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Fahui de Minghui | Les disciples de Dafa jouent le rôle principal, où qu'ils soient (partie 1)

14 janvier 2013 |   Écrit par Wang Huna, une pratiquante de Chine

(Minghui.org)

Bonjour Maître compatissant et magnifique !

Bonjour compagnons de pratique !

Avant-propos

Je n'ai jamais participé à un Fahui, principalement parce que j'étais trop paresseuse pour écrire un partage. Par deux fois, le Maître a fait allusion que j'écrive un article pour le Fahui. Le premier indice était dans un rêve il y a un an. J'ai trouvé un stylo, et en le regardant de plus près, c'était la plume que j'avais précédemment perdue et récupérée. J'étais euphorique. Je me suis réveillée et j'ai compris que le Maître me donnait un indice pour que j'écrive un article de partage d'expérience. Cependant, en raison de la paresse, je l'ai mis de côté et toute une année s'est écoulée.

Récemment, le Maître y a de nouveau fait allusion. Une fois, j'ai rêvé que des disciples de Dafa organisaient un Fahui pour échanger des expériences de cultivation. D'autres disciples tenaient un texte dans leurs mains, alors que je n'avais rien. Un disciple à la même table a lu un partage et j'étais à côté. Je me suis réveillée et j'ai réalisé que je devais écrire un article. Cependant, juste au moment où j'avais l'intention de commencer à écrire, des interférences de la perversité sont apparues. Je n'arrêtais pas de tousser et tout d'un coup, un vent fort a soufflé dans ma petite maison, balayant une tempête de sable par la fenêtre. Je savais que la perversité était en train de créer des interférences. J'ai continué à crier la formule pour émettre les pensées droites et les vents forts se sont arrêtés.

J'ai obtenu le Fa en 1996. Ma profession est institutrice à l'école élémentaire. Tous les trois membres de ma famille sommes des pratiquants. Chaque fois que nous avions le temps, nous lisions et écoutions le Fa, et nous faisions les exercices deux fois – le matin ainsi que le soir. Ceux que nous rencontrions, nous leur parlions des bienfaits de la pratique de Dafa. En 1999, le régime communiste chinois a commencé à persécuter le Falun Gong. Depuis lors, à partir de la culture personnelle, j'ai rejoint le courant de la cultivation pendant la période de la rectification de Fa.

Jouer le rôle principal dans mon environnement de travail et sauver les personnes prédestinées autour de moi

En raison des changements physiques et de mon bien-être mental après avoir commencé à pratiquer le Falun Gong, tout le monde à mon lieu de travail savait que le Falun Dafa est bon. En outre, le secrétaire du parti, le principal et plusieurs enseignants ont lu le Zhuan Falun. Après le début de la persécution, mes supérieurs qui connaissaient la vérité n'arrêtaient pas de me protéger. Comme la persécution s'intensifiait, certaines personnes ont eu des doutes, et je sentais que je devais leur clarifier les faits et blanchir le nom de Dafa. Alors j'ai clarifié la vérité aux enseignants et aux élèves de l'école où j'enseignais.

1. Clarifier la vérité au bureau et nettoyer les doutes dans leurs esprits

J'ai souvent récité le poème du Maître, « Le bien et le mal sont déjà évidents » (Hong Yin) :

« Les êtres tournent en démons, tribulations sans fin,

La Grande Loi apporte le salut dans ce monde chaotique ;

Sans distinguer la droiture et la perversité, ils calomnient la Loi céleste,

Les individus coupables de tous les crimes attendent le vent d'automne. »

J'ai la chance de pratiquer le Falun Dafa et je suis très fière de cela. Je lis des livres de Dafa à l'école comme avant que la persécution commence. J'ai deux copies du Zhuan Falun, une à la maison et l'autre au bureau. Il en est ainsi depuis que j'ai commencé la pratique, et quand mes supérieurs et collègues me voient lire, c'est comme s'ils ne le voyaient pas.

