Samedi 28 avril 2007

Quatre femmes qui ont dit avoir été emprisonnées en Chine parce qu'elles suivent une méthode spirituelle, ont demandé mardi au conseil municipal de Chino Hills d'adopter une résolution condamnant la persécution du mouvement Falun Gong.

En larmes, les femmes on parlé du travail pénible et de la torture qu'elles ont subis dans les prisons et les camps de travaux forcés.

Bin Li, habitante de Rowland Heights, a dit qu'en 1999 le parti communiste a commencé une répression brutale de ce mouvement, qui a eu pour conséquence des centaines de milliers de personnes mises dans des camps de travaux forcés, des prisons et des hôpitaux psychiatriques.

Elle a décrit le Falun Gong comme une méthode de méditation paisible enracinée dans la culture chinoise, et qui a été présentée au public en Chine en 1992. Mme Li a aussi distribué un rapport sur les droits de l'homme contenant des allégations selon lesquelles, dans toute la Chine, on prélève les organes des pratiquants de Falun Gong encore en vie.

Elle a dit qu'un nombre de plus en plus important de villes a déjà adopté une résolution condamnant la persécution, et elle espère que Chino Hills va agir de la même façon. Mme Li a ajouté que les pratiquants de Falun Gong allaient de ville en ville pour réveiller la conscience des gens et pour demander d'adopter des résolutions.

On peut trouver le rapport sur le site www.organharvestinvestigation.net.


Traduit de l’anglais en Suisse le 10 mai 2007