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Non pas « persécution et être persécuté » mais « sauver et être sauvé »

Quand les hauts murs du centre de détention m’ont séparée de la liberté et du monde, je n'avais ni peur ni tristesse. Il n'y n'avait que le Fa dans mon esprit, « avec le Maître et la Loi ici, qu'y a-t-il à craindre ? » (« Enseignement à Sydney ») (traduction non officielle)

« C’est vous qui jouez le rôle principal dans cette période de l’histoire, au moment présent que ce soit la perversité ou les divinités droites, toutes existent pour vous. Marcher droit sur votre chemin, voilà le plus important. » (« S’engager sur un chemin droit » 2005)

Je comprends que, peu importe où je suis, ma mission ne changera pas et je vais toujours jouer le rôle principal et bien faire les trois choses.

1. Raffermir les pensées droites et créer un environnement de pratique

Le 27 mai 2010, j'ai été rapportée à la police lorsque je clarifiais la vérité. Deux policiers ont essayé de me traîner dans leur véhicule, mais ils en étaient incapables. Ensuite, ils ont appelé six ou sept policiers de plus et m'ont poussée dans la voiture de police. J'ai crié : « Maître, sauvez-moi ! » Ils m’ont donné des coups de pied et frappée. Quand nous sommes arrivés au poste de police, j'ai clarifié les faits au policier qui me surveillait et il a immédiatement accepté de démissionner du PCC et ses organisations affiliées. Par la suite, deux policiers sont venus pour écouter les faits, mais quand ils étaient sur le point de démissionner du PCC et ses organisations, le chef d'équipe est arrivé et les deux policiers sont partis. J'ai clarifié la vérité au chef d'équipe, mais il a refusé de démissionner du PCC. Plus tard, les policiers m'ont emmenée dans la voiture de police, jusqu'au centre de détention. Une fois arrivée au centre de détention, les policiers sont partis.

La garde de service m'a dit de porter le gilet de prisonnier et d’aller dans la pièce. J'ai pensé en moi-même :

« En aucune circonstance on ne doit s’accorder aux exigences, ni aux ordres, ni aux instigations de la perversité. » (« La pensée droite des disciples de Dafa est puissante » dans Points essentiels pour un avancement diligent (II))

J'ai répondu : « Je ne porterai pas ceci ! » Il a appelé un prisonnier pour me le mettre. J'ai regardé le prisonnier dans les yeux et il n’a pas bougé. Quand le garde vu que le prisonnier n’avait pas bougé, il m'a traînée jusqu'aux toilettes. Il a commencé à me frapper avec le gilet. J'ai utilisé ma main pour éviter le gilet et le gilet m'a ratée et ne m’a pas frappée. Il m'a frappée à nouveau, mais j'ai levé mon bras et le gilet m’a manquée encore une fois. À ce moment-là, il était tellement en colère qu'il respirait difficilement. Je me suis rappelée le Fa :

« Les pratiquants sont sur le chemin vers la divinité, ils ne voient pas les êtres humains comme leurs ennemis et ils essaient de leur mieux de sauver tous les êtres. » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi à San Francisco en 2005 »)

J'ai eu pitié de lui et je lui ai dit : « Je ne vous résiste pas, je résiste à cette veste, parce que je ne suis pas une criminelle, donc je refuse de la porter. » Son attitude s'est assouplie.

J'avais entendu dire que pratiquer les exercices de Falun Gong n'était pas autorisé au centre de détention, mais je devais faire les exercices et personne ne pouvait m'arrêter. Après le raffermissement de mes pensées droites, je me suis levée à 3 h 50, pour commencer à faire les exercices. J'étais très surprise qu’après avoir fait les exercices, lorsque les gardes me donnaient des coups de pied et me battaient, je me sentais aussi légère qu'une plume. Aussi, j'ai été agréablement surprise que ma jambe, qui était enflée depuis deux ans, ait complètement guéri en une nuit.

