(Minghui.org)


Récemment le PCC et ses médias se sont engagés dans une vaste campagne de propagande pour essayer de dissimuler les crimes que le policier Du Jun a commis en torturant des pratiquants de Falun Gong. Du travaillait au centre de détention Xishanping de la ville de Chongqing. Il est aujourd’hui atteint d’un cancer, et il paie pour ses crimes en souffrant une extrême douleur.

A la fin de mai 2001, Du qui était le capitaine d’un camp de travaux forcés, a mené la persécution des pratiquants de Falun Gong « illégalement emprisonnés ». Ceux ci ont du endurer de nombreuses formes de lavage de cerveaux et de tortures. Un pratiquant de 24 ans, Li Zetao, était forcé de remorquer des excréments durant toute la journée et n’était pas autorisé à prendre de repos ni à midi ni la nuit. Il a été torturé physiquement et mentalement et il est mort le 2 Juin. Il a été incinéré le jour suivant pour détruire toute preuve. Du a ordonné aux autres prisonniers du camp de torturer les pratiquants de toute les façons qu’ils voulaient. Le prisonnier Huang Zhongzhi enfonça un couteau à fruit dans l’anus du pratiquant Li et le faisait tourner de temps en temps. Du a dit publiquement: « afin que les pratiquants de Falun gong signent les trois déclarations, n’importe quel moyen de torture peut être utilisé ». Du a aussi dit aux pratiquants: « Dans le camp de travail, tuer une personne, ou tuer un chien quelle différence. Nous creusons juste un trou et l’enterrons. Pour un fonctionnaire comme moi, j’aurais tout au plus un avertissement disciplinaire. »

Les bonnes actions sont récompensées, les mauvaises recevront leur rétribution, les tribulations pour avoir commis des crimes arriveront le moment venu. Selon un nouveau rapport du PCC, aux alentours du festival de la mi automne en 2003, Du était capitaine de la huitième équipe du centre de détention Xishanping de la ville de Chongqing. Il était sélectionné pour aller au Bureau d’éducation au travail de la ville afin d’aider à l’organisation de l’information et pour participer aux «Rapports sur la loi exécutive équitable et à l’édification d’une bonne image au Ministère de la justice de la ville » Une nuit il a tout à coup ressenti une douleur aigue dans son dos, comme si des milliers d’aiguilles poignardaient ses os. En quelques secondes il était couvert de sueur. Dans les jours qui suivirent, cela s’est produit de plus en plus souvent. Revenu au centre de détention, la douleur empira encore et Du souffrait une torture de nuit comme de jour. Du acheta trois grandes boites de « poudre anti douleur » et prit en secret trois ou quatre doses par jour pour chasser la douleur. En Mars 2004, la douleur était si forte qu’il ne pouvait pas dormir la nuit. Son poids passa de 183 lb à 132 lb. Quand il fut traité à l’Hôpital du sud ouest, il ne pouvait plus supporter la douleur et devait recevoir une injection presque chaque heure pour le soulager.

Après avoir consulté de nombreux spécialistes dans différents hôpitaux, le diagnostic fut en fin de compte « un fibrome malin avec inflammation » une sorte très rare de cancer incurable. Du alla dans beaucoup d’hôpitaux et chaque médecin lui dit la même chose « nous sommes seulement capables de contrôler son étendue, il n’y a pas de certitude qu’il ne prolifère pas, une opération peut seulement aider temporairement… » Son dernier espoir était parti.

En seulement un an ou deux, Du a été hospitalisé dix fois et a eu plusieurs opérations importantes. Accompagné d’une douleur incessante, particulièrement après qu’il ait été opéré la deuxième fois, les tissus des nerfs de sa jambe gauche ont été abîmés et il a perdu toute sensation dans sa jambe. Ses intestins ont aussi été infectés. La douleur intense dans son estomac l’empêche souvent de se tenir droit, aussi tombe t-il très facilement.

Du Jun, le fonctionnaire maintes fois reconnu par le PCC comme un « excellent membre du parti » paye maintenant pour les crimes qu’il a commis. Ce qui l’attend est encore pire.