(Minghui.org)

Le 21 avril 2007, le Groupe des Arts Divins a donné son dernier spectacle à Taïwan. Ils ont commencé leur tournée le 7 avril à Taipei et l'ont terminée à Chiayi, quinze jours plus tard, en ayant donné le spectacle 15 fois entre temps. Le groupe a donné le spectacle dans des villes du nord, du sud et du centre de Taïwan. Partout où ils sont allés, ils ont reçu des louanges et ils ont été applaudis par leurs auditoires qui ont été émus jusqu’aux larmes. Ils ont enchanté et touché leur auditoire taïwanais tout en éveillant chez eux la gentillesse et l’altruisme.

Le dernier spectacle a été donné à Chiayi, ville située dans un comté agricole dont le niveau tant économique que culturel n’est pas à la hauteur de celui des autres villes choisies pour la tournée. Tous les billets d'entrée pour la salle du spectacle (salle de concert), de 2500 places à l'Université nationale Chung Cheng ont été vendus, deux semaines avant le spectacle. Les milieux culturels avaient du mal à le croire.

Après le premier spectacle à Taipei le Groupe des Arts Divins a reçu beaucoup de félicitations et les gens trouvaient que c’était une chance inouïe que d’y assister. La renommée du spectacle s'est répandue dans tout Taïwan. Une fois que fut faite l'annonce de la venue du spectacle, à Chiayi, les gens du pays étaient sûrs qu'on allait leur montrer quelque chose de vraiment bien. Des personnalités locales et des familles entières sont allées voir les deux représentations le 13 avril et avaient les larmes aux yeux.


À Gaohsing, le 15 avril, la dame au centre essuie ses larmes pendant le spectacle. 




Le 17 avril à Taipei, des spectateurs émus jusqu'aux larmes.


Fu Ta-wei de Chiayi, jeune membre du Conseil municipal a déclaré : « J'ai eu les larmes aux yeux, plusieurs fois pendant le numéro : « La Loyauté de Yue Fei ». Cette histoire reflétait mon souci concernant la sécurité de notre pays alors cela m'a beaucoup ému ».

Après le spectacle le professeur Huang Tsui-mei, doyen de Collège des Arts, à l’Université de Tainan, a déclaré avec beaucoup d'émotion : « L’art est un langage commun aux êtres humains. A son niveau le plus élevé, il est Vérité, Compassion et Grâce. Ça fait longtemps que je n'ai pas vu un très grand spectacle d'une telle diversité. Il m'a permis de voir toute l'histoire de notre culture et de me rappeler de vieux souvenirs. Le spectacle a été une source d'inspiration pour nos élèves et les amènera à se rappeler des vieux souvenirs peut être même des souvenirs d'avant cette vie ci.

Le Législateur Chiang Yi-hsing a emmené sa femme qui souffrait d’une hémorragie cérébrale, voir le spectacle tellement il avait entendu d’élogieux commentaires le concernant. Il a dit, plein d'enthousiasme : «Je n'ai jamais vu ma femme si heureuse. On aurait dit qu'elle était en état d'apesanteur et sans souci. Je l'ai vu applaudir avec enthousiasme».

L'état éternel d'une divinité est la compassion. Il n'y a jamais eu de spectacle aussi bien présenté». Le président de l'Université de Chiayi, M. Li Ming-jen a fait cette remarque concernant «La Création». « C'est l'ordre des divinités que des humains viennent sur terre afin de propager la parole du ciel. Quelque fois les humains ne connaissent pas les décrets des divinités et font des choses mauvaises. Un humain qui suit une divinité est sur le bon chemin.

Le maître de conférences à l'Université nationale Chung Cheng, Tseng Kuang-hua, a déclaré : « Non seulement ce spectacle touche les spectateurs mais il contient aussi des connotations profondes. Il y a eu des numéros très calmes mais aussi des numéros très toniques. Dans les parties calmes, on pouvait entendre le vent, la pluie, l'humanité et des êtres divins. Dans les parties plus actives on avait le sentiment d'un torrent bondissant, comme par exemple dans 'La Loyauté de Yue Fei et Tambours Retentissants'». M Tseng a trouvé que l'humanité montrée dans le spectacle transcendait les questions de race, d'histoire, culture et toutes autres sources de divisions.

La mère de Mme Chang , âgé de 70 ans a vu le spectacle le 21 avril en compagnie de son fils et petit-fils. A 22 h, le soir en rentrant chez eux elle a aussitôt appelé sa fille en disant : « C'était tellement touchant que j'ai eu les larmes aux yeux toute la soirée». Sa fille a ri en lui demandant pourquoi ? Sa mère a répondu : « Comment ne pas être touchée jusqu'aux larmes quand quelqu'un trouve quelque chose de précieux que vous aviez perdu et qu’il vous le retourne, des choses perdues, il y a longtemps et même il y a de ça des générations.

Traduit de l'anglais en France le 4 mai 2007