(Minghui.org)

Le pratiquant de Falun Dafa Zhang Zhong de la ville de Daqing, province de Heilongjiang a été injustement arrêté au printemps de 2002 et condamné à douze ans de prison. Pendant les deux dernières années, il a été soumis à de telles tortures brutales qu'il a été sur le point de mourir à plusieurs reprises. Le 23 juillet 2004, on a permis aux membres de sa famille de le prendre à la prison de Daqing après qu'il ait été dans un coma et sous oxygène pendant trois jours

Après que Zhang Zhong ait été assujetti à des tortures brutales à la prison de Daqing, il est devenu sévèrement émacié et il est sur le point de mourir.

Pendant les deux dernières années, Zhang Zhong avait été assujetti à des tortures brutales qui lui ont presque enlevé la vie plusieurs fois. Les nouvelles de son état choquant se sont propagées instantanément à travers la prison. Ce n’est qu’un soluté par intraveineuse et le support de l’oxygène qui l’ont maintenu en vie et il était complètement comateux. Les nouvelles ont touché le cœur des gens.

En 2002, les pratiquants ont diffusé la vérité de la situation au sujet du Falun Gong avec succès sur le câble TV local dans la ville de Changchun. Après, les hautes gouvernementales de haut rang ont émis une alerte urgente d’« Étendre un filet au-dessus de toute la Chine » et trouver les responsables dans ce cas clé de clarification de la vérité au moyen du câble TV dans le nord-est de la Chine. Malheureusement, en avril 2002, les pratiquants de Falun Dafa, Zhang Zhong, Zhang Xingye, Li Hai, Sun Xinghe, Yao Bin, Jia Shenghui, et Jiang Derong ont été arrêtés.

Le 19 avril 2002, la police a dépisté et a arrêté Zhang Zhong. D’une voix forte, il a crié « Le Falun Dafa est grandiose! » Trois policiers lui ont serré le cou avec des ceintures de cuir et l’ont presque étouffé.

Zhang Zhong a été emmené au commissariat de police de la gare de la ville de Daqing et poussé sur une chaise en métal. Il a patiemment clarifié la vérité à la police et émis constamment des pensées droites. Le jour suivant, Zhang Zhong a été transféré au bureau spécial d'interrogatoire au centre de détention du district de SA. Deux policiers y avaient été postés là pendant longtemps au bureau d'interrogatoires. Ils utilisaient des techniques très humiliantes et brutales pour torturer les pratiquants de Falun Dafa. À la porte du bureau, les membres de personnel ont essayé de forcer Zhang Zhong à s'accroupir. Quand il a refusé, ils lui ont donné des coups de pied. Pendant l’interrogatoire, il a dû s'asseoir sur la chaise de métal. Un gros policier lui a donné des coups de poings au torse tellement dur qu'il a eu de la difficulté à respirer pendant longtemps. Le policier lui a également fouetté le visage avec une ceinture en caoutchouc.

 À ceux qui le torturaient Zhang Zhong a dit : « Nous sommes tous de bonnes gens, veuillez ne pas nous blesser si sévèrement, laissez-vous une voie de sortie! » Ses tortionnaires lui ont même mis un sac en plastique sur la tête jusqu’à ce qu’il suffoque. Par la suite de ces tortures à répétition, ils lui ont poussé des poivrons chauds et de l’ail dans le nez et ils ont enduit de poivre et de jus d’ail le sac en plastique et ils lui ont remis sur la tête. Pendant qu'ils essayaient de forcer Zhang Zhong à dévoiler son nom, un policier a dit : « Je persécute le Falun Gong. » Ils ont dépouillé Zhang Zhong de ses vêtements et lui ont versé de l'eau froide sur lui. Même si c'était un jour froid d'hiver en Chine nordique, ils ont alors ouvert toutes les fenêtres et portes et pointé un ventilateur vers lui. Zhang Zhong tremblait de froid. Les persécuteurs ont alors alterné en versant de l'eau chaude et froide sur lui.

