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Fahui de Minghui | Mon expérience de la cultivation solitaire

2 décembre 2012 |   Écrit par un disciple de Dafa de la région autonome du Xinjiang

(Minghui.org) Cette année-là, j'ai trouvé par hasard Minghui, et mon cœur errant a été complètement nettoyé à la lecture des articles de Minghui. J'ai compris que je devais participer à la cultivation de la période de la rectification de Fa et faire les trois choses requises des disciples de Dafa.

--Écrit par l'auteur

Salutations au Maître bienveillant ! Salutations aux compagnons de pratique !

Quand j'étais au lycée, j'ai appris les exercices du Falun Gong d'un camarade de classe. Normalement, je n'avais pas de difficultés à croiser les jambes l'une au-dessus de l'autre, mais curieusement j'avais très mal aux jambes quand j'ai essayé la méditation du Falun Gong, et je ne pouvais les croiser en double lotus que pendant 8 à 9 minutes. Mon camarade de classe m'a aussi prêté le livre Zhuan Falun, mais ensuite il a dû le reprendre. Je l'avais à peine parcouru une fois. Même si je n'avais aucune idée de ce qu'était le Zhuan Falun, j'ai décidé de faire un essai du Falun Gong et de me fixer l'objectif de méditer pendant 10 minutes en une seule séance. Environ trois semaines plus tard, pour la première fois, j'ai pu croiser les jambes pendant 15 minutes. Le moment où j'ai franchi la barre des 15 minutes, j'ai senti quelque chose entrer dans mon corps, et je me suis immédiatement senti incroyablement confortable. J'étais un peu effrayé, car je ne savais pas ce qui venait de se passer. Le lendemain matin, j'ai commencé à vomir et avoir la diarrhée. Les symptômes ont disparu aussi vite qu'ils étaient venus. J'étais tout à fait bien l'après-midi. Ceci est arrivé l'été 1993. Même avant que j'aie eu une idée claire de ce qu'était le Falun Gong, le Maître avait déjà installé un Falun en moi et ajusté mon corps. Les larmes me viennent encore aux yeux chaque fois que j'y pense.

Après que la persécution du Falun Gong ait commencé en juillet 1999, j'ai perdu l'environnement pour pratiquer les exercices et étudier le Fa avec les pratiquants. J'ai peu à peu abandonné ma cultivation et dans les années qui ont suivi, j'ai été préoccupé à trouver du travail et gagner ma vie. Avant que je m'en rende compte, on était déjà en 2008. Cette année-là, j'ai trouvé par hasard Minghui, et mon cœur errant a été complètement nettoyé à la lecture des articles de Minghui. J'ai compris que je devais participer à la cultivation de la période de la rectification de Fa et faire les trois choses requises des disciples de Dafa. Depuis ce tournant, j'ai commencé ma cultivation « solitaire », toujours sans un environnement à partager avec d'autres pratiquants.

  1. Mon milieu familial est une occasion de cultiver

Mon père

Un jour, quand j'ai vu mon père écrire un article faisant l'éloge du Parti pervers et d'un chef défunt du Parti communiste chinois (PCC), je lui ai dit sans réfléchir : « Papa, le Parti communiste est une secte. » Sa réaction émotionnelle m'a choqué, mais j'ai réussi à garder mon sang-froid. Il m'a injurié pendant environ une demi-heure et je n'ai pas rétorqué. Dans les jours qui ont suivi, chaque fois que j'ouvrais la bouche pour parler, j'ai été accueilli par des contre-arguments et des jurons de sa part. Je me suis senti très bouleversé. C'est seulement plus tard que j'ai réalisé qu'en tant que pratiquant, je dois regarder à l'intérieur chaque fois que je fais face à des conflits.

La première fois que j'ai pu faire l'expérience de la merveille de regarder à l'intérieur, c'était après un combat émotionnel. Après une dispute avec mon père, je me suis assis sur mon lit les jambes croisées et j'ai réalisé que dans mon cœur, je nourrissais toujours de la haine et une mentalité de combat. Au moment où j'ai déraciné ces attachements, j'ai senti quelque chose qui tournait au-dessus de ma tête et qui a duré un bon moment. Quand j'ai entendu de nouveau la voix de mon père, je n'étais plus offusqué. Je savais que le Maître m'avait aidé à résoudre ce conflit, après avoir vu que j'avais identifié mes lacunes.

Avant les vacances du Nouvel An chinois cette année, je me suis soudain senti mal à l'aise avec le nez bouché et qui coulait. Émettre la pensée droite ne semblait pas aider du tout. À la veille du Nouvel An chinois, mon père avait décoré notre maison avec du papier découpé, des vers et des lanternes chinoises, qui portaient tous le nom et le logo de notre compagnie d'assurance santé familiale.

