(Minghui.org)

Par un pratiquant en Chine

Dans une petite ville dans le nord de la Chine continentale, il y a un directeur d’usine qui a une bonne attitude à l’encontre du Falun Dafa et son usine fonctionne de mieux en mieux.

Il y a environ deux ou trois ans, cette usine n’allait pas très bien, tout comme les autres entreprises de la nation, les profits n’étaient pas bons et le moral était bas parmi les employés. Ces derniers venaient travailler en retard et rentraient tôt. Certains ne venaient même pas travailler. Le niveau de la direction principale voulait s’unir à d’autres usines ou encore la vendre. Dans cette situation, un certain pratiquant de Dafa (Nous allons le nommer ‘A’) n’a pas suivi le courant. Il a fait ce qu’il était censé faire. Il venait au travail régulièrement et était très exigeant envers lui-même à tous moments sous tous les aspects. Il n’arrivait ni en retard ni ne partait tôt, il s’occupait toujours du travail exigeant et sale et ne négociait jamais sur son salaire.

Toutefois, il a rencontré de l’opposition parmi ses compagnons de travail qui étaient fâchés avec l’usine. Ces compagnons de travail trouvait ‘A’ idiot. Il ne créait pas de problèmes pour la direction comme eux le faisaient. Ils croyaient que cela était leur droit de ne pas travailler puisque leur salaire était insuffisant. Cependant, d’autres compagnons de travail qui avaient le sens de la justice et tout particulièrement les dirigeants de l’usine, avaient tous silencieusement réfléchi dans leur cœur sur le rôle important que ‘A’ avait joué. Ils ont fait le commentaire suivant, « Ceux qui ont appris le Falun Dafa sont de très bonnes personnes. »

Plus tard, le pratiquant ‘A’ a été arrêté à deux reprises par le régime de Jiang Zemin dû à la persécution du Falun Dafa. Il a été envoyé dans un centre de détention. Le directeur de l’usine s’est rendu partout, a tout essayé et a demandé de l’aide aux autres par tous les moyens pour que ‘A’ soit relâché du fait qu’il était un si bon travailleur et qu’il avait fait une telle impression. Les directeurs se sont même rendus à la station de police et d’autres départements officiels du gouvernement pour demander de l’aide. Alors que ‘A’ était encore en prison, le directeur a commencé à s’en faire et est tombé malade. Sans même attendre que l’injection intraveineuse à l’hôpital soit terminée, il a continué à courir de tout côté essayant de trouver des moyens pour que ‘A’ puisse être relâché du centre de détention et il n’a pas cessé ses efforts avant qu’il soit relâché.

Après que ‘A’ ait été relâché du centre de détention il est retourné au travail comme à l’habitude. Mais à cause de la persécution fait par les autorités locales, ses tâches avaient été changées et son salaire mensuel avait baissé de 1700-1800 yuan (1) à 200-300 yuan. Après plusieurs mois, ‘A’ ne se plaignait pas puisqu’il prenait l’argent et la richesse légèrement. Mais le directeur était désolé pour ‘A’ et craignait qu’il quitte l’usine. Il a parlé à ‘A’ plusieurs fois pour le réconforter. Il a recommandé à ‘A’ encore et encore, « Tu ne devrais jamais délaisser Dafa, tu dois certainement continuer à pratiquer. » Le directeur de l’usine savait dans son cœur que Falun Dafa était bon. Il croyait que aussi longtemps que ‘A’ continuerait à pratiquer Dafa, il ferait tout son possible pour que ‘A’ ne quitte pas l’usine. Le directeur disait souvent aux autres, « Tout ceux qui ont appris Dafa sont bons! Si tous les travailleurs de notre usine apprenaient Dafa ce serait merveilleux! C’est malheureux qu’il n’y ait seulement que deux pratiquants ici! »

Parce que ‘A’ et l’autre pratiquant de l’usine clarifiaient souvent les faits concernant Dafa et répandaient les enseignements de Dafa à travers l’usine et aussi parce que le directeur louait souvent Dafa en public, les document de clarification de la vérité de Dafa pouvaient être envoyés à tous les gens de l’usine, du directeur à tous les travailleurs. Personne n’a dénoncé les pratiquants à la police.

Puisque le directeur traite bien Dafa et les pratiquants de Dafa, il a été récompensé avec de la chance. Alors que plusieurs autres usines de la ville ne se portent pas bien, cette usine a prospéré et ses profits économiques augmentent de jour en jour. Les clients viennent pour commander des produits dans un flot sans fin, les salaires des employés ont tous augmenté et le sentiment du public est également positif.

Une autre chose qui vaut la peine d’être mentionnée est que le directeur de l’usine n’avait pas un bon état de santé auparavant. Il prenait beaucoup de médicaments et était connu sous le nom de « panier à médecine »(2). À présent son état est très bon et il n’a plus besoin de prendre tant de médicaments.

(1)   yuan : Devise chinoise, le salaire mensuel d’un travailleur urbain chinois est de 500 yuan.

(2)   « panier à médicaments » : terme utilisé pour décrire quelqu’un qui prend toutes sortes de médicaments constamment dû à des maladies.

Traduit au Canada le 4 juillet 2004