(Minghui.org) Je cultive depuis plus de 10 ans. Bien que j'aie trébuché tout au long du chemin, le Maître ne m'a jamais abandonnée. Je me suis sentie immergée encore et encore dans la bienveillance sans limite du Maître. Ici, je voudrais rendre compte de certaines de mes expériences de cultivation à notre Maître grandiose et aux compagnons de pratique.

1. Abandonner les conceptions humaines – j'ai surmonté un obstacle avec les soins du Maître

Le Parti communiste chinois (PCC) a utilisé l'excuse des Jeux Olympiques de Pékin 2008 pour persécuter à volonté les pratiquants de Dafa. Environ 20 disciples de Dafa dans le petit district où j'habitais ont été kidnappés et envoyés pour une « rééducation », ce qui était en fait des cours de lavage de cerveau. La perversité leur a dit que ceux qui refusaient d'écrire des déclarations de « transformation » allaient être envoyés dans des camps de travail. J'ai également été trompée et j'ai été amenée aux cours de lavage de cerveau.

Un jour, j'ai reçu un appel du chef de ma section dans mon lieu de travail. Il m'a demandé de venir au bureau aussitôt que possible, afin d'assister à une réunion urgente. J'ai immédiatement senti quelque chose de suspect, car c'était de cette manière qu'on m'avait piégée et amenée à des cours de lavage de cerveau en 1999. Quand j'ai reçu l'appel, je faisais des courses au supermarché avec mon mari. Il était d'accord avec moi que le PCC était sorti pour nous faire du mal à nous, pratiquants de Falun Gong, et il m'a demandé ce que j'allais faire. J'ai répondu : « Allons à la maison, je ne vais pas aller au bureau. »

Dès que je suis arrivée chez moi, j'ai reçu un appel sur mon téléphone portable. Lorsque j'ai répondu, j'ai entendu un compagnon de pratique travaillant dans mon service, sangloter au chef de notre service. Ce chef de service était un complice dans la persécution. Le pratiquant a dit : « Rien de bon ne va vous arriver si vous m'envoyez à cet endroit. » J'ai immédiatement réalisé qu'on avait dupé ce pratiquant pour aller à la « réunion » et qu'il tentait de m'envoyer un avertissement. Parce que je n'avais pas une pensée droite suffisante à ce moment-là pour résister ouvertement à la persécution, j'ai mis mes affaires dans une valise et je me suis cachée.

Pendant les quelques jours suivants, la force perverse a dirigé des personnes ne comprenant pas la vérité sur le Falun Gong à me rechercher. Ils ont aussi harcelé les membres de ma famille avec des menaces de camp de travail, de retranchement, etc. Comme les membres de ma famille n'étaient pas des pratiquants, ils ne pouvaient pas supporter la pression de la perversité. Quand je suis revenue chez moi prendre un bain et changer mes vêtements, ils m'ont conseillé de coopérer avec la perversité et ils ont même dit qu'une fois la déclaration de « transformation » écrite, tout allait bien aller. Quand j'ai vu l'état dans lequel ils étaient, je me sentais mal, car la majorité d'entre eux comprenaient la vérité et avaient bénéficié de Dafa. Pourtant, ils étaient sur le point de perdre confiance en Dafa en raison de ma situation actuelle. J'ai ensuite pensé à mes collègues, à mes proches et à mes amis qui avaient compris la vérité. Si je ne retournais pas travailler, je devrais partir de chez moi et devenir une fugitive. Les gens ordinaires me connaissant pourraient encore plus mal comprendre Dafa, ce qui n'est pas ce que le Maître veut. Si mon choix empêchait ces gens de réellement comprendre Dafa, combien de dommage cela apporterait-il à la validation du Fa et au salut des êtres ? J'ai pensé : « Je dois retourner au travail sans rien avoir à cacher, je dois éliminer la perversité, valider le Fa et mieux sauver les êtres. Le Maître détermine mon chemin dans la vie et personne d'autre. »

En premier lieu, j'ai décidé de retrouver deux autres pratiquants qui évitaient également leur lieu de travail afin d'échapper aux cours de lavage de cerveau. Je voulais interagir avec eux et complètement dissoudre l'obstacle des séances de lavage de cerveau une fois pour toute. À ce moment-là, la conférence du Maître, « Enseignement de la loi à la conférence de New York, 2008 », venait tout juste de sortir. Pendant la lecture de la conférence du Maître, je pouvais ressentir la compassion sans limite du Maître. Le Maître a dit :