Je n'ai pas su l'incident de « l'auto-immolation de la place Tiananmen » après qu'il ait été diffusé à la télévision. Cela s'est passé à peu près au moment des vacances scolaires d'hiver. Je l'ai appris quand je suis allée chez ma sœur aînée pour une visite. Elle est aussi pratiquante. À ce moment-là, j'ai dit : « Cela doit être une mise en scène. Le suicide est considéré comme tuer des vies, et chaque pratiquant doit connaître ce principe. »

Le soir, je suis rentrée et j'ai regardé les nouvelles pour voir comment l'incident avait été mis en scène pour que je puisse clarifier les faits aux collègues quand je retournerais au travail. J'ai vu des failles. Par exemple, les immolés ne connaissaient pas la position de méditation en lotus, ni la position Jieyin. Deuxièmement, l'incident s'est produit soudainement, alors comment la police a-t-elle réussi à apporter des extincteurs aussi vite ? Troisièmement, la sécurité est stricte sur la place Tiananmen. Les protagonistes auraient dû être interceptés avant d'atteindre leur destination. D'ailleurs comment la police a-t-elle pu permettre à un groupe de personnes de s'immoler par le feu ? À la suite de mon analyse, tout l'environnement de mon lieu de travail a été corrigé.

Le 24 février était le premier jour de la rentrée scolaire, et j'avais fait d'amples préparatifs à la maison. Dès que je suis entrée dans le bureau, j'ai entendu les enseignants dire : « Les avez-vous vu s'immoler par le feu ? Vraiment, ils sont montés au ciel. » Je leur ai répondu : « C'est un canular. De ma compréhension personnelle, les pratiquants ne sont pas autorisés à tuer, et le suicide est considéré comme tuer aussi. C'est pourquoi les pratiquants n'agiraient pas comme ça. » J'ai essayé de me calmer et je leur ai parlé de mon analyse. Je me suis tournée vers une enseignante et je lui ai demandé : « Vous avez eu une opération à la trachée avant, avez-vous été capable de chanter en moins de sept jours ? » Elle a répondu : « C'est impossible. Je n'ai pas pu parler pendant un mois ! » « L'un des immolés, Liu Siying, est apparu à la télévision et elle pouvait chanter quelques jours après une intervention chirurgicale à la trachée, ainsi qu'être interviewée par un journaliste. Allez-vous croire que c'est vrai ?

J'ai apporté des brochures de clarification de la vérité à l'école. Quelques enseignants ont même regardé les conférences du Maître. Plus tard, une collègue a signalé cet incident au secrétaire du parti. Il est venu me trouver et m'a avertie de faire attention, que quelqu'un m'avait rapportée. J'ai hoché la tête et je n'ai rien dit. À la maison, j'étais profondément remplie de regret. Pourquoi n'avais-je pas clarifié la vérité plus loin ? Le lendemain, il m'a rappelée et il a parlé du même incident. C'est ainsi que j'ai commencé à systématiquement raconter au secrétaire du parti et au directeur les faits. Les deux étaient nouvellement nommés. Ils ont calmement écouté ce que je disais et par la suite, ils n'ont pas interféré dans mes activités de clarification de la vérité.

Même l'enseignante qui m'avait dénoncée à mes supérieurs a réalisé que Dafa est bon. Une fois, elle est allée voir tous les enseignants et leur a demandé un par un : « Pensez-vous que le Falun Gong est bon ? » Il y avait 13 enseignants dans la salle. Tout le monde a dit une seule phrase : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Le thème dont on parlait le plus souvent dans notre bureau était le Falun Gong. Par la suite, la plupart des enseignants ont renoncé à leur adhésion au parti et à ses organisations affiliées.

Une nouvelle directrice a été transférée à l'école. La première fois que nous nous sommes rencontrées, elle m'a dit : « N'induisez pas les élèves en erreur. » J'ai poursuivi en lui disant : « Authenticité–Bienveillance-Tolérance est le principe le plus juste, rien n'est plus juste que cela. » Je lui ai clarifié les faits. Elle habitait non loin de chez moi, et j'ai souvent placé quelques brochures à sa porte. Une fois, je suis allée lui rendre visite à la maison et je l'ai persuadée de renoncer à son appartenance au parti. Après l'avoir aidée à démissionner du parti sous un pseudonyme, elle a souri et a dit : « Je vous remercie. » Le soir suivant, je l'ai vue avec sa fille. J'ai aidé sa fille à se retirer de la Ligue de la Jeunesse et également de son adhésion au parti.

