(Minghui.org) Salutations, vénérable Maître ! Salutations, compagnons de pratique !

Je vis dans la province du Heilongjiang et je suis âgée de 70 ans. J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en juillet 1997. Les mots me manquent pour décrire la miséricorde du Maître dont j'ai fait l'expérience au cours de plus de 16 ans de cultivation. J'ai plus d'histoires de cultivation et de miracles de Dafa que je ne peux en écrire. J'aimerais en partager quelques-uns avec vous.

Quelques jours avant le Nouvel An chinois 2012, je suis retournée dans ma ville natale pour affaires. J'ai apporté avec moi quelques documents d'information au sujet du Falun Dafa, des DVD de Shen Yun Performing Arts et des calendriers liés à Dafa pour donner à mes anciens voisins. J'en ai également gardé quelques-uns pour donner au bureau du comité résidentiel.

Il était un peu après 15 heures lorsque je me suis assise dans un bus pour rentrer chez moi, j'ai levé les yeux vers le ciel et j'ai vu une grande fleur de lotus rose. La fleur était grande, avec une étamine jaune de la taille d'un DVD. À mesure que le bus avançait, il y avait de plus en plus de fleurs. Il y avait aussi des fleurs de lotus sur le bord des nuages. Je me suis frotté les yeux et j'ai regardé à nouveau. Le ciel était toujours rempli de fleurs de lotus brillantes rose et or. J'ai pu les voir dans le ciel sur le chemin du retour pendant 40 minutes.

À la maison, j'ai raconté à mon mari ce qui s'était passé. Il a dit qu'à 15h, il suspendait des banderoles de Dafa sur les arbres dans le parc. Chaque banderole, avec ses caractères rouges sur fond jaune, mesurait plus de 90cm de long. Il ne portait pas de gants et il fait très froid là où nous vivons dans le nord de la Chine. Après avoir suspendu cinq banderoles, ses mains étaient presque gelées mais il a quand même suspendu les autres banderoles.

Quand il a eu terminé, ses mains sont devenues chaudes. Puis il a remarqué que tout son corps était confortablement chaud.


Nous avons réalisé que c'est le Maître qui nous encourageait. J'ai dit à mon mari : « La rectification du monde humain se rapproche. Nous devons suivre les enseignements du Maître :

« [...] c’est pourquoi on dit qu’en continuant à cultiver et pratiquer comme au début, on parviendra assurément au fruit juste. »
( «
Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de la grande région de New York 2009 » ).

Nous devons rapidement sauver les gens dans le temps qui reste pour accomplir nos vœux prononcés avant l'histoire et retourner à notre origine première avec le Maître ».


Voici quelques-unes de mes expériences de cultivation.

1. Être sauvée par Dafa


Autrefois, j'avais de multiples problèmes de santé et je pesais moins de 40 kilos. Il m'était même difficile de marcher. Je devais payer les frais de scolarité de trois enfants et assurer une aide financière à mes parents et mes beaux-parents, ce qui me laissait sans argent pour soigner mes maladies. Je pensais seulement que tant que je vis, je vis et quand je mourrai, je mourrai.

Je croyais aux bouddhas et les vénérais depuis mon enfance. Je sentais que j'avais une profonde relation prédestinée avec les êtres divins. Un jour, en 1997, ma sœur m'a téléphoné et m'a dit : « Falun Dafa est bon. Ne tardes pas, tu devrais l'apprendre maintenant ». J'ai raccroché et j'ai décidé que je chercherais un pratiquant. J'en ai trouvé un et je suis allée au site de pratique.

Cette nuit-là, j'ai fait un rêve. J'étais dans une rue animée et j'ai vu un homme grand et beau. Je pouvais sentir sa bonté. Nous nous sommes regardés et j'avais l'impression que je le connaissais, mais je ne pouvais pas me rappeler qui il était. Puis je l'ai suivi.

C'est tout ce que je pouvais me souvenir de mon rêve, mais quand j'ai regardé les conférences du Maître sur la vidéo le lendemain, j'ai réalisé qu'il était l'homme de mon rêve ! J'ai joint les mains devant ma poitrine pour lui montrer mon respect.

