De la huitième conférence de partage d’expériences par Internet pour les pratiquants de Chine

(Minghui.org)


Bonjour, Maître bienveillant et grandiose !


Bonjour, compagnons de cultivation respectés !


Alors que la huitième conférence de partage d'expériences par Internet pour les pratiquants de Chine sollicitait des témoignages, nous étions bénis par la publication de Qu’est-ce qu’un disciple de Dafa ?. Le nouvel article du Maître m'a réveillée, incitée à mettre des standards plus élevés sur moi et à chercher à l'intérieur et de chérir les occasions de cultivation que le Maître a arrangées pour les pratiquants en Chine continentale. J'ai rassemblé certaines de mes expériences de cultivation pour envoyer comme un témoignage à partager, et qui servira de compte rendu au Maître.


J'ai obtenu Fa au début de 1998. En me remémorant mon chemin de cultivation bosselé durant ces plus de douze années, j'ai trébuché en cours de route. Chaque test et épreuve étaient un processus pour éliminer mes notions humaines et m'assimiler au Fa. Il y a eu beaucoup de souffrance dans le processus d'abandonner les attachements humains, beaucoup d'hésitations. Il y a eu aussi un élévation graduelle et la prise de conscience de la vraie signification de la vie, car le Maître me guidait avec bienveillance alors que j'étudiais constamment le Fa et que je me cultivais, accompagnée par la tranquillité et l'harmonie, des expériences que je n'ai jamais vécues auparavant. J'ai pu comprendre les responsabilités que j'endosse. Je sais que personne ne peut changer ma croyance droite au Maître.


Valider Fa en prenant à la légère la célébrité et la fortune


Cela a été un cheminement tortueux durant ces dizaines d'années de cultivation face aux diverses épreuves et aux arrangements des forces anciennes.


Je travaillais dans une organisation gouvernementale. Mon salaire n'était pas si mal et le poste que j'occupais était aussi assez satisfaisant. Quand la persécution a commencé, j'ai refusé de renoncer à la cultivation et pratique. Le Bureau 610 local m'a placée sous étroite surveillance. Ils sont venus à mon unité de travail maintes fois, contraignant les chefs de l'organisation de me « transformer ». Les membres du Bureau 610 ont aussi eu des soi-disant conversations avec moi, en ayant recours aux menaces et à la séduction. J'ai même été emmenée dans un centre de détention et enfermée là-bas pendant 15 jours sous la fabrication de l'accusation d'avoir « perturbé l'ordre social. » Je n'ai pas renoncé à mes attachements humains et j'ai signé une déclaration de garantie. Je n'avais pas le moral dans mon cœur durant cette période. Je savais que je ne pouvais pas quitter Dafa. Sans la cultivation de Dafa, ma vie aurait perdu toute sa signification. Petit à petit, j'ai rassemblé mon courage. Les pratiquants qui me connaissaient ont aussi organisé des groupes de discussions pour m'aider à faire un choix sage. Après être devenue suffisamment forte, j'ai déclaré publiquement : « Je retire la mauvaise garantie qui a été signée contre ma volonté. Je continuerai à cultiver le Falun Dafa. » Puisque j'ai recommencé à cultiver, les dirigeants du Parti communiste chinois (PCC) d'en haut ont menacé les chefs de mon organisation que la prime de tout le monde serait baissée et que le rang de l'organisation baisserait. Des ordres ont été donnés pour m'expulser de l'organisation.


Au début je me suis sentie mal à propos de mes collègues qui se voyaient impliqués. Après que j'ai eu une compréhension claire du point de vue de Fa, j'ai regardé le problème différemment. Je leur ai dit : « Parler des faits ne devrait pas être assujetti à la persécution. » Mais je restais inquiète d'être expulsée par l'unité de travail. Mon salaire serait réduit. À l'époque, mon mari avait une grosse dette parce que l'entreprise qu'il gérait ne marchait pas bien. J'ai dû retirer l'argent de mon salaire pour couvrir ses dettes. Il était si inquiet que je perde mon emploi qu'il m'a menacée de divorcer, si je refusais de renoncer à la pratique de Dafa. Mes beaux-parents âgés étaient malades et avaient besoin d'aide. Mon fils ne pouvait pas étudier normalement à cause de son épilepsie. Mon père avait plus de 80 ans et avait besoin qu'on s'occupe de lui. Dans de telles circonstances, j'ai hésité pendant un certain temps. J'étais vraiment malheureuse.


Face à cette énorme tribulation, c'est Dafa qui m'a donné la force.