Juste avant les Jeux Olympiques de Beijing, le directeur du Bureau 610 de ma ville est venu à mon école pour me voir. Il m'a demandé : « Allez-vous continuer à pratiquer le Falun Gong ? » Je lui ai clarifié les faits. Il a continué à écouter tranquillement. Je lui ai également parlé de quitter le parti. J'ai dit : « Laissez-moi vous procurer un pseudonyme. Du moment que vous y consentez dans votre cœur, ce sera suffisant. » Il était terrifié et est parti. J'ai couru après lui, je l'ai persuadé de quitter le parti. Il a couru à sa voiture, et avant que je l'atteigne, il est parti en voiture. J'ai émis une pensée : « Vous serez sûrement sauvé. »

2. Clarifier les faits en classe avec sagesse

En classe, j'utilise environ 15 minutes pour terminer la leçon, puis j''essaie de mon mieux de montrer aux élèves ce qu'est Dafa. Une fois que je parlais des outils de communication en classe, en conclusion, j'ai dit : « À l'heure actuelle, les outils de communication sont très avancés. Par rapport à la rédaction de lettres et de télégrammes utilisés dans le passé, la communication est beaucoup plus pratique de nos jours. Cependant, il y a du bon et du mauvais en tout. Si on ne peut pas utiliser un outil correctement, il va y avoir des conséquences très mauvaises. » Je me suis arrêtée et un élève a continué :« Oui, tout comme le traitement du Falun Gong. » De toute évidence, c'était soit un jeune pratiquant soit l'enfant d'un pratiquant. D'autres élèves se sont retournés pour voir qui avait prononcé ces mots. Afin de protéger cet élève, j'ai tout de suite continué avec le sujet : « En effet, ce que cet élève a dit est vrai. » Tout le monde s'est tourné vers moi. « Tout comme le traitement du Falun Gong, si les médias ne peuvent pas utiliser correctement les outils de communication et au lieu de cela, ils les utilisent pour créer de la propagande, ils trompent d'innombrables personnes. » Un élève a demandé : « Maîtresse, le Falun Gong n'est-il pas mauvais ? » Je lui ai demandé : « Pourquoi serait-il mauvais ? » Il a parlé de l'incident de l'auto-immolation, de tuer des gens et des scènes qu'il avait vues à la télévision. J'ai dit : « C'est pourquoi j'ai dit que si les outils de communication sont utilisés à mauvais escient, cela conduira à de mauvaises conséquences. » Les élèves me regardaient et écoutaient attentivement. Afin d'aiguiser leur appétit, j'ai fait une pause et j'ai intentionnellement dit : « Oubliez ça, ne parlons pas de ces choses en classe. » Ils ont protesté. L'un d'eux s'est levé en disant : « Maîtresse, pourriez-vous nous en dire plus ! »

J'ai écrit sur le tableau noir trois grands caractères : « Authenticité-Bienveillance-Tolérance » et je les ai laissés en interpréter le sens. Je leur ai demandé : « Si vous pouvez suivre ces principes, est-ce une bonne chose ? » Ils ont répondu oui. Puis je leur ai demandé de chercher les antonymes : comédie, perversité, conflit. J'ai écrit ces caractères sous « Authenticité-Bienveillance-Tolérance » et j'ai demandé aux élèves quels sont ceux qui sont bons et ceux qui sont mauvais. S'ils sont mauvais, pourquoi. S'ils sont bons, pourquoi. Les élèves ont soulevé quelques exemples comme une boutique vendant des contrefaçons, l'hôpital vendant des faux médicaments, etc. Je leur ai dit : « Le Falun Gong pratique Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Pensez-vous que le Falun Gong est bon ou mauvais ? » Tout le monde a dit à haute voix :« Bon ! » J'ai continué : « Ceux qui persécutent Authenticité-Bienveillance-Tolérance, sont-ils de bonnes personnes ? » Ils répondirent : « Non. » À ce moment, l'élève qui avait amené le sujet s'est levé nerveusement, il a levé les bras et a crié : « Falun Dafa est bon ! » Chacun dans la classe a immédiatement crié : « Falun Dafa est bon ! »

Un élève m'a demandé : « Maîtresse, vous pratiquez le Falun Gong, n'est-ce pas ? » J'ai répondu : « Alors tu penses que je suis une bonne personne ? » Sans attendre la réponse de cet élève, toute la classe a répondu : « Bien sûr ! » J'ai dit à cet élève : « Avant, j'étais sévère avec les élèves et parfois je perdais mon calme. Le Falun Dafa m'a changée et j'agis en accord avec Authenticité-Bienveillance-Tolérance tout le temps. » Ensuite, les élèves ont demandé d'apporter à l'école des DVD de clarification de la vérité, des petits livrets et des brochures reçus à la maison pour les lire ou les regarder. Il y avait un élève qui avait mis la main sur un DVD et qui voulait le ramener à la maison pour le montrer à son grand-père. Il a dit que son grand-père était malade.

