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Être le témoin du pouvoir supranormal du Falun Dafa

Mardi 8 avril 2008 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa de la province du Heilongjiang

(Minghui.org)

J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 2004 et je me sens vraiment privilégiée. J’aimerais partager avec les compagnons pratiquants les multiples occasions où j’ai fait l’expérience personnelle de la puissance surnaturelle du Falun Dafa durant ma cultivation.

Avant de pratiquer le Falun Dafa, ma santé était très mauvaise. J’avais souvent besoin d'injections et je prenais des médicaments, et je sentais que je vivais une vie dure et fatigante. Un jour, un collègue de mon mari est venu chez nous et nous a présenté la beauté du Falun Dafa qui pouvait éliminer les maladies, élever sa moralité, et nous aider à être de bonnes personnes.

À ce moment-là, je pensais pouvoir faire n’importe quoi à condition que ma maladie soit guérie. Un collègue de mon mari m'a donné un exemplaire de Zhuan Falun. Je l’ai relu à plusieurs reprises, et je n'ai jamais arrêté de l’étudier depuis. Avec l'aide du coordinateur, nous avons formé un groupe d'étude chez moi. Plus tard, nous avons établi un centre familial pour faire les documents de clarification de la vérité. Par l'étude continue du Falun Dafa et de la pratique personnelle, graduellement j’ai compris quelques principes et j’ai su que le Maître était venu pour offrir le salut et non pour guérir les maladies. Ensuite ayant cette compréhension claire, j'ai complètement abandonné mon attachement à la guérison de ma maladie et toutes mes maladies ont disparu. Non seulement cela, mais j’ai compris également beaucoup de principes au sujet de la vie, tel que pourquoi les humains viennent dans ce monde.

Un jour, je suis allée dans un secteur près du marché du matin pour distribuer des documents de clarification de la vérité. Immédiatement après la fin de cette distribution, deux policiers m’ont bloqué la route. Ils ont emporté mon sac et ils prévoyaient me fouiller. Ils ont dit que quelqu'un m'avait dénoncée et ils ont exigé que j’aille avec eux au commissariat de police. Je n'ai eu aucune crainte à ce moment-là et j'ai simplement émis des pensées droites. Le courage m’est venu quand je me suis rappelée ce que le Maître a dit, « Si vous avez peur, ils vous saisiront. Une fois que vos pensées sont droites, la perversité s'écroule » (« Qu'y a-t-il à craindre? » Hong Yin, volume II – traduction non officielle)

Je leur ai alors demandé pour quel bureau ils travaillaient. Ils ont dit qu'ils étaient des policiers. J'ai demandé, « Les policiers ne sont-ils pas censés maintenir l'ordre social ? Pourquoi volez-vous mon sac ? Vous êtes la police du peuple, mais vous ne servez pas les gens et vous commettez même des méfaits. Est-ce que vous traitez bien les gens qui payent des impôts et vous soutiennent ? »

Il y avait beaucoup de spectateurs, alors, j'ai expliqué comment les policiers avaient volé mon sac. Tout le monde a commencé à parler en même temps. Voyant tant de personnes, les policiers ont commencé à avoir peur et ils m’ont priée, « Tante, s'il vous plaît, arrêtez de parler. Retournez chez vous. » C’est alors que j’ai compris que la perversité craignait d’être exposée.

L’hiver dernier, il neigeait fortement et il n'y avait pas beaucoup de gens sur les routes. J'ai pensé que c'était une bonne occasion pour que les gens lisent les documents de clarification de la vérité à la maison. J'ai quitté mon domicile en emportant différents genres de documents de clarification de la vérité. En descendant les escaliers couverts de neige après distribution de certains documents dans un bâtiment, j’ai trébuché et culbuté gauchement. Mon pied droit s’est tordu vers l'arrière.

J'ai pensé, « Tu dois le tourner en avant dans la bonne position parce que tu n'as pas encore fini de distribuer les documents » J'ai enlevé ma chaussure, j’ai tourné mon pied de nouveau dans la bonne position, j’ai remis ma chaussure, et je me suis éloignée immédiatement. Je n’ai pas senti la douleur et j’ai fini de distribuer tous mes documents. Au retour à la maison, mon pied était un peu enflé mais rien n’a été retardé. Par cet incident, j’ai vraiment compris la signification de la « différence d’une seule pensée » qui peut faire toute la différence sur la conclusion de toute chose. Le Maître a répété à plusieurs reprises que nous devions étudier la Loi beaucoup. C’est pour nous inciter à pouvoir nous rappeler ce que le Maître a dit dans des moments critiques .

Dans une discussion avec un compagnon pratiquant, il a dit que nous avions déjà assez distribué d'exemplaires des Neuf commentaires sur le parti communiste et que presque chaque couloir en avait eu un. Ce qu'il a dit m'y a fait penser, alors je suis retournée dans les bâtiments pour vérifier. J'ai constaté que beaucoup de brochures avaient été laissées dans les bâtiments sans porte anti-vol, mais que peu d'exemplaires avaient été laissés dans les bâtiments qui avaient une porte anti-vol ou un gardien. Après cela, mon mari et moi avons visé particulièrement les bâtiments avec des portes anti-vol ou des gardiens pour distribuer les documents de clarification de la vérité. Il y a un bâtiment près de chez nous, où je ne pouvais entrer par aucun moyen. J'ai pensé alors, « Maître, je n'ai pas pu ouvrir la porte, aidez-moi s'il vous plaît »

Alors j'ai entendu un bruit de claquement et la porte s’est ouverte. J'ai regardé à l’intérieur et à l’extérieur de la porte et je n'ai vu personne. Les larmes ont glissé le long de mon visage. C'était le Maître qui m’avait ouvert la porte. C'est vraiment « La cultivation dépend de soi, le gong dépend du Maître ». ( « ZhuanFalun  »). J'ai eu seulement la pensée. Le Maître a tout fait.

C'est ma compréhension à mon niveau. Merci d'être bienveillants en m'indiquant s'il y a quoi que ce soit d'inapproprié. Heshi !


Traduit de l'anglais au Canada le 24 mars 2008