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Le Canada dit "Non" à la propagande de haine – le vice-consul général chinois Pan Xinchun a été trouvé coupable de diffamation

17 février 2004

(Minghui.org)

Le 3 février 2004, la Cour Supérieure de l’Ontario au Canada est arrivée à un verdict dans le procès en diffamation contre Pan Xinchun, le vice-consul chinois, à Toronto. Le juge s'est prononcé en faveur du pratiquant de Toronto M. Joël Chipkar. La cour a aussi ordonné à Pan Xinchun, qui ne s’est pas présenté en cour, de payer des dommages encourus par sa diffamation.

Le 1er mai 2003, Pan Xinchun a publié une lettre dans le Toronto Star. Il a trouvé des excuses pour le tentative de camouflage de la Chine sur SRAS. En faisant ainsi, il a employé des mots diffamatoires pour attaquer M. Chipkar et d’autres pratiquants du Falun Gong. Au mois d’août, un procès a été intenté contre Pan pour diffamation.

Le verdict de la Cour Supérieure de l’Ontario dans ce procès civil paraît simple. Cependant, ceci a une grande signification. Le demandeur est un citoyen canadien ordinaire, tandis que l’accusé est un fonctionnaire consulaire de Chine. Dans l’idéologie traditionnelle chinoise, ceci est une cause typique d'une « poursuite par un civil, d’un fonctionnaire du gouvernement». En tant qu’accusé, le fonctionnaire n’a pas osé se montrer en cour. C’est aussi le fonctionnaire qui a perdu la cause. Ceci est très significatif en lui-même. En tant que groupe paisible et bienveillant, le Falun Gong a été largement et sévèrement persécuté en Chine. Dans les pays occidentaux, cependant, les gens que ce soit les fonctionnaires gouvernementaux jusqu'aux gens ordinaires, ils sont sympathiques envers Falun Gong et l’aiment. Un tel contraste a attiré beaucoup d’attention.

Un avertissement aux diplomates qui incite la propagande de haine sous l’immunité diplomatique

Durant ce procès, selon les lois canadiennes, la diffamation de l’accusé contre le demandeur a été faite en violation de la Convention Internationale sur les Droits Civils et Politiques, à laquelle a adhéré le Canada, le 19 mai 1976. En refusant d’accepter les significations de la poursuite et de se présenter devant la cour, nous pouvons voir que le vice-consul chinois Pan Xinchun a peur que ses actions soient exposées. Ce verdict envoie un avertissement à ces diplomates qui incitent à la persécution, lesquels espérent utiliser l’immunité diplomatique pour se couvrir.

En Chine, diffamer le Falun Gong en public est devenu l’outil de propagande principal de Jiang. La « Vérité, Bonté et Tolérance » sont l’objet de diffamation sur les stations de radio et de télévision, dans les journaux et même dans les textes scolaires à l'élémentaire. Entre-temps, les pratiquants du Falun Gong sont privés de leur dignité et des droits humains les plus fondamentaux. Pour un simple appel, en disant « Falun Dafa est bon » en public, ou même pour avoir mentionné le Falun Gong dans des courriels à leur famille, cela est suffisant pour envoyer quelqu’un en prison et même les membres de sa famille peuvent en être affectés. En plus de l’emprisonnement illégal, les droits d’appel des pratiquants du Falun Gong et le droit de se défendre eux-mêmes leur sont enlevés. Les règlements qui séparent et brisent les familles des pratiquants sont des soi-disant « politiques » faites par Jiang à travers le Congrès Populaire. De telles « politiques » violent gravement la Constitution aussi bien que la Convention Internationale des Droits de l’Homme. Comme les médias occidentaux ont rapporté, après le début de la persécution, le régime de Jiang a créé des lois pour bannir le Falun Gong et les a appliquées rétroactivement pour emprisonner les pratiquants.