À une autre occasion, un cours de comédie avec un concours a été organisé dans toute l'école. Tous les enseignants et les supérieurs ont écouté ce qui avait été appris en classe, puis des notes ont été attribuées pour évaluer les résultats. J'ai parlé du fait de tenir ses promesses et j'ai demandé aux élèves d'interpréter une histoire sur l'honnêteté. Pour finir, en conclusion, j'ai dit : « Depuis les temps anciens jusqu'à nos jours, il existe de nombreux exemples de ceux qui sont honnêtes et respectent leurs paroles. Yue Fei est l'un d'entre eux, et son nom a été transmis de génération en génération. Un saint a visité le sanctuaire de Yue Fei et a laissé derrière lui un poème intemporel. Aujourd'hui je partage ce poème avec tous. » Ainsi, j'ai récité à haute voix le poème « Une visite au temple de Yue Fei » de Hong Yin. Après la classe, cette leçon que j'ai donnée est arrivée en tête du concours.

Après que j'aie dit aux élèves de première année : « Falun Dafa est bon ; Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon », quand j'ai commencé la leçon, j'ai salué les élèves et l'un d'eux a répliqué : « Falun Dafa est bon. » Plus tard, tous les élèves m'ont de nouveau saluée de cette manière. Pendant une très longue période, chaque fois que je donnais une leçon et que je saluais les élèves, ils me répondaient : « Falun Dafa est bon. » En conséquence, le comportement en classe s'est rapidement amélioré et les élèves ont cessé de se battre les uns avec les autres. La puissance de Dafa est incroyable !

Tout le monde à l'école, des enseignants aux élèves, tous ont compris la vérité. Je me suis dit, j'ai enseigné dans toutes les classes, peut-être que je devrais passer dans une autre école !

Des miracles ont lieu tout le temps dans la pratique. Au début de la nouvelle année scolaire, mes supérieurs se sont arrangés pour que j'aille dans une autre école. Je savais pourquoi cela s'était produit. Le premier jour où j'ai enseigné à la nouvelle classe, après m'être présentée, j'ai demandé aux élèves leur adresse personnelle. La nuit, j'ai distribué des brochures selon les adresses qu'ils m'avaient données. Le deuxième jour, les élèves ont amené les brochures à l'école. En classe, ils m'ont entourée et ont voulu me montrer ce qu'ils avaient reçu. J'ai dit : « Les caractères sont de petite taille, il m'est difficile de les lire, pourquoi ne pas me les réciter. » L'un d'entre eux lisaient pendant que tout le monde écoutait. Lorsque les élèves ont posé des questions, je leur ai expliqué les faits. Parce que c'était une petite leçon, nous sommes passés à la lecture des brochures pendant la pause du midi. Pendant que les autres classes faisaient une sieste, ma classe était en train de lire sur la vérité.

