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Devenir une pratiquante dans la période de la rectification par la Loi

16 juin 2010

Partage à la récente conférence d'échanges d'expériences du Falun Dafa à Toronto par une pratiquante de Falun Dafa habitant au Canada

(Minghui.org)

Salutations, compagnons de pratique!



1. Devenir une pratiquante de Dafa

Je suis une nouvelle pratiquante et j'ai commencé la cultivation de la Loi en juillet 2009, mais quand j'étais jeune, j'étais au courant de la pratique, quand ma mère et ma grand-mère pratiquaient en Chine avant 1999. Je les ai suivies dans la pratique de certains exercices, mais je lisais à peine les livres de Dafa. Ma famille a cessé la pratique après 1999 et j'ai perdu le milieu de pratique. Mais j'ai toujours apprécié l'aide que m'ont donnée ces bonnes tantes, quand je les voyais au site de pratique. Elles sont toujours dans mon coeur. Au fond de mon coeur, je savais que le Falun Dafa est bon.

Après l'obtention de mon diplôme universitaire, les influences de la société m'ont pollué l'esprit et je suis devenue de plus en plus matérialiste. Mais pour une raison quelconque, au début de l'année dernière, je m'ennuyais de la vie et j'étais fatiguée des combats quotidiens pour mes propres intérêts. Je me suis interrogée sur ma raison d'être, sur ce que je voulais vraiment de la vie. Suite à toutes les catastrophes naturelles en cours, j'ai commencé à lire des livres prophétiques. Plus je lisais, plus je sentais la brièveté de la vie et l'importance de faire quelque chose de significatif

Puis, une chose étrange s'est produite. J'ai perçu une voix dans mon esprit qui me disait sans cesse : « Pourquoi ne pas revenir à la pratique du Falun Gong? Retourne, retourne. » Je suis allée en ligne et j'ai fureté le mot « Falun Gong » et trouvé une adresse email de contact à Toronto. J'ai écrit un message à l'un des contacts de Toronto, toute enthousiaste en attente d'une réponse. Au bout de quelques jours, il n'y avait pas de réponse. J'ai écrit un autre e-mail à un autre contact de Toronto, mais toujours pas de réponse. En fin de compte, j'ai écrit un courriel à tous les trois contacts, mais toujours pas de réponses. Mon mari a dit : « Eh bien, peut-être que les gens ne veulent pas que tu pratiques. » J'ai répondu : « Non, je veux essayer encore une fois. Il y a des gens du Falun Gong qui distribuent des tracts dans le quartier chinois. Je veux y aller pour savoir comment commencer. » J'ai convaincu mon mari de me conduire au centre-ville de Toronto au cours du week-end et j'ai trouvé un homme âgé qui distribuait des dépliants de Falun Gong. Je l'ai regardé et dit, « Je veux pratiquer, par où devrais-je commencer? » J'ai vu l'émotion dans ses yeux. Il m'a tenu les mains et dit : « Vous avez besoin d'un livre pour pratiquer. » Je lui ai dit, « Je sais! C'est Zhuan Falun ». Il a acquiescé de la tête et m'a emmenée immédiatement à la librairie TianTi. Le pratiquant à la librairie TianTi était si gentil et m'a dit comment commencer et m'a donné des informations très détaillées sur les sites de pratique. Avec joie, j'ai ramené à la maison un exemplaire de Zhuan Falun.

J'ai commencé à lire le livre tout de suite quand je suis rentrée, et je l'ai terminé en un jour. Tout au long, j'ai été en larmes. J'ai compris le sens de la vie et ce que je voulais vraiment. Plus je lisais le livre, plus j'avais des regrets. Je me suis dit, « J'aurais dû commencer la pratique il y a dix ans avec ma mère. J'ai perdu beaucoup de temps. Je dois compenser ce temps perdu, » et j'ai commencé à lire sans relâche les autres livres du Maître.

