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Nos consciences doivent s'exprimer contre les crimes du PCC (photos)

18 janvier 2006 |   Écrit par He Yu

(Minghui.org)

Pour maintenir la persécution, Zeng Qinghong et Luo Gan, les cohortes de l'ancien chef Jiang Zemin encore au pouvoir du parti communiste chinois (PCC), ont utilisé des agents spéciaux et ont manipulé les départements juridiques et policiers pour effectuer une nouvelle série de persécution contre les pratiquants de Falun Gong. Ceci a commencé au mois d’août 2005. Ils ont arrêté un grand nombre de pratiquants. La torture violente, le meurtre des pratiquants et les violences sexuelles sur des pratiquantes sont répandus. En dépit du blocus de l'information, les décès de 49 pratiquants ont été confirmés pour les mois d’octobre et novembre 2005. Au moins 2 791 pratiquants sont morts lors de la persécution qui a été lancée par le régime de Jiang le 20 juillet 1999.

Ce qui suit sont certains cas brutaux rapportés au mois d’octobre et novembre. Ce n'est que le bout de l'iceberg des crimes commis par Jiang et son groupe contre les pratiquants innocents de Falun Gong.

Un certificat de décès publié pour une personne vivante

Le 25 octobre 2005, aux environs de 17h, dans le village de Nantao, agglomération de Chengliu, ville de Jiyuan, des policiers ont entouré la maison d'un villageois et un homme d'un certain âge a été arrêté. Le fonctionnaire cadre du parti du village a été forcé de signer un certificat de décès pour lui. Les policiers l'ont sauvagement battu à mort en route vers le crématorium. Deux jours après sa mort, ses yeux et sa bouche étaient encore grands ouverts et son corps et son visage présentaient les traces d'une agression brutale.

Le pratiquant Yuan Shengjun

Ce monsieur s’appelait M. Yuan Shengjun, un pratiquant de 42 ans de la ville de Jiyuan, province du Henan. Le 7 octobre 2005, il a été illégalement condamné par la cour locale à six ans de prison sans aucune preuve de crime. Pour protester, M. Yuan a fait une grève de la faim pendant plusieurs jours. Lorsqu'il était à l'hôpital du peuple, il est parvenu à s'échapper jusqu’au village de Nantao et a plus tard subi "une arrestation illégale" tragique et la mort.

Yuan Shenjun était un professeur, un avocat et un ingénieur. Il était directeur général adjoint d’un conglomérat et était directeur du bureau des produits de base de la ville de Jiyuan. Il avait eu des problèmes cardiaques et d’hypertension pendant des années, mais lorsqu’il a commencé à pratiquer le Falun Gong en 1997, il a recouvert la santé. M. Yuan est resté en bonne santé au cours des huit dernières années. Il vivait sa vie quotidienne suivant les principes de Authenticité Bienveillance Patience. Il ne s'est jamais plaint au sujet de sa lourde charge de travail et était honnête et profondément respecté par les citoyens.

Après le début de la persécution par le régime de Jiang, M. Yuan a écrit une lettre à Jiang, puis au secrétaire général du PCC pour demander publiquement la justice pour le Falun Gong. Il a écrit la lettre au mois de novembre de l’an 2000. Il a été congédié de son travail par le bureau 610 de la ville de Jiyuan et a été condamné à trois ans de prison. Pendant son emprisonnement au centre de détention de Jiyuan et à la prison de Zhengzhou, Yuan Shenjun a été physiquement maltraité et a été également torturé avec le lavage de cerveau.

A 11H30 le 30 mars 2005, Wang Mingli, capitaine de l'unité locale du bureau de la sécurité nationale de Jiyuan, Wang Guoyou, commissaire politique militaire; et les employés du bureau 610 sont entrés par effraction et ont illégalement fouillé la résidence de M. Yuan. Quoiqu'ils n’aient pu trouver aucune preuve de méfait, il a été de nouveau envoyé au centre de détention de Jiyuan. Au centre, M. Yuan a fait une grève de la faim pour protester contre l'arrestation illégale et le huitième jour de sa grève de la faim il a été transféré au Premier hôpital du peuple pour être gavé. Le 29 avril, le département de la police de Jiyuan a illégalement publié un mandat officiel d'arrestation et a refusé toutes les demandes de visites de sa famille.

