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Se rappeler deux choses qui se sont produites quand Maître faisait ses Conférences à Changchun (deux articles)

Mardi 19 décembre 2006 |   Écrit par Ziyou, pratiquant de Falun de la Province du Heilongjiang

(Minghui.org)


Premier article : Se souvenir

Deuxième article: Se rappeler deux choses qui se sont produites quand Maître donnait ses conférences

Première article: Se souvenir

Je suis un villageois tout simple, sans beaucoup d'instruction. Le 29 avril 1994, j'ai eu tellement de chance d'avoir pu écouter les conférences de Maître. C'est l'événement le plus heureux et le plus inoubliable de ma vie. Maître a changé ma vie.

Je crois en Bouddha depuis toujours. Il y a des années, un de mes voisins qui revenait chez lui après allé se réapprovisionné, avait entendu dire qu'il y avait un Bouddha vivant à Changchun qui faisait des conférences et qui était capable de saisir la maladie dans le corps d'un malade avec la main. Après avoir entendu cela j'étais très intrigué mais je n'étais pas encore sûr si je devais y aller ou non. Je vendais des fruits à un kiosque et à cette époque j'avais plein de fruits différents. Une fois enlevé tout les fruits gâtés, je me suis rendu compte que si j'allais écouter le Bouddha vivant tout les fruits pourriraient n'est-ce pas? Juste à ce moment-là, un de mes cousins est venu pour m'empêcher d'y aller et il m'a dit quelque chose de répugnant. Mais ce qu'il m'a dit ne m'a pas empêché du tout, c'est même le contraire qui s'est passé, car j’ai décidé d’aller écouter les conférences. Le lendemain, le 27 avril, j'ai chargé dans mon véhicule tous les fruits. Il faisait très mauvais. Il y avait beaucoup de vent et il semblait qu'il y avait très peu de piétons dans la rue. Jusqu'à midi je pensais ne pas pouvoir assez vendre. Tout à coup mon kiosque à été entouré d'un groupe de personnes qui ont tout acheté. Je ne savais pas d'où ils venaient, mais j'étais très content. Ce n'est qu'aujourd'hui en regardant en arrière que je prends conscience que c'était l'arrangement du Maître.

Le 28 avril, je suis arrivé tôt à la gare ferroviaire. Nous étions plusieurs à nous rendre à Changchun. A l’instant où je suis monté dans le train j'ai commencé à me faire du souci car je suis toujours malade en voyage. Mais cette fois-ci je n'ai rien senti du tout. Au contraire, je me sentais très bien.

Le 29 avril, nous nous sommes rendus à l'endroit où devaient avoir lieu les conférences. A l’instant où j'ai vu Maître pour la première fois, je l’ai trouvé plus grand que tout le monde. Je ne comprenais pas ce que disais Maître dans sa première conférence. Au bout de plusieurs jours de conférences, petit à petit je comprenais ce que disais Maître. Le 1er mai, à la demande des élèves, l'organisateur a arrangé des séances de photos avec le Maître. Maître était d'accord et tous les élèves se tenaient prêts et en rangé, selon l'endroit d'où ils venaient. Maître s'est laissé photographier avec nous, un groupe après l'autre. Après avoir fini de prendre des photos avec le Maître et notre groupe de Harbin, j'ai encore demandé à Maître de se faire encore photographié avec les élèves de notre secteur de Zhaozhou. Maintenant quand j'y pense je me sens encore honteux. Maître devait être déjà fatigué mais moi je voulais encore une autre photo différente avec lui. Je ne comprenais pas Maître, pas le moins du monde. Aujourd'hui je regrette tellement ce que j'ai fait.

Les dix conférences ont pris fin en un laps de temps très court et j'ai acquis beaucoup de nouvelles compréhensions. Quand Maître purifiait les corps des élèves j'ai vu de la lumière émise par ses mains et je ne pouvais m'empêcher de pleurer. Dans mon cœur je pensais : «C’est un vrai Bouddha vivant».

Même aujourd'hui quand je regarde en arrière je sens que tout ce qui est dans le passé, est là directement devant moi. Les journées avec Maître me manquent vraiment. Je transformerai ce souvenir en une «force motivante» pour m'aider à bien faire les trois choses que nous demande Maître et retourner auprès de Maître en menant ma cultivation à son terme.

Article no 2: Se souvenir de deux événements qui se sont produits quand Maître enseignait à Changchun

Écrit par Zhen Yuan pratiquant de Falun Dafa de la Province du Heilongjiang

J'ai assisté à la Septième Session de Conférences de Falun Gong donné par Maître à Changchun du 29 avril au 9 mai 1994. Les conférences ont eu lieu à l'auditorium de l'université de Jilin. J'ai eu une telle chance de pouvoir assister aux conférences données en personne par Maître et d'avoir été témoin de deux événements lors de ces conférences qui avaient l'air d'être des choses ordinaires.

Le premier événement s'est produit le matin du 4 mai. Il y avait un crachin ce jour là et nous sommes arrivés tôt à l'auditorium. Maître est arrivé et il a dit : «Nous allons commencer par revoir les exercices que nous avons appris hier. Nous devons attendre un petit moment parce que le grand bus venant de Heilongjiang a eu un problème en route». Nous avons revu ce que nous avions appris la veille. J'étais assis près de la porte de devant. Tout d'un coup il y a eu plusieurs personnes très pressées qui sont entrées par cette porte. Une dame d’un certain âge a dit en passant devant moi : «Nous sommes en retard, Nous sommes en retard». Elle le disait encore au moment ou elle s'asseyait. Quelqu'un assis au même rang qu'elle a dit « Maître sait qu'il y a eu un problème de bus et il vous attendait».

Un autre jour, un homme en uniforme d'employé de chemin de fer est rentré en courant. Il était dans la cinquantaine. Il s'est précipité en avant, les mains jointes puis il s'est précipité en arrière. Il a couru tout de suite vers Maître et faisait des prosternations répétées. Il pleurait beaucoup et disait qu'il avait souffert d’une thrombose cérébrale. Il était dans un état de grande excitation et il a cassé sa canne sur le béton en se déplaçant dans le jardin de l'auditorium. Il déclarait vouloir dire adieu à sa canne pour toujours. Face à cette situation, Maître était si calme et paisible.

Le dernier jour des conférences, nous savions que nous allions dire au revoir au Maître. Nous étions tous tristes. Hommes ou femmes, jeunes ou vieux, nous étions tous en larmes car nous disions au revoir au Maître, le membre le plus aimé de notre famille.

Cela fait douze ans que je me cultive. Malgré les épreuves et les difficultés subies au cours de ces sept années sombres de persécution, je n'ai à aucun moment changé dans ma foi juste en Maître. Souvent quand je me rappelle ces jours qui semblaient ordinaires au cours de cette Septième Session de Falun Gong par Maître, à Changchun, je suis touché au plus profond de mon cœur. On dirait que tout ceci s'est passé hier.


Traduit de l'anglais en France le 16 décembre 2006

Versions anglaise disponible à :