(Minghui.org)

Le Maître a présenté Dafa à Guanxian, province du Shandong, pendant l'hiver 1992. Le Maître est arrivé à Guanxian le 12 novembre 1992. Il a logé à l'hôtel de Guanxian, a donné une conférence le 13 novembre et a soigné les maladies du public le 14 du même mois. Quand j’ai entendu dire que Maître venait, j’ai souhaité qu’Il me guérisse de ma maladie; à cette pensée, j’ai eu la sensation que mon corps grossissait comme un ballon.

Mon mari m'a dit d'aller aux réunions à bicyclette. Ce qui m'a étonnée fut le fait que j'avais rêvé au Maître plusieurs mois auparavant. Le Maître m'a demandé de fermer les yeux quand il a nettoyé mon corps. Il a touché mon corps et j’ai eu très chaud et j’ai transpiré abondamment.

J'ai été guérie de toutes mes maladies à ce moment-là. Le Maître m'a demandé de monter à bicyclette, et les gens ont applaudi avec force. Ils ont été témoins du miracle. J’ai eu l’impression d’être une enfant perdue qui avait retrouvé sa mère.

Le 16 novembre 1992, le Maître a commencé à enseigner la Loi et les exercices. Après la première conférence, j'ai pensé que ce que le Maître enseignait n'était pas un Qigong ordinaire, mais plutôt des principes à un niveau élevé. J'ai compris que le Maître était ici pour sauver les gens. J'ai décidé de parler du Falun Dafa à plus de gens. À partir de cette époque, j’ai parlé à tout le monde de la magnificence de Dafa et de mes expériences personnelles. Ceci fut de grande importance dans l’apprentissage de la pratique de Dafa pour beaucoup de gens.

Après le début de la persécution, j'ai échappé au danger à de nombreuses reprises grâce au soin bienveillant du Maître. Et chaque expérience a été témoin du principe d’ «un cœur sans agitation, peut dominer dix mille agitations ». « («Eliminer le dernier attachement de Points essentiels pour un avancement assidu II)

Un jour en juillet 1999, les chefs de mon unité de travail m'ont demandé d'assister à une prétendue « réunion instructive» et m’ont demandé de diffamer le Maître et le Dafa. Le Bureau 610 a fait grande pression sur les chefs de mon unité de travail et a dit que je devais être présente. Je ne tenais qu’une seule pensée ferme, « Je n'assisterais jamais à une telle réunion » Je me sentirais malheureuse pour le Maître si j'allais à cette réunion. Comment est-ce que je pourrais écouter des propos diffamatoire sur le Maître et sur Dafa ? Après avoir eu cette pensée, un miracle s’est produit.- Je me suis assise sur le sofa comme si j’étais paralysée, et je ne pouvais pas bouger mon corps. Je savais que le Maître me protégeait. J'ai appelé et je leur ai dit ce qui m’arrivait. L'épreuve s’est terminée sans d'autres problèmes.

Le 23 novembre 2001, la police m'a harcelée en utilisant l'excuse que quelques pratiquants m'avaient trahie. Ce jour-là, le directeur Hao Pei du commissariat de Guanxian, et le directeur Ma Zhenhu du Bureau 610 ont envoyé la police chez moi. Ils sont entrés par effraction m’ont arrêtée et m’ont emmenée au commissariat pour interrogatoire. Je n’ai nullement coopéré. Donc, ils m’ont envoyée à la prison de Liaocheng. Lors de mon arrivée là-bas, il n‘y avait pas moyen d’ouvrir la barrière de la prison. Je me suis souvenue de la fois où un pratiquant avait été confronté par un policier en distribuant des articles des articles récents du Maître. Il avait demandé à Maître de l’aider et en un instant il s’était retrouvé des dizaines de kilomètres de là. J’aurais pu m’échapper à cet instant car ils étaient occupés à ouvrir la porte mais j’avais peur d’être une sans abri si je courais au loin. Je ne voulais pas quitter Guanxian. Après être entrés dans la prison, le gardien ne voulait pas m’accepter. Il a demandé si j'étais malade. J'ai dit que j'étais une pratiquante et que j'étais en bonne santé.

Après le départ des policiers, le gardien a dit, «Pourquoi n'avez-vous pas dit que vous étiez malade ? Si vous aviez fait ainsi, nous aurions eu une raison de ne pas vous accepter et vous auriez pu retourner chez vous.». Je me suis rendue compte que je n'avais pas compris clairement l'incident et j’ai demandé de l'aide au Maître. J'ai pensé que je ne pouvais pas rester en prison et je ne voulais pas quitter ma ville natale. J'ai voulu valider la Loi d'une façon digne et juste. Cette pensée a changé la situation. J’ai perdu connaissance et je suis tombée par terre lorsqu’ils m‘ont interrogée. J’ai perdu plus de neuf kilogrammes en quelques jours en raison de la torture et j’ai perdu connaissance à plusieurs reprises. On ne voulait pas que je meure en prison et ils ont demandé au commissariat de police de Guanxian de me reprendre. Le lendemain, on m’a emmenée à l’hôpital. L’hôpital les a informés que je devais y rester. Le Bureau 610 m’a surveillée quand j’étais là-bas. Après cela, je ne pouvais plus bouger et ils m’ont renvoyée à mon unité de travail. Le personnel au travail m’a emmenée dans ma famille.

La police voulait toujours me persécuter. Le 5 mars 2003, le Bureau 610 de Guanxian a exigé qu'ils m’arrêtent, et ils ont reçu l’ordre de me garder même si cela signifiait ma mort. Bien qu'il ait beaucoup neigé ce jour-là, ils m'ont arrêtée et m'ont emmenée sur une civière au centre de détention. Le jour suivant, ils m'ont portée au camp de travail pour femmes de Jinan et ont projeté de me condamner à trois ans de travaux forcés .J’ai émis des pensées droites tout au long du trajet et j’ai récité le poème « Pensée droite comportement droit »

« Les grands Éveillés ne craignent pas l'amertume

 Leur volonté est fondue de diamant

 Aucun attachement à la vie ou la mort

 Francs et purs sur le chemin de la rectification de la loi »

J'ai demandé au Maître de m'aider à nier la persécution des forces anciennes. Pendant le contrôle de santé au camp de travail, j'ai perdu connaissance, mais j'étais à nouveau dans un état normal après le diagnostic d’une maladie infectieuse sérieuse et même les médecins n’osaient pas m’approcher. Le camp de travail n’a pas osé m'accepter, ainsi ils m'ont ramenée chez moi.

En raisonnant à posteriori, les dernières années et les épreuves que j'avais subies, j'ai entièrement compris que j'avais survécu grâce aux soins miséricordieux du Maître. Je suis certaine que le Maître souffre quand les pratiquants souffrent.


Traduit de l'anglais au Canada le 01 juin 2006

Glossaire : http://http.vraiesagesse.net/glossaire/glossaire.htm