De la huitième conférence de partage d’expériences par Internet pour les pratiquants de Chine

(Minghui.org)


Après que l'article du Maître « Faire tourner la roue en direction de ce monde  » ait été publié en février 2005, beaucoup de pratiquants de Falun Dafa se sont retirés du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organismes affiliés par l'Internet. J'ai également demandé à un pratiquant de m'aider à démissionner par l'intermédiaire de l'Internet.


Bien que j'aie annoncé que je démissionnais sur l'Internet, j'ai dû quand même assister à toutes les réunions de lavage de cerveau et événements que le PCC organisait à mon lieu de travail. Je n'étais vraiment pas à l'aise d'écouter leur propagande. En mai 2005 j'ai décidé de soumettre une requête pour démissionner officiellement du PCC et j'ai donné le formulaire au comité du Parti à mon travail. Je l'ai dit à mon mari, il n'était pas d'accord avec ma décision car il était un membre de l'exécutif de la compagnie. Six mois se sont écoulés et mon mari m'a dit que le directeur général était choqué par ma demande de quitter le PCC. Il a demandé indirectement si je pratiquais toujours le Falun Gong et voulait savoir ce que je pensais du PCC. Après cette réunion j'ai cessé d'assister aux réunions ou activités du PCC. Mon mari n'a pas été affecté par ma démission du PCC. Plus tard, j'ai clarifié les faits à mon mari et lui ai demandé de lire les Neuf commentaires sur le Parti communiste. Il s'est également retiré du PCC sur le site de The Epoch Times en utilisant son vrai nom.


- De l'auteur


Salutations au Maître !


Salutations aux compagnons de cultivation !


La Conférence de partage d’expériences annuelle 2011 par Internet pour les pratiquants de Chine commence sa huitième conférence. Avant cette conférence, je pensais que je ne cultivais pas très bien, car je n'avais pas bien fait les trois choses. Je pensais que je n'avais rien à écrire et j'ai manqué les sept conférences précédentes de Fahui. Récemment, en étudiant le Fa et en lisant les partages d'autres pratiquants, je me suis tout à coup rendu compte qu'au cours de la période de la rectification du Fa, la conférence d'Internet est un format spécial de cultivation que le Maître donne aux pratiquants en Chine. Le Maître a accepté ce format, toutefois non seulement je ne participais pas mais je trouvais des excuses pour éviter les conférences. Alors à ce moment-là, est-ce que je croyais vraiment dans le Maître et dans le Fa ? Est-ce que je méritais le titre d'être disciple du Maître ? J'ai cherché à l'intérieur et j'ai trouvé les racines de plusieurs de mes attachements. L'égoïsme, c'est-à-dire que je voulais seulement lire les partages des autres pratiquants. Ça prend tellement de temps d'écrire des partages. Je m'inquiétais que cela n’affecte mon étude du Fa et ma pratique des exercices. J'ai également identifié la paresse, (je devrais faire un grand effort pour écrire un article), et la vanité (je m'inquiétais de ce que mon article ne soit pas accepté parce qu'il ne serait pas bien écrit et que le pratiquant/rédacteur dirait que mon article n'était pas à la hauteur). Quand j'ai trouvé mes attachements, je savais que je devais les éliminer et alors seulement je pourrais rapporter ces trois expériences profondes de cultivation au Maître et les partager avec d'autres pratiquants.


Nos pensées sont droites quand il n'y a aucune crainte


Quand la persécution a commencé le 20 juillet 1999, la propagande et les mensonges pervers couvraient la Chine tandis que la persécution escaladait. Les responsables de ma compagnie m'ont demandé d'écrire une déclaration de garantie promettant de ne pas pratiquer le Falun Gong ou de ne pas lancer un appel pour le Falun Gong. Ils m'ont également demandé de leur remettre ma carte d'identité. J'ai refusé d'écrire la déclaration comme quoi j’arrêtais de pratiquer le Falun Gong ou ne lancerai pas d’appel pour le Falun Gong. A la place, j'ai écrit que je suivrai les lois et les règles nationales, comme les règles de la compagnie et que je ne ferai rien pour nuire à la nation et au peuple chinois. J'ai également refusé de remettre ma carte d'identité. Peu après, vers la fin de 2001, mon mari m'a dit que le secrétaire du Parti avait dit que les hautes autorités tiendraient une classe de lavage de cerveau dans la ville et que tous les pratiquants de Falun Gong de notre compagnie devaient assister à la classe. Les pratiquants ne seraient pas libérés jusqu'à ce qu'ils aient été « transformés. »