Au centre de détention, M. Yuan a partagé son expérience de pratique de cultivation avec les gardes et leur a clarifié la vérité au sujet de la persécution du Falun Gong. Il les a invités à être de bonnes personnes de conscience. Les gardes ont été très émus et ont pensé que le PCC était vraiment mauvais en arrêtant et en essayant de "transformer" une si bonne personne. En conséquence, le bureau 610 de Jiyuan a amené de nombreux nouveaux gardes et tous les quelques jours, les gardes changeaient pour empêcher qu’ils soient transformés en personnes de conscience.

Le 7 octobre 2005 après avoir été détenu pendant six mois, Yuan Shenjun a été condamné à six ans de prison lors d’un jugement secret de la cour.

Deux semaines plus tard, il a été brutalement battu à mort. Avant que sa famille ait eu une chance de voir son corps, ils l’ont incinéré et ont donné ses cendres à sa mère de 80 ans, à son épouse et à un fils 13 ans.

(Voir le rapport en chinois à http://minghui.ca/mh/articles/2005/10/30/113436.html et en francais à http://fr.minghui.org/news/0511/10/E66488_20051103_fr.htm

La mère et le fils torturé à mort dans une période de 2 semaines

Le 28 octobre 2005, la pratiquante Mme Wang Shouhui et son fils, M. Liu Boyang ont été illégalement arrêtés par des policiers du département du district de Kuancheng, où ils ont été brutalement torturés. Cette nuit-là, M. Liu Boyang a été torturé à mort. En moins de deux semaines, sans être au courant de la mort de son fils, Wang Shouhui a été également torturée à mort.

Mme Wang Shouhui, 57 ans, était une employée de l'administration du voisinage de Songjia dans la ville de Changchun. Son seul fils, M. Liu Boyang, 28 ans, était un médecin employé au département du CT de l'hôpital de Qianwei dans la ville de Changchun. Liu Boyang était un jeune homme très aimable. Il avait reçu le prix du mérite chaque année sur son lieu de travail. Ses collègues sont attristés par sa mort.

La famille de trois de Mme Wang Shouhui (son mari, son fils et elle-même) a commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1995. Après le début de la persécution le 20 juillet 1999, ils ont été constamment harcelés par les employés du commissariat de Zhengyang et par l'administration du voisinage de Zhengyang (dans le district de Luyuan, ville de Changchun).

Mme Wang a été détenue et envoyée dans un camp de travaux forcés au mois d’octobre 1999 et de nouveau en février de l’an 2000 parce qu'elle était allée faire appel à Pékin pour le Falun Gong. Elle a été électrocutée avec des matraques électriques huit fois au camp de travail de Heizuizi et on ne lui a pas permis de dormir pendant cinq jours consécutifs, effectuant un travail lourd pendant tout ce temps. Mme Wang a été attachée sur le lit de mort plusieurs fois. Une fois, elle a été attachée sur un lit et électrocutée avec deux matraques électriques pendant plus d'une heure. Son visage et son corps ont été gravement brûlés. Elle n’a été libérée que lorsqu’elle semblait être mourante.

Le 11 avril 2002, alors que Wang Shouhui marchait dans la rue, elle a été arrêtée par la police de du commissariat local de Zhengyang dans le district de Luyuan. Plus tard, la police de la Première Division du département de la police municipale de Changchun lui a mis un bandeau sur les yeux et l'a emmenée à la montagne Jingyue de Jingyuetan à Changchun pour interrogatoire. Pendant cette période, Mme Wang a été forcée de s'asseoir sur un banc du tigre pendant deux jours. On lui a électrocuté les seins avec deux matraques électriques en même temps. Trois hommes lui ont frappé le visage, la poitrine et le dos et lui ont pulvérisé sa pommette, ce qui lui a fait vomir une grande quantité de sang. Plus tard, son poumon s’est infecté et elle a été envoyée à l'hôpital de la police. Wang Shouhui a été forcée de prendre des infusions tandis que ses bras et ses jambes étaient attachés au lit. On ne lui a pas permis d'aller aux toilettes. Ils lui ont mis une sonde et ont provoqué une incontinence urinaire dû au soin inapproprié de la sonde.

