(Minghui.org) En regardant en arrière, mon parcours de validation de Dafa pendant les 13 dernières années, j'ai senti que, tant et aussi longtemps que je continuais à marcher sur ce chemin, qu'il s'élargissait. Je veux partager quelques-unes de mes expériences à cet égard survenues pendant ces années. Veuillez indiquer et corriger chacune de mes insuffisances.

Devenir bien déterminé dans la cultivation de Dafa

Quand la persécution a commencé le 20 juillet 1999, je venais de lire le Zhuan Falun quelques fois et je n'avais pas encore appris tous les 5 exercices. Comme j'ai été trompé par les mensonges du parti pervers, j'ai arrêté la pratique de Dafa pendant plusieurs mois.

À cette époque, j'ai perdu mon emploi et j'avais donc des difficultés dans la vie de tous les jours. J'ai suivi le conseil d'autres pratiquants et, j'ai de nouveau, commencé à lire le Zhuan Falun. Comme je n'avais plus d'emploi, je consacrais mon temps à étudier le Fa. Parfois, j'étais capable de lire le Zhuan Falun en deux ou trois jours. Je suis devenu de plus en plus déterminé à cultiver le Falun Dafa. Mon retour à la cultivation du Falun Dafa et le fait de devenir un pratiquant bien déterminé est arrivé parce que j'ai étudié le Fa aussi souvent que possible.

En niant la persécution, on m'a offert deux emplois en même temps

Je suis allé chez un nouvel employeur en 2001. Plusieurs semaines après avoir commencé à travailler là, la direction a appris que je pratiquais le Falun Dafa. Ils ont coopéré avec le Parti et ils les ont aidés à me persécuter. Je n'ai pas essayé d'éviter la persécution au moyen de contacts, ni de sortir par la porte arrière. Quand le secrétaire du Parti de notre secteur m'a parlé, je lui ai expliqué la vérité ouvertement et sans ambiguïté. Quand il m'a demandé si je voulais continuer ma cultivation, je lui ai dit : « Ceci est ma croyance personnelle. Cela n'a rien à voir avec mon travail et j'ai le droit de ne pas vous répondre. Falun Dafa est actuellement persécuté. Ceux qui persécutent les bonnes personnes ne connaîtront pas une bonne fin. C'est une Loi du Ciel : ce qui est bien sera récompensé et ce qui est mauvais sera puni. » À partir de ce-moment-là, il n'a plus jamais essayé de m'arrêter de faire ma pratique.

Un jour, le directeur des gérants avait été irrespectueux envers le Maître devant les autres employés. Je lui ai dit : « Si vous pouviez écrire un livre ainsi et que les autres, quand ils liraient votre livre, pouvaient obtenir une meilleure santé et devenir des coeurs meilleurs et si vous pouviez inspirer 100 millions de personnes à croire en vous de tout cœur, alors, je croirais en vous aussi. » Peu de temps après, ils m'ont redonné mon poste.

Je suis les principes de Dafa : « Authenticité-Compassion-Tolérance » dans ma conduite à mon poste de travail et la direction en est venue à avoir de plus en plus confiance en moi. Ils m'ont attribué de plus en plus de responsabilités ; ils m'ont demandé de gérer les comptes financiers et de gérer la cafétéria. Je ne suivais pas ce qui se passait en Chine et je ne cherchais pas à obtenir des bénéfices personnels par mon travail. Je faisais attention à la cultivation de la parole. Je traitais toutes les personnes avec lesquelles j'avais des contacts équitablement et gentiment, sans prendre en considération leur classe sociale. Mes collègues m'ont tous louangé. Le superviseur de mon employeur a dit qu'il était dommage pour moi que je pratique le Falun Dafa, voulant dire que ma carrière était en danger parce que j'étais un pratiquant.

Les premières fois que j'ai entendu ses commentaires, je n'ai rien dit. Je pensais que cela avait été dit pour moi afin d'éliminer mon attachement à la renommée et à la mentalité de compétition. Plus tard, j'ai compris que cela n'avait pas été dit pour ma cultivation personnelle et qu'il me fallait valider Dafa. Quand le patron m'a de nouveau dit cela devant les autres, j'ai dit : « J'ai travaillé pour vous et vous savez que j'ai du talent et que je suis capable, mais vous ne m'accordez pas de promotion parce que je suis un pratiquant. » Il a dit : « Pourquoi vous promouvoir à un certain poste, est-ce ce que vous voulez ? » Je lui ai répliqué : « Si vous me donnez une promotion c'est votre affaire. Que je l'accepte ou non, c'est mon affaire.  » Après cela, il ne m'a jamais plus fait de commentaires de cette façon.