À ce moment-là, je comprenais le Fa de façon conceptuelle et ne pensais pas rationnellement du point de vue du Fa. Et je n'utilisais pas mes pensées droites. Je disais seulement que je n'avais commis aucun crime, alors pourquoi devrais-je y aller ? J'ai décidé de ne pas y aller. Mon mari a dit que je serais congédiée si je n'y allais pas. J'ai dit, « Je ne te crois pas. Ma santé et mes critères moraux se sont améliorés. Je n'ai enfreint aucune loi nationale ou règle de ma compagnie. Qui osera me congédier ? » Je n'avais aucune crainte mais une seule pensée droite. Bien que j'avais un caractère qui aime la dispute, aucun des responsables de ma compagnie n'est venu me voir. Plus tard, après avoir lu des articles du Maître, j'ai compris que tout ceci était un examen des forces anciennes pour voir si mon esprit était ébranlé. Comme j'avais une pensée droite, Maître a dissous l'épreuve pour moi. En fait une seule pensée droite suffit à nier l'arrangement des forces anciennes et à désagréger la persécution perverse.


Après avoir éliminé les attachements l'environnement familial s'est rectifié


J'ai commencé à étudier le livre Zhuan Falun vers la fin de 1996. Avant le 20 juillet 1999, quand la persécution a commencé, mon mari était de mon coté et reconnaissait que le Falun Dafa était bon. Cependant, après que la perversité ait commencé à persécuter le Falun Gong le 20 juillet 1999, il a été empoisonné par la propagande perverse et doutait beaucoup de Dafa. Bien qu'il ne s'opposait pas totalement à ma pratique de Falun Dafa, il ne me permettait pas de sortir pour contacter d'autres pratiquants. À ce moment-là, il était directeur à l’échelon intermédiaire de notre compagnie et s'inquiétait que ma pratique de Falun Gong n’affecte sa position. La compagnie surveillait de près les pratiquants de Falun Gong et craignait que si les pratiquants tenaient des réunions et allaient faire appel, ceci affecterait directement la compagnie. Comme je n'avais jamais abandonné ma pratique de Falun Dafa et n'avait pas rendu mes papiers d'identité, les responsables de la compagnie ont fait pression sur mon mari et lui ont demandé de bien me surveiller sinon sa carrière serait compromise.


Sans que mon mari soit au courant, je suis restée en contact avec deux ou trois pratiquants. Quand les pratiquants nous envoyaient des copies des dépliants du Falun Gong, nous les distribuions dans notre voisinage, c'était nos premiers pas à clarifier les faits sur le Falun Gong aux chinois. Bien qu'on ne connaissait pas la signification profonde de clarifier la vérité à ce moment-là, nous voulions simplement dire aux gens que le Falun Gong était bon. Nous recevions et délivrions les dépliants sur le Falun Gong chaque semaine et plus tard le pratiquant a acheté un ordinateur et une imprimante. Avec l'aide des pratiquants, il a installé un site de production de matériel. Je suis souvent allée chez lui et j'ai appris à faire le matériel d'information sur le Falun Gong. Puis, avec son aide et celui de son épouse, j'ai également acheté une imprimante pour produire les dépliants de Falun Gong moi-même.


Pendant deux ans, je suis parvenue à produire des dépliants sans que mon mari le sache. Je faisais les dépliants quand il n'était pas à la maison. Parfois il revenait plus tôt, mais je suis toujours parvenue à cacher le matériel et l'équipement rapidement pour qu'il ne sache pas ce que je faisais. Un jour quand je venais juste de terminer, il est revenu plus tôt et a vu tout le matériel sur le lit, y compris un ordinateur, une imprimante, un coupe-papier et de l'information sur le Falun Gong que je venais d'imprimer. Il a commencé à crier après moi, « Ne veux-tu pas vivre ? Tu deviens de plus en plus dangereuse pour nous. Tu oses même utiliser mon ordinateur ? » La compagnie lui avait donné l'ordinateur portable que j'utilisais. Il a crié après moi pour que je jette les dépliants que je venais d'imprimer. Heureusement je contrôlais la situation et je suis parvenue à le calmer tout en mettant les dépliants dans un endroit sûr.