J'ai eu une forte réaction quand j'ai commencé à faire les exercices. Au cours du deuxième exercice, quand je tenais la Roue de la Loi devant ma tête, j'ai entendu un grand bruit au-dessus de ma tête. Une Roue de la Loi qui tournait très rapidement semblait couper mon corps en deux. J'ai commencé à trembler. Le coordinateur m'a encouragé à arrêter de trembler. Après avoir terminé l'exercice, je me sentais très bien, bien que je transpirais.

J'avais de la difficulté à m’asseoir dans la position du lotus pour la méditation. C'était douloureux pour moi de croiser les jambes de cette façon.

Le quatrième jour, j'ai pleuré alors que j'étudiais le Fa du Maître dans « Le Xiu véritable » dans Points essentiels pour un avancement diligent :

« Le savez-vous ? Pour vous donner le salut, le Bouddha a mendié parmi les gens ordinaires, et aujourd’hui encore, j’ai ouvert une grande porte et transmis la Grande Loi pour vous donner le salut, je ne ressens pas d'amertume pour les innombrables souffrances subies, et qu'y a-t-il encore que vous ne pouvez pas abandonner ? Pouvez-vous emporter au pays céleste les choses que vous ne pouvez pas abandonner dans votre cœur ? »

Lorsque je me suis assise pour la méditation, j'ai pensé à cet enseignement. Mes larmes coulaient : le Bouddha est si bienveillant ! Si bon ! Mon cœur était complètement vide, sans aucune notion humaine. Ensuite, j'ai pu croiser les jambes dans la position du lotus. Je me sentais très bien et très confortable, comme si j'étais

« assise à l'intérieur d'une coquille d'œuf » (Zhuan Falun).

Je ne sentais même pas mes bras et mes jambes. Je me suis assise dans cette position pendant une heure. Je savais que le Maître m'encourageait à endurer les douleurs et à être plus diligente.


À partir du neuvième jour, j'ai dormi pendant sept jours sans boire ni manger. On n'arrivait pas à me réveiller. Je me levais seulement pour courir à la salle de bain pour aller aux toilettes ou pour vomir.


C'était comme le Maître a dit :

« Quand on observe votre corps depuis un autre espace, chacun de vos os est même noir. Il est impossible de nettoyer d’un coup un corps dans un état pareil sans que vous ayez de réactions. Donc vous aurez des réactions. Certains d’entre vous vont être pris de diarrhées et de vomissements. Auparavant, dans le compte-rendu de leurs expériences, des pratiquants de nombreuses régions m’avaient déjà fait part de ce genre de phénomènes : « Maître, en rentrant chez moi après vos cours, pendant tout le trajet jusqu’à la maison, j’ai passé mon temps à chercher des toilettes. » C’est parce que les organes internes doivent être purifiés. Il y en a aussi qui s’endormiront et se réveilleront dès que j’aurai terminé le cours. Pourquoi ? Parce qu’ils ont une maladie dans la tête et qu’il faut y remédier. Ces personnes ne supporteraient absolument pas une intervention dans la tête, il faut donc les plonger dans un état d’anesthésie sans qu’elles le sachent. » (Zhuan Falun)

Sept jours plus tard, je suis sortie du lit. Je me sentais très bien, comme si rien ne s'était passé, sauf que maintenant j'avais plus d'énergie et toutes mes maladies avaient disparu. Je pouvais facilement faire du vélo, marcher et monter les escaliers.

J'ai maintenant 70 ans. Je roule toujours à vélo pour acheter du matériel d'impression, réparer les imprimantes et je sors pour clarifier la vérité aux gens au sujet du Falun Dafa. Dafa et le Maître m'ont sauvée. Merci, Maître ! Merci , Dafa !

En voyant ce miracle, mon mari, mon fils aîné, ma fille et nos petit-fils ont également commencé à pratiquer le Falun Dafa. Maintenant, mon plus jeune fils s'est également joint à nous. Mes deux belles-filles soutiennent également Dafa.

2. Croire dans le Maître et valider Dafa


Ma famille a commencé à valider Dafa à Pékin après que le Parti communiste chinois (PCC) ait lancé la persécution. En juillet 1999, la police locale a commencé à me surveiller ainsi que mon mari. Ils ne nous permettaient même pas de quitter la maison. Ils ont également saccagé notre maison et confisqué les livres de Dafa.