« Le Maître approuve ce que les disciples de Dafa font. Aussi longtemps que vous faites les choses avec le vœu de valider la Loi et de sauver les êtres, je vais approuver tout ce que vous faites. Et quand vous allez faire ces choses, il y aura mes Corps de Loi ou divinités pour les amplifier et faire ce que vous êtes en train de faire de manière plus magnifique et extraordinaire, et ils vont vous aider. » (« Enseignement de la Loi à la conférence de New York »)

L'enseignement du Fa du Maître a renforcé ma pensée droite et ma détermination. Les deux pratiquants et moi avons accepté d'aller directement au travail le lendemain.

Quand je suis retournée chez moi, l'atmosphère était très tendue. Tous les membres de ma famille tentaient de me persuader d'assister aux séances de lavage de cerveau pour que je ne sois pas envoyée au camp de travail ou que je sois licenciée de mon travail. Mon mari a même dit froidement : « Ton Maître ne se préoccupe plus de toi ! » Je lui ai dit calmement et fermement : « Je vais te permettre de voir à quel point mon Maître se préoccupe de moi. »

Bien que je voulais aller au travail, beaucoup de mes conceptions humaines, accumulées au cours des années, ont commencé à faire sans cesse surface. Par exemple, lorsque j'allais partir de la maison, j'ai commencé à penser que je devais emporter un téléphone portable avec des livres numériques à l'intérieur, pour que je sois encore capable d'étudier le Fa si on m'enfermait. Au moment même où cette pensée a surgi, j'ai immédiatement réalisé que ce n'était pas bien. J'ai rapidement maîtrisé et banni cette pensée, émettant la pensée droite pour la dissoudre. Tandis que je conduisais pour me rendre au travail, j'ai eu une autre pensée : « Quand je vais arriver au bureau, je dois stationner ma voiture à un endroit convenable pour que je puisse partir rapidement si les policiers arrivent. » J'ai immédiatement réalisé que cette pensée était également mauvaise. Alors que je tentais d'éliminer cette pensée, toutes mes conceptions humaines et mes peurs ont tout à coup jailli dans mon esprit en m'assaillant. Non seulement je me sentais terriblement mal mentalement, mais je me sentais aussi mal physiquement. Je me suis stabilisée dans mon cœur avec cette pensée : « J'écoute seulement le Maître, personne d'autre ne peut avoir un mot à dire. » J'ai dit simultanément à mon karma des pensées, à mes conceptions humaines et à mes attachements humains : « Vous ne me faites pas peur, peu importe combien d'entre vous font surface. Je sais que vous ne faites pas partie de moi et si l'un d'entre vous surgit, je vais le détruire. » De cette façon, j'ai émis la pensée droite jusqu'au travail. Quand j'ai ouvert les portes de mon lieu de travail, toutes mes conceptions et tous mes attachements à la peur ont immédiatement disparu sans laisser aucune trace. Mon corps se sentait incomparablement léger et détendu. Je savais que le Maître, voyant que j'avais une forte pensée droite à ce niveau, avait éliminé toutes les mauvaises choses pour moi.

Au travail, j'ai rencontré le chef de ma section, qui m'a demandé d'aller voir le secrétaire du parti. Je savais ce qu'il essayait de faire. Alors j'ai clarifié la vérité au secrétaire du parti. Il a compris et il a dit : « Aussi longtemps que les agents du PCC ne te voient pas, je ne vais pas leur signaler ta présence. » En soi, ma journée s'est passée sans incident. Quand je suis arrivée chez moi, mon mari m'a demandé : « Est-ce que quelqu'un est venu te chercher ? » J'ai répondu : « Non ! » Stupéfait, il a dit : « Vraiment ? Personne n'est venu te chercher ? » J'ai dit : « C'est vrai ! Ne te l'avais-je pas dit ? Je vais te montrer à quel point mon Maître se préoccupe de moi. » Mon mari n'a rien dit d'autre.