Du début de sa persécution jusqu’à la fin, Zhang Zhong a expliqué rationnellement et paisiblement la vérité sur la persécution du Falun Gong à ses tortionnaires. À un certain moment, un policier a été si touché qu’il lui a enlevé le sac de plastique et lui a remis ses vêtements. Deux jours plus tard, le directeur du département de police du district de SA est venu vérifier leur progrès. Il a grondé les policiers pour ne pas avoir obtenu les résultats satisfaisants en deux jours et les a blâmés pour ne pas avoir utilisé assez de rudes tortures. Deux policiers ont été remplacés. Les deux nouveaux policiers ont refusé à Zhang Zhong l’usage des toilettes et ils ont adopté des techniques de torture extrêmement insidieuses tant mentalement que physiquement sur lui.

Lorsque ces techniques de torture ont échoué, le département de police de la ville de Daqing a transféré Zhang Zhong au bureau responsable des réprimandes des criminels. Les mains et les pieds de M. Zhang ont été enchaînés à une chaise en métal. Ce bureau est un enfer vivant dans le monde humain, rempli de la terreur et de mal. Des taches du sang des tortures brutales à long terme peuvent être vues sur les murs. Quatre policiers en vêtements noirs se tiennent debout là, avec des instruments de torture dans leurs mains. Un de ceux-ci pointa une flaque de sang par terre et dit, « Voyez ! Ceci est le sang qui a giclé de Zhang Xingye. Vous semblez être une personne raisonnable. Cela m’importe peu que le Falun Dafa soit grandiose, je suis l'un de chiens d'attaque de Jiang Zemin. Je fais quoi que ce soit qui m’est demandé et vous devez confesser. »

Voyant que Zhang Zhong demeurait silencieux, chaque officier de la police a sorti son instrument de torture. Premièrement, ils ont giflé Zhang avec des planches de bois jusqu'à ce que ses joues soient enflées et saignent et qu’il crache du sang. Alors ils l'ont fouetté avec un fouet en cuir, lui ont giflé les paumes des mains et la semelle des pieds avec les planches de bois, et ont gratté le dessous des pieds avec des brosses en métal.

Zhang Zhong protégeait le Falun Dafa, a protégé ses compagnons de pratique et n’a jamais coopéré avec les autorités en ce qui concerne la télédiffusion de la clarification de la vérité sur câble de TV.

Lors de la deuxième ronde de tortures, la police demandait : « .Est-ce que les pratiquants de Dafa fument ou boivent ? » pendant qu'ils lui collaient deux cigarettes allumées dans les narines et lui couvraient sa bouche de leurs mains. La police lui a même brutalement versé de l’alcool dans la bouche. Zhang Zhong, qui était menotté à la chaise en métal, a été torturé presqu’à mort. Ils l'ont torturé jusqu'à ce qu'il ait commence à vomir de la bile.

Même si plusieurs équipes de tortionnaires aient été remplacées et que diverses techniques ignobles de torture ont été employées pour essayer de détruire Zhang physiquement et spirituellement, il est resté immuable. Pour le tromper afin qu’il leur fournisse des détails au sujet de l'émission de TV sur câble, la police a dit : « Des pratiquants dans d'autres régions également ont réussi à clarifier la vérité à la TV, et ceux qui sont impliqués ont tous été arrêtés. Vous seriez mieux de vous confesser en premier, sinon vous serez mis à mort c’est certain. « Zhang répliqua : « Est-ce que la mort est si redoutable? Si toutes les régions ont clarifié la vérité avec succès à la TV, je mourrai sans aucun regret. »

Le directeur et son directeur adjoint du Département de la police de Daqing se sont rendus au site de torture et ont dit, « Puisqu’ il n’a pas peur de mourir, nous n’avons pas peur de l’enterrer. »

Zhang Zhong a répandu solennellement « C’est correct, je ne crains pas la mort, que pouvez-vous me faire? »

Les malfaiteurs lui ont trempé les pieds dans l’eau sur le plancher de ciment, ne lui donnaient pas la permission de se servir de la salle d’eau et l’ont forcé à uriner sur lui-même. Lorsque les autorités supérieures venaient pour une inspection, on lui séchait les pantalons. Trois ou quatre jours plus tard, des représentants de la police locale et du « Bureau 610 » (1) sont venus, un par un, pour interroger M. Zhang, mais il refusait toujours de coopérer avec eux. Six jours plus tard, ils ont envoyé Zhang Zhong qui n’avait ni mangé ni bu pendant 6 jours à l’hôpital pour le gavage, ce qui a eu lieu jusqu’à ce qu’il vomisse de la bile.

