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Les atrocités commises au camp de travaux forcés no.3 de la ville de Xuchang : Les pratiquants sont torturés et on les oblige à fabriquer des perruques pour une compagnie basée en Amérique (Photos : reconstitutions)

1 février 2005

(Minghui.org)

Le camp de travaux forcés no.3 de la ville de Xuchang, province de Henan persécute les pratiquants de Falun Dafa. Le directeur en chef est Yan Zhenye. Le directeur-adjoint était Qu Shuangcai, qui a été transféré pour être le directeur en chef du camp de travaux forcés pour femmes 'ShiBaili He', où il a mit en place une industrie de fabrication de perruques, forçant les pratiquantes là-bas à faire un travail encore plus atroce.

Le siège social de la Corporation de Production de Cheveux « Rui Beika » est en Amérique. Qu Shuangcai a changé son nom pour prendre celui de Qu Hongcai à son arrivée au camp de travaux forcés pour femmes de 'ShiBaili He'. Peu de temps après son arrivée, trois pratiquantes ont été persécutées à mort. Quand Qu est parti, le régime de Jiang Zemin a désigné le directeur adjoint du camp de travaux forcés pour femmes de 'ShiBaili He' pour le remplacer et pour maintenir la persécution. M. Liu, directeur du bureau des camps de travaux forcés de la province de Henan, s’est souvent rendu à ‘ShiBaili He’ pour diriger la persécution.

Ren Gaoqinag, chef du secteur éducatif ; Dong Jianchao et Li Xingjie, directeur et directeur adjoint de l'éducation et du Bureau de transformation ; Shi Baolong, chef de la troisième brigade ; le chef –adjoint de la troisième brigade ; Tan Junming, capitaine en chef ; Zhao Zhiming et Jia Zhigang, capitaines ; et Shen Jianwei, directeur politique sont tous très féroces dans leur conduite de la persécution.

Les pratiquantes Yao Sanzhong et Li Jian ont été torturées à mort. Wang Yukun a été battue et a eu la jambe cassée et Pang Liang a été torturée jusqu’à ce que son bras soit estropié.

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Torture: Cuire le mouton au complet

Les autorités de camp ont laissé torturer les pratiquantes lorsque la tromperie et la persuasion se sont avérées inefficaces dans la « transformation ». Beaucoup de pratiquantes immuables ont été torturées jusqu’au seuil de la mort en août 2002, mai 2003 et mars 2004. Il y a eu entre autres Wang Lei, une pratiquante de la ville de Zhoukou ; Zhao Yongzhong de la ville de Mengzhou ; Li Jingke de la ville de Tanghe ; Pang Liang de la ville de Jinzhou ; Yu Caiyun et Pen Hongyan du comté de Yuchen dans la ville de Shangqiu. Souvent, après avoir été gravement battues, leurs corps étaient meurtris et leurs yeux remplis de sang. Elles ont été à plusieurs reprises aspergées d'eau froide pour les obliger à rester éveillées et elles ont été soumises à l’humiliation des insultes verbales.

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Torture: chaise de servitude

Torture : Des pratiquantes ont été privées de sommeil et de la possibilité de se soulager. Pendant sept jours consécutifs, leurs chaises sont restées abondamment salies d'urine et d'excréments. Elles ont été frappées à coups d’aiguilles quand elles dormaient, giflées au visage, elles ont reçu des électrochocs, elles ont été piétinées, et on les a forcées à porter des écouteurs qui émettaient à un volume très élevé des programmes diffamant le Falun Dafa.

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Torture : corde de massacre

Les policiers Shi Baolong, Ma Huating, Tan Junming, Zhao Zhiming et Shen Jianwei exécutaient les tortures. Ils se servaient d’une fine corde de nylon pour attacher leur victime, tandis qu’un fonctionnaire lui saisissait les cheveux et l'a tenait par la gorge alors que les autres lui donnaient des coups de pied brutaux et la piétinait. Beaucoup de pratiquantes ne pouvaient pas se tenir debout après avoir été battues et ne pouvaient pas marcher pendant plusieurs mois. La fine corde de nylon pénétrait dans la chair. Les policiers brutaux marchaient sur leurs corps et serraient la corde à l’extrême limite. Après avoir attaché ainsi leurs victimes d’une demi-heure à une heure, ils relâchaient la corde puis la resserrait à nouveau, répétant ainsi leur manège des dizaines de fois. Ils frappaient également les pratiquantes à coups d’aiguilles, leur donnaient des électrochocs, les giflaient au visage et les aspergeaient d'eau froide toutes les fois qu'elles s’évanouissent. Les blessures de bien des pratiquantes n’arrêtaient pas de suppurer et elles ne pouvaient pas marcher normalement même après six mois.

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Torture: Enfoncer la brosse à dents dans l’anus

Lorsqu’un pratiquant était torturé, comme humiliation finale, on lui forçait la tête contre le mur et on lui enfonçait une brosse à dents dans l’anus jusqu'à ce qu'il saigne. On lui mettait également de force ses chaussettes sales dans la bouche, on le frappait à coups d’aiguilles, on lui donnait des chocs électriques, et on le battait cruellement.

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La Corporation de Production de Cheveux « Rui Beika » Ltd. de la province de Henan travaille avec les camps de travaux forcés pour exploiter le travail d’esclave des pratiquantes.

La Corporation de Production de Cheveux « Rui Beika » Ltd. de la province de Henan était débordée de commandes de production de cheveux pour perruques. De connivence avec les autorités du camp de travail, la société exploite les pratiquantes du camp de travaux forcés pour femmes de 'ShiBaili He' et les pratiquants du camp de travaux forcés no. 3 de la ville de Xuchang.

Quand la charge de travail est élevée, on oblige les pratiquants à travailler jour et nuit. Les camps de travaux forcés établissent des buts excessifs de production de sorte que les pratiquants doivent travailler environ 20 heures par jour. Ils forcent les pratiquants qui croient fermement en la « Vérité-Bienveillance-Tolérance » à travailler jour et nuit sinon ils les torturent. Si un pratiquant ne peut pas finir la tâche à l'heure, son séjour dans le camp est prolongé. Pour ceux qui ne sont pas « transformées » leur séjour est également prolongé. Le gouvernement a attribué à ce camp le titre de « camp civilisé de travaux forcés » et lors des discours de félicitations, trois pratiquants surchargés se sont évanouis sur place. Quand la question a été étudiée, les autorités du camp de travail ont menacé les détenus criminels pour les obliger à mentir à l'équipe qui faisait l’enquête. On leur a dit de dire que les autorités du camp « ne battaient pas, ne juraient pas, et payaient huit dollars par mois » Des pratiquants ont reçu l’ordre de mentir ou autrement ils pouvaient s’attendre à être férocement battus.