« Le maître vous fait franchir le seuil, la cultivation et la pratique dépendent de vous-même, tout dépend de la manière dont vous cultivez. Pouvoir cultiver dépend entièrement de votre capacité à endurer, à payer de vous-même et à subir des épreuves. Si vous pouvez être tout à fait résolu – aucune difficulté ne peut vous arrêter - alors je vous le dis, il n’y aura aucun problème. » ( Zhuan Falun )


L'indice du Maître m'a redonné confiance et le courage de persévérer. Quand j'étais au plus bas de ma vie, j'ai vu clairement une personne flotter près de moi. Il m'a regardé avec un cœur lourd. Il n'a pas ouvert sa bouche. Mais j'ai entendu le son stéréo qu'il émettait : « Je t'emmènerai voir ce qui est lié à l'avenir dans ta vie. » Soudain, un objet volant (qui pourrait être un Falun) m'a emmenée droit en haut. Il est allé à gauche en vrille, et ensuite est monté droit en haut, puis il est allé à droite en vrille et est monté même plus haut. Après qu'il se soit arrêté, j'ai demandé où il était. « Le neuvième niveau » a été la réponse. J'ai regardé devant, c'était un monde brillant, magnifique et infini. Une autre fois, je dormais. J'ai rêvé d'un jeune pin au sommet d'une montagne. Un nuage noir était au-dessus de l'arbre. Un orage s'est développé sous le nuage. Des éclairs accompagnaient l'orage. Le pin se balançait de l'avant en arrière. Mais des endroits pas très éloignés étaient ensoleillés. Après que je me sois réveillée, je me suis rendu compte que le Maître me donnait un indice. Avec les larmes aux yeux, j'ai su ce que je devrais faire : « Je suis une pratiquante. Pour croire vraiment au Maître et au Fa, je dois prendre à la légère la célébrité des gens ordinaires, la fortune et les sentiments et je ne dois pas me laisser contrôler par eux. Seul le Maître peut déterminer si je serai congédiée ou pas et comment je dois marcher le chemin devant moi . Personne d'autre n'a son mot à dire. »


Quand les dirigeants à mon lieu de travail m'ont finalement rencontrée, alors qu'ils se verraient infliger une pénalité des organisations du PCC de haut rang si je refusais d'abandonner la cultivation et pratique, je leur ai dit clairement ma décision finale : « Je n'écrirai pas de déclaration de garantie, je ne signerai quoi que ce soit, je ne ferai aucun engagement verbal. Cultiver Dafa est un choix que je ne changerai pas dans ma vie. Si dire la vérité a des conséquences, je suis prête à leur faire face. »


Peu de temps après, les organisation locales du PCC ont mis sur place un processus que tous les employés du secteur public doivent tous suivre en soumettant leur candidature pour des contrats qui peuvent être prolongés de temps en temps, pendant lequel le candidat devait exprimer sur papier son opinion sur le Falun Gong. À moins qu'il ne soit constant avec le Comité central du PCC, il n'aurait pas l'emploi. Face à cet arrangement pervers, je ne pensais plus que l'environnement de travail était normal ou juste. J'ai résolument refusé de soumettre ma candidature pour mon poste et j'ai décidé de prendre ma retraite avant d'avoir atteint l'âge de la retraite. Je m'étais préparée à toute coupure de salaire n'importe quand. En fait, un an est passé, puis deux autres années, et la question de me congédier n'a jamais été mise sur le tapis.


Avec la protection du Maître, la persécution perverse s'est désintégrée. Mes pensées droites ont eu un effet et un impact positif sur l'unité de travail, les dirigeants ont refusé de commettre de mauvaises actions envers Dafa. Les dirigeants ont refusé de m'expulser et ont répondu aux organisations du PCC au niveau supérieur que « l'unité de travail de base a refusé de consentir. » Les dirigeants ont aussi refusé d'agréer à la demande du Bureau 610 de me harceler directement tout en se tenant eux-mêmes pour responsables de toutes les conséquences.


Les bonnes pensées de ces dirigeants de protéger les pratiquants de Dafa ont apporté des récompenses à l'unité de travail. Durant plus de 12 années et sous plusieurs termes de groupes de direction, notre unité de travail a essayé, mais n'a pas pu obtenir le prix de l'excellence au niveau national. Cette année, ce prix a été obtenu sans beaucoup d'efforts.


Après avoir pris ma retraite, je me suis lancée en affaires. Face à plusieurs concurrents, le fournisseur m'a permis d'être concessionnaire autorisée malgré ma position désavantageuse. Je n'ai jamais fait des affaires et je n'étais pas sûre si je pourrais m'en occuper. Après un mois de préparation, je suis allée vendre les produits. À la fin de la première journée, j'ai signé un contrat pour une vente excédant 10 000 yuans. Mes yeux étaient pleins de larmes alors que je tenais le contrat. Je savais que le Maître m'encourageait.


Rectifier l'environnement en abandonnant les attachements humains


Mon mari était profondément empoisonné par la culture du PCC. Il était hostile à Dafa et ne pouvait pas comprendre ma cultivation et pratique. Il refusait d'écouter les faits, jurait contre le Maître et Dafa et il a détruit les livres de Dafa et des documents. Il a livré des compagnons de cultivation et moi-même aux organisations du PCC et il semait souvent le trouble. Par conséquent, j'ai échoué des tests pendant des années, car mon xinxing était limité en raison de l'insuffisance de l'étude de Fa à l'époque. Avec l'interférence des attachements humains, j'étais enfouie sous les attachements de me battre et de garder rancune. Je savais que cela était au-dessous du critère pour un pratiquant. Mais je n'étais pas capable de surmonter ces troubles. Dans ma détresse, j'ai continué à réciter le poème du Maître « Le Xiu véritable » (Points essentiels pour un avancement diligent) pour avoir la force et la confiance.