Il s'est produit un incident que je n'oublierai jamais. Une fois, le surveillant de la classe a proposé de tenir une réunion de classe afin de discuter pour savoir si le parti communiste était bon ou mauvais. J'étais d'accord. On aurait dit que j'étais en train de noter leurs devoirs, mais en fait j'émettais les pensées droites. Les deux équipes ont envoyé un représentant. Il y avait 32 élèves dans l'équipe qui était anti-communiste, tandis que l'équipe pro-communiste avait trois membres. Les deux parties étaient éloquentes. C'est pourquoi j'ai dit que ces élèves étaient extraordinaires. Le Maître avait arrangé pour que je vienne les sauver. Dès le début du parti communiste, l'équipe anti-communiste a lutté pour sa position avec la raison et des preuves : les riches ont gagné leur richesse par le travail, par conséquent, ils ne devraient pas être tués. En outre, le parti communiste n'aurait pas dû tuer autant de gens dans les révolutions passées. Même les étudiants universitaires qui étaient contre la corruption ont été tués par le régime, et maintenant ils persécutent les gens qui pratiquent Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Ensuite, les trois élèves qui étaient pro-communistes ont compris la vérité et ont voulu passer de l'autre côté. Il n'y avait plus qu'une personne dans l'équipe pro-communiste et elle était très convaincante. Malheureusement, ce qu'elle a dit était fallacieux. Elle a fait valoir que peu importe celui qui était au pouvoir, il agirait comme ça. Culture typique du parti. Le représentant de l'équipe anti-communiste m'a regardée, cherchant de l'aide. J'ai souri et j'ai dit : « Même le dirigeant du pays ne peut pas agir comme un tyran. Le principe céleste crée un équilibre. » Le représentant de l'équipe anti-communiste a continué : « C'est vrai, les principes célestes prévaudront. Regardez les nombreuses catastrophes et les catastrophes naturelles qui se produisent de nos jours. Le ciel est en train d'éliminer le parti. » J'ai ajouté : « C'est pourquoi il faut quitter le parti afin de se protéger des catastrophes. » Sur ce, la réunion de classe a pris fin. La partie perdante a pleuré, se plaignant que j'étais du côté de l'autre équipe. Sur ce, je lui ai parlé en profondeur. Je lui ai dit que dans un pays, personne n'a le droit de décider du sort des autres. Parce qu'il n'y a pas de droits de l'homme en Chine, parfois celui au pouvoir a le pouvoir de faire ce qu'il veut, comme la persécution du Falun Gong. C'était vraiment la décision de Jiang Zemin. Le ciel veut éliminer le Parti communiste chinois (PCC). Elle a finalement compris la vérité.

À cette époque, le mouvement de retrait du PCC venait de commencer et j'ai ouvertement convaincu les élèves de la classe de renoncer au parti. Après leur avoir clarifié la vérité, je leur ai dit : « Celui qui veut y renoncer, doit penser à un pseudonyme ou à un surnom. Si vous ne voulez pas démissionner, je ne vais pas vous y forcer. » Lorsque j'ai terminé, les élèves ont démissionné du parti les uns après les autres. De plus, ils l'ont fait avec leurs vrais noms. Presque chacun dans cette classe a renoncé au parti. Très vite, la moitié de l'année scolaire s'était écoulée et je suis retournée à l'école précédente. De toute évidence, cela avait été arrangé pour que je puisse revenir à mon ancienne école afin de persuader ceux de l'école de quitter le parti.

De retour à mon ancienne école, j'ai continué de finir la leçon de classe dans la première moitié de la classe et utilisé le reste du temps pour parler aux élèves. Je les ai convaincus de renoncer au parti et dans chaque leçon, il y a eu quatre à cinq d'entre eux qui ont démissionné. Certains élèves sont même allés à la maison et ont demandé à leurs parents de quitter le parti. Miraculeusement, chaque fois que je finissais de clarifier la vérité à une classe, mes supérieurs arrangeaient pour moi que j'enseigne dans une autre classe. Ou bien, l'enseignant responsable était parti en congé et on me demandait de prendre en charge sa classe. Il y avait plus de 130 élèves à l'école et il y a une seule élève qui a refusé de quitter le parti, indépendamment de la façon dont j'ai essayé de la persuader. Il y avait une autre élève qui a accepté de quitter le parti seulement après que je lui aie parlé une seconde fois. Toutefois, le lendemain, la grand-mère de l'élève est venue voir le professeur responsable. Comme ce professeur avait déjà compris la vérité et avait même 17 de ses proches qui ont quitté le parti, nous avons parlé ensemble au membre de la famille de l'élève depuis 11 heures jusqu'à 14 heures. Finalement, elle a compris la vérité.

Presque tout le monde dans cette école avait renoncé au Parti. Après avoir clarifié la vérité dans cette école, je voulais prendre ma retraite. De cette façon, je pourrais aller dans la rue pour clarifier la vérité aux gens. Cependant j'avais encore plusieurs années à faire avant que je puisse prendre ma retraite. Un autre miracle de Dafa s'est produit. En 2010, au début de la nouvelle année scolaire, mes supérieurs m'ont demandé de jouer le rôle d'agent de sécurité pendant les vacances scolaires et les jours fériés, y compris l'hiver et les vacances d'été. Cela signifiait que pendant l'année scolaire, je n'étais pas en service. C'était presque comme la retraite. Je savais que tout cela avait été arrangé par le Maître.