Après avoir mangé le lendemain matin, le chef d'équipe m'a appelée et m'a dit : « Tu t'es levée tôt pour faire les exercices et une fille dans ta chambre était terrifiée et maintenant elle ne veut plus être dans la même chambre que toi. Nous allons te transférer. Ne fais plus les exercices ! » J'ai été transférée dans une autre chambre et cela m'a fourni de nombreuses occasions de clarifier la vérité. J'ai été transférée dans une nouvelle chambre et j’ai mis mes affaires sur le lit près de la fenêtre. Peu de temps après, une fille âgée de 20 ans a été aussi transférée là. Un moment, elle chantait et le moment d'après, elle jurait. Elle semblait avoir des problèmes de santé mentale. J’ai commencé à avoir pitié d'elle. Je me suis assise sur le lit et j'ai récité de mémoire le Fa pendant une heure et plus tard, j’ai fait les exercices debout. Par la suite, j'ai émis les pensées droites pendant une heure.

Une sous-chef du centre de détention est venue pendant l'heure du déjeuner et est restée plantée devant moi. Elle m’a regardée dans les yeux et a dit : « Tu oses encore faire les exercices ici ? » Avec un sourire sur le visage, je lui ai répondu avec fermeté : « Mon corps ne peut pas supporter cela, si je ne fais pas les exercices. » J'ai émis de fortes pensées droites. Pendant une minute, nous nous sommes regardées dans les yeux l'une l'autre et les autres nous regardaient aussi. Finalement elle a dit : « Fais attention et ne dérange pas les autres. » Après avoir dit cela, elle est partie. Désormais, personne ne m’a plus interférée quand je faisais les exercices.

2. Bien jouer le rôle principal et sauver les êtres avec confiance et dignité

Après le déjeuner, j'ai émis la pensée droite et récité de mémoire le Fa. Ensuite j'ai médité. La jeune fille a semblé devenir calme. Alors je lui ai demandé : « Pourquoi es-tu contre le Falun Gong ? » Elle a dit : « Ceux qui pratiquent le Falun Gong s'auto-immolent ou tuent d'autres personnes. Quand j'entends 'Falun Gong', j'ai peur. » Je lui ai dit : « Le Falun Gong enseigne aux gens à suivre Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Quelle que soit la façon dont tu me traites, je ne me mettrai pas en colère et je ne vais pas t'embêter non plus. Cela n'est-il pas bien ? » Elle a hoché la tête. Alors je lui ai expliqué ce qu'est le Falun Gong et pourquoi le PCC persécute les pratiquants. Je lui ai dit de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées afin d'assurer sa sécurité et sa paix. Elle a écouté calmement et a démissionné des Jeunes Pionniers.

Plus tard, j'ai clarifié la vérité aux gens de la pièce voisine. Quand j'ai mentionné combien Dafa était largement diffusé à l'étranger, une propriétaire d'entreprise privée a dit : « L'année dernière, je suis allée dans quatre pays. Il y a tellement de gens qui pratiquent à Taiwan et aux États-Unis, il est partout. » Après qu’elle ait dit cela, d'autres étaient prêtes à accepter la vérité et bientôt, tout le monde dans la chambre a démissionné du PCC et de ses organisations affiliées.

Un jour, la jeune fille de ma chambre m'a dit : « Je me suis foulé le pied il y a quelque temps, et cela me fait mal les jours nuageux, mais même si aujourd'hui c'est un jour nuageux, je n'ai pas mal du tout. » Alors elle a fait le tour et dit aux autres combien le Falun Gong était miraculeux.

