(Minghui.org)

Pendant un jour en automne de 2007, mon conjoint (aussi un pratiquant) et moi, nous sommes allés dans une rue du parc pour clarifier la vérité et demander aux gens de démissionner du Parti communiste chinois (PCC). Près du lac du parc, nous avons vu une personne âgée qui semblait bossue. Il marchait vers nous. Quand il s'est approché plus près, nous avons réalisé que c'était un de mes collègues. Il avait l'air très pâle, osseux, âgé et malheureux. Je l'ai salué, « Directeur, comment allez vous ? » Il semblait très inquiet et a dit, « J'ai un cancer de l'oesophage en phase terminale. Mon docteur m'a dit que je n'ai plus que trois à cinq mois à vivre. Maintenant, j'attends seulement. »


Le Maître nous a dit que tous les êtres vivants sont venus dans ce monde pour la Loi. Ceci devait être l’arrangement du Maître pour que nous ayons l'occasion de le sauver. Nous lui avons alors clarifié la vérité et lui avons raconté des histoires d'autres malades du cancer qui avaient récupéré après avoir sincèrement récité « Falun Dafa est bon ; l’Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bonne. » Il était heureux d'apprendre cela. Tous les êtres humains ont un désir fort de vivre plus longtemps.


Le jour suivant, nous sommes allés chez lui pour lui donner le livre précieux Zhuan Falun et d'autres documents, y compris les Neuf commentaires sur le Parti communiste. Nous lui avons donné beaucoup d'exemples de personnes qui ont été guéries de leurs maladies en pratiquant le Falun Gong. Tout le monde, depuis les hauts fonctionnaires jusqu'aux citoyens ordinaires, sait que le Falun Gong est bon et beaucoup le pratiquent. Seulement le régime de Jiang l'a supprimé. Comme nous étions très sincères, il a écouté attentivement. Nous avons étudié la Loi ensemble et lui avons enseigné les cinq exercices. Quelques mois plus tard, sa santé s'était nettement améliorée. Son dos est devenu droit et il a pris du poids. Son visage est devenu rose. Il a dit joyeusement, « Merci de votre aide. J'ai presque perdu la vie. Maintenant, j'ai récupéré. Comment aurais-je pu survivre si vous ne m'aviez pas sauvé la vie ? » J'ai dit, « C'est le Maître qui vous a sauvé. Le Fashen du Maître (le corps de Loi) a épuré votre corps et vous a donné un corps sain. Tout ce que nous avons fait, était simplement de vous mettre au courant. »


Quatre ans ont passé. Sa santé va de mieux en mieux. Récemment, il nous a dit, « Mon docteur m'avait dit de prendre des médicaments trois fois par jour et d'avoir des injections de temps en temps. Tant que j'allais être en vie, j'allais devoir prendre des médicaments. Mais depuis que j'ai commencé à pratiquer les exercices et à étudier la Loi, quatre ans ont passé. Je n'ai jamais pris aucun médicament ou injection. Dans le passé, je devais me reposer chaque fois que j'essayais de monter les escaliers, mais maintenant, je peux le faire sans me reposer. Je suis déterminé. Je réciterai sincèrement ‘Falun Dafa est bon. L’Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bonne' chaque jour. »


Un jour en été de 2008, j'ai soudain reçu un appel téléphonique d'un ancien camarade de classe. Il m'a dit qu'il avait été hospitalisé. Nous sommes allés à l'hôpital pour lui rendre visite. Il m'a tenu les mains ; ses mains tremblaient. Il a dit, « Mon ami, j'ai peur que ma vie se termine. Mon docteur m'a dit qu'on m'avait diagnostiqué un cancer du rein en phase terminale et je n'ai que six mois à vivre. » Je lui ai dit, « N’aie pas peur. Ne t'inquiète pas ! » Nous lui avons clarifié la vérité et lui avons dit que ce serait efficace s'il suivait les principes de la Loi. Après avoir entendu ceci, il a été convaincu. Sa dépression et son pessimisme ont disparu.


Il a fini de lire tous les documents que nous lui avions donné. Il a sincèrement récité, « Falun Dafa est bon. L’Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bonne » chaque jour. Avant et après son opération, sa famille a récité à tour de rôle « Falun Dafa est bon. L’Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bonne. » Il a dit, « J'ai récité ces phrases bien avant que l'anesthésie soit entrée en vigueur. C'était une opération importante. Les docteurs ont préparé plus de mille millimètres de sang. Cependant, ils n'ont jamais eu besoin de l'utiliser. Ils ont enlevé les points de suture une semaine après l'opération. La blessure a guéri admirablement. Il n'y a presque aucune cicatrice. Mon docteur m'a dit que c'était un miracle, un miracle qui ne s'était jamais produit avant. »


Il est sorti de l'hôpital quinze jours plus tard. Quand il nous a vus, il nous a remerciés de lui avoir sauvé la vie. Il nous a remis les noms de quatre membres de sa famille et leur message « S’il vous plaît, aidez-nous à démissionner du PCC. »


On avait dit à ces deux malades du cancer en phase terminale qu'ils n'avaient plus que six mois au maximum à vivre, avec l'aide de l'hôpital. Cependant, trois ou quatre ans ont passé et ils vont de mieux en mieux.


Traduit de l’anglais au Canada