(Minghui.org)


Le 30 mai 2007, le journal local, Shouguang Daily , a publié une photo du Ministre adjoint de la Sécurité publique du Parti communiste chinois (PCC), du commandant adjoint du siège de la police armée, et des policiers Huang Weilian et Nie Zuokun du département de police de la ville de Weifang. Nie Zuokun et Huang Weilian ont persécuté des pratiquants de Falun Gong. Le titre de la photo et de l'histoire était : "le centre de détention de la ville n'a eu aucun accident pendant huit ans ." Il rapportait que le Ministère de la Sécurité publique avait choisi le centre de détention de la ville de Shouguang comme unité modèle nationale pour l'année 2006.

Bien que je savais le PCC sans scrupule, j'ai quand même été choqué par une histoire si éhontée. Examinons les incidents suivants :

1. La pratiquante de Falun Gong Han Lianfeng soumise à une torture inhumaine au centre de détention de Shouguang. Mme Han Lianfeng a 50 ans et vient du village de Gaojia, commune de Shouguang, agglomération de Shouguang, province du Shandong. Mme Han a commencé à pratiquer le Falun Gong en 1996. Avant de pratiquer, Mme Han souffrait de maux de tête d'origine nerveuse qui étaient extrêmement douloureux, l’amenant à avoir mauvais caractère et à etre fréquemment en désaccord avec les membres de sa famille. Après qu'elle ait commencé à pratiquer le Falun Gong, sa maladie a disparu, de même que son mauvais caractère. Elle est devenue prévenante envers les autres, et sa vie de famille était à nouveau harmonieuse. Tandis qu’un jour Mme Han roulait à vélo sur une intersection, elle a vu des morceaux de verre brisé partout. Ceux qui circulaient à vélo devaient en descendre et porter leurs vélos pour éviter les dommages. Mme. Han est retournée chez elle, elle a pris un balai et une pelle à poussière pour nettoyer le verre. Cela a pris deux heures, et elle s’est coupée les mains sur le verre brisé.

Après que la persécution ait commencé le 20 juillet 1999, Mme Han a été soumise à la torture, aux amendes et à l'humiliation publique. La nuit du 30 novembre 1999, la police locale a arrêté Mme Han et l’a envoyée au centre de détention de la ville. Parce qu’elle refusait de renoncer à la cultivation, elle a été forcée à se tenir debout longtemps. Plusieurs gardes ont essayé de la forcer à calomnier le Maître. Quand elle a refusé de , ils l'ont giflée au visage et lui ont fouetté sa tête avec les baguettes en bambou. Les gardes ont continué la torture pendant une journée entière, jusqu'à ce que Mme. Han s’effondre par terre. Les gardes par la suite l’ont fait défiler dans les rues pour l'humilier publiquement. Mme Han a été illégalement détenue pendant 40 jours et taxée de 2.000 yuans .

2. Deux pratiquants de Falun Gong torturés à mort au centre de détention de Shouguang

Le matin du 4 juin 2001, plus d’une dizaine des pratiquants de Falun Gong ont été arrêtés dans le village de Majia de la banlieue de Sunjiaji, ville de Shouguang alors qu'ils tenaient une session d’étude de la Loi. Les pratiquants arrêtés ont été envoyés au centre de détention de Shouguang, où les gardes les ont battus avec les poings et des batons en caoutchouc et ils leur ont également donné des coups de pied. Après, six des pratiquants ont été attachés à des chaises en métal pour être torturés. Ensuite, le chef de centre de détention et d’autres gardes, après avoir consommé de l'alcool, ont commencé un autre série de tortures dans la soirée. Environ cinq ou six gardes ont battu un pratiquant. Ils ont giflé les pratiquants au visage, ont tiré leurs cheveux, tordu leurs bras et les ont frappé avec des bâtons en caoutchouc. Quelques pratiquants ont perdu connaissance sous les coups. Les gardes versaient de l'eau froide sur les pratiquants pour les réveiller puis continuaient à les battre. Cette torture inhumaine a continué pendant trois à quatre heures.

La pratiquante Mme Wang Lanxiang était une dame âgée de 60 ans. Les gardes l’ont déshabillée et l’ont torturée jusqu'à ce qu'elle ait perdu connaissance et qu’elle ait perdu le controle de sa vessie. Elle a été torturée à mort. Un témoin a dit, "L'après-midi du 7 juin 2001, la pratiquante Wang Lanxiang a été éléctrisée avec les bâtons électriques pendant l'après-midi entière, pourtant elle n'a pas cédé. Les gardes ont changé pour un bâton électrique à haute puissance et l'ont électrisée jusqu'à ce qu'elle meurt." Après la mort de Mme Wang Lanxiang, les fonctionnaires du centre de détention ont incinéré son corps pour dissimuler leurs crimes.

La pratiquante Mme Li Yinping a aussi été complètement déshabillée. Les gardes l'ont battue jusqu'à ce que son corps entier soit devenu noir et bleu. Elle a perdu connaissance plusieurs fois. Les gardes ont versé de l'eau froide sur elle pour la réveiller et ont continué de l’électrisé avec des bâtons électriques. Un garde a dit, "Prenons-la dans la salle pour la violer et la tuer." Mme Li a été torturée à mort à l'âge de 37 ans.

La pratiquante de Dafa Mme Li Yinping

Basé sur les incidents ci-dessus, nous reconnaissons qu'il n'y a aucune vérité dans la déclaration du journal comme quoi il n’y a eu aucun accident au centre de détention de Shouguang. C'est la nature du PCC de mentir et de calomnier, en essayant de couvrir ses faits criminels impitoyables.

Le régime dictatorial du PCC contourne à dessein toutes les lois et les droits de l'homme. Les fonctionnaires du CCP emprisonnent illégalement les citoyens innocents, torturent et assassinent les gens, et prélèvent les organes des pratiquants vivants de Falun Gong et d'autres prisonniers. Le PCC ne reconnaît pas que ce sont des crimes contre l'humanité. Leur terminologie déclare : "Sécurité sans accidents." Une déclaration de propagande si éhontée démontre à nouveau la vraie nature du PCC. Leurs crimes sont censés maintenir le contrôle du PCC sur le pays et maintenir la base autoritaire du pouvoir du PCC. Le PCC ne s'inquiète pas de sécurité ni de sûreté, autrement que pour sa propre perpétuation. Cet article est un autre exemple de ce que "la sécurité publique" en Chine représente.