En raison de la crise économique, ce n'était pas très bousculé au travail et je lisais les livres de Maître quand j'avais fini le travail, en général je consacrais au moins six heures par jour à étude de la Loi. Je pouvais sentir le bonheur et l'enthousiasme à l'intérieur de moi et parfois je fondais en larmes et je ne pouvais pas les contrôler. Mon mari était un peu inquiet et m'a demandé pourquoi je pleurais. Je lui ai dit que je ne savais pas ... Je ne savais vraiment pas pourquoi à ce moment-là ... Mais maintenant je sais, c'est mon côté « divin qui sait » - il était si heureux d'avoir obtenu la Loi. Depuis que j'ai commencé la pratique, tout le monde autour de moi a remarqué les changements en moi, y compris mes collègues, mon mari et mes beaux-parents. J'ai rapporté les échantillons que j'avais emportés à la maison et j'ai dit à mon patron que j'avais eu tort de faire ainsi, promettant de ne plus le faire. Il a été bouleversé mais me fait encore plus confiance depuis.

Je me dis que je devrais être plus attentive envers mon mari. Je fais plus de ménage et je me retiens de me quereller avec lui. Il a eu l'impression que c'était étrange et m'a demandé : « Pourquoi ne te querelles-tu plus avec moi ? » J'ai dit: « Je ne veux pas perdre de 'De'. »

J'étais méchante avec mes beaux-parents avant de pratiquer. Je cherchais toujours des excuses pour éviter de leur rendre visite. Maintenant, je me dis que je dois traiter les autres comme je veux qu'ils me traitent. J'ai parlé avec mon mari de la difficulté que ses parents avaient eues pour l'élever et qu'il devrait s'occuper plus d'eux et leur rendre visite plus souvent, et leur apporter des choses. Lors d'occasions spéciales j'ai poussé mon mari à leur donner plus d'argent dans les enveloppes rouges. Auparavant, j'étais égoïste et réticente à donner quoi que ce soit à mes beaux-parents. Parce que j'ai changé si vite, mon mari ne pouvait pas comprendre et me demandait constamment, « Ça va ? »

Je conversais aussi davantage avec ses parents qui ne parle que le cantonnais. Je parle le mandarin et je faisais semblant de ne pas savoir ce qu'ils disaient, même si parfois j'avais bien compris la conversation. J'ai remarqué que lorsque je me suis souciée davantage d'eux, ma capacité à parler cantonnais s'est rapidement améliorée. Mes beaux-parents sont très heureux de pouvoir nous voir plus et de parler plus avec nous.

2. Cultiver tout en vendant des billets de Shen Yun

 

En août dernier, un jour après notre pratique d'exercices de groupe, de nombreux pratiquants ont discuté de Shen Yun. Je les ai vus tellement occupés avec tous les projets que je leur ai demandé ce qu'était Shen Yun, et si je pouvais aider de quelque façon que ce soit. Comme je pouvais conduire et que je pouvais rouler en ville, ils ont dit, « Fantastique! Tu peux nous conduire! Nous devons mettre en place toutes les affiches! » C'est ainsi qu'a commencé ma première participation à un projet de Shen Yun.

Après l'affichage de tous les posters, j'ai demandé s'il y avait autre chose que je pouvais faire. Ils m'ont demandé : « Tu peux vendre des billets? » J'ai répondu, « Bien sûr. Lorsque je ne travaille pas, je suis disponible. » J'ai vendu des billets toutes les fins de semaine. Sans formation, je ne savais pas comment présenter Shen Yun et je prêtais constamment attention à ce que les autres pratiquants disaient. Après un certain temps, j'ai pu créer ma propre version. J'ai écrit chaque phrase et je les ai récitées une par une en face d'un miroir, en préparation, comme si j'allais donner un discours. Mon travail ardu en a valu la peine, et j'ai réussi presque chaque fois.

Après un certain temps l'attachement de fanatisme est apparu, et j'ai remarqué que je vendais moins de billets qu'avant. Mais chercher à l'intérieur est un merveilleux outil! En remarquant que moins de gens acceptaient les dépliants ou que quelques heures s'écoulaient sans avoir vendu de billets, j'ai pensé que cela devait être dû à l'apparition d'attachements. J'ai alors regardé à l'intérieur, j'ai trouvé le problème et m'en suis débarrassé. J'ai très bien réussi pendant un certain temps. Je suis devenue fière, en me disant : « Tu vois, la vente des billets n'était pas si difficile. » Une fois que je pensais comme ça, quelque chose m'a éprouvée.