En 2007, mon frère aîné m'a demandé si je voulais changer d'emploi. Il m'a raconté que son ami avait une très bonne relation avec le chef de la division qui supervisait mon employeur et qu'il pourrait m'aider à obtenir une promotion. À ce moment-là même, les paroles du Maître me sont venues à l'esprit :

«  Lorsque quelqu’un s’obstine à agir ainsi, il obtient des avantages au détriment des autres, donc il commet une mauvaise action. C’est pourquoi, dans la cultivation et la pratique, on dit toujours qu’il faut laisser les choses suivre leur cours naturel, voilà la raison. Car à travers vos efforts vous allez nuire aux autres. Si, au cours de votre vie, vous vous appropriez une chose qui ne vous est pas destinée, une chose qui dans la société doit revenir à quelqu’un d’autre, eh bien vous avez contracté une dette à son égard. » (Zhuan Falun)

J'ai poliment refusé sa proposition.

L'année dernière, le copain de mon frère m'a recommandé au propriétaire d'une grande société privée, avec la mention que j'étais fiable. J'ai essayé d'éluder cette affaire sous prétexte que je ne connaissais par le travail. Le propriétaire a dit qu'il pouvait m'apprendre le travail si nécessaire et qu'il voulait engager quelqu'un de fiable. Comme le travail que je faisais à l'époque ne m'engageait que pendant deux mois par année, je n'avais aucune excuse pour refuser cette offre d'emploi et je l'ai acceptée.

Dans ce nouvel emploi, je me comportais comme un pratiquant. J'étais honnête, j'avais de l'auto-contrôle et j'aidais les autres sincèrement. Je me sentais très confortable dans mon nouvel emploi. Alors j'ai demandé à mon ancien employeur de me licencier, sans préavis. À ma surprise, le directeur principal a ordonné au chef de ma section de m’appeler. Ils m'ont dit qu'ils avaient augmenté mon salaire, aussi qu'ils allaient m'accorder d'autres compensations et ils m'ont demandé de retourner travailler pour eux. Pendant cette communication téléphonique, le chef d'équipe continuait à me dire qu'ils avaient pleine confiance en moi et ils m'ont demandé de revenir travailler pour eux. Pendant ces dernières années, ils ont vraiment eu confiance en moi, et qu'ils n'ont rien dit même après qu'ils aient appris que j'avais clarifié la vérité concernant la persécution, à mon travail.

De nos jours, il n'est pas facile de trouver un emploi. En tant que pratiquant de Dafa, j'ai maintenant deux emplois. Ceci démontre que les gens sont en train de s'éveiller et qu'ils ont une compréhension positive du Falun Dafa. Il y avait un autre gérant de cafétéria à mon premier travail, mais il n'était pas pratiquant. Mes collègues le comparaient toujours avec moi. Un intérimaire qui travaillait à la cafétéria est venu vers moi quand j'étais en train de transférer le travail à mon successeur et il a dit que si je n'étais plus en charge de la cafétéria, qu'il ne voulait plus y travailler. Tout le monde a dit que les gens qui pratiquent Falun Dafa sont bons.

Sauver les êtres

J'ai continué à parler des faits de la persécution, à mon travail. Ces dernières années, la plupart des gens à mon premier travail se sont retirés du PCC et de ses organisations affiliées. La première personne à qui j'ai raconté les faits à mon nouvel emploi, était la fille d'un pratiquant, que je connaissais et il était en prison à ce moment-là. Elle a commencé à cultiver quand elle était jeune. Après l'arrestation de son père, elle est venue avec sa mère au site de travail. Elles n'avaient pas réussi à obtenir les nouveaux enseignements, ni l'Hebdomadaire de Minghui, donc, je les leur ai donnés. Quand j'ai parlé au directeur du nouvel emploi, il a refusé de croire que le PCC allait bientôt périr. Alors je lui ai dit : «Pensez-vous que le PCC va tout-à-coup démissionner ? » Il a dit qu'il ne croyait pas. J'ai dit : « Les gens sont en train de spéculer sur combien de temps de plus, le PCC pourra tenir le coup, avant de s'effondrer. De toute façon, il vaut mieux être en sécurité et de se retirer du PCC maintenant ! »

Avant d'être un pratiquant, je n'étais pas une personne articulée. Après avoir commencé à étudier la Loi, mes pensées sont devenues plus claires et je suis capable à résoudre beaucoup de questions difficiles quand j'explique les faits. Chaque fois après avoir expliqué la vérité de personne à personne, je cherche mes insuffisances afin de pouvoir m'améliorer et sauver ainsi plus d'êtres. Je tiens à appliquer tout ce que le Maître nous a donné pour valider Dafa et sauver plus de vies.

J'ai encore pas mal de lacunes dans ma cultivation. En considérant le chemin que j'ai parcouru dans ma cultivation, je ne cesse de me rappeler de chérir ce parcours que j'ai déjà fait et de chérir le salut du Maître. Je continue de me dire que ce n'est qu'en étant plus diligent et en sauvant plus de vies que quelqu'un cultive jusqu'à la plénitude de la perfection et suit le Maître pour retourner à son vrai chez soi.

Traduit de l'anglais en Belgique