Le gouvernement canadien a déclaré clairement qu’il n’interviendrait pas dans le procès contre Pan Xinchun. Ceci démontre l’indépendance et l’impartialité du système jucidiaire au Canada. De plus, de plus amples efforts pour amener ces persécuteurs en justice sont aussi en cours au Canada. Selon les articles dans le Ottawa Citizen et le Vancouver Sun le 21 janvier 2004, « la GRC détient une liste de surveillance de 15 fonctionnaires chinois de haut rang, accusés de torture et d’opprimer les membres du mouvement spirituel du Falun Gong. Si l’un de ces fonctionnaires met le pied au Canada, le GRC « regardera » leurs actions criminelles suspectes. Le constable Nathalie Deschênes a dit : « Sous l’Acte de Protection de l’Immigration et de Réfugié, les candidats ne peuvent être admis au Canada s’il y a des bases raisonnables de croire qu’ils ont commis un crime contre l’humanité »... « La liste des accusés inclue Jiang Zemin, l’ancien président de la Chine de 72 ans et maintenant président de la Commission Militaire Centrale du pays, et Liu Qi, le maire de Beijing. »

La force dangereuse derrière la propagande de haine

Quelques personnes peuvent se demander comment le vice-consul général Pan Xinchun ose diffamer un groupe paisible de méditation et même d’attaquer publiquement un pratiquant du Falun Gong dans les médias occidentaux ? La raison que Pan ose faire ainsi est parce que diffamer et persécuter le Falun Gong, aussi bien que de produire la propagande de haine, sont devenu une « responsabilité » spéciale des diplomates chinois à l'étranger. On peut voir ceci dans le contenu et les liens sur leurs sites Web, des affiches diffamatoires à l’intérieur des ambassades ou consulats et du matériels qu’ils envoient aux VIP locaux, médias ou librairies communautaires. Ceci se voit dans les activités qu’ils organisent, y compris les soi-disant « délégués religieux » et « délégués culturels».

Cependant, de telles propagandes de haine et de persécution sont uniformément et fermement opposées dans les sociétés civilisées. Au Canada, une telle opposition vient non seulement des pratiquants du Falun Gong, mais aussi du courant principal de la société et des fonctionnaires du gouvernement. Après avoir reçu la propagande de haine de la Chine, plusieurs fonctionnaires ont vu à travers leurs mensonges et les ont dénoncés publiquement.

Qui est le prochain accusé?

En fait, si les gens savaient la provenance des mots diffamatoires de Pan, ils ne seraient pas surpris que Pan ose faire ainsi, sans peur.

En Chine continentale, après le 20 juillet 1999, plusieurs Chinois étaient fatigués de la persécution et des tactiques de propagande dans le style de la Révolution Culturelle. A la fin du mois d’octobre 1999, lorsque Jiang a été interview par Le Figaro, il a diffamé le Falun Gong publiquement. Le People's Daily, la machine de propagande officielle du Parti communiste, a étroitement répété la calomnie de Jiang et a fabriqué une soi-disant preuve de soutien au discours de Jiang. Cinq jours plus tard après la diffamation du Falun Gong par Jiang, le Comité du Congrès National de la République a approuvé. En ayant une résolution passéer par les gens du congrès, Jiang a fini d’établir une fondation pour justifier sa persécution et son génocide du Falun Gong.

Plus de 4 ans ont passé et Jiang continue de persécuter les pratiquants innocents sur une grande échelle au moyen du « Bureau 6.10 », utilisant la politique de « ruinez leurs réputations, mettez-les en faillite et détruisez les physiquement ». Il y a des camps de travail et des centres de lavage de cerveau tout partout à travers la Chine. Jiang a utilisé le quart des ressources économiques de la nation pour persécuter des dizaines de millions de pratiquants. En fait, à travers la persécution, Pan Xinchun est une personne qui a fait de mauvaises actions, mais il est aussi une victime. Le criminel ultime de la persécution est Jiang. Cependant, chacun est responsable de ses propres actions. Dans une société gouvernée par la règle de la loi, quiconque est impliqué dans cette persécution, quel qu’en soit la forme, sera tenu responsable.

Traduit au Canada le 15/2/2004