Le lendemain, au travail, j'ai remarqué que je n'avais pas vu une de mes collègues également pratiquante. Son bureau était à côté du bureau de la responsable de notre lieu de travail, alors quand je suis allée à sa recherche, je suis tombée sur la responsable. Elle m'a dit d'aller voir le secrétaire du parti immédiatement. J'ai pensé en moi-même : « Je ne vais pas coopérer avec toi », et je lui ai répondu que j'étais très occupée et je suis partie. Cependant, elle continuait d'appeler et de rendre les choses difficiles pour le chef de notre section qui ne voulait rien faire de mal et qui ne voulait pourtant pas offenser la responsable. Tout à coup, j'ai pris conscience que j'avais la conception de chercher la protection des gens ordinaire. J'avais également cette peur d'être envoyée à une séance de lavage de cerveau par le secrétaire du parti et la responsable. Je n'avais toujours pas entièrement confiance dans le Maître et le Fa, je n'avais pas non plus complètement nié la persécution. Alors j'ai dit au chef de ma section : « Ne t'en fais pas avec ça. Dis-lui simplement que tu m'en as déjà parlé et que je n'ai pas coopéré. » Le chef de ma section a dit avec hésitation : « C'est vrai ? » J'ai répondu qu'il n'y avait pas de problème. Au même moment, les deux compagnons de pratique et moi avons décidé de clarifier la vérité à notre responsable, afin de l'empêcher de participer davantage à la persécution.

Lorsque nous sommes arrivés au bureau de la responsable, nous avons clarifié la vérité et émis la pensée droite à tour de rôle. La responsable est une personne de conscience. Après avoir écouté la vérité, elle a dit qu'elle nous ferait rencontrer des agents et elle nous a donné sa parole qu'elle ne nous laisserait pas nous faire kidnapper. Nous avons dit à la responsable qu'on ne pouvait pas compter sur la parole des agents du régime et que nous n'allions pas coopérer. La deuxième fois que nous sommes allés clarifier la vérité, le secrétaire du parti de notre lieu de travail passait par là et aussitôt qu'il nous a vu, il est immédiatement parti. Peu de temps après, les gens en charge de la persécution au bureau sont entrés. Quand nous les avons vus, nous nous sommes immédiatement levés pour partir. J'ai dit : « Vous avez votre discussion entre vous, nous allons partir. » Ils ont dit : « Ne partez pas » et un membre du personnel de notre bureau qui était à la porte s'est avancé vers nous pour nous bloquer le chemin. Je lui ai lancé un regard sévère, suite auquel il s'est figé comme un morceau de bois. Nous sommes partis du bureau de la responsable avec dignité. Plus tard, dans une colère noire, des membres du personnel du bureau nous ont menacés de nous arrêter avec des policiers armés si nous refusions de coopérer avec les agents. Nous ressentions beaucoup de pression. De retour à la maison, mon mari m'a également mis la pression pour que je coopère avec les agents. Un sentiment énorme de pression et de peur me pesait sur le cœur. J'ai rencontré un autre pratiquant pour étudier les conférences du Maître et réciter le poème :

« Franchement et avec magnanimité, je rectifie le colossal firmament
Immense est l'adversité qui accompagne mon voyage à travers Ciel et Terre

Réussite et mérites hors de ma tête
Je rectifie le Ciel, la Terre et tous les êtres
Une pensée authentique, un vœu immense, une volonté comme le diamant

Je recrée l'immensité gigantesque avec une seule pensée »

« En une seule pensée » de Hong Yin II

À travers tout ce processus, les compagnons de pratique de notre région ont coopéré avec nous comme un seul corps, nous aidant à émettre la pensée droite. Nous avons stabilisé notre pensée droite et le Maître nous a aidés à éliminer la perversité. Quand nous avons ressenti réellement au plus profond de notre cœur que le Maître était le seul à pouvoir décider de notre avenir et quand nous avons totalement abandonné nos attachements, la situation entière a complètement changé. Ce jour-là, je suis allée au travail comme d'habitude. Vers 10 h, un des pratiquants s'est précipité vers moi et m'a dit joyeusement que la séance de lavage de cerveau avait été dissoute et que la responsable disait que nous ne devions plus nous inquiéter d'être kidnappés.

Du fond de mon cœur, je veux remercier le Maître et les compagnons de pratique de nous avoir soutenus avec la pensée droite.