Par la suite, une autre fille est venue dans ma chambre. Lorsqu'elle a appris que je pratiquais le Falun Gong, elle m'a ignorée. Je lui ai dit : « Le Falun Gong est bon ! » Elle n’a rien dit. La jeune fille qui en avait bénéficié a dit : « Le Falun Gong est vraiment bon. Je l'ai dit dans mon cœur et mon pied a été guéri. » Je lui ai dit : « Comme toi, quand elle est arrivée, elle avait une mauvaise compréhension du Falun Gong. » Elle a recouvert immédiatement ses oreilles et dit : « Ne m'en parlez plus ! Ma tête me fait mal quand vous mentionnez le Falun Gong. » Je lui ai dit : « C'est parce que mon Maître t'enlève ta maladie ! Tu iras mieux après avoir écouté la vérité. » Puis j'ai commencé à lui dire comment le Falun Gong est répandu dans plus de 100 pays à travers le monde et puis, je lui ai parlé de la persécution. Cependant, elle gardait toujours ses oreilles recouvertes et refusait d'écouter. Je lui ai dit : « Pour ton propre bien, je dois continuer. » Cela a duré deux jours. Le troisième jour, elle n’a plus crié quand je lui parlais du Falun Gong. Elle m’a regardée surprise. Je lui ai dit : « Tu n'as plus mal à la tête, n’est-ce pas ? » Elle a hoché la tête et puis elle a décidé de démissionner du PCC et ses organisations affiliées.

Quand je suis sortie de la pièce pour aller manger la première fois, deux garçons sont venus vers moi et m'ont demandé : « Pourquoi êtes-vous emprisonnée ici, tante ? » Je leur ai dit fièrement : « Parce que je pratique le Falun Gong. » Ils ont dit doucement : « Falun Dafa est bon. » J'ai demandé s'ils étaient membres de la Ligue de la Jeunesse et ils ont hoché la tête. Je leur ai dit : « Démissionnez de la Ligue de la Jeunesse et des Jeunes Pionniers et récitez 'Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon' dans votre coeur. »

Un jour, dans le corridor, j'ai rencontré le gardien qui m'avait frappée le premier jour. Il m’a regardée et a dit : « Je sais que vous me haïssez. » J'ai souri et je lui ai dit : « Je ne vous hais pas, je pratique le Falun Gong. Ne voulez-vous pas en savoir plus sur le Falun Gong ? » Il a dit : « Je vais écouter ce que vous avez à dire. » Il m'a emmenée dans une pièce et j’ai commencé à lui parler de la remarquable capacité du Falun Gong à guérir les maladies et à rester en bonne santé. Je lui ai dit : « Vous n’êtes pas au courant que Dafa s'est propagé dans plus de 100 pays. Lorsque je vous ai clarifié la vérité, vous avez refusé d'écouter. Vous n'avez pas regardé les CD ni les brochures qui vous ont été remises. Nous voulons que les gens sachent que Dafa est bon. Est-ce que nous faisons du mal ? » Il a secoué la tête en signe de négation.

Une fois, quand on nous a laissés sortir pour respirer l'air frais, la sous-chef du centre de détention a montré quelques mouvements qui se composaient de coups de pied et de se baisser et elle a dit que c'était bon pour le corps. Elle n'était plus aussi perverse que quand j'étais arrivée. J'ai ajouté à ses paroles et dit : « Si vous parlez de rester en bonne santé, rien ne peut se comparer à la pratique du Falun Gong. Il est remarquable et miraculeux, il guérit les maladies et nous garde en bonne santé. » En même temps, ils ont commencé à discuter du Falun Gong. Elle m'a demandé : « Comment pratiquons-nous ? » Je leur ai montré les mouvements. Ils avaient de nombreuses questions et je leur ai répondu. Sur le chemin de retour à la chambre, j’ai marché derrière avec elle et nous avons continué de parler de la large diffusion du Falun Gong dans le monde entier et elle était très réceptive. Lorsque tout le monde était monté, je me suis arrêtée et je lui ai offert de l'aider à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Juste comme elle allait hocher la tête et démissionner, elle est soudainement partie en disant qu'elle était occupée. Je me sentais remplie de regrets quand je suis retournée dans ma chambre. Par la suite, cette chef du centre de détention m'a permis de rentrer à la maison un jour à l'avance.