Bien jouer les acteurs principaux dans la société et sauver les êtres

Le Maître nous a dit dans « Les disciples de Dafa doivent impérativement étudier Fa - Enseignement de Fa à la Conférence de Fa de Washington DC 2011 » :

« Or les acteurs principaux ici sont les disciples de Dafa, tous les êtres humains vous attendent pour que vous les sauviez, en même temps qu’ils vous fournissent des environnements pour le Xiulian, ils attendent que vous les sauviez. »

Nous sommes descendus ici pour assister le Maître dans la rectification de Fa et sauver les êtres.

1. Marcher dans les rues et clarifier la vérité en face à face

En raison des changements dans mon travail en avril 2010, j'ai commencé à aller dans les rues et ruelles pour clarifier la vérité aux gens. Je l'ai fait, même pendant les congés de fêtes. J'ai défini ma propre règle de persuader les gens de démissionner du parti tous les jours, au moins quatre si je devais travailler et au moins 20 lors de mes jours de congé. Chaque matin, je participais au groupe d'étude du Fa, étudiant une conférence. À la maison, je lisais une autre conférence avant de partir. Je me précipitais à la maison avant 18 heures. Depuis plus de deux ans, c'est tout bonnement ma routine.

Au départ, je remettais des DVD de Shen Yun Performing Arts. Si l'autre personne me questionnait sur le Falun Gong, je profitais de l'occasion pour lui demander de quitter le parti. Il y avait un homme qui roulait lentement en moto. Je suis allée vers lui, tenant un DVD. Il s'est arrêté et a pris le DVD, me demandant si cela avait à voir avec le Falun Gong. Je lui ai dit que c'était des chansons et des danses afin de promouvoir la culture traditionnelle chinoise, mais que la plupart des artistes sont des pratiquants de Falun Gong. C'est pourquoi je lui ai expliqué qu'il devait renoncer au PCC. Il a écouté et a compris la vérité; alors il a décidé de quitter le parti.

En plus de clarifier la vérité aux gens dans la ville où je vivais, je me suis rendue dans les villages voisins. Une fois, je suis allée à un village et j'ai passé à côté d'un tas d'ordures le long de la route. J'ai vu un homme âgé en train de fouiller dans les tas et traverser pour jeter un coup d'oeil. J'ai hésité parce qu'il avait dans la cinquantaine et son aspect était trop répugnant. De plus ses vêtements étaient sales. Je me suis dit, quelqu'un comme lui peut-il être un membre du PCC ? Mais alors je me suis rappelé les enseignements du Maître : « Donner le salut aux gens c’est donner le salut aux gens, les choisir ça n’est plus la compassion. » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de la grande région de New York 2009 »)

Alors je me suis approchée de lui et je lui ai demandé : « Voulez-vous un DVD ? » Il m'a regardée et m'a répondu : « Non, je ne peux pas le regarder. Avez-vous des livres ? » Je lui ai donné deux brochures. « Avez-vous fait partie d'une des associations du PCC ? » « J'ai rejoint la Ligue de la Jeunesse. » J'ai commencé à lui parler de l'intention du ciel d'éliminer le PCC. Je lui ai demandé : « Avez-vous lu les Neuf commentaires sur le Parti communiste ? » Il a répondu : « Oui, je l'ai souvent lu. » Puis il a continué de parler de sa connaissance du Falun Gong. Il était très juste. Ce n'est pas moi qui lui ai clarifié la vérité, c'était l'inverse. Après que nous ayons parlé pendant un moment, je lui ai demandé : « Connaissez-vous le mouvement de démission du PCC et de ses organisations affiliées ? » Il a dit : « Oui, mais je ne sais pas comment faire. » Je l'ai aidé à quitter la Ligue de la Jeunesse et son adhésion au parti communiste. Je lui ai également demandé de se rappeler que le Falun Dafa est bon et Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon.

Je parlais aux gens en attendant le bus, en déposant mon salaire à la banque, assise dans le bus ainsi qu'en visitant des patients à l'hôpital. Quand je suis allée pour photocopier des documents, j'ai persuadé les employés de quitter le parti. Afin de sauver plus de gens, j'ai concentré mes interventions sur un groupe de personnes. Par exemple, nous avons beaucoup de projets de construction dans ma région. J'allais rendre visite à un groupe de travailleurs de la construction au cours de leur pause de midi et je leur clarifiais la vérité. Un jour, je suis retournée trois fois à la maison pour prendre des brochures et pourtant je n'en ai pas eu assez à distribuer. En une journée, j'ai aidé 66 personnes à quitter le PCC.

