(Minghui.org)

Je suis une disciple de Dafa de Jinzhou et j’ai presque soixante-dix ans. Je n'oublierai jamais le jour où le Maître bienveillant est arrivé à Jinzhou le 5 avril 1994 et nous a enseigné la Loi. J'étais prédestinée à assister aux conférences. Je remercie Maître de m'enseigner cette grande Loi du cosmos, et de me donner cette deuxième vie. Je remercie Maître du fond du cœur !

Avant de commencer ma cultivation du Falun Dafa, j'étais une femme avec beaucoup de maladies. Mon rein était atrophié, j’avais des calculs rénaux, une inflammation de la vésicule biliaire, une maladie gastrique, de l'urétrite, une prolifération de décalcification des os dans trois doigts de ma main droite et une inflammation de l’extrémité des nerfs, etc. Parmi toutes ces maladies, ce qui me faisait souffrir le plus était l'atrophie du rein. Je ne pouvais pas me retourner quand j’étais couchée et je ne pouvais pas me lever une fois assise. Je souffrais d'hydropisie, de lumbago et de dysurie. Avec un corps en si en mauvais état, je ne pouvais pas travailler. J'ai dû prendre ma retraite tôt pour soigner mes maladies à la maison. Accompagnée par ma famille, je suis allée voir le médecin à l'hôpital adjoint de Jinzhong. Les résultats sont arrivés après un examen complet. Le médecin n’a pu me donner aucun médicament après la lecture de tous les rapports. Bien que j’avais des calculs rénaux, le médecin ne pouvait pas me donner d’ordonnance pour traiter la vésicule biliaire et les calculs car cela allait m’endommager les reins. Mes reins étaient grandement atrophiés et s'étaient rétrécis de la grosseur d'un jaune d'œuf et leur surface était ridée.

Je me rappelle que le médecin m'a donné un exemple en expliquant son diagnostic, «Les feuilles d'un maïs sont desséchées, vous voulez qu’elles soient encore vertes, comment est-ce possible? » J'étais totalement bouleversée. J'ai pleuré toutes les larmes de mon corps en arrivant à la maison. Le sentiment de désespoir m'a fait me cramponner davantage à la vie. Je ne pouvais pas m’empêcher de pleurer auprès de tous ceux que je voyais. J'ai pensé à remplacer mes reins, mais je ne pouvais pas me le permettre parce que je devais payer les frais scolaires de mes quatre enfants. Il n'y avait rien à faire que de me reposer à la maison. Je me rappelle que le médecin m'avait même dit, « Ne vous tracassez pas, mangez tout ce que vous voulez ! » J'ai senti le poids de ces paroles et j’ai compris exactement ce que le médecin voulait dire. Il s’agissait certainement d’une maladie incurable. Afin de trouver une façon de traiter mes maladies, je suis allée faire acte d’obédience dans des temples et je suis allée chercher un maître dans un couvent bouddhiste. On m’a demandé de donner des aumônes, de l'argent, des cadeaux et d'autres choses, et plus tard je me suis convertie au bouddhisme. Jour après jour, les jours de ma vie traînaient comme des années, mais ma maladie ne s’améliorait toujours pas. Au contraire, elle s'aggravait.

Au moment même où il n’y avait plus aucun recours, j'ai eu la chance d’assister à la classe où le Maître enseignait la Loi à Jinzhou. En écoutant la première conférence, j’étais certaine que c'était le Maître que j'avais tant cherché. J'étais tellement contente. J'ai dit au Maître dans mon cœur, « Maître, il a été si difficile de vous trouver ! Aujourd'hui j'ai trouvé mon Maître que j'ai cherché pendant si longtemps! » J'ai écouté la conférence très attentivement, chaque parole du Maître est gravée dans mon esprit, mon cœur était si ouvert et brillant. J'ai fixé chaque geste du Maître pendant qu’il parlait.

Le jour suivant, après la fin de la conférence, je suis allée aux toilettes lors de la pause de cinq minutes. A mi-chemin vers les toilettes je me suis tout à coup rappelée, comment me suis-je levée de la position assise? Je suis guérie ! Mon lumbago a disparu ! Je n’ai eu aucune difficulté à me lever du siège des toilettes non plus. C’était si magique. Maître a traité mes maladies. Il m'a donné une deuxième vie. Merci Maître!

Dans l’après-midi, avant d’aller chercher le Maître, je me suis retournée et Maître était derrière moi. Maître m’a souri. À ce moment, mon esprit était vide, j’ai même oublié de saluer le Maître. Je le regrette encore aujourd'hui !

Après la pause, Maître a commencé à nous enseigner le cinquième exercice et nous a enseigné comment méditer avec les jambes croisées. Je ne pouvais pas croiser mes jambes parce qu'elles étaient très enflées. J'ai essayé de croiser ma jambe droite et je ne pouvais pas endurer la douleur en essayant de soulever ma jambe gauche non plus, alors j'ai abandonné. J'ai écrit une note et je l'ai personnellement passée au Maître. Voici ce que j'ai écrit, «Maître, je ne peux pas lever mes jambes, je ne peux pas m’assoir avec les jambes croisées. Qu’est-ce que je dois faire? » Après avoir lu ma note, Maître a dit en souriant, « Ce soir, quand chacun va rentrer chez soi et méditer, je garanti que vous pourrez vous assoir avec les jambes croisées. » En rentrant à la maison, j'ai continué à penser à ce que le Maître avait dit. Après être rentrée à la maison, la première chose que j’ai essayé de faire est de méditer avec mes jambes croisées. C’était juste comme le Maître avait promis, j'ai croisé mes jambes avec facilité et je me suis assise comme ça pendant plus de vingt minutes. J'ai su alors que le Maître n'était pas une personne ordinaire. Il est une vie immortelle. Les choses qui se sont passées à ce moment là sont si inconcevables que je ne pourrai jamais les oublier le reste de ma vie !

Le même après-midi, nous avons pris une photo de groupe avec le Maître pour marquer l'occasion. Je chéri cette photo jusqu’à ce jour. Je suis profondément émue chaque fois que je me rappelle ces jours où j'étais avec le Maître.

J'ai pratiqué le Falun Dafa pendant douze ans maintenant. Au cours de ces douze années, aucune difficulté n'a pu ébranler ma croyance en Dafa et mon respect profond envers le Maître. Je me souviendrai des mots du Maître et ferai bien les trois choses. Nous devrions être dignes du salut bienveillant du Maître et ne pas abandonner le Maître.

Compagnons pratiquants, j'ai écrit ce qui précède afin de faire l’éloge de notre Maître bienveillant. Baignant dans la grâce immense de Bouddha, encourageons-nous à être plus diligents dans notre cultivation. Retournons à la maison avec le Maître !


Traduit de l’anglais au Canada le 3 décembre 2006