En étudiant Fa, j'ai commencé à voir mes attachements et mes mauvaises pensées, j'ai appris à regarder en moi et petit à petit, j'ai commencé à enlever ces attachements. Les compagnons de cultivation m'ont aussi rendu visite et ils ont partagé ce qu'ils pensaient. Le Maître a mentionné : 


« Si vous êtes capable de vous libérer des émotions, plus personne ne pourra vous toucher, la mentalité des gens ordinaires ne parviendra plus à vous émouvoir, c’est la compassion qui prendra leur place, c’est quelque chose de beaucoup plus noble. » (Zhuan Falun)


Les principes du Fa que le Maître a enseignés et l'aide des compagnons de cultivation m'ont calmée. En m'assimilant au Fa, la capacité de mon cœur s'est accrue. Après de nombreuses tribulations, j'ai traité mon mari comme un être vivant à sauver et j'ai cherché des occasions pour lui expliquer les faits. J'ai laissé les choses suivre leur cours sans aucun esprit de recherche, tout en focalisant sur l'amélioration de mon propre xinxing. J'ai essayé de faire mieux en suivant le critère pour un pratiquant. C'est à travers mon état qu'il devait comprendre la magnificence de Dafa.


En ce qui concerne sa contrainte pour me faire renoncer la pratique sinon il divorcerait, je ne l'ai pas traité à la légère. J'ai cherché à l'intérieur et je me suis demandée si j'entretenais la peur de perdre mon mariage, qu'est-ce qui se passerait si je devais faire un choix, si je le regretterais un jour, à la fin de ma vie, d'avoir abandonné la cultivation et pratique parce que je m'accrochais à ma famille. Je ne pouvais pas renoncer à la cultivation et pratique. Je devais passer ce test. Je lui ai dit : « Je considère que notre mariage et que la famille sont précieux et j'y ai beaucoup contribué, je t'ai aussi aidé ainsi que les autres. » Il était d'accord avec ce que je lui ai dit. J'ai continué : « Cultiver Dafa est un choix que je ne peux pas changer dans ma vie. C'est pour que ma responsabilité envers ma famille et mes êtres chers atteignent un critère plus élevé. Si tu peux accepter, tu verras la magnificence que Dafa apporte. Si tu m'obliges à faire le choix soit - ou, je peux accepter de divorcer. » En voyant ma détermination, il a cessé de parler de divorce.


Mais mon mari est resté hostile envers Dafa. Son comportement d'interférer avec mon étude du Fa n'a guère changé. Je devais l'éviter quand j'étudiais le Fa ou quand je faisais les exercices. Je devais aussi cacher les livres de Dafa et les documents de clarification de la vérité. J'ai fait attention. Mais un jour, j'ai laissé tomber une feuille d'un tas de brochures sur le sol. Mon mari l'a ramassée. Je cuisais dans la cuisine. Il s'est précipité, m'a giflée au visage et il a hurlé : « N'avais-tu pas dit que tu ne faisais pas de politique ? Qu'est-ce que c'est ? » Il a déchiré la feuille. Ensuite il a pris un couteau de cuisine, le pointant vers mon visage : « Je vais te tuer aujourd'hui ! » Me rappelant que je suis une pratiquante, j'ai supprimé ma colère et je n'ai pas bougé. Le regardant dans les yeux, j'ai dit calmement : « Que je meure ou pas ne dépend pas de toi. Pose le couteau ! » Il a posé le couteau, est retourné dans sa chambre et n'a rien dit.


Après une longue période de tolérance passive, j'ai eu une compréhension en lisant l'article du Maître : Dao Fa (Parler de la Loi). Le Maître a mentionné : 


« Si le cas continue encore à n’en plus finir, quand il n’y a pas d’autre problème dans le Xinxing ou la conduite, c'est sûrement le démon pervers qui profite d’une lacune de votre indulgence. Les pratiquants ne sont en fin de compte pas des gens ordinaires, alors pourquoi le côté de la nature originelle ne rectifie-t-il pas la loi? » (« Points essentiels pour un avancement diligent »)


J'ai suivi les enseignements du Maître pour rectifier chacune de mes pensées. Je savais que j'étais trop enfouie dans les sentiments et je ne pratiquais pas la cultivation avec honneur et d'une manière droite. Tout en continuant à enlever mes attachements, j'ai fait quasiment les tâches ménagères, payé les dépenses de la maison en travaillant dur, aidé à m'occuper des parents de mon mari, et payé les dettes qu'il devait afin qu'il puisse continuer à être dans les affaires. Quand mes beaux-parents ont déménagé de la maison que mon mari et moi avons payé, ils devaient recevoir une compensation financière dont un certain montant devait être partagé entre mon mari, ses frères et sœurs. J'ai laissé ses frères et sœurs s'occuper de la compensation sans demander des détails. Je l'ai persuadé : « La rétribution et les récompenses sont des principes célestes. La liberté de croyance est mon droit humain fondamental. Si tu veux vivre sous un toit, tu ne peux pas jurer contre le Bouddha, tu peux peut pas jurer contre mon Maître, et tu ne peux pas endommager les livres et documents de Dafa, ni interférer dans mon étude du Fa ou ma pratique des exercices et tu ne peux pas jurer contre moi. Si tu veux avoir un bon avenir, tu dois changer. Sinon je demanderai le divorce. » Mes pensées droites ont choqué les facteurs pervers derrière lui et, à un certain degré, l'ont éveillé. Il s'est considérablement restreint.