La chef du centre de détention m'avait promis de me laisser rentrer à la maison le matin, et par conséquent, j'ai eu l’attachement à l’exaltation. Ainsi, un autre chef du centre a refusé de me laisser partir. Je savais que c'était à cause de l’attachement à l’exaltation qui avait permis à la perversité de profiter de ma lacune. J'ai immédiatement commencé à émettre la pensée droite de 11 h à 15 h pour les éliminer. À ce moment-là, le téléphone a sonné et on m'a dit de faire ma valise et de me préparer à rentrer à la maison.

Parce que ce chef d'équipe et la chef du centre de détention avaient déjà compris la vérité, mais n'avaient pas encore démissionné du parti, je me sentais remplie de regrets et je pensais toujours à cela. Alors c'est devenu un attachement. Une fois, quand je distribuais des DVD de Shen Yun, j'en ai donné un à un agent de police. Il m’a agrippée et a refusé de me laisser partir. Il a appelé une voiture de police et ils m'ont emmenée dans le véhicule. Après être arrivée au poste de police, je me suis assise sur le canapé et j'ai émis la pensée droite. Après un certain temps, ils m'ont de nouveau emmenée dans la voiture de police au centre de détention. Je leur ai clarifié la vérité sur le chemin. Ils écoutaient très attentivement. Au début, le conducteur dérangeait en klaxonnant, mais il a arrêté et a commencé à écouter attentivement. Il a même posé des questions, et même le chef de la sûreté d'État a demandé comment démissionner du PCC et de ses organisations. Je leur ai dit comment démissionner. À l’arrivée au centre de détention, ils m'ont conduite à l'intérieur. Lorsque la garde de service est venue jeter un coup d'oeil, nous étions tous les deux surpris, car c'était le même policier qui était en service l'année précédente. Cependant, je me suis soudainement rappelée que cette fois, j'étais venue pour aider la chef d'équipe à démissionner du PCC. Je savais que je ne pouvais pas manquer cette occasion cette fois-ci. Alors j'ai trouvé l'occasion pour aider la chef d'équipe à démissionner du parti.

Le lendemain matin, après avoir terminé d’émettre la pensée droite, la sous-chef du centre de détention est venue. Je lui ai dit : « Vite ! Démissionnez du parti ! Ne manquez pas à nouveau cette occasion ! » Elle a dit : « C'est inutile même si je démissionne, parce que mon esprit est plein de mauvaises pensées. » Je lui ai dit : « Tout va bien ! Récite sincèrement ‘Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon’ dans ton cœur et cela éliminera les mauvaises pensées. » Elle a souri et quitté en marmonnant son pseudonyme.

Après le petit-déjeuner, le chef d'équipe de la logistique m'a appelée pour que je vienne chercher ma couverture et mon matelas. Il a dit : « Vous, les pratiquants êtes très propres, donc je vous donne toutes ces choses neuves. » Je lui ai dit : « Vous êtes une bonne personne. Avez-vous rejoint le parti communiste ? » Il a dit : « Oui ! » Je lui ai parlé des démissions du parti et il a accepté immédiatement de démissionner. Il a dit : « Vous pouvez pratiquer quand vous voulez, personne ne vous arrêtera. »

Le lendemain, quand on nous a permis de sortir pour respirer de l'air frais, j'ai vu une jeune sous-chef du centre de détention que je n'avais pas vue l'année précédente. Quand elle a vu que les autres me traitaient très bien, elle m'a aussi bien traitée. J'ai essayé de trouver l'opportunité pour lui clarifier la vérité et l'aider à démissionner du PCC. Elle était très contente. Par la suite, j'ai clarifié la vérité à ceux qui étaient détenus dans le centre de détention. Une femme âgée a désapprouvé et a dit à haute voix : « Je vais le dire au chef du centre ! » Pour la sécurité du chef du centre, j'ai souri sans répondre. La chef du centre a souri et dit : « Elle m'a donné un pseudonyme et je suis très satisfaite de celui qu’elle m'a donné ! »