Le septième jour, Zhang Zhong a été envoyé au centre de détention. Durant l’examen physique au centre de détention on a trouvé que les fesses de Zhang étaient collées à ses vêtements et son chandail était aussi collé dans le sang. Zhang Zhong refusait toujours de coopérer avec les demandes de ses persécuteurs et ainsi l’interrogatoire a échoué complètement.

Zhang Zhong a tenu une grève de faim durant sa détention illégale, qui a débuté le jour de son arrestation. Chaque jour, quatre prisonniers le gavaient de 4 bouteilles de soluté mais il continuait de cracher ce qui lui avait été donné de force. Il a craché jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de bile. Après 4 mois et demi, Zhang Zhong a été torturé au seuil de la mort.

Les pratiquantes du camp ont commencé une grève de faim collective en protestation pour le manque de respect total de la vie de Zhang Zhong. Les appels justes et équitables des pratiquants de Falun Dafa outre-mer se sont fait également entendre fréquemment. Sous toute cette pression, le centre de détention avait fait application au Procureur et au tribunal de la ville à 3 reprises pour la libération de Zhang Zhong, mais les 3 requêtes ont été inhumainement ignorées.

Le 4 avril 2003, Zhang Zhong, qui s’était amélioré graduellement à un poids d'environ 68 kg (150 livres), a été injustement condamné à une peine d’emprisonnement de 12 ans, et a été transféré à la prison de Daqing. Dans l'équipe d’entraînement, la prison a essayé de peindre le mot, « prisonnier » sur ses vêtements. Il a refusé de vive voix. Le jour suivant, le chef de division a demandé, « Qui est Zhang Zhong? »; Il a répondu, « Je le suis » Le chef a demandé, « Pourquoi le mot ‘prisonnier’ n’est-il pas imprimé sur vos vêtements? » Il a répondu, « Parce que je suis innocent! » Le chef a répondu, « Si vous n'obéissez pas, nous le ferons de force» Zhang Zhong répondu sans se soumettre, « Si vous inscrivez ce mot de force sur moi, je prendrai des mesures pour protester! » En conséquence, le mot ‘prisonnier’ n'a pas été imprimé sur ses vêtements.

Par la suite , Zhang Zhong a été envoyé à la Division No. 3 et a été étroitement observé par quatre détenus. La police lui a demandé s'il pratiquait toujours le Falun Gong. Il a répondu, « Je le fais! » Chaque jour, il essayait de trouver une opportunité pour pratiquer le Falun Gong . Un jour, le chef de la division, Li Fangjie lui a demandé s’il pratiquant toujours le Falun Gong . Il a répondu, « Je le fais! »

Au mois de mai 2003, la prison encore une fois insistait pour faire inscrire le mot ‘prisonnier’ sur ses vêtements. Zhang Zhong continuait toujours immuablement à résister. Le chef politique de la division No. 3, Li Weinan, a donné l’ordre aux détenus de plaquer Zhang Zhong au plancher et de peindre le mot ‘prisonnier’ non seulement à l’extérieur de ses vêtements mais également sur les sous-vêtements.

Pour préserver la dignité d’un pratiquant de Falun Dafa, Zhang Zhong a commencé une grève de la faim.