Le 27 juin 2002, la famille de trois de Mme Wang Shouhui a de nouveau été emmenée au commissariat de Zhengyang par la division de la sécurité politique du département de police du district de Luyuan où Mme Wang Shouhui a été étroitement attachée pendant toute une nuit. Plus tard, elle a été illégalement détenue au troisième étage du centre de détention de Changchun. Ils lui ont mis des menottes et des chaînes pendant 18 jours et l’ont brutalement gavée pendant un mois. Plus tard, Mme Wang a de nouveau été envoyée à l'hôpital de la police de la province de Jilin, où ils lui ont attaché les bras et les jambes au lit, lui ont donné des infusions et l'ont gavée pendant plus de 30 jours. Ce n’est que lorsqu’elle était au seuil de la mort qu’ils l'ont libérée. Au commissariat local de Zhengyang, les policiers ont brutalement torturé Mr.Liu Boyang. Ils l'ont frappé à coups de pied et à coup de poing, lui ont frappé le visage avec des chaussures, l’ont attaché avec des cordes, lui ont couvert la tête d’un sac en plastique et l’ont torturé avec le "grand pendu" (les bras sont menottés derrière le dos, accrochés et suspendus dans les airs et le corps est balancé pendant que l’on tire les pieds vers le bas). À ce moment-là, Yuan Dachuan, un garde a annoncé: «J'ai déjà torturé quelques pratiquants de Falun Gong à mort et je n’endosserai aucune responsabilité si je te tue!"

Le 29 octobre 2002, Liu Boyang a été envoyé au camp de travaux forcés de Chaoyanggou dans la ville de Changchun pendant deux années. Au mois glacial de décembre, les gardes l'ont obligé de s'asseoir sur le sol glacial de ciment pendant une journée entière, le privant de sommeil la nuit et le soumettant au lavage de cerveau pendant le jour. M. Liu devait être libéré en juin 2004, mais le camp de travail a prolongé sa peine de 47 jours supplémentaires parce que Liu Boyang refusait de renoncer à sa croyance dans Authenticité Bienveillance Patience.

L'après-midi du 28 octobre 2005, M. Liu Boyang et sa mère Mme Wang Shouhui ont été suivis et arrêtés alors qu’ils livraient des documents chez un pratiquant. Ils ont été détenus au département de la police du district de Kuancheng. La police les a torturés tous les deux et cette nuit-là Liu Boyang a été torturé à mort. Trois jours plus tard, le département de la police du district a informé sa famille de sa mort et a dit que M. Liu s’était suicidé en sautant hors du bâtiment. Les membres de la famille se sont enquis de la personne responsable de sa mort. Plus tard, l'examen du corps a prouvé que M. Liu avait trois blessures à la tête provoquées par des objets lourds provenant de trois directions. Ses jambes et ses côtes étaient brisées et ses poumons étaient remplis de sang. Le 28 octobre, la température était au-dessous de zéro à Changchun et toutes les fenêtres devaient avoir été étroitement fermées. Il est inconcevable que Liu Boyang ait ouvert la fenêtre et ait sauté du bâtiment avec des menottes. Il est probable qu'il a été battu à mort par un objet lourd, puis jeté hors du bâtiment.

Le 28 octobre, Wang Shouhui a été transféré au centre de détention de Shuangyang après avoir été interrogé. Le 10 novembre 2005, sa famille a reçu un appel téléphonique disant que Mme Wang était décédée d'une crise cardiaque à l'hôpital d'Amitié entre la Chine et le Japon. À ce jour, le corps de Wang Shouhui n'a pas été examiné, mais il est clair que ses yeux sont meurtris et que du vieux sang se trouve dans son oreille gauche.

(Voir le rapport en chinois à http://minghui.ca/mh/articles/2005/11/23/115086.html et en francais à http://fr.minghui.org/news/0512/07/E67322_20051128_fr.htm

Un professeur de l’école secondaire battu à mort dans un magasin

Le 17 octobre 2005, M. Fei Weidong, un pratiquant et professeur à l’école secondaire numéro 1 du comté de Jiujiang, province de Jiangxi clarifiait la vérité alors qu’il achetait une moto dans un magasin. Le propriétaire du magasin l'a signalé. La police est arrivée et a fermé les volets du magasin et ils ont alors battu Fei Weidong à mort.

Selon des témoins, les policiers l'ont sauvagement battu. Il y avait un grand trou sur chaque tempe de Fei Weidong et toutes ses dents ont été brisées. Une autopsie a été exécutée et le corps a été rapidement incinéré après. Les cendres de M. Fei ont été retournées à sa famille. Les autorités ont déclaré qu'il était mort d’une maladie cardiaque. Ils ont refusé à la famille le droit de faire une enquête.