Le Maître bienveillant l'a supervisé. Il avait souvent des indices dans ses rêves, comme peser la pédale d'accélérateur et heurter un mur et ne pas réussir à répondre aux questions dans un examen d'inscription à l'université. Il m'a demandé ce que signifiait ces examens. Je lui ai dit : « Les vies sont venues dans ce monde pour une raison. Elles sont supervisées. Ce sont des indices que tu n'as pas réussi à répondre aux questions dans le test de cette vie et tu heurtes ta tête contre le mur sans te rendre compte de ton entêtement. » Il a écouté et est resté sans voix. Un jour il a fait une remarque irrespectueuse sur le Maître. En l'espace de 15 minutes, il a commencé à courir vers la salle de bain avec une diarrhée. Cela a duré toute la nuit. Le lendemain matin, il s'est dit : « Je n'ai pas mangé quoi que ce soit qui ne soit pas frais. » Je lui ai rappelé : « Tu as fait de mauvais commentaires. » Je sais que le Maître bienveillant purifiait son corps tout en lui donnant un indice. Après que des choses comme cela lui sont survenues plusieurs fois, il a changé son comportement. Il m'a dit : « On a une liberté de croyance. Je n'interférerai plus. » Il s'est habitué à mon implication à faire les trois choses. Parfois si je ne faisais pas bien quelque chose, il me rappelait : « Tu cultives Authenticité-Bienveillance-Tolérance, n'est-ce pas ? » Quand il rendait visite à ses parents, il disait à ses frères et sœurs que je ne prenais pas un seul médicament. Parfois il me posait certaines questions simples concernant le bouddha, les divinités et les croyances. Je lui donnais des explications en me basant sur ce qui le bloquait. Je savais que j'avais eu des failles. Si je ne fais pas bien les choses, comment puis-je faire que les autres puisse en faire autant ? J'avais beaucoup de chemin à faire.


Mon fils a souffert d'épilepsie durant plusieurs années. Aucun traitement n'a été efficace. Cela a eu un effet sur ses études et sa vie. Chaque membre de la famille et moi étions malheureux à propos de sa maladie. Il avait même songé à se suicider quand il était jeune. Quand la persécution était à son apogée, la police a essayé de rassembler de soi-disant preuves contre moi. Sept ou huit agents se sont présentés à son école, qui était à l'extérieur de la ville. Ils l'ont encerclé et l'ont interrogé avec impolitesse. À cause de cela, il a eu une crise d'épilepsie, il est tombé sans connaissance. Il a souffert de blessures à la tête, et il a dû avoir sept ou huit points de suture. La police n'a pas abandonné la pression. Dès qu'il a repris connaissance, ils ont continué à l'interroger en utilisant la contrainte. Quand j'ai appris cela au téléphone lorsqu'il m'a appelée, je savais que j'étais pratiquante et que je devais l'endurer. Mon mari argumentait qu'en persévérant dans la cultivation et pratique que cela entraînerait la mort de notre fils. Je n'étais pas inquiète de me valider moi-même. J'étais certaine que Dafa me montrerait le chemin et que le Maître s'occuperait de notre fils.


Quand j'ai demandé à notre fils de choisir entre le traitement médical ou la pratique de Dafa, il a choisi la cultivation de Dafa. Quand il était dans un bon état de cultivation, il recevait souvent des indices et des encouragements du Maître. Quand il se relâchait, il voyait dans ses rêves le Maître donner une conférence dans une salle de classe, ne disant rien excepté le regarder et lui poser une question : « Qu'est-ce que tu vas faire ? » La rectification par la Loi s'accélérant, les indices que mon fils a obtenus étaient surtout des conseils lui disant de se dépêcher de sauver davantage de personnes avant le désastre auquel ils auraient à faire face.


Durant la douzaine à d'années de tribulations, et devant plus mature, basé du Fa, l'épilepsie dont il souffrait a disparu complètement. Non seulement il a terminé ses études, mais il a pu obtenir des offres d'emploi dans des entreprises privées à Pékin, où la concurrence est très forte. Il excellait aussi dans son travail. Nous avons tous été témoins de la sagesse extraordinaire et les récompenses que Dafa lui a apportées..


Nier la persécution tout en sauvant davantage de personnes


La situation financière de ma famille me perturbait tout le temp. Lorsque je venais de prendre ma retraite, le montant d'environ 1 000 yuans représentant le salaire de retraite était notre seul salaire mensuel. Nos maigres économies ont toutes été perdues en raison de l'échec de l'entreprise de mon mari, qui ne marchait pas bien. Il n'avait pas de travail, il ne pouvait pas rentabiliser son entreprise et il devait des prêts à la banque, le paiement mensuel étant au-delà de 3 000 yuans. Ses parents étaient vieux, malades et n'avaient pas de revenu. Mon mari devait aussi des dettes privées et il devait des salaires aux employés. Je pouvais faire face aux créancier à n'importe quel moment. Souvent la date d'échéance mensuelle du prêt bancaire approchait, mais je ne savais pas comment faire pour trouver suffisamment d'argent pour payer le montant minimum.