2. Faire ce qui doit être fait avec la pensée droite et des actions droites

L'incident à mon lieu de travail m'a fait réaliser qu'il n'y a aucun obstacle insurmontable sur le chemin que le Maître a arrangé pour nous. Il n'est pas nécessaire d'avoir peur d'avoir des conceptions humaines. Aussi longtemps qu'elles sont reconnues à temps, qu'elles sont corrigées en conformité avec le Fa et qu'elles sont constamment rejetées sans qu'on les laisse nous influencer, nous pouvons les vaincre et ne faire qu'un avec le Fa.

À ce moment-là, je me suis souvenue d'un souhait que j'avais toujours eu, qui était de mettre par écrit mes expériences dans un article pour propager le Fa et clarifier la vérité. Je sentais que les gens qui me connaissaient allaient prendre le temps de lire mon histoire du début à la fin, dont ceux qui étaient influencés par la culture du PCC, comme les gens trouvent généralement plus intéressantes les choses qui sont près de leur vie. Comme je n'avais pas assez de pensée droite dans le passé, je n'avais pas encore écrit un tel article. Cette fois-ci, j'étais déterminée à le terminer. Donc, j'ai mis par écrit comment j'avais bénéficié de la pratique de Dafa, les améliorations de ma santé et de mon esprit, et comment le Fa nous enseignait à être un membre bon et responsable de notre famille, de la société et de notre lieu de travail. J'ai également révélé mon expérience d'années de persécution infondée pour permettre aux gens de distinguer le bien du mal et ainsi être sauvés.

Certains compagnons de pratique m'ont conseillé de ne pas encore écrire l'article, comme il s'agissait présentement d'une période très sensible et que je venais tout juste de revenir au travail. Si quelque chose arrivait... mais je me suis clairement souvenue du Fa du Maître, donc j'ai envoyé mon article au site Minghui et après qu'il ait été publié sur le site Internet, certains pratiquants et moi l'avons envoyé aux gens de notre district. L'article a en effet aidé les gens à comprendre la vérité dans une certaine mesure. Un jeune homme m'a dit : « Après avoir lu votre histoire, ma perspective sur le Falun Gong a changé. » Quand elles rencontraient mon mari, certaines personnes du bureau de la persécution disaient : « J'ai entendu dire que ta femme avait écrit cet article ? » Puis elles ajoutaient rapidement : « Ce n'est pas si grave, ce n'est peut-être pas elle qui l'a écrit. » Dans le but de lui assurer qu'elles n'allaient pas me rapporter. Sous la protection et le soutien du Maître, j'étais saine et sauve.

À travers cet incident, les compagnons de pratique et moi avons fait l'expérience des pouvoirs miraculeux de Dafa et de la bienveillance du Maître. Cela a renforcé notre pensée droite et notre foi dans le Maître et le Fa, ainsi que notre détermination à bien faire les trois choses. Les gens ordinaires qui étaient au courant de cet incident ont également fait l'expérience du caractère extraordinaire et des miracles de Dafa.

3. Le pouvoir de la compassion

Dans le passé, je considérais mes problèmes avec des conceptions humaines et je traitais la persécution comme quelque chose que les hommes infligent à d'autres hommes. Consciemment, je considérais les policiers comme des complices dans la persécution et j'émettais la pensée droite dès que j'en voyais un (en fait, beaucoup de ces pensées étaient mauvaises). Au fil du temps, alors que ma compréhension du Fa s'est approfondie et que j'ai éliminé de nombreuses conceptions humaines, j'ai progressivement réalisé que les policiers ne sont pas différents des autres êtres et qu'ils doivent également être sauvés. De plus, à travers l'étude du Fa, j'ai réussi à comprendre que les forces anciennes les avaient placés dans cette position. Selon ma compréhension, le Maître a dit que c'est à cause de nous [disciples de Dafa] qu'ils doivent subir une telle humiliation et qu'ils font encore plus pitié que la personne moyenne. Si nous pouvons totalement nier les arrangements des forces anciennes et traiter les autres avec compassion, alors ils pourront eux aussi être sauvés.

Les policiers sont entrés par effraction dans l'appartement de ma sœur la plus jeune, parce qu'une personne qui ne connaissait pas la vérité l'a rapportée. Ma sœur est également une pratiquante. Les policiers tentaient de faire une descente dans l'appartement et d'arrêter ma sœur. Quand j'ai entendu parler de cela, je suis immédiatement allée chez ma sœur. Dès que je suis entrée dans la maison, j'ai entendu le chef de police me dire : « Je sais qui tu es. » Je l'ai ignoré et je pensais seulement à leur clarifier la vérité et à empêcher que la persécution se prolonge davantage.

