(Minghui.org)

Une pensée conduit mes actions : Peu importe ce que le Maître nous demande de faire, je le ferai. J’utilise tout mon temps libre à sauver les gens, et je ferai les trois choses peu importe que je sois occupée.

Au cours de la saison des récoltes, ma famille a fini notre travail très rapidement. Un après-midi lorsque j’imprimais les Neuf commentaires sur le parti communiste chinois, mon mari est rentré à la maison. Il a examiné ce que j’imprimais et il a soudainement piqué une crise de colère. Il a    dit : « Sais-tu comment je suis effrayé quand je vois ces choses ? » Puis il a continué sans s’arrêter. Dans le passé, j’argumentais avec lui lorsque des situations de ce genre se produisaient, mais cette fois je ne l’ai pas fait. Je me suis souvenu que le Maître nous a appris à être tolérants. Je suis restée calme et j’ai émis la pensée droite pour éliminer tous les éléments pervers qu’il y avait derrière lui : « Peu importe ce que vous êtes et comment est votre perversité, cela ne fonctionnera pas. Ne croyez pas que vous pouvez interférer avec moi quand je sauve les gens. » Mon mari s’est aussitôt arrêté.

Dans la soirée, j’ai préparé un sac à dos  rempli de document d’information sur le Falun Gong. Lorsque j’étais sur le point de quitter la maison, ma fille est arrivée. Elle m’a demandé : « Maman Sors-tu ?» Je lui ai répondu que oui elle a demandé « Veux-tu que j’aille avec toi ? » Ma fille m’accompagne toujours quand je distribue de la documentation du Falun Gong, que ce soit le jour ou la nuit. Je me suis dit qu’il était temps que je me détache de cette dépendance. Je lui ai dit : « Tu peux venir avec moi si tu veux, sinon ce sera bien aussi. » Ma fille a dit qu’elle ne voulait pas sortir ce soir-là. Je lui ai dit que j’irais seule.

J’ai roulé en vélo jusqu’au village qui est à environ 2.5 à 3 kilomètres de ma maison. J’ai commencé à distribuer de la documentation et après que j’ai eu fini, je me suis arrêtée à l’extérieur du village et j’ai commencé à m’inquiéter. Ce village semblait désert. Même les chiens n’avaient pas aboyé. Personne n’est sorti à l’extérieur de sa maison, c’était trop tranquille. Je suis revenue à la maison en me demandant pourquoi cela avait été aussi facile.

À minuit, lors de l’émission de la pensée droite, je me voyais assise sur un tapis blanc neigeux de forme ronde, mais en fait j’étais assise sur mon lit. Ce tapis était si épais et doux que je me sentais flotter, aussi j’ai poussé le tapis par terre pour éviter d’être incapable de rester assise encore pour émettre la pensée droite. Peu importe la force que j’utilisais, ce tapis continuait de flotter dans les airs. Alors j’ai pensé : « Quand je flotte ainsi et que je balance d’avant arrière, comment pourrais-je émettre la pensée droite bien ? » J’ai dit au tapis : « Tu ferais mieux de descendre » puis le tapis est descendu et s’est installé sur le lit.

J’étais alors capable de me calmer et de nettoyer mon esprit des pensées errantes. Ma pensée était hautement concentrée. J’étais enveloppé dans un champ d’énergie puissant et cela était merveilleux.


Traduit de l’anglais au Canada le 18 juillet 2008