Le chef politique, Li Nan, a donné l’ordre aux détenus d’enfermer Zhang Zhong dans une pièce strictement contrôlée et de l’asseoir sur l'armature d'une chaise de métal tournée à l’envers. Chacune de ses jambes a été attachée séparément à la chaise. Un bâton a été placé au-dessous de son anus et enfoncé péniblement. Ses mains étaient attachées derrière lui à un lit en métal. Li a hurlé : « Si vous n’obéissez toujours pas, nous vous pendrons un seau d’excréments ici pour empester la place! »

En voyant cette situation une autorité plus élevée acquiesça sa demande de ne pas inscrire le mot ‘Prisonnier’ sur ses vêtements et les tortures cessèrent. Zhang Zhong a alors recommencé à manger.

Le Jour de l’an 2004, le chef-adjoint de la prison Wang Yingjie et le chef-adjoint de division, Tian Xifeng, de la Division interne sont venus à la Division No. 3. Dès qu'ils sont entrés dans la salle de lavage de cerveau, Wang a demandé à Zhang Zhong pourquoi il ne portait pas un uniforme de ‘prisonnier’. Zhang a répondu : « Je n’ai commis aucun crime! » Tout en l’abusant verbalement ils sont entrés dans la cellule No.9 pour fouiller le lit de Zhang. Dans le vestibule, Tian a commencé à donner des coups de pied, battre et gifler Zhang. Il s'est vanté : « Je viens tout juste de vous torturer. Peu m’importe! Vous les pratiquants de Falun Gong vous m’appelez tout le temps pour me condamner! »

Quand ils sont arrivés à la cellule, ces personnes anarchiques ont tourné le lit de Zhang à l’envers pour fouiller partout. D'ici là Zhang se sentait si étourdi en raison des coups reçus qu'il a dû s’adosser contre le mur pour s’empêcher de tomber. Après fouille Wang Yingjie a emmené M. Zhang à la cellule numéro 8, où Tian Xifeng lui a commandé de se tenir au milieu. M. Zhang a refusé. Ils l’ont alors battu encore, et le corps de Zhang Zhong s’est balancé et alors tomba sur le lit.

Tous les détenus dans la cellule numéro 8 étions présents durant le tabassage. Après, ces personnes hors-la-loi l’ont emmené à la cellule No 9 .Ils étaient tellement exaspérés qu’ils ont tourné les lits de tous les autres détenus, disant que tous les autres détenus étaient impliqués à cause de lui. Ils ont également lancé et fracassé arbitrairement tous les bols des détenus, clamant que Zhang Zhong les compenserait pour leurs pertes. Quand ils étaient sur le point de partir, Wang avec arrogance et de façon triomphante a dit : « S’il refuse d'être reformé, d’admettre ses crimes, et de respecter la loi, nous reviendrons à n'importe quel moment » Ils ont menacé tous les détenus de garder une certaine distance de lui, afin d'exercer la pression sur lui d'une manière différente.

Puisque Zhang Zhong est juste, honnête, et bon, les détenus dans sa cellule ne lui en voulaient pas et lui ont plutôt montré leur sympathie et compréhension.

Le 15 janvier 2004, pendant les vacances du Festival du Printemps, le chef de division No.3, Li Fangjie a emmené Zhang Zhong au bureau des gardiens parce qu’il pratiquait les exercices de Falun Gong. Le chef de garde de la prison du numéro 6, Liang Shuyi, et gardien Yu Qingjiang étaient aussi dans le bureau. Ils ont fermé la porte. Li raillait Zhang : « J’ai entendu dire que vous pratiquez encore. Pourrez- vous jamais arrêter de pratiquer? » Zhang a répondu : « Non » Ils lui ont demandé encore : « Vous devez pratiquer? » Zhang a indiqué avec détermination, « Définitivement! »

Li s’est levé et a commencé à battre Zhang d'une manière violente, et les deux autres gardiens l’ont rejoint. Zhang Zhong a perdu conscience pendant le tabassage et ils ont dit qu'il feignait. Ainsi, Li a donné l’ordre qu’une aiguille lui soit apportée et il l’utilisa pour percer Zhang Zhong sur le front et les mains. Ils lui ont également donné des coups de pied dans l'abdomen, et ont alors appelé deux détenus pour le porter à la Division numéro 6. Dès lors, il a été détenu dans une cellule en solitaire dans l'équipe No. 6, et huit détenus ont été affectés pour le surveiller strictement.