Cette nuit-là, j'ai pensé à cet incident pendant longtemps. Je savais que je devais produire le matériel de Falun Gong, et que je ne pourrais pas toujours le faire derrière le dos de mon mari. Je ne faisais rien de mal. En fait c'était juste l'opposé, car le but de faire les dépliants était de permettre aux gens d'apprendre les faits sur le Falun Dafa. Je me suis rendu compte qu'il était temps de parler avec mon mari en profondeur. À ce moment-là, je n'ai pas pensé à utiliser des pensées droites mais voulais seulement le persuader avec des pensées humaines ordinaires. Je lui ai dit que j’allais faire le matériel une fois par semaine et que je n'en produirais pas beaucoup, ce qui ne nous causerait aucun problème. Cependant, mon mari a frappé du pied avec colère et a dit, « Tu ne sais pas à quel point tu es chanceuse. Ne sais-tu pas que tu pourrais détruire notre famille ? Je viens juste d’être promu à une meilleure position et dans d'autres familles l'épouse suit toujours le mari. Tu joues un autre jeu avec moi. Pourquoi veux-tu mettre notre famille en danger en t'opposant au gouvernement ? Penses-tu que tu peux les vaincre ? J'ai été assez généreux pour te permettre de pratiquer à la maison. Je t'ai fait une faveur mais tu abuses de ma bonne volonté. Nous divorcerons si tu continues. »


Les cris de mon mari m'ont rappelé que je cultive l'Authenticité-Bienveillance-Patience et que je ne fais rien de mal. Dafa est persécuté et le Maître est diffamé. Cette situation doit cesser alors qui a-t-il de mal à faire des dépliants qui aident les gens à comprendre la vérité à ce sujet ? Le Maître a montré la direction aux disciples de Dafa au début de la persécution illégale. La direction était de continuer à valider le Fa, à clarifier la vérité et à sauver les êtres. Je n'ai pas besoin de demander la permission à mon mari pour faire des dépliants. J'ai fermement et calmement dit à mon mari, « Je t'en parle parce que je te respecte. Cependant, je produirai des dépliants chaque semaine que tu sois d'accord ou non. Au cours de toutes ces années de ma pratique de Falun Gong, tu es la personne qui a vu le plus clairement les changements dans mon corps, et tu as également beaucoup bénéficié de Dafa. Au sujet de ta position, elle sera toujours à toi si elle est vraiment censée être à toi. Si tu t'inquiètes que ta soi-disant future carrière sera affecté par moi et veux le divorce, alors va-y. » L'attitude de mon mari a alors complètement changée, il m'a souri et m'a dit, « Je m'inquiète principalement pour toi. Je crains que tu ne sois emmenée et ça m'inquiète. Je sais que le Falun Dafa est bon, mais notre environnement est si dangereux… » Je lui ai immédiatement assuré que je n'aurais aucun problème. Je lui ai montré le matériel que j'avais fait en l'aidant à comprendre que les gens ont le droit de connaître la vérité. Depuis lors mon mari n'a jamais interféré avec ma production de matériel à la maison.


Par cet incident, je me suis rendu compte que les pensées droites viennent naturellement quand on abandonne nos attachements. Je n'étais pas attachée aux menaces de mon mari au sujet de son travail et du divorce. J'avais une seule simple pensée de produire le matériel de Falun Gong et cette pensée était droite. Ces pensées droites et puissantes ont désagrégé la perversité derrière mon mari et en conséquence sa vraie nature s'est éveillée après avoir compris la situation.


Je peux maintenant produire ouvertement le matériel de Falun Gong à la maison. Mon mari ne fait plus obstruction. Il me rappelle de faire attention les soi-disant jours sensibles. Naturellement les pratiquants ne reconnaissent pas ces jours sensibles.


Au cours de la période où il a interféré avec moi, j'ai cherché à l'intérieur pour trouver mes attachements. J'ai trouvé que j'avais un fort attachement à faire des choses et à ignorer les travaux domestiques. De plus, je ne m'occupais pas de mon mari. Je me suis corrigée tout de suite quand j'ai vu ces problèmes. Plus tard, j'ai fait tous les travaux domestiques et j'ai essayé de mon mieux de partager avec mon mari. Nous avons lu les dépliants et avons regardé les nouveaux programmes de la télévision New Tang Dynasty. Il a graduellement compris la vérité au sujet de la persécution et a compris pourquoi les pratiquants de Falun Dafa clarifiaient les faits à tant de personnes. Il voulait bien me conduire en voiture pour distribuer les dépliants avec d'autres pratiquants.


