(Minghui.org)


Écrit par une pratiquante de Falun Dafa à Tianjin   Le 3 décembre 2006, la police m'a saisie alors que je distribuais des documents de clarification de la vérité. Apprenant ma situation malheureuse, les pratiquants ont émis des pensées droites pour me soutenir. J'ai également nié la persécution perverse et je suis finalement sortie de détention avec des pensées droites après deux semaines de détention.

Au moment où j'ai été arrêtée et emmenée au commissariat de police local, les mots du Maître ont résonné dans mon esprit :

« Celui qui ne bouge pas maîtrise dix milles [êtres] qui bougent » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de Midwest des États-Unis ») (traduction non-officielle)

Je me suis opposée à toutes les demandes des malfaiteurs et j'ai clarifié la vérité à tous les officiers de police que j'ai rencontré. Je leur ai dit de démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organismes affiliés. Quand j'ai parlé à un officier de la section de la politique et de la sécurité, un de ceux qui sont répertoriés sur Internet comme étant un « des persécuteurs pervers », il n'a rien voulu écouter de ce que je disais. Je lui ai demandé, « N'êtes vous qu'un outil? » Il a répondu, « C’est vrai ! Je suis la poignée d'une épée ! » Ensuite, il a claqué la porte et est parti. Le jour suivant, j'ai été envoyée dans un centre de détention.

Là-bas, je me suis rappelé de la Loi du Maître :

« Que peut faire un homme sur une divinité ? S’il n’y a pas de facteurs venant de l’extérieur, qu’ose faire un homme sur une divinité ? » (« Dans la rectification de la loi il faut la pensée droite, pas le cœur humain »)

Par conséquent, j'ai commencé à émettre des pensées droites pour éliminer tous les mauvais facteurs derrière la police perverse qui participait à la persécution. Si nous éliminons tous les facteurs externes qui contrôlent ces personnes, n’est ce pas faire les choses selon l'arrangement du Maître ?

J’ai soudain fait un retour en arrière sur les interrogatoires qui avaient été menés par la police. Je me suis rendue compte que ces officiers de police étaient simplement comme des outils, des outils utilisés par le PCC pervers, ses lois malfaisantes et ses définitions de la loi pour persécuter les pratiquants de Dafa et Dafa. C'était également la soit disant base de la persécution. Ainsi, pendant mon émission des pensées droites, j'ai ajouté, « Éliminer le PCC et sa loi malfaisante pour la persécution des pratiquants de Dafa ». Une fois éliminé, il sera déraciné.

Une autre chose : J'ai eu un sentiment au sujet de ce que le Maître nous a dit,

« J'ai dit auparavant, j'ai dit qu'en fait tout ce qui se passe dans la société des gens ordinaires, est favorisé aujourd'hui par les cœurs des disciples de Dafa ». (« Enseignement de la Loi lors de la Conférence de Loi à Philadelphie aux Etats-unis 2002 »)

La veille du jour où je devais être libérée, une co-détenue m'a demandé, « Pourras-tu sortir demain? »Je lui ai répondu que je suivrais l'arrangement du Maître. Elle a alors demandé si le Maître avait arrangé que ces gens soient envoyés dans des camps de travaux forcés. Après avoir entendu cela, j'ai senti qu'il devait y avoir un problème avec ce que j'avais dit. Mais où était le problème ? Ce n’était pas un problème sur la compréhension de la Loi. Pourtant, en expliquant de telles choses aux gens ordinaires, c'était peut-être d'un niveau trop élevé pour qu'ils comprennent. J'ai pensé à cela pendant toute une nuit. Après, j'ai trouvé une notion : j'étais attachée au temps. J'avais reconnu ces 15 jours de détention. Alors que j'avais dit des paroles sans conviction, en disant que je suivrais l'arrangement du Maître, en réalité, à cause de mon attachement, j'avais essayé de définir le moment où j'allais pouvoir sortir. J'essayais de faire mon propre arrangement. Alors, j'ai brisé toutes les notions relatives au temps. Deux heures d’ici seraient une année dans le ciel. Même rester ici pendant un jour supplémentaire retarderait d’avantage la validation de la Loi et le salut des êtres. Nous ne pouvons pas nous permettre d'être emprisonnés un jour de plus. Je devrais être immédiatement et inconditionnellement libérée !

Tôt le jour suivant, j'ai annoncé à toutes les personnes que je rencontrais que chaque jour est le jour de ma libération. Me maintenir enfermée un jour de plus s'ajoute à leur crime. Quand j’ai dit ceci, toutes les co-détenues ont changé d'avis et toutes ont cru à ma libération. Certains d'entre elles m'ont demandé de transmettre une lettre à leur famille. Personne n'a de nouveau parlé du camp de travaux forcés. À environ 10 heures, quelqu’un est venu pour me faire sortir.

Ici, je voudrais suggérer à tous les pratiquants emprisonnés : utiliser les interrogations ou les procès pour clarifier la vérité ; clarifiez la vérité, peu importe à quoi on ressemble à la surface ; ne manquez aucune occasion pour clarifier la vérité.

C'est ma compréhension personnelle. Veuillez me signaler mes erreurs.


Traduit de l’anglais au Canada le 2 mai 2007

Glossaire : http://fr.minghui.org/glossaire/glossaire.htm