M. Fei Weidong avait été détenu plusieurs fois pour sa pratique du Falun Gong. Lors de sa détention dans le camp de travaux forcés de Majialong dans la ville de Jiujiang, les détenus qui avaient été chargés de le surveiller par le camp de travail ont forcé Fei Weidong à se mettre à genoux sur un bardeau de filament de tungstène parce qu'il refusait de lire les livres calomniant le Falun Gong. Les détenus ne lui permettaient pas d'utiliser les toilettes. Il devait effectuer un travail lourd pendant la journée. On a forcé M. Fei à se tenir debout contre un mur les pieds serrés l’un contre l’autre et à garder les yeux ouverts pendant deux nuits.

(Voir le rapport en chinois à http://minghui.ca/mh/articles/2005/12/1/115590.html et en francais à http://fr.minghui.org/news/0512/17/E67693_20051208_fr.htm

Assault sexuel par un policier dans la province de Hebei

Le 24 novembre 2005, tandis qu'un groupe d'enquêteurs des Nations Unies enquêtait sur la torture en Chine, la police du commissariat de l’agglomération de Dongchengfang, ville de Zhuozhou, province de Hebei arrêtaient deux pratiquantes, Mme Liu Jizhi, 51ans et Mme Han Yuzhi, Le policier He Xuejian a sexuellement attaqué Mme Liu Jizhi et Mme Han Yuzhi pendant "la fouille officielle" au commissariat de Dongchengfang.

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Mme Liu Jizhi, 51 ans, a subi des coups violents et le viol. Ses hanches et ses cuisses sont sérieusement meurtries.

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Le commissariat de Dongchengfang dans la ville de Zhuozhou

Mme Liu Jizhi est du bourg de Xitong, de la ville de Dongchengfang, dans l’agglomération de Zhuozhou, province du Hebei. Le nom de son mari est Wei Xiliang (48 ans). Ils ont deux filles. L’aîné a 19 ans et la cadette a 17 ans, toutes les deux sont des étudiantes. Avant de commencer la pratique du Falun Gong en 1999, Mme Liu Jizhi souffrait de plusieurs maux. Elle souffrait en particulier d’une saillie du disque lombaire. Depuis le début de sa pratique du Falun Gong, elle est devenue une personne ayant une bonne moralité et en très bonne santé et n'a plus besoin d’aller voir les médecins. Bien qu'ils ne soient pas riches, ils étaient très heureux ensemble et heureux de leurs vies. Depuis que le PCC a commencé sa persécution impitoyable du Falun Gong, la police a commencé à harceler Mme Liu et sa famille chez elle. Avant chaque "jour politiquement sensible," la police l’emmenait au complexe du gouvernement local. Jusqu’à ce jour, la police lui a extorqué de l’argent sous forme d’amendes à plusieurs reprises. Cette fois, avant le viol, la police lui a hurlé, "Si vous osez encore pratiquer le Falun Gong, je continuerai à vous donner des amendes jusqu'à ce que vous fassiez faillite!"

Le 24 novembre 2005, aux alentours de 20H00 tandis que Mme Liu Jizhi était seule à la maison avec les portes fermées à clef pendant l'absence de son mari, six à sept policiers ont escaladé le mur et sont entrés par effraction dans son logis. Ils l'ont jetée au sol tandis qu'ils saccageaient sa maison et n’ont rien épargné. La police a confisqué les carnets de son mari, la bande de musique d'exercice du Falun Gong et un magnétophone à cassettes audio avec une cassette en anglais. Sous la faible lumière, Mme Liu pouvait voir qu’ils portaient des uniformes de policiers, mais ils ne se sont pas conformés à la loi car ils n'ont montré ni leur immatriculation de policiers ni un mandat de perquisition à Mme Liu. Cette nuit-là, Mme Liu a été emmenée à la brigade du bourg où elle a été transférée dans un fourgon de police et envoyée au commissariat. Les pratiquants Han Yuzhi, Wei Baoliang, et Wang Helin de son village ont été arrêtés avec elle.

Mme Liu a été interrogée par le directeur Xing, les policiers He Xuejian et un autre policier du commissariat de Dongchengfang. Ils ont demandé, "Combien de personnes pratiquent le Falun Gong dans votre bourg?" Mme Liu a répondu, "Je ne sais pas." Les policiers ont immédiatement sauté sur Mme Liu et l'ont battue brutalement. Ils l’ont également forcée à se tenir accroupie avec les bras étirés devant sa poitrine. Après ils ont commencé à la battre avec des bâtons et des matraques en caoutchouc. Puis la police l'a forcée à se tenir debout avec les genoux légèrement pliés et ils l’ont frappée à coups de pied par derrière, la faisant s'effondrer par terre. Après la torture répétée et le passage à tabac, les hanches, les cuisses et plusieurs endroits sur le corps de Mme Liu étaient gravement meurtris et blessés. Un policier l’a même tripotée d'une façon obscène et lui a dit d’une manière obscène, "Penses-tu que je suis un voyou?"