Avec des pensées droites j'ai démissionné du PCC à mon travail


Les Neuf commentaires sur le parti communiste ont été publiés à la fin de l'année 2004. Je les ai lus attentivement et j'ai vu clairement la vraie nature du Parti communiste chinois (PCC). En tant que disciple de Dafa, j'ai eu vraiment honte d’être membre du PCC. Après que l'article du Maître « Faire tourner la roue en direction de ce monde » ait été publié en février 2005, beaucoup de pratiquants se sont retirés du PCC en utilisant l'Internet. J'ai également demandé à un pratiquant de m'aider à démissionner sur l'Internet. Je travaille pour une entreprise gérée par l’État et nous avons beaucoup de réunions et d'activités pour les membres du PCC à mon travail. De plus, une activité est organisée pour tous les membres du PCC une fois par mois. Bien que je me sois retirée du PCC sur l'Internet, j'ai quand même dû participer au diverses réunions de lavage de cerveau et activités du PCC organisées à mon travail. Ceci me déplaisait. Je sentais que l'esprit pervers du PCC me réprimait toujours. En étudiant le Fa, j'ai réalisé que le cerveau d'une personne est comme un récipient et qu'il devient ce avec quoi on le remplit. Je suis une disciple de Dafa. Je devrais remplir mon cerveau du Fa. Les raisonnements erronés et les mensonges du PCC sont des choses que je devrais éliminer complètement de mon être. J'ai étudié à plusieurs reprises l'article du Maître « Faire tourner la roue en direction de ce monde » et à la fin j'ai décidé de soumettre une demande de démission du PCC à la succursale du parti à mon travail afin de me débarrasser complètement du poison et du contrôle de l'esprit communiste pervers.


J'ai parlé de ma décision à mon mari. (Il est parmi la direction à mon travail et je voulais le préparer à l'avance.) Mon mari était fortement opposé à ma décision. Il a dit que j'essayais de ruiner sa carrière en faisant ceci. Il était si inquiet qu'il m'a saisie, m'a giflée, m'a insultée en disant que j'étais une malade mentale et une folle. J'ai toléré ses coups et ses malédictions et j'ai réalisé son attachement à la renommée, au profit et à la crainte comme personne ordinaire. J'ai essayé de le rassurer, « je ferai ma demande pour me retirer du PCC. Je suis ferme à ce sujet. C'est mon affaire et ça ne t'affectera pas. Si ça t'affecte vraiment, ce sera une preuve de plus de la nature perverse du PCC. Les doctrines perverses du PCC impliqueront neuf générations d'une famille ! Je te conseille de te retirer aussi du PCC. » Mon mari était très fâché mais ne savait pas quoi dire. Il m'a menacée, « je divorcerai de toi si tu te retires vraiment ! Et tu n'obtiendras aucuns de nos biens ! » Mon cœur était très calme et je n'ai pas été émue.


J'ai soumis ma requête pour me retirer du PCC à une secrétaire d'une succursale du parti à mon travail le 17 mai 2005. La secrétaire était choquée et m'a demandé si j'avais des soucis et si je pratiquais toujours le Falun Gong. J'ai dit que cela n'avais rien à faire avec ma décision de me retirer et que c'est une question de croyance personnelle. La secrétaire a dit, « Vous devez y réfléchir attentivement. Les gens veulent devenir des membres du parti et personne ne s'est jamais retiré du parti. Seules les personnes qui commettent des méfaits sont renvoyées du parti. » J'ai dit, « N'est-il pas énoncé dans la constitution du parti qu'une personne rejoint le parti volontairement et qu'elle est libre de quitter le parti ? Pourquoi ne puis-je pas me retirer ? » La secrétaire a dit, « Nous n'avons jamais eu cette demande ni dans l'organisation au niveau supérieur. Nous devrons étudier votre cas et faire un rapport au niveau supérieur. » J'ai dit, « C'est votre affaire. Quoi qu'il en soit, j'ai soumis ma requête aujourd'hui. Je ne suis plus membre du parti. »


Après cela, chaque fois qu'on m’annonçait d'assister à une réunion ou de payer la cotisation au parti, je répondais que je m'étais retirée du parti, qu'il n'était plus nécessaire de m'informer et que je ne payerai plus les frais d'adhésion. Six mois se sont écoulés et un jour en décembre 2005, pendant la pause de midi, mon mari est venu à la maison et m'a dit que ma demande de démission du PCC avait alerté le chef de notre organisation au niveau supérieur. Le chef m'a demandé d'aller à son bureau après le déjeuner pour causer. La secrétaire à mon travail n'avait pas envoyé ma demande à ses supérieurs par crainte que cet incident ait un affect négatif sur sa carrière. Comme je n'avais pas assisté à aucune activité ou réunions du PCC, la majorité des membres du parti à mon travail savait déjà que j'avais fait une demande pour me retirer du PCC. Plus tard les nouvelles sont arrivées au chef, qui a tout d'abord parlé avec mon mari et lui a demandé d'essayer de me persuader de changer d'avis. Mon mari lui a dit qu'il ne pouvait pas me faire changer d'avis, le chef a donc décidé de me parler en personne.