Ce jour-là, le chef de garde de la prison du numéro 6, Liang Shuyi, est venu pour parler à Zhang Zhong : « Voulez-vous bien me dire sur la terre, ce que vous voulez faire? » Il a répondu : « Je veux pratiquer les exercices! » Lorsqu’il mangeait ce soir-là il a vomi du sang et les détenus ont immédiatement rapporté ceci. Lorsque Li Fangjie a entendu parler du vomissement de sang de Zhang Zhong, le lendemain il était extrêmement paniqué. Zhang Zhong a commencé à vomir tout ce qu’il mangeait. Le tour de ses yeux est devenu noir et il était très maigre. En apprenant qu’'il avait été battu, les membres de sa famille voulait le voir à tout prix, mais les fonctionnaires de prison ont seulement permis aux membres de la famille de lui parler au téléphone. Avant l'appel téléphonique, les gardiens ont intimidé M. Zhang, en lui disant : « Vous savez ce que vous pouvez dire et ne pas dire, n’est-ce pas? »

Pendant l'appel téléphonique, sans aucune hésitation, Zhang Zhong a dit aux membres de sa famille au sujet des coups reçus. Un mois plus tard, son père âgé a demandé de venir voir son fils et les vicieuses personnes ont encore paniqué davantage. Li Fangjie a donné l’ordre aux détenus d’emmener Zhang à l'hôpital pour traitement, mais préalablement, ils envoyé un gardien à l'hôpital pour offrir aux fonctionnaires de l’hôpital, un pot-de-vin. ce qui a eu comme résultat que le diagnostic de l’examen médical est soi disant "cholécystite." L’hôpital a menti, en disant qu'ils ne pouvaient rien voir dans l’estomac de M. Zhang. Après trois jours de « traitements » à l'hôpital, l'hôpital a refusé de fournir tout autre traitement, parce que Zhang Zhong osait pratiquer les exercices de Falun Gong à l'hôpital. De plus, les médicaments qu’on lui avait donnés n’ont eu aucun résultat. Ainsi, l'hôpital a refusé de le soigner davantage et Zhang Zhong a été ramené de nouveau à la Division No. 3.

En voyant son état empirer de jour en jour et que les fonctionnaires de prison ne voulaient pas vraiment lui fournir aucun traitement, Zhang Zhong demandé un stylo et un morceau de papier, et a écrit une lettre à Li Fangjie et aux fonctionnaires de prison, dans laquelle il disait : « , En raison de ma santé, i.e. je vomis tout ce que je mange, mon corps est froid, ma toux est souvent accompagnée d'une décharge sanglante, et ma santé globale empire à chaque jour, et en raison du refus de l’hôpital de la prison de me fournir un traitement médical je fais les trois demandes suivantes : (1) être libéré immédiatement de sorte que je puisse aller à l'hôpital pour traitement médical. (2) je veux voir les membres de ma famille en personne immédiatement. (3) bien que vous refusiez d'admettre que mon vomissement ait une implication quelconque avec les coups durs reçus – ce qui n'est pas très important en ce moment- il est important que je récupère puisque je ne veux pas mourir en prison sans aucune raison et explication claire. »

Le 28 février 2004, la prison a rapidement emmené Zhang Zhong à l'hôpital de la prison, où deux détenus ont été affectés à prendre soin de lui. L'hôpital lui a donné les injections quotidiennes de gentamicine (un antibiotique), essayant de traiter l'inflammation, de couvrir les actes brutaux du tabassage et causé par ses vomissements de sang. Ce n’est que quand ils voyaient que sa vie était réellement qu’ils occasionnellement lui donnaient des infusions par intraveineuses de glucose (solution de sucre) pour le maintenir en vie

