(Minghui.org)

Deuxième partie : http://fr.minghui.org/news/1006/20/E117524_20100531_FR.html

1-1-5. Utiliser les mauvais traitements pour tuer l'esprit de quelqu'un

Pour les pratiquants de Falun Gong, compléter le travail exigé est un détail.

Mais c'est agonisant cependant lorsqu'un garde de prison souhaite que la pratiquante écrive un article attaquant le Maître, la Grande Loi ou soi-même. Si vous refusez de l'écrire, vous serez attaqué, insulté et critiqué. Lorsqu'il y a un désir de quitter ce lieu d'enfer ou d'avoir la peine de prison réduite, vous êtes donc sous leur contrôle. Vous devez continuer à attaquer le Maître, la Grande Loi et vous-même, et aider les gardes de prison à forcer d'autres pratiquants à renoncer à la Grande Loi. De plus, si vous avez des membres de votre famille qui pratiquent Dafa, vous êtes contraints de leur écrire que vous allez renoncer à la pratique, abandonner leurs livres et documents y afférents, et chanter des louanges aux gardes de la prison.

Les gardes de la prison exigent que les gens écrivent des articles faisant des éloges du Parti communiste chinois (PCC). Ils veulent également des articles qui font leur éloge et leur travail en essayant de transformer les pratiquants. Les articles doivent inclure des mots tels que « grandiose, altruiste et dévouement. »

1-1-6. Utiliser des enregistrements et des appels téléphoniques pour laver le cerveau des gens

Au cours des années, la cinquième brigade de la prison pour femmes de Shanghai a eu la responsabilité de persécuter les pratiquants de Falun Gong. Les gardes ont maintes fois joué des cassettes injuriant la Grande Loi à plein volume dans les pièces de la prison afin de réaliser la soi-disant « transformation ». Le 7 juin 2007, Shi Lei, le commandant de la cinquième brigade, a appelé la fille de Mme Zheng Aihua, une pratiquante de Falun Gong, à Hong Kong et a joué une cassette utilisée pour le lavage de cerveau.

Plus d'information à propos des appels téléphoniques :

http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2007/7/7/87430.html

1-2 Persécution dans d'autres escouades

Si une pratiquante est capable de résister à la persécution dans la cinquième brigade, elle sera envoyée dans d'autres brigades.

En 2001, la seconde brigade a conçu une nouvelle méthode de torture « Porter des vêtements serrés » (également connue sous le nom de « sac en contraction » ou « habit en contraction ») afin de nuire aux pratiquants. On dit qu'elle vient du camp de travaux forcés de Masanjia. À la surface il semble qu'un vêtement serré n'est pas aussi mauvais que des menottes. En réalité, il est vraiment nuisible au corps parce qu'il perturbe la propre circulation sanguine du corps entier et affecte la respiration. C'est un vêtement spécial fait de canevas épais qui n'est pas flexible. En dessous des bras il y a des bandes de caoutchouc qui contractent le vêtement. Si une pratiquante est attrapée en train de faire les exercices, elle doit porter un tel vêtement. Pendant 24 heures, elle est forcée de rester dans une position fixe avec les deux bras bien fermés sous les aisselles, et les mains en face de la poitrine. C'est si serré qu'il est impossible de faire un mouvement. De plus, la pratiquante n'est pas relâchée même lorsqu'elle doit utiliser la salle de bain.

1-3 Une piste menant au prélèvement d'organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants

Une piste menant jusqu'au prélèvement d'organes : on a appris que les analyses de sang étaient faites de nombreuses fois dans la prison pour femmes de Shanghai. Une pratiquante qui était emprisonnée dans la prison pour femmes de Shanghai durant cinq ans avec une autre pratiquante, s'est souvenue de certains incidents importants qui pourraient être précieux pour les enquêteurs.

Plus d'informations :

2. Des cas sévères de persécution

2-1 Mme Xi Jiao et Mme Li Huayan soufrent de traumatisme mental à cause de la torture

Xi Jiao en bonne santé

Xi Jiao après avoir eu un effondrement mental

(1) Xi Jiao, 33 ans, vivait dans le village de Baogangjiu, district de Baoshan, Shanghai. Elle a été arrêtée illégalement en juillet 2001 lorsqu'elle avait 24 ans. Elle a été premièrement emprisonnée dans le centre de détention de Baoshan pendant plus d'une année et a été persécutée jusqu'à ce qu'elle a commencé à souffrir de spasmes. En juillet 2002 elle a été condamnée illégalement à quatre années et six mois de prison et a été transférée à la prison pour femmes de Shanghai.

Peu de temps après qu'elle a été transférée à la prison pour femmes de Shanghai, elle a souffert d'une dépression mentale et a été envoyée à la prison de l'hôpital. Après un mois elle a été renvoyée pour rester auprès des criminels qui étaient grossiers. Cet environnement terrible l'a beaucoup blessée et l'a menée à un effondrement mental. En 2003 elle a été envoyée à l'hôpital psychiatrique du district de Baoshan. Les fonctionnaires de la prison ne voulaient pas que sa famille le sache et lui ont donné un autre nom, Xue Jiao. Elle se trouvait dans cet hôpital pendant trois mois.

De 2007 à 2010 les policiers n'ont jamais arrêté de la harceler et de lui mettre la pression. Au cours de cette période elle a été envoyée à l'hôpital psychiatrique trois autres fois.

Cette personne, qui voulait pratiquer Authenticité-Bienveillance-Tolérance, a été transformée en une malade mentale par des êtres pervers. Bien qu'elle souffrait d'un effondrement mental, les autorités ont continué à la persécuter. Elle n'est pas capable d'avoir une vie normale, et les membres de sa famille et elle sont sous une intense pression mentalement et financièrement.

    (2) La pratiquante de Dafa, Li Huayan, à présent dans la trentaine, a été arrêtée et envoyée à la prison pour femmes en novembre 2005. Elle a été enfermée dans une cellule d'isolement pendant de longues périodes. En mai 2006, ses mains ont été menottées derrière son dos pendant une semaine. Elle était incapable de penser clairement après cela, et agissait de manière fantasque. Les gardes ont dit qu'elle prétendait être une malade mentale, et ne l'ont pas envoyée à l'hôpital. Ils ont attendu que sa peine de prison soit terminée en février 2008 pour la relâcher.

Traduit de l'anglais en Suisse.