Au début je n'avais pas une compréhension claire de la persécution économique en se basant sur les principes de Fa. Je travaillais dur dans l'entreprise que j'opérais, j'économisais chaque centime que je pouvais, je m'occupais de tous les travaux ménagers afin d'économiser les dépenses de l'entreprise en espérant que ma situation financière s'améliorerait. Parfois quand je transportais une lourde boîte de marchandises, je pensais que l'argent que je faisais à travers une telle tribulation était parti pour payer les dettes alors que je n'avais pas de temps pour faire les trois choses, j'avais les larmes aux yeux.


Sans une compréhension claire des principes de Fa, l'interférence de la perversité continuait. Pendant quelque temps, il y avait des choses qui occupaient tout mon temps. Je n'avais pas le temps même pour m'asseoir ni de prendre les repas dans la journée. Les travaux ménagers des gens ordinaires me faisaient diminuer mes heures de sommeil. Souvent je ratais l'étude du Fa ou la pratique des exercices. Je n'avais pas le temps de clarifier la vérité , ni de sauver les gens. J'étais lasse et éperdue. Alors que cela se passait depuis un certain temps, il m'est venu à l'esprit que les forces anciennes ont emmené les pratiquants aux camps de travaux forcés pour les priver de leur liberté d'étudier le Fa et de pratiquer les exercices, de réduire leur détermination à cultiver. Je vivais sous surveillance, mon téléphone était sous écoute et des gens me suivaient lorsque je sortais et ils m'interrogeaient si j'allais à Pékin, de plus tout mon temps était consacré à payer les dettes, ce qui faisait que je ne pouvais pas faire les trois choses régulièrement. Si j'étais détenue dans un camp de travaux forcés, comment pouvais-je dire que c'était différent de ma situation actuelle ? Les forces anciennes atteignaient leur but de me priver de la cultivation, n'est-ce pas ? Je ne pouvais pas marcher le chemin de cultivation arrangé par les forces anciennes.


Un jour j'ai été heurtée par une motocyclette lorsque je suis sortie pour affaires. Je suis tombée avec mon visage heurtant le sol. À ce moment-là, j'ai senti clairement un coussin mou tenant mon visage. Je n'aie pas été blessée sous la protection du Maître. Mais la motocyclette était déformée après m'avoir heurtée. J'ai compris que j'avais des insuffisances. C'était le Maître qui m'a protégée. Après l'accident, je ne suis allée nulle part. Je me suis assise pour étudier le Fa calmement, et les principes du Maître se sont manifestés devant moi :


« Certains disent: « Je vais gagner plus d’argent, j’assurerai l’avenir de ma famille et alors je n’aurai plus à m’occuper de rien, j’irai cultiver la Voie. » 


« […] D’ailleurs si vous ne traîniez plus aucun souci, plus aucun ennui, comment pourriez-vous cultiver et pratiquer ? Pratiquer le gong dans le confort total ? Où peut-on trouver ce genre de situation ? Vous pensez avec le point de vue d’une personne ordinaire. »


« La cultivation et la pratique s’effectuent justement dans les épreuves dues aux démons, c’est pour voir si vous pouvez couper avec les sept émotions et les six désirs et les prendre avec légèreté. Si vous tenez toujours à ces choses, vous ne réussirez pas votre cultivation.  » (Zhuan Falun)


Les compagnons de cultivation sont venus discuter avec moi et m'aider à améliorer ma compréhension. J'ai vu mes failles. Mon esprit n'était pas clair, et j'étais tombée dans le piège de faire des affaires. J'ai reconnu la persécution économique orchestrée par la perversité et j'ai suivi le chemin arrangé par les forces anciennes. Je me suis ajustée et j'ai graduellement abandonné mon attachement à faire de l'argent. Faire les trois choses passent avant n'importe quoi.


Afin de garantir le temps et l'énergie pour bien faire les trois choses, je n'ai pas ouvert la façade de mon magasin dans un quartier des affaires plein d'animation. J'ai plutôt loué un endroit dans un voisinage proche où je restais le soir. Cela me faisait économiser du temps, et j'essayais de faire suffisamment d'argent pour payer les dépenses. Certaines personnes dans le même secteur d'affaires ne comprenaient pas la raison. Ils m'ont souvent demandé pourquoi je n'avait pas aménagé mon magasin dans un endroit ayant plus de trafic. J'ai profité de ces occasions pour leur clarifier judicieusement la vérité.


Ces leçons m'ont aidée à constater l'interférence de la perversité qui m'a auparavant tenue occupée. En me faisant consacrer tout mon temps à mon travail, ils ont atteint l'objectif de m'empêcher de faire les trois choses. Je devais sortir de cette situation « d'être occupée » pour chercher mes insuffisances. Je devais sauver davantage de personnes qui avaient des affinités prédestinées.