En début avril, Zhang Zhong était sur le point de mourir. Son père et son épouse le visitaient en prison fréquemment, et ils ont demandé à la prison sa libération pour traitement médical. Sous la pression des voix droites de pratiquants d'outre-mer et la condamnation des bonnes personnes, le 8 avril, 2004, l’Administrateur adjoint Huang Zhiwei, de l’hôpital de la prison a ordonné aux autorités de la prison d’envoyer Zhang Zhong à l‘hôpital No. 4 de la ville de Daqing pour un examen médical. Ils ne voulaient pas que quiconque soit au courant de ceci et lorsqu’ils ont pointé le nez à la clinique externe de l’hôpital No. 4 ils étaient extrêmement nerveux craignant d’être aperçus soit par les pratiquants de Falun Gong ou les membres de la famille de Zhang Zhong. Le diagnostic de l’examen médical fut « paralysie de l’estomac.»Il n’y avait une motion dans l’estomac ([aucun mouvement péristaltique] et rien ne restait à l'intérieur. Le docteur a dit : « La seule chose à faire est de guérir lentement. Assurez-vous qu'il n'obtienne aucune nouvelle bouleversante et qu ‘il mange même s’il vomit». Zhang Zhong a été retourné à la prison après l’examen.

Le 9 mai, la vie de Zhang Zhong était encore en danger et il a été envoyé à la salle d’urgence de l'hôpital No. 4. Trois jours plus tard, le médecin en surveillance, Li Weinan a dit : « Sa situation est très urgente. Tous ses organes lâchent et tous ses muscles sont atrophiés. Une partie de son système nerveux central est paralysée, et son corps ne fonctionne plus, posant des problèmes de respiration, ainsi que de l’arythmie. Il est en danger de mourir dans son sommeil à tout moment. Il doit recevoir les injections quotidiennes de potassium pour maintenir un battement régulier de son cœur » On a retourné Zhang Zhong à la prison à nouveau. Il était souvent dans un sommeil léthargique pendant de longues périodes de temps, et sa tension artérielle planait fréquemment entre 40 et 50.

Le 9 juin, Zhang Zhong était léthargique jour et nuit, sans être conscient, et il ne pouvait rien manger. Trois lectures de tension artérielle, prises le matin, le midi, et le soir indiquaient une pression extrêmement basse Les administrateurs de la prison de Daqing l'ont alors envoyé à la salle d’urgence de l'hôpital du peuple de la route de Ranghu. Après sept jours et nuits de soluté sans arrêt, Zhang Zhong était finalement hors de danger. Néanmoins, ils l’ont retourné à la prison encore une fois.

L'après-midi du 23 juillet 2004, Zhang Zhong a été libéré de la prison et envoyé à sa famille, après une fièvre et un coma de trois jours consécutifs. Ceci s'est produit en dépit de sa thérapie d'oxygène. Les administrateurs de prison ont eu peur d’être tenu responsables s'il mourait en prison.

Actuellement, avec un effort mondial de gens droits et justes et des compagnons pratiquants, Zhang Zhong, qui a touché tant de personnes de bon cœur autour du globe, est de retour dans sa famille. En voyant leur fils autrefois jeune et en santé qui n’a seulement que la peau et les os, ses parents âgés ne peuvent le supporter et pleurent.

Zhang Zhong pourrait mourir à tout moment, mais son unité de travail refuse de payer son traitement médical et les persécuteurs de prison n'ont fourni aucune compensation. Ses parents ont demandé de l'aide et ont voulu l’emmener à un autre endroit pour traitement médical, mais les gens du bureau de sécurité de son unité de travail ne leur ont pas permis de faire ainsi, et n'ont donné aucune explication. Ce n’est seulement qu’après que son père a clamé qu'il porterait son fils sur son dos à son unité de travail et les laissés transiger avec cette situation que le bureau de sécurité a laissé tomber.