L'hiver dernier, je suis allée au marché aux légumes en gros pour clarifier la vérité aux gens. Je suis allée à chacun des stands. Il y avait sept personnes dans une salle et six d'entre eux ont accepté de quitter le parti. Il y avait un membre du parti qui a refusé de quitter en dépit de ce que je lui ai dit. Il a refusé d'accepter les faits que je lui disais. J'ai manqué de calendriers à donner. Je leur ai dit que j'allais retourner à la maison et que je reviendrais avec plus de calendriers. Sur le chemin, j'ai rencontré un jeune homme poussant sa bicyclette. Je lui ai demandé s'il avait rejoint le parti. Il a dit oui. Après l'avoir convaincu de quitter le parti, je lui ai demandé de se rappeler que le Falun Dafa est bon et il y a consenti. J'ai alors sauté sur mon vélo et je me suis dirigée vers la maison. Comme il neigeait beaucoup et qu'il y avait de forts vents, il a crié : « Soyez prudente ! » Il avait trop peur pour monter sur son vélo dans ce mauvais temps. Pourtant, une vieille dame comme moi âgée de 60 ans circulait à vélo au milieu de la neige et du vent et est rentrée chez elle en toute sécurité, grâce à la protection du Maître. À la maison, j'ai pris les calendriers et je suis retournée au marché de gros. Ils étaient en train de plier bagages et de partir et ils ont été étonnés de me voir. Avant que j'ouvre la bouche pour parler, ils ont reproché à la personne qui refusait obstinément de quitter le parti. « Tu ferais mieux d'être d'accord, regarde ce qu'elle a fait ! » Cette personne a dit : « D'accord, je vais renoncer à mon adhésion. »

Une fois, une voiture était garée sur le bord de la route. Je me suis approchée, en disant : « Je voudrais vous donner un DVD, pouvez-vous le regarder ? » L'homme a répondu : « Je sais ce qu'il en est de tout cela, je veux le regarder. » Alors que d'autres avaient des doutes, il leur a dit : « Jetez un coup d'oeil, c'est bien. » Quelqu'un a dit doucement : « Est-ce le Falun Gong ? » J'ai rapidement répondu : « Qui voudrait le regarder si ce n'était pas sur le Falun Gong ? Savez-vous que le Falun Gong s'est propagé dans plus de 100 pays à travers le monde. Il est accueilli partout. » Juste à ce moment, l'homme qui voulait le DVD a dit : « Parlez-nous-en un peu plus. » Alors, j'ai commencé à leur raconter les faits, la propagation de Dafa, la persécution. Je leur ai dit aussi que le ciel éliminerait le PCC et pour éviter la catastrophe, ils devaient quitter le parti. Ils étaient huit. Tous sauf un avaient rejoint le parti et ils ont tous voulu quitter le PCC. Juste à ce moment, un passant a demandé ce qui se passait. Après que je lui aie parlé, lui aussi a quitté le PCC. J'ai fait un rêve cette nuit-là. Alors que je marchais, des lumières colorées se dégageaient de mon pied, et j'ai vu des grands caractères chinois ainsi que des petits épelant « Fa juste » dans la lumière. Je savais que le Maître m'encourageait.

J'allais souvent à l'étal de légumes dans le village pour clarifier la vérité. Une fois, il y avait un stand énorme, je suis entrée et j'ai demandé si quelqu'un voulait des calendriers. Au début, les gens avaient peur d'en prendre un. Après que je leur aie parlé de la propagation glorieuse du Falun Gong dans plus de 100 pays, ils ont décidé de les prendre. Je leur ai aussi parlé du ciel qui éliminerait le PCC. Treize personnes étaient là et chacune d'entre elles (à l'exception de deux qui n'avaient pas rejoint le parti) ont démissionné. La scène était comme prononcer un discours, diffusant la vérité sur Dafa aux cœurs de toutes les personnes présentes.