Faire la distinction entre la cause et l'effet et considérer le salut comme la plus grande priorité


Le Maître a dit :


« En tant que disciple de Dafa de la période de la rectification de la loi, la délivrance personnelle n’est pas le but de la cultivation et de la pratique, sauver les êtres était en effet votre grand voeu lorsque vous êtes venus, c’est aussi la responsabilité et la mission que l’histoire vous a confiées pendant la rectification de la loi, donc de nombreux êtres deviennent ceux que vous allez sauver. Disciples de Dafa, vous ne devez pas être indignes de la responsabilité grandiose qui vous a été confiée pendant la rectification de la loi, vous devez encore moins décevoir l’attente de cette partie des êtres, vous êtes déjà devenus leur seul espoir de pouvoir ou non entrer dans l’avenir [...] » (Abandonner le coeur de l’homme, sauver les gens de ce monde)


Je gardais en mémoire ces paroles du Maître et m'y référais pour me rappeler constamment ma mission. Dans ma vie quotidienne, aussi longtemps qu'il y avait une occasion de clarifier la vérité, je mettais de côté ce que je faisais car le salut des gens était devenu la plus grande priorité.


Un jour, j'avais prévu aller voir une entreprise pour promouvoir les ventes dans l'après-midi. À midi, j'ai rencontré plusieurs personnes ayant des affinités prédestinées. Une d'elles était plus gravement empoisonnée par la culture du PCC. Elle a discuté avec véhémence avec moi. J'étais un peu inquiète de mon horaire de l'après-midi. En pensant aux responsabilités d'un disciple de Dafa, je me suis calmée, j'ai mis de l'ordre dans mes idées, écouté attentivement où il était bloqué et j'ai aidé à répondre à chacune des questions qu'il avait. J'ai senti que ce que j'avais appris m'était utile pour clarifier la vérité. Chacun écoutait attentivement. Celui qui discutait avec tant de véhémence s'est calmé. Il a reconnu que Dafa est bon et a commenté : « Beaucoup de ceux qui pratiquent le Falun Gong sont à des niveaux élevés. » Ensuite il a demandé : « Grande sœur, quel est ton niveau d'instruction ? » Je lui ai répondu : « Cela n'a rien à voir avec l'éducation. Tu peux faire une observation. Parmi ceux qui cultivent le Falun Dafa, même s'il n'est pas très instruit, il sait aussi ces principes. » À la fin, il m'a demandé des DVD et des documents. Il était entièrement d'accord avec moi et il est parti après trois heures de discussion.


Je me suis rendue à l'entreprise en toute hâte pour la négociation. À ma surprise, ce client a accepté de me laisser utiliser leurs magazines et leurs réseaux de ventes pour promouvoir mes produits. Cela a considérablement réduit le temps pour créer des connections avec de nombreux clients potentiels dans plusieurs régions. Les choses sont allés beaucoup plus vite que mes meilleures estimations. Il était claire pour moi que sauver les gens n'affecteraient pas mes affaires. Cela ne ferait qu'aider mes affaires. Je savais que le Maître m'encourageait : 


« Sans attachement à quoi que ce soit


Le chemin sous les pieds se dégage de lui-même » (« Sans obstacle », Hong Yin (II))


Je comprends que « La cultivation dépend de soi, le gong dépend du maître. » (Zhuan Falun) Les affaires ne dépendent pas de moi. Je devrais focaliser sur la cultivation de mon cœur tout en ne focalisant pas sur les résultats.


2. Profiter des occasions et prendre le temps de sauver davantage de personnes


Avec l'avancement rapide de la rectification du Fa, les efforts des disciples de Dafa durant de nombreuses années pour sauver les gens ont jeté la base pour que les gens ayant l'affinité prédestinée démissionnent du PCC et des organisations affiliées. C'est bon si nous avons le temps de clarifier à fond la vérité. Mais dans la plupart des circonstances, il n'y a peut-être pas beaucoup d'occasions pour clarifier à fond. Je ne renonce jamais à de telles occasions. La première pensée qui me vient à l'esprit quand je rencontre les gens ou fais des affaires : « Une personne avec l'affinité prédestinée qui doit être sauvée est arrivée. » Au cours de la conversation, j'essaie de trouver les moments opportuns pour clarifier la vérité et j'essaie de faire de mon mieux.


Peu importe ce qui a amené la personne vers moi, j'essaie de trouver des moments opportuns pour demander : « Est-ce que quelqu'un vous a aidé à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées ? » Savez-vous pourquoi il faut faire les trois démissions ? » Ensuite je lui présente davantage de faits dépendamment de la personne. J'aurai du regret si je focalise trop sur les affaires et oublie de clarifier la vérité. Puis j'essaie de me rattraper lors de la prochaine rencontre. J'ai aussi appris des pratiquants en apportant des DVD avec moi que ce soit pour aller faire des rencontres d'affaires, ou pour des rencontres entre amis ou proches, ou pour faire les courses. Aller manger avec d'anciens dirigeants ou collègues que je n'ai pas rencontrés depuis des années est aussi une très bonne occasion pour les persuader de démissionner du PCC. Quand je m'en vais à l'extérieur de la ville pour affaires, j'essaie de rendre visite aux amis et proches là-bas pour les aider à connaître la vérité et à démissionner des organisations du PCC. Toutes ces approches se sont toutes avérées efficaces.