Un jour, quelqu'un est venu dans notre chambre en toussant sans arrêt. Je lui ai clarifié la vérité et elle a démissionné du parti. Cependant, la chose qu'elle portait en elle, était une grande interférence pour nous, en particulier pour une pratiquante aînée. La pratiquante aînée a dit : « Un vent froid a soufflé sur moi. » Je l'ai aidée à émettre la pensée droite et je pouvais sentir que dans le champ dimensionnel il y avait une chose noire et collante. Par la suite, j'ai senti que le champ devenait meilleur, alors j'ai commencé à faire les exercices. Après avoir fini les cinq exercices, j'ai prolongé le temps de l’émission de la pensée droite jusqu'à minuit. Au moment que je me suis couchée, à travers mon œil céleste, j'ai vu un nuage de fumée noire venir. Je me suis immédiatement assise et j'ai demandé au Maître de me renforcer. J'ai continué à émettre la pensée droite jusqu'à ce que le champ devienne propre peu à peu. Lorsque j’ai eu fini, il était déjà deux heures du matin. Je n’étais pas du tout somnolente, alors j'ai commencé à réciter de mémoire le Fa jusqu'à ce qu'il soit temps de faire les exercices du matin. Le lendemain, la personne ordinaire ne toussait plus et était guérie

La nuit avant de partir pour rentrer à la maison, j'ai senti que je devais laisser la vérité à ceux qui viendraient là à l'avenir. Je voulais écrire des phrases de clarification de la vérité sur le mur, mais comment ? Les lumières étaient allumées toute la nuit et les yeux électroniques étaient partout. Je me suis couchée après avoir terminé l'émission de la pensée droite. La lumière s'est éteinte dès que je me suis couchée. Je me suis immédiatement assise et j'ai remercié le Maître dans mon cœur. J'ai écrit : « Rappelez-vous : 'Falun Dafa est bon', 'Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon'. Dépêchez-vous et démissionnez du parti, de la Ligue de la Jeunesse et des Jeunes Pionniers » sur les quatre murs. »

3. Bien me cultiver moi-même et en laissant une belle image

Peu importe où je suis, je me cultive selon Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Par exemple, pendant les repas, je me plaçais à la fin de la ligne et j'étais la dernière personne à prendre du riz. Pour prendre de l'eau chaude, je me plaçais aussi à la fin de la ligne. Une fois, la chef du centre de détention savait que je n'avais pas pu contacter ma famille et m'a dit : « Si vous n'avez pas d'argent pour acheter votre billet de bus lors de votre départ, je vais vous en donner. » Sans que j'aie pu dire un mot, les autres ont dit : « Peu importe qui tente de lui donner quoi que ce soit, elle ne le prendra pas. »

L'expérience la plus émouvante que j'aie eu au centre de détention, s'est passée entre moi et les gardes. Ce n'est pas au sujet de la persécution et être persécuté. C'est au sujet de sauver et être sauvé. Les disciples de Dafa jouent le rôle principal. Par conséquent, je suis toujours occupée mais joyeuse en faisant les trois choses tous les jours.

Ce sont toutes des choses pour aider le Maître dans la rectification de Fa et pour sauver les êtres. Je n'oublierai jamais les paroles du Maître :

« Disciples, avancez diligemment ! Tout ce qui est de plus grandiose, de plus merveilleux naît pendant le processus où vous prouvez Dafa. Votre serment va être votre témoin dans le futur. » (« Disciples de Dafa pendant la période de la rectification de la loi » dans Points essentiels pour un avancement diligent (II))

Merci, grand et honorable Maître, pour votre salut compatissant et pour m'avoir donné l'occasion unique de faire partie de la période de la rectification de Fa du Maître aujourd'hui.

Je m'incline devant le Maître ! Merci, compagnons de pratique !

(Neuvième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l’anglais au Canada