Je voulais enlever le papier découpé affiché à la fenêtre, mais j'ai été arrêté par mon père. Réalisant qu'il était sévèrement contrôlé par la perversité, j'ai décidé d'attendre quelques jours. Cependant, mes symptômes de maladie allaient de mal en pis, et le mucus continuait à couler de mon nez, même quand j'étudiais le Fa, faisais les exercices ou l'émission de la pensée droite. Pour finir, j'avais même beaucoup de difficultés à respirer. Je ne pouvais pas comprendre pourquoi, mais de toute façon j'avais une vague impression que mon état avait quelque chose à voir avec les décorations. Une semaine plus tard, lors de l'émission de la pensée droite, j'ai soudain vu un personnage comme un pingouin, de ma taille environ, debout sur ma droite. Comme je cultive avec mon œil céleste fermé, je savais que c'était le Maître bienveillant qui me montrait la nature de mon interférence et me rappelait de faire attention.

Deux jours plus tard, je me suis décidé à retirer toutes les décorations que mon père avait mis en place dans notre maison, peu importe comment il pourrait réagir. J'ai d'abord enlevé la lanterne dans le salon, puis le lendemain j'ai enlevé le papier découpé sur la fenêtre. Mon père était très en colère, mais je l'ai ignoré et j'ai continué à étudier le Fa. L'après-midi de la fête des Lanternes, j'ai arraché les vers et aussi un autre papier découpé. Mes symptômes ont miraculeusement disparu le lendemain. Il était évident que la perversité s'était cachée dans ces objets. Plus tard, quand je suis allé nettoyer notre ancienne demeure, j'ai brûlé tous les vieux livres écrits par les dirigeants en chef et d'autres membres du Parti communiste pervers.

Mon père, un ancien enseignant chevronné en politique, était très fier de lui-même et rempli de l'idéologie du PCC. Quand je lui ai passé un DVD de Shen Yun Performing Arts, il a pleuré, mais n'a rien dit. Quand j'ai divulgué le coup monté derrière l'incident de l'auto-immolation de Tiananmen, il a fait valoir que tout parti au pouvoir aurait à utiliser des tactiques politiques pour survivre. Quand je lui ai dit qu'aucune loi en Chine ne rendait la pratique du Falun Dafa illégale, et que de nombreux pratiquants avaient été illégalement arrêtés, il a dit que seules les mauvaises personnes seraient emprisonnées. Quand je lui ai demandé d'écouter les Neuf commentaires sur le Parti communiste, il a fait valoir que le livre faisait partie de l'intrigue d'un certain groupe pour prendre le pouvoir en Chine continentale. Quand j'ai écouté le programme « Culture divinement inspirée » à la radio Minghui, il l'a rejeté comme une superstition. Quand j'ai mentionné la démocratie, il a affirmé que c'était une conspiration des pays capitalistes. Lorsque j'ai parlé de la corruption rampante dans la société chinoise, il ne pensait pas que c'était quelque chose d'anormal. Quand j'ai parlé de ma foi, il a demandé pourquoi je n'allais pas dans les montagnes pour cultiver.

Un jour, quand mon père a de nouveau affirmé qu'il n'y avait pas de bouddhas, taos ou divinités, je lui ai demandé : « Papa, ne m'as-tu pas dit, un matin de 2009, que tu avais vu de tes propres yeux un brillant Bouddha doré qui a volé à l'intérieur par la fenêtre ? Je me souviens que tu as dit que le Bouddha était resté dans un coin de notre salon pendant plus de 10 minutes. » Il ne pouvait plus rien dire.

Mon frère aîné

Mon frère aîné est atteint d'épilepsie et pendant une certaine période il semblait très méchant. Il disait des jurons lorsqu'on mentionnait le Maître et Dafa, et déchirait les documents de clarification de la vérité qui était à sa vue. Je savais qu'il y avait beaucoup de démons pourris qui le contrôlaient. C'était probablement à cause de ma cultivation que ces êtres de bas niveau sont venus lui faire interférence. Chaque fois que cela est arrivé, même son visage apparaissait déformé.

Au début, je me sentais impuissant, car mon frère ne m'écoutait pas. J'ai aussi développé des pensées très négatives envers lui. De telles pensées surgissaient et ne cessaient de me revenir à l'esprit chaque fois que je pratiquais les exercices. Mon frère apparaissait d'autant plus pervers le lendemain. Cette situation a duré pendant près de deux mois. Un jour, j'ai senti une grande peur et j'ai voulu abandonner la cultivation. Puis je suis tombé sur un article de Minghui dans lequel l'auteur parlait d'avoir surmonté une expérience similaire en mémorisant le Fa. Quand j'ai fait de même, cependant, la mémorisation du Fa ne semblait pas avoir d'effet sur la diminution de mes mauvaises pensées.