Tranquillement, nous avons vendu notre appartement en avril 2000 et sommes allés à Pékin. Nous avons loué un bungalow. Ma fille et un autre pratiquant ont imprimé des documents clarifiant la vérité. Mon mari et moi les mettions dans un grand sac pour les distribuer. Nous sommes allés sur la Place Tiananmen à plusieurs reprises et chaque fois, nous avons pu rentrer chez nous en toute sécurité.

Le 1er octobre 2001, mon mari, ma fille, mon petit-fils et moi sommes allés sur la Place Tiananmen. Nous transportions beaucoup de documents clarifiant la vérité dans nos poches. Nous en avons distribué beaucoup tout le long de la rue Chang'an ouest avant d'arriver sur la Place Tiananmen. Nous avons également appliqué un autocollant « Falun Dafa est la Loi juste » sur une voiture et une moto de police garées sur le trottoir avec cinq policiers à côté.

Ma fille a donné des brochures aux travailleurs d'autres villes et aux touristes. Certains hésitaient à les prendre car il y avait beaucoup de policiers autour, certains en civil et d'autres en uniforme. Ma fille leur a dit de ne pas s'inquiéter et de les prendre pour les lire chez eux, ils les mettaient donc dans leurs poches.

Tout en marchant, ma fille, mon petit-fils et moi mettions des autocollants sur les poteaux, les pierres, les panneaux d'affichage et les lampadaires. Sur les autocollants était écrit « Falun Dafa est bon », « Authenticité-Bienveillance- Tolérance es bon », « Le Maître est innocent » et « Jiang Zemin est le criminel qui persécute le Falun Dafa. » Nous sentions que nous étions invisibles aux yeux de la police. Nous sommes rentrés à la maison après avoir distribué tous nos dépliants.

Mon mari n'était pas avec nous. Quand il est finalement rentré à la maison, il nous a dit qu'une voiture de police s'était approchée de lui ars qu'il affichait des posters de Dafa sur la Place Tiananmen. Deux policiers l'ont traîné à l'intérieur de la voiture. Ils l'ont emmené au poste de police de Qianmen et l'ont enfermé dans une salle remplie de pratiquants de Dafa.

Un agent lui a demandé : « Où vivez-vous ? Vous ne voulez donc plus recevoir votre pension ? » Puis un grand policier est entré dans la pièce. Sans dire un mot, il a giflé mon mari au visage. Mon mari n'a pas bougé, mais l'a juste regardé. Le policier s'est frotté la main comme si ça lui faisait mal et est parti.

Après un certain temps, mon mari a pensé : « Je ne devrais pas être ici. Maître, veuillez m'aider. Je dois rentrer chez moi. » Il y avait trois agents de police qui gardaient la porte et quatre autres se tenaient à la porte d'entrée. Sous la protection du Maître, mon mari est sorti du poste de police et est retourné sur la Place Tiananmen. Il ne nous a pas trouvés et est alors revenu à la maison.


Nous avons vécu à Pékin plusieurs années et c'était difficile pour nous. Nous avons déménagé plus de 20 fois pour éviter d'être
arrêtés illégalement. Parfois, nous avons réussi à éviter d'être arrêtés mais avons dû partir en hâte en laissant derrière nos vêtements et de l'argent. Parfois, nous ne pouvions pas payer le loyer.

Mon mari, mon fils et ma fille ont été placés dans des camps de travaux forcés. J'ai été emmenée dans un centre de lavage de cerveau. Après avoir été libérée, je ne pouvais pas trouver d'endroit où vivre parce que le PCC avait une règle selon laquelle quiconque louant un appartement à un pratiquant de Dafa verrait ses biens confisqués et serait condamné à une lourde amende.

Aussi difficile que soit la vie, nous avons toujours gardé le Maître et le Fa dans notre cœur. Nous nous sentions satisfaits. Nos deux petits-fils écrivaient : « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance sont bons » sur le papier puis coloriaient les caractères. Ils allaient les afficher avec leur grand-père sur les ponts et les portes d'école. Certaines de ces affiches sont restées en place pendant longtemps.