Le 25 novembre 2005, vers 14H00, un policier appelé He Xuejian a emmené Mme Liu dans une chambre avec deux lits. Un policier très bronzé dans la trentaine et surnommé Dajun était étendu sur un des lits. Il y avait un autre policier dans la quarantaine avec pour nom de famille Wang dans la pièce. He Xuejian l'a sauvagement battue dès qu'ils sont entrés dans la pièce. Après il l'a pressée contre un lit et a commencé à lui tripoter les seins. Puis il a soulevé son chemisier et lui a électrocuté les seins avec une matraque électrique. Tout en observant les étincelles de la matraque, He Xuejian a dit à plusieurs reprises, "Que c'est amusant! Que c'est amusant!" Le policier nommé Wang observait et a dit violemment, "Bats-la! Bats-la pour de bon!" Puis il est sorti de la pièce.

En dépit des protestations et de la lutte de Mme Liu, He Xuejian lui a enlevé son chemisier et s’est assis sur son estomac. Alors il a commencé à lui tripoter les parties génitales avec le doigt. Il a ensuite changé de position pour lui enlever son pantalon. Pendant la lutte, Mme Liu a imploré, "Je pense à votre propre bien -- ne me faites pas çà! Vous êtes un policier! Vous ne devez pas commettre un tel crime! C'est totalement mal! Vous êtes un jeune homme! Je suis une vieille femme. Epargnez-moi." He Xuejian l’a violemment giflée au visage, lui a pincé brutalement le cou et l’a violée. Entre-temps, le policier Wang Zengjun regardait tranquillement. Il s’est retourné quelques fois dans le lit mais n’a rien fait pour arrêter ces voies de fait.

Après, He Xuejian a aussi violé Mme Han Yuzhi de 42 ans.

Cette nuit-là, He Xujian (portant encore son uniforme de policier) a emmené Mme Liu et a parcouru le commissariat à la recherche d’une pièce pour la violer de nouveau. Par la suite, il a renoncé à l'idée parce qu'il y avait les gens dans chaque pièce.

La police a gardé Mme Liu jusqu’au 26 novembre lorsque son mari est revenu à la maison après avoir emprunté 3.000 yuans pour les verser comme "rançon" à la police.

Liu Jizhi a difficilement survécu à l’agression. Elle a dit, « Je suis une femme honnête. Et j’ai des parents et des enfants. Comment puis-je vivre dignement! Si mon Maître n’avait pas dit que de se suicider est un péché, j’aurais quitté ce monde. » Pour faire en sorte que d’autres femmes ne subissent pas le même sort, Liu Jizhi expose bravement la persécution.

 (Voir rapports en chinois à et en francais à http://fr.minghui.org/news/0512/03/E67457_20051201_1_fr.htm

Sil vous plait, aidez ceux qui souffrent avec bienveillance et justice

Au cours de cette vague de condamnation et d’appels globaux pour mettre fin à la persécution, le régime de Jiang a de la difficulté à continuer la persécution. Cependant, les dernières forces de Jiang, poussent toujours ses politiques de "Torturez les pratiquants comme vous voulez, battre les pratiquants à mort est considéré comme un suicide et incinérez leurs corps directement sans enquêter sur les causes." La nature malveillante du PCC s’expose sans interruption par la violence et les crimes terrifiants.

Faisant face à de tels événements déchirants, comment pouvons-nous rester silencieux? Même si nous n’avons pas le courage de l’avocat chinois Gao Zhisheng, qui a écrit des lettres publiques à Hu Jingtao et Wen Jiabao demandant l’arrêt de la persécution du Falun Gong, au moins nous pouvons offrir la justice de nos cœurs: Arrêtez la brutalité!

Cette brutalité sera condamnée seulement lorsque la conscience, la moralité et le sens de la justice de chacun se réveilleront pour mettre fin à la persécution et l'humanité regagnera sa dignité.


GLOSSAIRE : http://fr.minghui.org/glossaire/glossaire.htm

Traduit de l’anglais au Canada le 13 janvier 2006