Un jour, les mauvaises pensées ont recommencé à me harceler. J'ai dit au Maître dans mon cœur : « Maître, si votre disciple ne peut pas se débarrasser de ces mauvaises pensées, veuillez me détruire complètement. S'il vous plaît, ne me permettez jamais de faire quoi que ce soit de mauvais. » J'ai aussi commencé à réciter le Fa, de mémoire, durant toute la pratique des exercices le mois suivant. Puis un jour, alors que je faisais les exercices, j'ai soudain senti que quelque chose m'avait été enlevé de la tête et mon esprit est immédiatement devenu vide. Je savais que les mauvaises pensées envers mon frère avaient été éliminées. Mon frère a alors commencé à moins mal agir. J'ai réalisé que le Maître a endossé ma douleur et m'a permis de passer l'épreuve.

Alors que mon frère et moi discutions un soir après le dîner, il a dit : « Cette personne a fait tellement de mauvaises choses, mais vous tentez encore de réparer son injustice. » J'ai tout de suite compris mon problème. J'ai répondu : « Je ne suis pas intéressé par cette personne du tout. Je n'ai apporté son nom que pour te montrer la pensée du parti pervers quand il s'agit de traiter son peuple. » Il a semblé comprendre ce que je voulais dire. Alors qu'il lisait davantage de nouvelles en ligne, il en est venu à reconnaître que le Parti communiste était en effet très pervers.

L'an dernier, la communauté locale a lancé une soi-disant campagne de signatures de la « carte de promesse » ayant pour but de forcer les pratiquants à promettre de ne pas pratiquer le Falun Gong. Quand les gens de la communauté sont venus chez moi, j'étais un peu nerveux. Je leur ai dit : « Je ne vais pas participer à la campagne de signatures, ni signer. » Puis j'ai vite fermé la porte. Cependant, ils ont frappé à la porte de nouveau. Cette fois, mon frère s'est précipité pour ouvrir. Il les a interrogés : « Qui êtes-vous ? Montrez-moi vos cartes d'identité ! Je ne crois même pas dans le Parti communiste. Le PCC est une secte perverse. Je dirais que vous, les gars, devriez consacrer toute votre énergie à nous trouver des emplois ! » Ce que j'ai entendu ensuite, c'était seulement leurs pas descendant les escaliers. Mon frère avait chassé les gens de la communauté ! J'étais très heureux et j'ai pensé : « Maître, mon frère sauvegarde aussi le Fa ! »

Après les incidents de Bo Xilai et Wang Lijun de cette année, mon frère a surfé en ligne pour trouver plus sur ce qui s'était passé. Un jour, il m'a montré un article qui semblait accuser le Falun Gong pour ce qui s'était passé. Je lui ai dit : « Pourquoi crois-tu toujours ces rumeurs quand on sait que ce sont des mensonges ? Je suis ici devant toi. Tu devrais voir clairement ce qu'est vraiment le Falun Gong, après toutes ces années. Si je n'ai pas pu te faire croire que le Falun Gong est bon en trois ans, je vais alors essayer pour la quatrième année. Si je ne réussis toujours pas, je vais continuer jusqu'à ce que tu changes d'avis à propos du Falun Gong. » Après cette conversation, je ne l'ai plus jamais entendu dire du mal de Dafa.

Après que je me sois assoupi pendant l'étude du Fa quelques jours de suite, pour briser cela, j'ai décidé de lire à haute voix les livres de Dafa. J'ai lu deux leçons du Zhuan Falun le matin et une autre l'après-midi. J'ai été surpris de constater que mon frère n'avait pas de mauvaises réactions après la lecture du livre tout entier à haute voix. Dans le passé, il m'injuriait quand il m'entendait lire les livres de Dafa. À ce jour, j'ai lu le Zhuan Falun quatre fois à haute voix en sa présence, et il n'a toujours rien dit. De plus, sa physionomie est récemment revenue à la normale, de même que le ton de sa voix. Il n'y a plus beaucoup de perversité qui le contrôle.

Pour mettre les choses au clair, mon père et mon frère n'ont jamais touché les livres de Dafa que je mets sur ma table de chevet, peu importe la façon dont ils s'étaient mal comportés à certains moments. Donc, il est clair pour moi que tout ce qu'ils faisaient était pour viser mon xinxing. Grâce à eux, j'ai pu identifier ma haine, mon besoin de chercher vengeance, ma jalousie et de nombreux autres attachements au fil des ans. Au début, je tolérais mon père et mon frère, parce que je pensais que je devais avoir des lacunes à supprimer. Puis j'en suis venu à comprendre qu'ils avaient énormément sacrifié pour l'élévation de mon xinxing. En tant que tel, ma tolérance envers eux s'est transformée davantage en compassion à leur égard. Comme je continuais à élever mon xinxing, des couches superposées de principes de Dafa m'ont été également révélées. Je reconnaissais profondément que c'étaient les immenses souffrances du Maître et ses arrangements minutieux pour moi qui m'ont aidé à tout équilibrer et m'ont permis d'aller aussi loin.

