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Des policiers commencent à se ménager une porte de sortie

26 février 2009 |   Écrit par un pratiquant de Falun Dafa, en Chine

(Minghui.org)

Récemment, les pratiquants locaux ont fait un échange d'expériences. Ils étaient plusieurs à noter un phénomène commun, c'est à dire les progrès rapides de la rectification par la Loi. Des agents de police, des procurateurs, des services judiciaires et bureau 610, qui auparavant persécutaient Falun Gong, ont commencé à se réveiller. Certains ont déjà commencé à se ménager une porte de sortie.

Un pratiquant a raconté comment un employé du bureau 610 qui l'avait condamné à deux ans de travaux forcés, est venu lui rendre visite. L'homme lui a dit : « Je vous ai condamné à deux ans de travaux forcés. Est-ce que vous me haïssez »? Le pratiquant lui a répondu que non, il ne le haïssait pas. L'employé du bureau 610 lui a dit alors : « En fait c'était untel dans mon bureau qui en a pris la décision, ça n'a rien à faire avec moi. Je vous en prie ne me tenez pas pour responsable ».

Un autre pratiquant a raconté l'histoire suivante. Un jour un policier qui venait d'être promu comme directeur adjoint d'un centre de détention, lui a dit en souriant : «  Je suis toujours poli envers vous les pratiquants de Falun Gong. Même au moment de vous arrêter, je vous ai donné de l'eau à boire et du thé et vous ai permis de vous asseoir sur une chaise. Je ne vous ai jamais mis les menottes, ni ne vous ai battus. Même maintenant dans mon centre de détention, je traite les pratiquants de Falun Gong différemment des autres détenus. Je ne vous ai jamais traités durement ». Voyant le changement dans l'attitude du policier, le pratiquant a pris cette occasion pour lui clarifier la vérité et le convaincre de quitter le PCC

Voici encore une autre histoire de pratiquant. La veille du Nouvel an chinois, un agent de l'équipe de la sécurité nationale, dans le service de police de la ville a envoyé un message au pratiquant par l'entremise de quelqu'un de sa famille disant : «  Soyez gentil de dire au pratiquant A que voyant à quel point il a été actif pour clarifier la vérité et en prenant contact avec d'autres pratiquants, les supérieurs hiérarchiques ont décidé de l'arrêter. Son téléphone et son domicile sont surveillés. S'il vous plaît dites lui de s'arrêter pour l'instant, en attendant que ça se calme ».

A partir de ces comptes-rendus j'ai pris conscience que depuis toutes ces années que nous faisons la clarification de la vérité, il y a des personnes parmi la police, les procurateurs, les services judiciaires et le bureau 610 qui peuvent encore être sauvés. Ces personnes sont différentes par nature des personnes perverses qui sont « comme du poison ». Dans cette étape finale de la rectification par la Loi et le grand changement dans le « climat cosmique », ils se préparent une porte de sortie pour eux-mêmes. Les pratiquants de Dafa doivent faire de leur mieux pour leur clarifier la vérité afin de les sauver.

Il est arrivé aussi qu'au moment de l'arrestation de pratiquants, du personnel du PCC les a menacé de condamnations rapides et dures. En fait il n'en était rien car les pratiquants ont été détenus dans les centres de détentions et n'ont jamais été condamnés. La raison en est qu'il reste des personnes dans les services des procurateurs et dans les services judiciaires qui ont toujours une conscience et qui connaissent la vérité sur le Falun Gong. Bien qu'ils subissent la pression de leurs supérieurs hiérarchiques, ils ont toujours essayé de retarder encore et encore les condamnations et ils ont essayé de se ménager un moyen de sortie pour eux-mêmes.

Au cours de ce partage d'expériences certains pratiquants ont dit également que des agents du commissariat de police étaient très polis quand ils allaient dans des commerces appartenant aux pratiquants. Ils mettaient secrètement en garde des pratiquants sur ce que leurs supérieurs avaient décidés quand aux persécutions programmés. Ils prévenaient les pratiquants des arrestations prévues pour qu'ils se mettent en garde surtout avant ce que le PCC appelle les dates sensibles. Un fait encore plus intéressant est ce qu'un agent a dit à un pratiquant : « J'ai les livres de Dafa chez moi. Si vous voulez lire Zhuan Falun, je peux vous le donner ».

Il est vrai qu'en ce moment , il y a bel et bien des personnes dans les services de police, dans les services des procurateurs , les services judiciaires et le bureau 610 qui lisent tranquillement les livres de Falun Dafa et qui connaissent la vérité sur Falun Dafa et comme il s'est propagé dans le monde entier. Ils ne veulent plus faire ce qui va à l'encontre de leur conscience en persécutant le Falun Gong. Ils ont commencé à revoir leur compréhension de la persécution et se cherchent un moyen de sortie pour eux-mêmes. Bien que le PCC augmente sans cesse leurs salaires ou donnent des ordres aux agents, tous ceux qui ont de la sagesse, voient que pour le PCC, le jeu est pour ainsi dire perdu. Aujourd'hui en Chine, il y a des agents corrompus partout, des désastres frappent le pays partout et les cas de rétribution sont nombreux. Personne ne sait si un jour cela ne va pas lui arriver. Il faudrait être fou pour suivre le PCC sur sa sombre route vers la mort.

Traduit de l'anglais en France le 22 février 2009