3. Me rappeler de sauver davantage de personnes en éliminant les attachements humains


Je sais que je n'ai pas bien fait avec des compagnons de cultivation qui s'efforcent constamment d'avancer diligemment. Parfois je m'inquiétais parce que je n'ai pas pu sauver qui que ce soit pendant plusieurs jours. Durant un de ces jours où il n'y avait pas de progrès, il était 15 h passées dans l'après-midi. Il pleuvait. J'ai pris un parapluie et je suis allée à un entrepôt manufacturier à proximité. Le responsable de l'entrepôt était une personne ayant l'affinité prédestinée. Il était autrefois un cadre d'une société d'État. J'ai essayé d'engager la conversation avec lui. Il a entendu quelques faits, mais il avait encore quelques questions. La conversation s'est bien déroulée. Ila pris un DVD de moi et a démissionné du PCC. Quand on s'est quitté, il m'a remercié maintes fois. Je lui ai dit : « Vous n'avez pas à me remercier. Vous pouvez remercier le fondateur de Dafa. » C'était le Maître qui l'a dirigé vers moi pour m'encourager à faire mieux.


Pour changer la situation de ne pas être capable de sauver davantage de personnes, j'ai focalisé sur l'élimination de mes attachements à la peur, au découragement, à l'inertie, et à l'inquiétude causée par le fait que les autres puissent commettre l'erreur de penser que mes efforts servaient à me valider. J'ai essayé de saisir chaque occasion dans la vie, à commencer avec les amis, proches, voisins, camarades de classe, collègues, fourniseurs, clients, connaissances dans le milieu des affairs, livreurs et même des étrangers sur qui je tombe. Ou je présente les faits simplement à quiconque est disposé à m'écouter. Je me souviens que j'ai entendu l'analogie aux « neuf crêpes » faite par d'autres pratiquants. Une personne ayant l'affinité prédestinée aurait peut-être mangé neuf crêpes fournies par d'autres pratiquants, et la mienne serait la neuvième, ce qui a eu pour résultat qu'il s'est rendu compte de la vérité. Mais toutes les autres crêpes ont ouvert la voie à son salut. Donc tous les pratiquants travaillent comme un seul corps. Par conséquent, je fais cela sans esprit de recherche. Si une personne n'est pas prête à démissionner du PCC, je suis prête à ouvrir la voie pour qu'elle soit sauvée dans l'avenir. J'ai rencontré ceux qui ont accepté de démissionner après quelques mots. J'ai aussi essayé de convaincre depuis cinq ans une personne avant qu'elle accepte finalement de démissionner.


C'est un de mes clients. Durant ces dernières années, je lui ai parlé plusieurs fois. Sa réponse était : « Cela m'est égal. On doit gagner sa vie. » Il a récemment appelé pour passer une commande. Il m'est venu à l'idée que ce n'était pas par hasard, et je ne devais pas laisser passer cette occasion. Quand il est venu, je lui ai dit solennellement : « On doit démissionner des organisations du PCC. C'est vraiment très important pour nous tous. » au cours de la conversation qui a suivi, il a posé quelques questions. Je me suis rendu compte que je ne lui ai pas fait comprendre certaines choses, ce qui a retardé son salut. Il a été ému par ma sincérité et a accepté de démissionner du PCC. J'étais soulagée et j'ai dit : « Après cinq ans, vous vous êtes finalement rendu compte. Vous êtes vraiment sauvé à cause de l'affinité prédestinée ! »


J'ai été encouragée par tant de compagnons de cultivation qui vivent une vie simple et dorment très peu d'heures, mais ils sont pleins d'énergie et consacrent tant de temps à faire les trois choses. Dans ma vie quotidienne, j'essaie d'éliminer les conceptions humaines et les attachements, de me débarrasser des interférence et de trouver plus de temps. J'ai réduit trois repas à deux, et je les fais simples pour économiser du temps pour faire la cuisine. Je dors moins et je regarde rarement la télévision afin que je puisse avoir davantage de temps pour faire les trois choses.


Bien que mes repas soient plus simples, je dors moins mais ma condition physique s'est améliorée. Tout comme le Maître a mentionné dans Zhuan Falun : 


« Après un certain temps de cultivation et de pratique, l’apparence physique des personnes qui apprennent notre Falun Dafa change énormément, leur peau devient plus lisse, leur teint plus clair et légèrement rosé. » Les proches, amis et voisins sont tous ébahis par ma bonne santé et mon air jeune. Par conséquent, ils veulent écouter les faits que je leur présentent. La plupart ont démissionné des organisations du PCC.


4. Immergée dans Fa, me cultiver tout en sauvant les gens


Je chéris les affaires parce qu'elles me donnent non seulement des occasions de sauver des gens mais aussi des occasion d'améliorer mon propre xinxing. Dans ce monde où règne l'avidité, cela aide à ouvrir la voie aux gens du monde d'être sauvés si mon xinxing atteint les critères afin qu'ils connaissent le caractère droit des pratiquants en faisant des affaires honorables.


En faisant des affaires, je me dis à moi-même que je suis un disciple de Dafa et quand il y a un conflit d'intérêts, je me mets toujours à leur place. Face à une manipulation de prix ou un rabais, je ne ferai pas de concurrence pour l'argent ou des rabais afin d'éviter de salir le nom de Dafa. Cela aide à préserver les occasions pour mes contacts affaires de continuer le bonnes affinités prédestinées. Par conséquent, j'ai eu la confiance des fournisseurs, clients et collègues. Beaucoup ont démissionné du PCC durant les interactions d'affaires. Certains ont même obtenu Fa.


