « Tu as gagné cette fois-ci. » Je suis retournée à l’immense courant de la rectification par la Loi. Les résultats de ces incidents sont venus de l'imposante puissance de la Grande Loi (Dafa).

Le 21 août 2003

* « Bureau 610. » est une agence spécifiquement créé à fin de persécuter le Falun Gong, avec un pouvoir absolu sur chaque niveau d’administration dans le Parti et sur tous autres systèmes judiciaires et politiques.

Traduit au Canada le 14 septembre