Je présentais Shen Yun à une personne occidentale apparemment tout à fait intéressée et je prévoyais lui expliquer davantage. Son ami chinois s'est présenté. L'ami chinois m'a regardée avec beaucoup d'indignation et a entraîné l'occidental au loin en disant que c'était un spectacle de Falun Gong, « Ne l'écoute pas. » J'étais tellement en colère que j'ai presque fait un bond pour courir vers eux et me disputer. Je suis restée là toute l'après-midi, en colère, songeant à quel point je pensais que ces deux personnes étaient méchantes. De toute évidence, cet après-midi là, je n'ai pas vendu un seul billet.

Sur le chemin du retour, j'ai réfléchi sur la raison pour laquelle je n'avais pas vendu de billets ce jour-là. Puis, j'ai réalisé que j'étais toujours en train de penser à me quereller avec ces deux personnes, voulant surtout sauver la face. Je me suis dit où est la compassion pour autrui. Leurs esprits étaient empoisonnés, et ce n'était pas leur vrai moi. Chez moi, j'ai feuilleté Zhuan Falun et par hasard un paragraphe m'a sauté aux yeux tout de suite :

« Vous savez, lorsqu’une personne atteint le niveau d’arhat, quoi qu’il arrive, elle ne prend plus rien à cœur, elle ne prend absolument plus à cœur les affaires des gens ordinaires, elle est toujours de bonne humeur, peu importe qu’elle perde beaucoup, elle reste de bonne humeur et s’en moque. Si vous pouvez vraiment faire cela, vous avez déjà atteint la position initiale du Fruit d’un arhat. » (Leçon 9, « Zhuan Falun »)

J'ai compris immédiatement que le Maître me montrait la Loi. J'ai fait le geste « heshi » et regardé l'image de Maître qui me souriait.

Vendre des billets tous les week-ends peut, parfois, être assez fatiguant, surtout debout dans les centres commerciaux toute la journée. Mais beaucoup de miracles ont eu lieu pour moi. Un matin, je me suis levée en retard et me suis précipitée vers le centre commercial, sans prendre de petit déjeuner. J'ai été très occupée dans le centre commercial à la vente des billets et je n'ai pas senti la fatigue. Je suis arrivée à la maison vers 21h, et j'ai raconté à mon mari tous les grands récits sur la vente des billets. Il m'a demandé ce que j'avais eu au dîner et je lui ai dit que je n'avais rien pris. Quand il a demandé pour le déjeuner je me suis aperçue que je n'avais pas pris de déjeuner non plus. Je lui ai dit que j'avais complètement oublié le déjeuner. Il m'a demandé : « Tu as pris un petit déjeuner copieux, n'est-ce pas? » Alors, j'ai dû avouer que je n'avais rien eu à manger de toute la journée, pas même de l'eau. Mais je me sentais parfaitement bien, et même debout avec des talons, cela ne m'a même pas fait mal! C'était vraiment incroyable! Cette nuit-là, assise en méditation, en demi-lotus, une seule jambe pliée, j'ai pensé : « Pourquoi ne pas essayer la double position du lotus? Dès que j'ai eu cette pensée, j'ai tiré l'autre jambe en position, ne sentant pas beaucoup de douleur, et j'ai pu tenir la position pendant un petit moment. Je sais que le Maître m'encourageait pour faire mieux.

3. Devenir une commerciale pour The Epoch Times* - sauver les êtres

Après les représentations de Shen Yun de janvier, j'étais encore plus certaine de mon chemin, reconnaissant que c'était arrangé pour moi d'être ici, de devenir une commerciale. Au départ, mes projets universitaires étaient d'étudier l'informatique, mais je me suis retrouvée dans le marketing et la gestion par accident. Après mon diplôme, tous mes camarades sont devenus secrétaires ou comptables, mais je me suis impliquée dans la vente. Même après mon arrivée au Canada, ma carrière était prévue pour cela, et j'ai remarqué que plus tôt cette année, chaque fois que j'étais sur le point d'étudier la Loi, pour quelque raison que ce soit, je choisissais toujours de lire la conférence « Enseignement de la Loi lors d'une réunion de The Epoch Times. » Une voix me disait sans cesse : « C'est ton chemin, c'est ce que tu es censée faire! » Plus je lisais la Loi, plus je voulais travailler pour The Epoch Times. Je me suis dit qu'il était temps d'avoir une discussion avec mon mari. Les expériences précédentes m'ont fait prendre conscience de ses hésitations au sujet de mon travail ardu pour les projets de Dafa, surtout quand je n'étais pas ferme dans ma cultivation. J'ai étudié la Loi davantage et émis davantage de pensées droites pour effacer ses pensées négatives. Je me souviens toujours du jour où nous avons eu la discussion. Je lui ai dit que je voulais abandonner ma carrière et travailler pour The Epoch Times en tant que commerciale, en ajoutant que cela pouvait affecter nos revenus les deux ou trois premiers mois, mais je l'ai assuré que j'avais confiance et je lui ai promis de bien faire. De façon inattendue, il m'a dit d'y aller si c'était ce que je voulais vraiment, et qu'il prendrait soin des factures. J'étais en larmes. Dafa est si puissant. Une fois que mon cœur s'est vraiment calmé, le Maître m'a aidée.