J'ai hésité si je devais y aller ou pas. Après avoir réfléchit pendant un moment, j'ai décidé d'y aller, pensant que le chef était également un être. Il occupe seulement une position plus élevée que moi et me retirer du PCC est mon choix et personne ne peut m'arrêter !


Je suis allée au bureau du chef et il a parlé indirectement en essayant d'introduire l'idéologie communiste dans mon esprit tout en essayant de savoir si je pratiquais toujours le Falun Gong. J'ai pris les devants et j'ai parlé directement de mon retrait du PCC. Me voyant parler directement, le chef a commencé à parler des succès et des erreurs du PCC et m'a conseillé de ne pas plaisanter avec la ma vie politique, etc. J'ai dit, « En parlant d'âge, vous êtes plus âgé que moi. En parlant au sujet du PCC, j'en connais autant que vous. De plus, me retirer du PCC est mon choix personnel. Vous ne pouvez pas me forcer à croire en quoi que ce soit, n'est-ce pas ? »


Le chef a dit, « C'est vrai. Mais vous devez penser à votre mari et à sa carrière. C’est un des responsables à votre travail. » J'ai répondu, le « retrait du PCC est ma décision personnelle et il n'a rien à y voir. Comment est-ce que ceci pourrait l'affecter ? S'il est affecté alors ceci prouverait que le PCC est vraiment problématique. »


J'ai plaisanté, « impliquer neuf générations d'une famille est le produit de systèmes féodaux et despotiques, n'est-ce pas ? » Le chef n'a pas réussi à me faire changer d'avis et à la fin il a dit d'un ton doux, « Il n'y a aucun précédent d'un cas comme le vôtre dans toute l'organisation au niveau supérieur de cette province. Puisque vous avez soumis une requête, nous devons en discuter. Si après discussion, nous soumettons vraiment votre cas à un échelon plus élevé, ils exerceront sûrement des actions négatives contre notre entreprise et sur les avantages que possèdent nos employés. Vous voyez… »


J'ai compris ce qu'il essayait de me dire et j'ai décidé de lui offrir une porte de sortie. J'ai dit fermement et d'un ton calme, « Compte tenu de votre dilemme, je peux reprendre ma demande. La demande écrite sur papier est juste une formalité. Le but de mon retrait est d'éliminer le contrôle de l'esprit pervers du PCC sur mon cœur, et de réduire l'énergie de l'esprit pervers. Mais mon cœur s'est déjà retiré du PCC. Donc dorénavant, je n'assisterai à aucune réunion du parti, session d'étude ou activité et je ne paierai plus les cotisations. Vous ne devriez pas utiliser cela pour évaluer négativement mon travail ! » Le chef a immédiatement dit, « D'accord, vous devez juste communiquer ceci au secrétaire du parti à votre travail. »


À ce moment-là, je m'étais officiellement retirée du PCC à mon travail et je n'ai plus assisté à aucune activité ou réunion du parti. J'ai senti qu'un lourd fardeau était enlevé de mon esprit. Sans le contrôle de l'esprit pervers, je me sentais très légère. La carrière de mon mari n'en a pas été affectée et il n'a jamais plus mentionné le divorce. Plus tard j'ai expliqué les faits et j'ai encouragé mon mari à lire les Neuf commentaires sur le parti communiste, et il s'est également retiré du PCC en utilisant son nom réel, par l'intermédiaire du site de The Epoch Times. Il est toujours un responsable à mon travail. Je sais que le Maître m'a aidée et c'est le Maître qui l'a fait. J'ai simplement eu cette simple pensée droite et ferme dès le début.


Ces trois incidents de cultivation au cours de la période de la rectification du Fa m'ont aidée à expérimenter profondément la puissance des pensées droites. J'écris pour rapporter ceci au Maître et pour le partager avec les pratiquants. Veuillez me corriger s'il y a quelque chose d'inapproprié. En fait, au cours des dix ans de cultivation lors de la période de la rectification du Fa, on peut trouver des pratiquants qui ont eu des pensées droites fortes, ont cultivé diligemment et ont bien fait les trois choses un peu partout en Chine. En écrivant cet article ces derniers jours et en lisant les articles de partage des pratiquants, j'ai découvert plusieurs de mes attachements. Un pratiquant a dit, « écrire un article pour le site de Minghui est un processus de s'améliorer et de se cultiver. » Écrire ce partage pour le Fahui a été un virage pour moi, pour cultiver vraiment diligemment avec mon cœur en faisant bien les trois choses et pour être une disciple digne de Dafa lors de la période de la rectification du Fa !


Merci Maître ! Merci compagnons pratiquants ! Heshi.



Traduit de l'anglais au Canada