(Minghui.org)

Indices pour l'enquête: L'approvisionnement en organes à l'hôpital central numéro 1 de la ville de Tianjin est étonnamment suffisant

Un nouveau bâtiment a été récemment construit à l'intérieur du « Centre oriental de greffe d'organes » à l'hôpital central du numéro 1 de la ville de Tianjin. La majorité des patients qui reçoivent des greffes sont des étrangers. Beaucoup de patients attendent pour être hospitalisés. Les opérations ont lieu sans arrêt jour et nuit. Dans une seule nuit, dix opérations sont réalisées.

M. Zhu Zhihua, âgé de 38 ans, est le directeur du centre qui a accompli plus de 700 opérations avant le mois d'octobre. Selon certaines sources, « il y a de quatre à cinq coordinateurs qui dirigent les autres médecins pour faire les opérations. Celles-ci s'effectuent très rapidement, de la même façon qu'une chaîne de montage.

L'approvisionnement en organes résulte des efforts entrepris dans tout le pays à partir de la lointaine province du Yunnan jusqu'à la ville de Tianjin elle-même. Habituellement les patients peuvent obtenir les organes pour une greffe dans un délai de sept à dix jours. Ceux qui ont fourni ces informations ont dit: « Le prix pour une greffe de foie est autour trois cents mille. Le nombre d'organes transplantés et l'approvisionnement en organes sont tous les deux étonnamment élevés. » Une fois questionnés sur l'origine d'approvisionnement d'organe, les médecins et les fonctionnaires ont à plusieurs reprises répondu que les organes viennent des prisonniers exécutés. Ce centre de greffe d'organes inclus également l'hôpital militaire de l'armée à Pékin, où au moins 200 greffes sont faites chaque année.

Il y a beaucoup de greffes d'organe illégales effectuées dans plusieurs régions de Chine.

Indices pour l'enquête: Le sang caché derrière le fait que « le centre de greffe d'organe de Tianjin deviendra le plus grand centre en Asie. »

Dans la partie A24 de « Legal Evening News » publié le 3 août 200, il avait un article intitulé : « Le centre de greffe d'organe de Tianjin deviendra le plus grand centre en Asie. » On y trouve que : « Selon le « City Bulletin » le bureau de santé de Tianjin a annoncé que le plus grand centre de greffe d'organe en Asie sera bientôt construit et entrera en fonction. Ce centre sera de 14 étages au-dessus de la terre et deux étages au-dessous. Il y aura 300 lits disponibles. Le centre se spécialisera sur les greffes de foie aussi que de reins, de poumons, de pancréas, des os, de la peau et des cornées.

Depuis 1999, pendant six ou sept ans, le Parti communiste chinois a été impliqué dans des opérations de greffe d'organes à grande échelle. Puisque dans le monde entier, l'approvisionnement en organes a été limité, ainsi le nombre de greffes d'organes a diminué. Cependant depuis ces dernières années, le régime communiste chinois a rempli le vide en tuant les pratiquants de Falun Gong. Il n'y a aucune procédure légale et les parents de ces pratiquants ne peuvent pas les sauver. En conséquence, le le Parti communiste chinois a tué sans scrupules ces pratiquants et tire profit de leur mort depuis plusieurs années. Le « plus grand centre de greffe » en Asie sera bientôt opérationnel, ce qui indique une augmentation de ce commerce cruel et sanglant.

Nous devons réunir nos efforts pour arrêter ce génocide.

Indices pour l'enquête: La prison pour les femmes de Shanghai a effectué plusieurs analyses de sang des pratiquantes de Falun Dafa.

En 2003, la prison pour les femmes de Shanghai a effectué des analyses de sang de toutes les pratiquantes de Falun Gong, illégalement emprisonnées dans l’« équipe spéciale ». À ce moment-là, toutes les pratiquantes ont été informées que « pas une seule pratiquante » était exempte d'analyse de sang, même pas celles parmi elles qui étaient en emprisonnement solitaire. Il y a une clinique à l'intérieur de la prison, et habituellement les examens médicaux sont effectués dans cette clinique. Cependant cette fois-ci, le médecin s'est installé directement dans le couloir avec une longue table, et toutes les prisonnières ont été mises en en ligne pour faire examiner leur sang. Pour l'analyse de sang le médecin tirait le sang du doigt en utilisant une aguille qu'il insérait dans un gobelet en verre. Chaque prisonnière a reçu un numéro et devait fournir son dossier médical personnel. L'atmosphère était assez mystérieuse et tout le monde était nerveux. Il y avait plusieurs hommes parmi les médecins, alors que tous les médecins qui travaillent pour la clinique sont des femmes, ainsi ce n'était pas un examen médical de routine entrepris par la prison. En outre, à l'exception de l'examen médical initial d'entrée, pendant les trois années précédentes aucun examen de ce genre n'a jamais été effectué.

Au début de 2004, il y avait en plus un examen médical général. Cette fois un grand véhicule médical a été amené directement en prison. Le véhicule était rempli d'équipement médical y compris d'un fluoroscope.

Celles qui ont subi des « examens médicaux » n'ont jamais été informées de leurs résultats. Plusieurs pratiquantes ont été souvent forcées à aller à l'hôpital pour voir des médecins et pour prendre des médicaments. Si les pratiquantes refusaient de le faire, le personnel de la prison mettait les médicaments dans leur nourriture. Certaines pratiquantes ont pris des médicaments sans en être conscientes du tout.

Traduit de l’anglais en Suisse le 14 novembre 2006