Ma sœur s'était enfermée dans une des chambres et les policiers étaient à l'extérieur de la porte et lui criaient de l'ouvrir. Ils ont proféré des menaces d'utiliser la force physique et de dévaliser son domicile, rendant l'atmosphère très tendue. Je ne les ai pas considérés comme des personnes se ralliant à la perversité. Au lieu de cela, j'ai émis la pensée droite pour enlever la perversité derrière eux tout en leur clarifiant la vérité. Un agent a dit : « Ce n'est pas la peine de nous dire ces choses, nous les avons entendues tant de fois. » Je suis restée indifférente et j'ai continué de leur parler et je leur ai également dit que les policiers sont supposés être des défendeurs de la justice. Quand j'ai commencé à parler des prélèvements d'organes, ils ont dit qu'ils ne croyaient pas à cela. Je leur ai ensuite parlé des découvertes que j'avais faites à partir de mes propres investigations, mais ils ont continué d'exprimer leur scepticisme.

Pensant en moi-même que je devais promouvoir les aspects droits, j'ai dit : « Le fait que vous n'y croyez pas prouve que vous avez un bon cœur et que vous-mêmes vous ne feriez jamais quelque chose d'aussi pervers. » Dès que j'ai dit cela, l'atmosphère entière est devenue plus paisible. L'agent en chef a appelé le mari de ma sœur d'un côté et a suggéré que ma sœur vienne au poste de police pour un moment. Il a promis qu'il n'y aurait pas de problème et qu'il la renverrait rapidement. Il a dit que si le mari de ma sœur n'était pas convaincu, il pourrait amener ma sœur dans sa propre voiture et la ramener par la suite. À ces mots, tous les agents sont sortis et sont descendus en bas. À ce stade, ma sœur est sortie de la chambre. Elle a dit que sa pensée droite était très forte et qu'elle ne cessait d'émettre la pensée droite pour interdire à la perversité de conduire les agents à commettre des perversités.

Au début, ma sœur ne voulait pas coopérer avec la police. L'agent en chef nous suppliait de ne pas rendre les choses difficiles pour lui, puisqu'ils seraient tenus responsables. Alors, j'ai parlé à ma sœur et je lui ai dit que nous ne devrions pas faire en sorte que les policiers comprennent mal Dafa et nous devrions les aider à être sauvés. L'important n'est pas l'apparence superficielle des choses que nous faisons ; les choses que nous faisons sont pour sauver les êtres, que ce soit au poste de police ou n'importe où ailleurs. Donc, ma famille et moi sommes allés au poste de police avec notre sœur dans notre propre voiture. Au poste de police, ma sœur a clarifié la vérité aux policiers et les a incités à démissionner du parti communiste, pendant que j'émettais la pensée droite à l'extérieur. Après un moment, nous sommes retournés chez nous saines et sauves.

4. Coopérer silencieusement et inconditionnellement avec les compagnons de pratique

Une fois, des pratiquants âgés de mon district sont allés rendre visite à des compagnons de pratique d'autres districts. Les pratiquants à la campagne voulaient faire certains projets de clarification de la vérité, mais les pratiquants âgés de mon district ont remarqué que les pratiquants à la campagne étaient très pauvres. Donc, les pratiquants âgés leur ont dit qu'ils pourraient fournir des fonds aux pratiquants à la campagne s'ils en avaient besoin. Un pratiquant âgé, qui avait obtenu le Fa récemment et qui n'était pas aussi familier avec la problématique des collectes de fonds, a effectivement commencé une collecte de fonds dans notre district avec dans son cœur le désir de faire quelque chose pour Dafa. De plus, son objectif était de plusieurs centaines de milliers de dollars. Quand j'ai entendu parlé de cela, j'ai pensé : « N'est-ce pas de la collecte de fonds ? » Donc, je suis allée rapidement y mettre un frein. Quand j'ai rencontré le pratiquant âgé, il interagissait avec des compagnons de pratique. Je lui ai dit ce que je pensais sans aucune réserve. Contre toute attente, il a non seulement rejeté mon point de vue, mais il s'est même mis en colère et a commencé à m'attaquer verbalement. Il a même dit pour protester : « Tu vas voir si tu peux m'empêcher de leur apporter l'argent. » Les pratiquants qui étaient là avaient également de forts points de vue à mon égard et ils m'ont réprimandée. J'ai pensé : « Il est clairement dans le tort, pourquoi m'accusent-ils tous ? » Au moment même où je pensais que je ne pourrais pas empêcher cette action erronée, de l'aide est arrivée. Un pratiquant est venu et a eu une discussion amicale avec le pratiquant âgé, le convainquant d'abandonner l'idée de la collecte de fonds.

