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Amnesty International demande d'agir pour sauver Bu Dongwei

Vendredi 29 septembre 2006

(Minghui.org)


Bu Dongwei, membre du personnel du bureau de Pékin de la Fondation Etats-Unis- Asie, a été récemment condamné à deux ans et demi de ‘’ rééducation par le travail’’ Amnesty International a dit que Bu est un prisonnier de conscience et a appelé à une action pour le secourir.

Selon un reportage de Voice of America du 21 septembre, Bu Dongwei, 38 ans est membre du personnel du Bureau de Pékin de la Fondation Etats-Unis-Asie, basée à San Francisco, et aussi pratiquant de Falun Gong. Il a été arrêté le 19 mai et sa famille a reçu une notification de rééducation par les travaux forcés issue du Bureau de la Sécurité Publique de Pékin, en août.

Amnesty International considère Bu Dongwei comme un prisonnier de conscience.

Dans son Réseau d’Action Urgente, Amnesty International a dit que la condamnation de Bu Dongwei est liée à ses activités en tant que pratiquant de Falun Gong. Bu est actuellement détenu dans un endroit secret. L’organisation a déclaré : ‘’Amnesty International le considère comme un prisonnier de conscience. Il court un risque sérieux de torture ou de maltraitance.’’

Son épouse se bat pour un réexamen administratif

A Los Angeles, l’épouse de M. Bu, Lou Hongwei a dit que les membres de sa famille n’avaient jamais été autorisés à rendre visite à Bu depuis qu’il a été arrêté en mai. Lou a dit qu’elle faisait appel pour un réexamen administratif, même si les autorités de la rééducation par le travail, ont déclaré que Bu avait signé une lettre s'engageant à ne pas faire appel.

Mme Lou a dit: ‘’ Il est impossible pour une personne qui a été détenue illégalement de s’engager à ne pas faire appel pour un réexamen. De plus, je ne l’ai pas vu en personne et comment puis je savoir que les autorités disent la vérité ?’’

Mme Lou a dit: ‘’Je ne peux pas dire qu’il a été trompé parce que je ne l’ai pas vu en personne jusqu’à présent. Cependant, si la lettre de non-appel est réelle, je suis sure qu’il a été forcé à l’écrire sous une énorme pression mentale.’’