Nous étions souvent confrontés au danger. Un jour, je suis allée avec ma fille distribuer des documents clarifiant la vérité. Après avoir distribué tout le contenu du sac, nous étions particulièrement heureuses et sommes allées chercher un autre sac. Je me suis cogné la tête sur la porte en sortant de la salle. Cependant, je n'ai pas compris que c'était un signe du Maître de ne pas sortir à nouveau.

Nous sommes allées distribuer dans un immeuble d'appartements en commençant du haut en bas. Au troisième étage, une vieille dame a vu les dépliants et a crié : « Venez arrêter les gens du Falun Gong ! » Beaucoup d'habitants sont sortis et nous ont encerclés.

Nous avons commencé à leur expliquer les faits sur le Falun Dafa. Ensuite, le fils de la vieille dame est arrivé à la maison. Il a demandé « Êtes-vous des pratiquantes de Falun Dafa ? Venez-vous ici pour distribuer des dépliants ? » Nous avons répondu : « Oui. »


Il a dit « Ne savez-vous pas que les autorités ne permettent pas aux gens de pratiquer cela ? Je dois vous dénoncer à la police. » Ma fille a répondu : « Falun Dafa est la Loi juste. Les autorités ont tort de persécuter les pratiquants de Dafa. Notre Maître est une bonne personne. Il nous demande de respecterles principes Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Veuillez lire les documents et vous comprendrez. »

Il a composé le « 110 » (équivalent du « 911 » aux États-Unis) sur son téléphone portable et a dit : « Si j'appuie sur le bouton d'appel, la police sera ici dans cinq minutes. » Nous sommes restées calmes et le regardions avec confiance et bienveillance. Nous avons continué à lui expliquer les faits.

Finalement, il a posé son téléphone. Il nous a dit que nous étions de bonnes personnes et de rentrer à la maison. À cette époque, mon mari et mon fils étaient dans des camps de travaux forcés. Nos deux petits-fils vivaient avec moi et ma fille. Si nous avions été arrêtées, les deux enfants de six ans auraient été laissés sans personne pour s'occuper d'eux. Merci Maître de nous avoir protégées !

3 . Bien faire les trois choses pour retourner à notre origine première avec le Maître


C'était difficile pour nos petits-fils à l'école parce que nous déménagions d'un endroit à un autre dans Pékin. Certaines écoles facturaient même des frais élevés.

En 2007, mon mari et moi avons emmené nos petits-fils dans une ville au nord de la Chine. L'école demandait un justificatif de résidence (un document émis par les autorités certifiant qu'une personne vit dans une certaine ville). Je suis retournée dans ma ville natale pour transférer notre domiciliation dans la nouvelle ville. C'était une tâche difficile.

Mon mari et moi avons décidé de clarifier la vérité au sujet de Dafa à la police. Nous sommes allés au poste de police de la nouvelle ville et avons rencontré les responsables. Ils ont demandé à un directeur du Bureau 610 de prendre des notes.

Nous n'avons pas répondu à leurs questions. Au lieu de cela, nous leur avons expliqués les faits sur le Falun Dafa : en tant que citoyens, nous avons le droit de transférer notre domiciliation. La loi nous garantit la liberté d'expression et la liberté de religion. La loi n'a jamais défini le Falun Dafa comme une « secte ». Nos livres de Dafa ne disent rien contre le régime. Les gens pratiquent le Falun Dafa dans plus de 100 pays. Nous leur avons aussi dit que l'auto-immolation sur la Place Tiananmen était une mise en scène par le PCC pour diffamer le Falun Dafa. Nous leur avons parlé de la pierre dans la province du Guizhou ou il est écrit : « Le PCC sera détruit. »

Le directeur du Bureau 610 a dit : « J'ai rencontré beaucoup de pratiquants de Dafa. Vous êtes tous de bonnes personnes. » Le directeur du poste de police nous a remerciées : « Merci bonnes gens ! Je prendrai ma retraite dans six mois. Une fois à la retraite, je vais apprendre le Falun Dafa. D'autres m'ont aussi demandé de démissionner du PCC ! » Je lui ai répondu : « Alors, vous devriez démissionner pour vous assurez un bel avenir. »


Mon fils aîné a été arrêté en 2008, lorsque Pékin a organisé les Jeux olympiques. Il a été envoyé dans un centre de lavage de cerveau dans notre ville natale. Mon mari et moi y sommes allés pour demander sa libération.