Je suis retournée chez moi de mon unité de travail en n'ayant pas caché le fait que je suis une pratiquante de Dafa. Les policiers et les gens de la communauté le savaient. Par la cultivation, j'ai su que « La pensée droite des disciples de Dafa est puissante » (« Points essentiels pour un avancement diligent (II)) et j'ai aussi su ce qu'est le principe principe d’inter-engendrement et d’inter-domination. Cela a rendu ma cultivation et le salut des gens plus rationnels. Dans mon esprit, j'ai nié la « surveillance » déployée par la perversité. Je garde en mémoire : « Même s’ils ont déjà cultivé pendant huit cents ou mille ans, un petit doigt suffit pour les écraser ». (Zhuan Falun) Et j'ai brisé ces arrangements avec la pensée droite.


Je n'ai pas caché le statut de pratiquante dans la communauté ou les affaires. Quand les gens ayant l'affinité prédestinée veulent écouter les faits, j'éteins les téléphones cellulaires pour éviter l'interruption, et je vérifie les message seulement après avoir fini la clarification de la vérité. Quant aux voisins qui me disent en privé : « Ils m'ont demandé de vous surveiller », les policiers en résidence, et les responsables, le personnel de la gestion des propriétés, les gardes, les travailleurs dans la communauté résidentielle, ceux qui jettent un coup d'œil sans s'identifier, et les clients avec qui je fais affaire chaque jour, j'essaie de ne pas rater l'occasion pour qu'ils sachent les faits afin qu'ils puissent éviter de commettre des crimes contre Dafa et soient sauvés.


Durant ces années, le directeur de la communauté qui a activement préparé ma surveillance a été assigné ailleurs. Le directeur de la communauté qui avait de bonnes pensées sur Dafa a été promu. Les policiers en résidence responsables de ma communauté ont tous accepté de « retourner au poste de police et d'être de bonnes personnes » et ont cessé de me harceler. Le couple qui a reçu l'ordre de me surveiller avait un grand respect pour moi. Ils discutent souvent ce qu'est la croyance avec moi. Ils ont accepté de démissionner des organisations du PCC. Quelques autres personnes sont aussi au courant de certains faits. Dans cette situation qui semble être clémente mais qui a beaucoup de courants au-dessous, je continue à faire ce qu'un pratiquant de Dafa devrait faire.


Un jour, je suis sortie en motocyclette. Un morceau de roche a jeté la motocyclette hors de la route. Cela a fait une profonde entaille dans le bas de ma jambe. Quand je suis retournée à la communauté résidentielle, je suis tombée sur une personne ayant l'affinité prédestinée. J'ai passé une demi-heure à lui parler tout en sentant le sang dégouliner le long de ma jambe. Je n'étais pas inquiète. À mon retour, j'ai croisé mes jambes et me suis assise en position du double lotus. J'ai émis la pensée droite : « Je suis disciple de Maître LI Hongzhi. Si j'ai une omission quelconque, je la corrigerai. Le Maître est en charge de moi. Il n'est pas permis à la perversité de me persécuter. Maître, veuillez me renforcer pour éliminer tous les facteurs pervers ! » Dans cette position, un de mes pieds reposait sur l'entaille, ce qui semblait laisser la blessure ouverte et ne pouvait pas empêcher le saignement. Je suis arrivée à comprendre que je devais rester dans cette position et être déterminée à nier la persécution perverse. J'ai continué à émettre la pensée droite et à faire les exercices chaque jour. Quelques jours plus tard, la blessure d'un pouce et demi s'est renfermée. Il n'y avait aucune cicatrice.


Mon fils et moi avons acheté un nouvel ordinateur, un graveur DVD, et une imprimante à jet d'encre couleur. Nous avons acheté des DVD de meilleure qualité. Un point de production de documents de Falun Dafa a été installé chez moi. Nous pouvons produire des documents selon les différents lecteurs ciblés et selon les différents critères que les pratiquants pourraient avoir.


Au cours de ces quelques dernières années, mes affaires ont aussi prospéré. Les voisins ont fait des éloges : « Regarde-la qui pratique le Falun Gong, elle excelle dans tout ce qu'elle fait ! » Malgré que le volume des ventes a doublé et quadruplé, je n'ai pas manqué de temps. Plutôt les choses se déroulent dans un bon ordre. Je peux trouver plus de temps pour faire les trois choses. J'ai vu de mes propres yeux la magnificence de m'immerger dans Fa et j'ai vécu l'expérience d'avoir été protégée et renforcée par le Maître.


En passant en revue mon amélioration alors que le Maître m'a guidée avec bienveillance, j'ai tant de choses qui sont difficiles à exprimer en paroles. Je sais que peu importe ce que je fais, je ne pourrai pas rembourser la grande miséricorde que le Maître m'a donnée. Tout ce que je peux faire est d'utiliser de mon mieux le temps précieux qui reste pour me cultiver plus diligemment, pour sauver davantage de personnes, pour marcher la dernière étape du chemin et rattraper tout temps ou occasion perdus.


Merci Maître compatissant et grandiose !


Merci compagnons de cultivation qui m'avez aidée et encouragée. Veuillez me signaler avec bonté tout ce qui serait insuffisant en raison de mon xinxing et mes compréhensions limités.


Heshi



Traduit de l'anglais au Canada