Le Maître a enseigné :

« Dans la cultivation et la pratique de la Loi de Bouddha, il faut avancer avec hardiesse et diligence. » (Zhuan Falun)

Je vais chercher avec diligence pour aider le Maître dans la rectification de Fa et ferai bien les trois choses afin d'être digne de la grâce du Maître.

  1. Aider mon ancien camarade de classe à retourner à la cultivation

Le camarade de classe qui m'a présenté Dafa au début a cessé de cultiver pendant une longue période. J'ai toujours voulu l'aider à retrouver le chemin de la cultivation. La première fois que je l'ai appelé pour prendre rendez-vous, j'ai connu des nausées et des sueurs, et ma vision est devenue floue. J'ai continué à émettre la pensée droite et j'ai récupéré entièrement deux jours plus tard, juste à temps pour notre réunion. J'ai appris qu'il s'était marié et avait un enfant. Bien que nous nous parlions, j'ai eu un fort sentiment qu'il y avait un mur invisible qui nous séparait.

Cette année, après que le Maître ait publié « Vingt ans d'enseignement du Fa », j'ai voulu voir mon ancien camarade de classe de nouveau. Comment créer une opportunité ? Je me suis tenu devant le portrait du Maître et j'ai dit dans mon cœur : « Maître, je veux voir untel. S'il vous plaît, aidez-moi. » Je n'ai pas arrêté d'y penser pendant plusieurs jours d'affilée, puis dans le week-end, j'ai reçu un appel téléphonique de mon camarade de classe, disant qu'il voulait me rencontrer. J'étais très content et je savais que le Maître bienveillant avait répondu à mon souhait.

Quand je l'ai vu, il m'a dit que sa femme avait emmené leur enfant en visite chez ses parents et qu'il avait reçu un appel de son lieu de travail, lui donnant une journée de congé alors qu'il était sur le chemin du travail. Je savais bien que c'était l'arrangement du Maître. Mon camarade de classe continuait à bavarder et je ne cessais de me demander comment changer de sujet. Après avoir demandé le renforcement du Maître, j'ai soudain eu une idée. Je l'ai interrompu et j'ai dit : « J'ai quelque chose d'important à te dire. Tu veux écouter ou non ? » Il a essayé d'éviter de répondre à ma question, mais j'ai insisté : « J'ai vraiment envie de te dire quelque chose, mais c'est ton choix. Veux-tu l'entendre ou non ? Est-ce une décision si difficile ? » J'ai vu que tout à coup il avait de la peine à respirer et était incapable de dire un mot. Après un certain temps, il s'est remis à parler, mais à voix basse. Il était évident que la perversité derrière lui s'était affaiblie.

Je l'ai arrêté une fois de plus : « Tu es venu d'un niveau très élevé dans ce monde sale. Avec une aussi grande prédisposition et une responsabilité aussi solennelle, comment peux-tu te perdre dans le monde des humains ? Afin d'obtenir ce Fa, tu as laissé un royaume et la gloire d'une divinité. » Alors que je disais cela, mes yeux se sont lentement remplis de larmes. Des larmes coulaient sur son visage et il les essuyait sans cesse. Je savais que le Maître avait visé au plus profond de son être à travers ma bouche. J'ai aussi senti moi-même la puissance de la compassion. Ce jour-là, nous avons parlé pendant un long moment. Avant de nous séparer, il a promis d'étudier le Fa et de lire Minghui.

Deux semaines plus tard, il est revenu vers moi. Cette fois, il n'y avait pas de barrière invisible entre nous. Il était évident que notre dernière conversation avait joué un rôle dans la désintégration de l'interférence perverse. Bien que nous n'ayons pas parlé longtemps cette fois, l'effet était très bon. J'espère qu'il pourra retourner à Dafa bientôt et accomplir son vœu.

Pendant ces quelques années, j'ai cultivé tout seul, tout en faisant les trois choses requises des disciples de Dafa. Mais je dois admettre que j'ai mal fait dans la clarification de la vérité directement. J'ai réussi à convaincre seulement quelques personnes de se retirer du Parti communiste et de ses organisations affiliées. J'ai encore divers attachements à éliminer, y compris une obsession à propos des changements politiques dans le monde humain. Il y a encore des choses avec les marques du parti pervers dans ma maison. Il y a de nombreux domaines où je dois faire mieux.

Veuillez indiquer toutes les choses inappropriées.

Merci Maître ! Merci compagnons de pratique !

(Neuvième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l’anglais au Canada