Nous avons parlé au responsable de la Commission des affaires politiques et juridiques du Parti et au directeur du Bureau 610. Plus tard, nous avons également parlé au secrétaire adjoint du Parti du district en charge de la persécution des pratiquants de Falun Dafa mais il a refusé d'écouter notre clarification de la vérité. Il s'est levé, a levé la main prêt à frapper le bureau pour nous menacer.

Nous n'avions pas peur. Nous l'avons regardé et lui avons demandé gentiment : « Quel crime a commis notre fils ? Vous avez aussi un fils. Si vous n'avez pas été chez vous pendant longtemps, puis vous passez devant votre maison mais n'êtes pas autorisé à y entrer, comment vous sentiriez-vous ? » Il a baissé la main.

Nous avons continué : « Nous n'avons ni volé ni dérobé. Notre Maître nous a dit de ne pas riposter quand on nous frappe ou d'injurier quand on nous maudit. Il nous a demandé de toujours penser aux autres. Quel est le problème avec ça ? Les Jeux olympiques doivent servir à promouvoir la santé. Pourquoi cela est-il lié au Falun Gong ? Pourquoi les autorités ont-elles si peur du Falun Gong ? »


Nous avons parlé pendant 30 minutes. Puis il dit : «Je vais laisser votre fils rentrer à la maison demain. »


Le lendemain, le directeur de la station de police et le directeur du comité résidentiel ont ramené notre fils à la maison dans leur voiture. Ils ont dit « À l'avenir, contactez-nous au besoin. » Nous avons senti que ces gens avaient compris la vérité et ont été sauvés.


C'était juste comme le Maître a dit :

« Quand les pensées sont droites,

la perversité s'écroule »

(« Qu'y a-t-il à craindre » Hong Yin II)

Rien ne pouvait nous arrêter tant que nous maintenions de fortes pensées droites.


Après nous être installés dans la nouvelle ville en 2007, le coordinateur local m'a demandé de mettre en place à notre domicile un site de production de documents car mon mari et moi étions des pratiquants. Le Maître nous a demandé d'établir des sites de production de documents d'information :

« telles des fleurs s’épanouissant partout. » (« Expliquer la Loi lors de la Conférence de Loi de l’Ouest des États-Unis au moment de la Fête de la lanterne de l’an 2003 (Deuxième partie) ».

Alors j'ai accepté, même si je n'avais pas beaucoup d'éducation et n'avais jamais utilisé un ordinateur.

Le lendemain, un pratiquant nous a aidés à installer l'ordinateur et l'imprimante. Il m'a montré comment allumer et éteindre l'ordinateur, comment télécharger un fichier et comment imprimer. C'était trop compliqué pour me rappeler de tout et je ne pouvais pas écrire les instructions parce que je ne savais pas comment écrire ou que j'avais vite oublié ce qu'il fallait faire.

Heureusement, mon petit-fils, âgé de 12 ans, était avec moi. Il ne connaît pas l'informatique mais il a appris du pratiquant quand celui-ci est revenu. Puis il a pu m'apprendre étape par étape. Il m'a aussi appris le pinyin (la phonétique chinoise) et comment taper les caractères chinois sur l'ordinateur. Maintenant, je peux entrer sur l'ordinateur les noms des personnes qui ont quitté le PCC.

Le Maître a arrangé qu'un jeune pratiquant (mon petit-fils) m'aide et lui a également donné l'occasion d'établir sa vertu majestueuse ! Nous maintiendrons notre site d'information jusqu'à la fin.


C'est la première fois que je soumets un article de partage d'expérience à un Fahui. Je l'ai écrit les larmes aux yeux. Veuillez soulignez avec bonté mes lacunes.


Merci Maître ! Merci compagnons de pratique ! Heshi !

(Dixième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l'anglais au Canada