Les autorités de la prison de Daqing considèrent la vie comme insignifiante. Zhang Zhong a eu « la paralysie de l’estomac » pendant 6 mois et a vomi tout ce qu'il mangeait. Sa vie a été en danger à maintes reprises Mais les fonctionnaires de prison ont néanmoins suivi des ordres mauvais de Jiang Zemin « Battre [ des pratiquants de Falun Gong] à mort, n'est rien et peut être comptés comme suicide, " ont refusé de le traiter, et ont refusé de le libérer. Ils se sont tenus là à attendre sans aucune sympathie humaine. C’est seulement lorsque Zhang Zhong a été torturé au point de devenir un simple squelette et qu’il ressemblait à un mort et seulement quand les médecins ne pouvaient plus l’aider, qu’ils l'ont finalement laissé à sa famille. Que veulent-ils donc faire? Ils ne peuvent pas échapper à la responsabilité si quelque chose arrive à Zhang Zhong et à sa famille

En ce monde d’aujourd’hui, l'humanité devient plus civilisée. Pourtant en Chine, une terre avec une histoire de cinq mille ans de civilisation, de telles atrocités ont lieu, où la vie n'a aucune valeur, les droits de l'homme sont ignorés, et les lois sont piétinées. Les gens qui connaissent la vérité font preuve de sympathie juste et d‘indignation droite .Ceux qui connaissent Zhang Zhong -- ses voisins, parents, camarades au travail , personnel médical, prisonniers, et policiers au comportement bienveillant-- sont tous inquiets pour sa vie et touchés par son âme ferme et immuable. Il a risqué sa vie pour confirmer la vérité sous une énorme dictature de pouvoir. Les gens espèrent que cette persécution et cette catastrophe nationale cessent immédiatement. Une telle tragédie comme le cas de Zhang Zhong ne doit plus se reproduire!

Actuellement, presque 70 pratiquants sont tenus dans la prison de Daqing. Ils souffrent tous les tortures inhumaines, semblables à ceux dont a souffert Zhang Zhong. Nous invitons instamment les personnes consciencieuses au coeur droit autour du monde, tous les organismes mondiaux des droits de l'homme, et l'organisation mondiale d’enquête sur la persécution du Falun Gong de surveiller étroitement la torture et le massacre fous ayant lieu à la prison de Daqing et d’aider ceux qui sont illégalement détenus pour qu’ils obtiennent leur liberté aussitôt que possible !

Les pratiquants de Dafa qui sont actuellement détenus dans la prison de Daqing sont notamment :

Zhang Xingye, Dai Zhidong, Zhu Hongbing, Li Hai, Yu Yongquan, Yao Bin, Jiang Derong, Sun Xinghe, Jia Shenghui, Wang Mingkui, Cui Hongyi, Zhong Zhaoqin, Xu Mingsheng, Zhai Zhibin, Guan Zhaoqi, Zhou Guochen, An Xing, Wang Hongde, Li Lizhuang, Bi Yunfei, Ni Hongkui, Xu Jinglin, Li Ronghong, Jiang Nianxiang, Zhang Zhi, Liu Zhucai, Jin Sheng, Zhao Yu'an, et Wang Yunfeng

Les pratiquants de Dafa transférés de Harbin à la prison de Daqin sont notamment:

Wang Yudong, Wang Shusen, Xia Yong, Bu Fanwei, Zhang Zidong, Cheng Yu, Zou Guoyan, Deng Qingshan, Zhang Yuliang, Yang Yizhong, Qiu Xuezhi, Zhang Xiufeng, Liu Fugui, Li Zhanbin, Cheng Peiming, Sun Tienong, Gong Haiou, Wu Chunwen, Sun Renhui, Zhang Jian, Sun Dianbin, Li Chengyi, Wang Mi, Li Huifeng, Chen Chunlin, Yuan Qingjiang, Chen Fukui, Zhao Qingshan, Liu Jingfeng, et Li Chao

Les personnes responsables pour la persécution de Zhang Zhong se trouvent sur le site de : http://fr.minghui.org/news/0408/22/E51218_20040810_fr.htm

Le 28 août, 2004

(1) « Bureau 610 » http://fr.minghui.org/news/0307/24/E38196_2003717_fr.htm]