Une fois, un bus public rempli de passagers s'est arrêté sur le côté de la route. Comme ce n'était pas encore le moment de démarrer, le conducteur et le contrôleur parlaient à l'extérieur de l'autobus. Je leur ai clarifié la vérité et ils ont accepté de quitter le parti. Après cela, j'ai demandé si je pouvais donner des brochures aux passagers dans le bus. Le conducteur a dit : « Oui, laissez-moi vous aider. » Presque tout le monde a pris les brochures. Quelques-uns ne voulaient pas prendre les brochures parce que c'était sur le Falun Gong. Comme ils ont mentionné le Falun Gong, je leur ai clarifié les faits et j'ai obtenu que les passagers démissionnent du PCC. Tout à coup, une douzaine d'entre eux ont accepté. Puis je leur ai demandé de se rappeler que le Falun Dafa est bon.

2. Clarifier la vérité en utilisant différentes possibilités

Afin de sauver les êtres, j'ai aussi utilisé d'autres moyens pour clarifier la vérité, comme afficher des panneaux, etc. Après que le Maître ait confirmé l'utilisation de billets de monnaie avec des messages de clarification de la vérité, j'ai commencé à produire un grand nombre de ces billets. Toutes ces années, j'ai dépensé ce genre de billets.

Depuis juillet, j'ai acheté deux téléphones portables. Au début, j'utilisais la fonction voix pour diffuser des messages de clarification de la vérité aux gens. En une journée, j'ai réussi à envoyer un millier d'appels et quatre à cinq mille personnes l'ont entendu. Alors j'ai choisi le numéro de ceux qui avaient entendu les messages et je les ai appelés pour les persuader de quitter le parti. Dans des circonstances normales, en une heure, je réussissais à obtenir qu'environ 10 personnes quittent le PCC. Il y avait une personne qui ne cessait de crier : « Falun Dafa est bon » comme je lui parlais. Il y avait une autre personne qui, dès que je lui ai dit de quitter le PCC pour éviter la catastrophe, a rapidement dit : « J'ai rejoint la Ligue de la Jeunesse, s'il vous plaît, aidez-moi à m'en retirer. » Il a ensuite poursuivi en critiquant le PCC. Je n'ai même pas eu besoin d'aller dans les détails et il voulait anxieusement quitter le parti.

Un soir, une dame m'a écoutée clarifier la vérité et a quitté le parti. Après cela, sa fille de 10 ans a entendu la vérité et s'est retirée de la Ligue de la Jeunesse. Fortement poussé par sa fille, le père de la jeune fille a, à contrecœur, pris l'appel et m'a écoutée lui clarifier les faits. En fin de compte, lui aussi a quitté le parti.

Une fois, un policier a répondu à mon appel téléphonique et a immédiatement dit : « Savez-vous ce que je fais ? Je suis un officier de police. Je peux vous localiser et vous arrêter. » Je me suis dit : « J'ai désactivé votre système de surveillance avec mes super-pouvoirs. » Je lui ai dit : « Je ne veux pas savoir ce que vous faites. Je veux vous sauver. Ne voulez-vous pas être sauvé ? Avez-vous réfléchi pourquoi nous les pratiquants faisons cela ? » Il a répondu : « Ce que vous dites, est-ce vrai ? » J'ai dit : « Pourquoi est-ce que je vous téléphonerais et que je vous jouerais un tour ? » Puis je lui ai clarifié les faits et il a accepté de quitter le parti. Il a également convenu de cesser d'être impliqué dans la persécution du Falun Gong.

Clarifier la vérité avec un téléphone portable peut en effet faire gagner beaucoup de temps. En outre, nous arrivons à communiquer avec des gens qu'habituellement nous ne rencontrons pas et à leur clarifier la vérité. En un mois, j'ai obtenu que plus de 400 personnes quittent le parti.

Dans le processus de sortir pour clarifier la vérité aux gens, ma plus profonde révélation est la suivante : c'est tout simplement comme des moines ou des nonnes qui errent dans la société.

« Le vagabondage est très dur, il erre dans la société, mendiant sa nourriture, rencontrant toutes sortes de gens qui se moquent de lui, l’insultent et profitent de lui ; il va affronter toutes sortes de choses. » (« Huitième Leçon », Zhuan Falun)

En réalité, c'est aussi le processus de se débarrasser de ses attachements. Plus je parlais aux gens, plus je sentais une grande responsabilité sur mes épaules. Et plus je clarifiais la vérité, plus je comprenais l'honneur du titre – disciple de Dafa, et plus je sentais que les êtres sont en attente d'être sauvés.

Traduit de l'anglais au Canada