J'ai soulevé cette question avec mon patron après avoir vu le spectacle Shen Yun. Il a été tout à fait compréhensif, mais ne voulait pas me laisser partir. Il était très ému par mes raisons et m'a dit que je pouvais encore travailler à mon poste actuel, mais chaque fois que je devais donner un coup de main à The Epoch Times, je n'avais qu'à le mettre au courant, et il me couvrirait. Ce fut le début de ma carrière de préposée aux ventes à temps partiel de The Epoch Times. Au début, je l'ai géré comme un emploi commercial ordinaire, en pensant que puisque j'avais des expériences de ventes antérieures, cela ne devrait pas être si difficile. Cependant, après quelques semaines j'ai senti une pression. J'ai réalisé que ce que nous faisions n'est pas simplement un emploi dans la vente, mais implique la capacité de parler aux gens au sujet de la persécution et du Falun Dafa, et sauver les gens. Tout cela est lié à notre cultivation-pratique. Travailler pour The Epoch Times m'a aidée à prendre conscience de beaucoup de mes attachements, y compris la jalousie, regarder d'autres pratiquants de haut, l'esprit de parade et de compétition. Le Maître arrange tous les incidents pour me faire prendre conscience de mon ego. Travailler pour The Epoch Times, quelle expérience!

J'ai été affectée avec une autre personne pour la vente auprès de concessionnaires automobiles. Après quelques mois, ma partenaire et moi avions couvert près d'une centaine de concessionnaires, mais n'avions presque pas eu de contrats signés. Le problème est que quand nous parlions avec la direction au sujet du Falun Dafa et de la persécution, ceux-ci étaient positifs envers notre journal, mais les vendeurs chinois étaient contre notre journal. J'ai remarqué que je n'étais pas très experte à clarifier les faits au peuple chinois, et parfois, j'essayais délibérément de les éviter. Plus tard, j'ai regardé à l'intérieur et j'ai découvert ma peur de perdre la face. Le fait que je n'avais pas une profonde compréhension de la Loi a causé le problème.

Le Maître a dit :

« Si vous n’apprenez pas bien la Loi, quand vous ferez le travail de Dafa, beaucoup de choses seront difficiles à bien évaluer, difficiles à bien faire. » (« Enseignement de la Loi lors de la tournée en Amérique du nord »)

J'ai réalisé que je travaillais sur tellement de projets que j'avais l'attachement à faire les choses. J'avais négligé l'importance de l'étude de la Loi. En réalisant cela, je me suis vraiment calmée un jour et j'ai mis tout mon cœur et âme sur l'étude de la Loi. Un miracle s'est produit. Le lendemain, j'ai reçu un appel d'un marchand qui m'avait déjà refusée à plusieurs reprises. Il a dit qu'ils avaient un budget pour publier des annonces chez nous! Je savais que c'était le Maître qui m'encourageait de nouveau.

Plus j'étudie la Loi, plus je sens la puissance du Maître et Dafa. J'ai compris que tout ce qui se passe autour de moi a une raison, comme le Maître nous l'enseigne. Les Chinois travaillant dans la concession peuvent avoir un lien antérieur avec moi. Je dois les traiter avec compassion et je devrais plus leur parler de la persécution et du Falun Dafa. Peu importe qu'ils fassent ou non de la publicité chez nous, peu importe la façon dont ils me traitent, ils sont avant tout des êtres.

