pratiquants
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Il y a quelques jours, je suis allée au mariage de la fille d’un pratiquant. J’ai mangé un peu trop et cela m’a causé beaucoup de problèmes. Le lendemain matin en me levant pour pratiquer et faire les exercices, j’ai vomi et j’avais la diarrhée.
J’ai d’abord pensé que c’était une interférence contre ma pratique, j’ai donc continué à pratiquer. Après un certain temps, avec les vomissements et la diarrhée, j’ai eu du mal à continuer. Je suis allées aux toilettes plusieurs fois jusqu’à six heures, heure à laquelle nous émettons des pensées droites collectivement dans le monde entier. J’ai tenté de m’asseoir pour émettre les pensées droites et éliminer constamment les vies perverses et les éléments qui s’attaquent à mon corps. J’ai demandé à Maître de me donner la force, en me souvenant de croire en Dafa, en Maître et d’abandonner l’attachement à la vie et à la mort. Entre temps, j’ai regardé en moi et j’ai vu que ma gourmandise avait été utilisée contre moi.
Je suis médecin. Une pensée m’a traversé l’esprit que c’était peut-être une gastroentérite mais j’ai persisté à émettre des pensées droites, refusant de voir cela comme une maladie.
Mon
mari a demandé : « Comment peux-tu aller au travail dans cet état
? » J’ai répondu : « Il n’y a pas de problème. » J’ai
refusé d’accepter que ce soit une maladie et j’ai dit aux êtres qui interfèrent
avec moi : « N’essayez pas de me persécuter. Je ne coopérerai
pas avec vous. » J’étais très occupée au travail, mais je n’ai pas
ressenti de fatigue, de faim, ni de soif après avoir travaillé toute la
matinée. A
J’ai recommencé à avoir des diarrhées fréquentes après le dîner. Il pleuvait beaucoup mais je suis quand même allée chez une pratiquante pour étudier la Loi car je ne voulais pas repousser à plus tard l’étude de la Loi. Tout allait bien pendant que j’étudiais la Loi. Une fois rentrée chez moi, j’ai recommencé à avoir la diarrhée dès que je suis rentrée dans les toilettes. Je ne pouvais plus quitter les toilettes.
J’ai essayé de retourner dans ma chambre. J’ai souillé plusieurs pantalons. Finalement je n’avais plus de sous-vêtements propres. J’ai alors pensé : « Misérable petit être pervers, tu veux donc me persécuter à mort ? Tu n’y arriveras jamais ! Maître est là, la Loi et là. Tu n’es rien. Je demande l’aide de Maître. Je n’ai pas peur de la mort. Tu ne peux pas me faire de mal. » Maître dit : « Un cœur sans agitation, peut dominer dix mille agitations. » (« Eliminer le dernier attachement ») tiré de Points essentiels pour un avancement diligent (II)
J’ai récité Lunyu à plusieurs reprises. J’ai récité tous les poèmes de Hong Yin auxquels je pouvais penser. J’ai émis des pensées droites et j’ai regardé en moi en nettoyant ces pantalons souillés. Après plusieurs heures de sommeil, je me suis levée le matin pour pratiquer comme d’habitude. Je ne me sentais pas fatiguée. Après le petit déjeuner, je suis allée au travail comme d’habitude. En général j’ai souvent soif et je bois 1.5 litre d’eau par jour. Mais ce jour là, je n’ai bu qu’un demi-litre et je n’avais pas soif, ni faim, ni n’étais fatiguée. Je n’avais plus la diarrhée non plus.
A travers cette expérience de la compétition entre le bien et le mal, j’ai ressenti que tant que l’on croit en Maître et en Dafa, aucune épreuve ne peut nous faire peur. Les épreuves sont toutes de faux phénomènes. « Quand les disciples ont suffisamment de pensées droites, Maître peut renverser la situation. » (« Le lien entre Maître et disciple » tiré de Hong Yin II, traduction provisoire de l’anglais)
Mon niveau étant ce qu’il est, veuillez m’indiquer ce qui ne serait pas correct.
Traduit en France de l'anglais le