Cet incident m'a grandement affectée. En regardant à l'intérieur, j'ai réalisé que, bien qu'en surface je semblais agir en considération envers le Fa, en vérité, je nourrissais l'attachement à me valider moi-même et à m'accrocher à mes propres conceptions humaines. Le Maître a dit :

« Quand une divinité propose une méthode, elles ne se précipitent pas pour la rejeter, ne se précipitent pas pour s'exprimer, pensant que leur propre méthode est bonne, mais elles regardent quel sera le résultat final de la méthode proposée par les autres divinités. Les chemins sont différents, le chemin de chacun est différent, les principes prouvés et compris par le sens d'éveil dans la Loi par les vies sont tous différents, mais leurs résultats sont probablement semblables. C'est pourquoi elles regardent le résultat, si le résultat atteint, peut réellement arriver à ce qu'on veut atteindre, alors tout le monde sera d'accord, les divinités pensent toutes ainsi, en plus, s'il y a des insuffisances quelque part, on va compléter en silence sans condition, de sorte que ce soit encore plus pleinement parfait. Elles traitent toutes les problèmes ainsi. » (« Enseignement de la Loi lors de la Conférence de Loi à Philadelphie aux États-unis 2002 »)

Un an plus tard, un pratiquant m'a parlé d'un pratiquant d'un autre district qui avait une très bonne expérience à partager, en particulier sur le problème de surmonter le karma des maladies. Il voulait présenter ce pratiquant aux pratiquants de la campagne et m'a demandé si je pouvais les amener en voiture pour qu'ils puissent y aller. Quand j'ai rencontré le pratiquant de l'autre district, j'ai réalisé que c'était le même pratiquant qui voulait faire une collecte de fonds ! Mais je me suis immédiatement dit à moi-même que je ne devais pas juger les autres en me basant sur mes propres points de vues personnels. Nous cultivons tous dans Dafa et ce pratiquant devait s'être élevé grandement dans sa cultivation.

Le pratiquant âgé ne m'a pas reconnue. Pendant la séance de partage d'expériences, j'ai remarqué certains aspects dans lesquels il lui manquait une compréhension du Fa, selon ma propre compréhension du Fa. Pendant l'interaction, j'ai énoncé les domaines dans lesquels il avait une pensée droite et j'ai partagé ma propre compréhension du Fa. Je n'ai pas tenté d'indiquer où il était incorrect et comment ce devrait être. En fait, je n'avais plus l'attachement à me valider moi-même. À ce moment-là, l'atmosphère était très paisible. Après que nous soyons revenus, j'ai de nouveau rencontré le pratiquant âgé lors d'une rencontre avec un autre pratiquant. J'ai interagi avec lui un certain temps, pendant lequel il a trouvé que ce que j'avais partagé était bien. Il a ensuite demandé à un autre pratiquant à côté de lui : « Qui est-elle ? » Le pratiquant a répondu : « N'est-elle pas une telle ? » Il s'est rappelé en sursaut qui j'étais. Quand nous nous sommes rencontrés de nouveau, il a dit avec émotion : « Regarde ça, la dernière fois que je t'ai rencontrée je ne t'ai pas reconnue. Nous avons eu un tel conflit dans le passé et pourtant tu m'as tant aidé à la dernière rencontre. » J'ai répondu : « Tout cela est pour Dafa, comment peut-on y mêler nos propres conceptions personnelles ? » Le pratiquant âgé a dit avec sincérité : « Tu t'es tant élevée dans ta cultivation. Moi aussi, je vais définitivement cultiver diligemment ! »

J'étais très touchée par ses mots. Merci Maître d'avoir créer un tel environnement de cultivation pour nous. L'élévation d'un pratiquant dans son xinxing a également l'effet de motiver les autres et d'aider les autres à s'élever ensemble. Je souhaite rassurer le Maître que je vais définitivement redoubler mes efforts dans la cultivation.

(Neuvième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l'anglais au Canada