Le Maître a dit : « Les gens de ce monde sont venus pour la Loi. » (« Enseignement de la Loi lors d'une réunion de The Epoch Times ») Je dois les sauver. Dès que j'ai vraiment cessé de m'inquiéter de mon gain personnel - faire de l'argent dans la vente des publicités - et que j'ai vraiment pensé d'abord aux autres, j'ai remarqué que beaucoup d'entre eux changeaient. Un concessionnaire chinois de ventes d'automobiles qui avait été très négatif au sujet de notre journal m'a dit que peu importe ce que je disais, ils n'allait pas publier d'annonces chez nous, même après que je lui ai expliqué les faits. Mais je ne l'ai jamais abandonné. Je dépose régulièrement notre journal à son bureau et trouve l'occasion de discuter avec lui pendant un petit moment. Il a récemment dit à ma partenaire que nous n'avions plus besoin de déposer un journal spécialement pour lui, parce qu'il prenait notre journal à l'épicerie. Il a dit à ma partenaire que nos reportages racontent les faits que d'autres ne rapportent pas et qu'il apprenait beaucoup [de choses].

Mon travail à The Epoch Times est difficile, mais aussi merveilleux. Presque tous les deux, trois jours j'ai des histoires et de nouvelles compréhensions de la Loi. À l'occasion, j'aime partager mes histoires et sentiments avec mon mari. Peu à peu, je pense qu'il comprend davantage de choses au sujet de Dafa. Une fois, en vacances, nous nous sommes faits voler 150 euros. J'étais tellement en colère et tellement fâchée contre lui et moi-même. Je me suis assise sur un banc, me plaignant de la façon dont les gens sont mauvais, qu'il était négligent, et j'ai continué à me plaindre comme ça. Toutefois, il n'était pas du tout contrarié, ni fâché, ni en colère. Je lui ai demandé, « Pourquoi n'es-tu pas en colère? » Il a répondu : « N'es-tu pas une pratiquante? Ton Maître ne t'enseigne-t-il pas la perte et le gain? Où est ta patience? » J'ai eu l'impression qu'on m'avait frappée avec un bâton. Il n'est pas un pratiquant, mais son xinxing était bien meilleur que le mien. J'avais honte. J'ai réalisé que le Maître avait utilisé les mots de mon mari pour m'avertir. Merci, Maître!

J'ai partagé cette histoire avec les pratiquants. Un pratiquant a commenté, « C'est le destin que vous vous soyez mariés, et tu es devenue une pratiquante aujourd'hui. Tu ne devrais pas l'abandonner juste parce qu'il a dit qu'il ne croit pas en la Loi. Essaye de lui parler davantage de la Loi. » Je pense que le pratiquant avait raison. J'ai partagé de plus en plus de chose au sujet de Dafa avec mon mari, en utilisant ce que j'avais compris de la Loi pour expliquer les choses autour de nous - pas beaucoup, mais peu à peu. La chose suivante qui est arrivée, il y a quelques semaines, il a accepté de lire « Zhuan Falun » avec moi, puis plus tard, il a commencé à faire les exercices avec moi également. Bien que parfois il s'endormait pendant la lecture ou voulait partir quand je lui demandais de faire le deuxième exercice ou la méditation assise, je me suis rappelée de ne pas être en colère contre lui, et je lui ai donné plus d'encouragement et je ne l'ai jamais abandonné. Il a même commencé à me poser des questions au sujet de « Zhuan Falun » et il s'est même porté volontaire pour faire la cuisine pour l'équipe de Shen Yun. Je me suis sentie tellement bien. Je sais que cela est dû à la puissance de Dafa - cela peut complètement changer les gens!

Je me sens si chanceuse qu'après avoir raté l'occasion il y a dix ans, j'ai pourtant la possibilité de pratiquer la cultivation, surtout en ce moment. Je sais que j'ai besoin d'abandonner les habitudes destructrices comme l'esprit de parade, le fanatisme, la jalousie, la mentalité de compétition et l'attachement au confort. Je vais travailler dur pour rattraper le temps perdu. Je vais suivre le Maître, faire les trois choses nécessaires, devenir une disciple de Dafa qualifiée de la période de la rectification par la Loi et remplir mes vœux.

Heshi

Traduit de l'anglais au Canada