(Minghui.org) Salutations, Maître bienveillant ! Salutations, compagnons de pratique !

Après avoir terminé mes études, j'étais très occupé à poursuivre ma carrière. Afin de promouvoir mon avancement, mon surveillant m'a obligé à boire. Une nuit en 2005 je me suis réveillé encore ivre. J'étais écœuré par ce qu'était devenue ma vie. J'ai gémi : « Est-ce que je veux vraiment vivre comme ça?Avant je pratiquais le Falun Gong. Avant j'étais une personne qui pratiquait Authenticité-Bienveillance-Tolérance ».

J'ai décidé que malgré la pression venant de mes parents et de mon entreprise, je reprendrais la pratique du Falun Gong. Le lendemain, j'ai cherché les compagnons de pratique que je connaissais autrefois. J'ai fini par en trouver un qui ne s'était jamais arrêté de pratiquer et j'ai pu à nouveau lire les enseignements du Maître.

Je veux remercier le Maître pour votre attention et votre salut bienveillant au cours de toutes ces années afin que je puisse cultiver fermement dans Dafa. J'ai écrit mon expérience de cultivation ci-dessous et j'espère que cela pourra éclairer des jeunes pratiquants et les empêcher de prendre des détours dans leur cultivation.

La sagesse s'est ouverte en étudiant Dafa

J'ai commencé à pratiquer le Falun Gong en 1996 quand j'avais 13 ans. Une nuit où je suis allé chez mon grand-père, il pratiquait les exercices. Je ne savais pas ce qu'il faisait et j'ai suivi ses gestes. Je me suis senti très bien après et mon grand-père m'a dit « C'est le Falun Gong ». Le nom me semblait familier mais je ne me souvenais pas de l'avoir jamais entendu. Mon grand-père m'a dit : « J'ai vu des gens qui pratiquaient aujourd'hui sur la place et j'ai appris un peu. Allons-y ensemble demain faire les exercices avec eux ».

C'est comme cela que le Falun Gong m'a été présenté et plus tard je me suis rendu compte que j'étais prédestiné à pratiquer.

Malheureusement, mes parents étaient très stricts envers mes études et ils ne m'ont pas permis de pratiquer le Falun Gong. Chaque fois que je décidais « Je suis prêt à tout risquer » et que j'allais au site de pratique pour les exercices matinaux, je craignais qu'ils me grondent. Quand j'assistais à l'étude de Fa en groupe le soir, j'étais encore « prêt à tout risquer ». Je pensais : « Même si je n'ai appris qu'un petit peu du Fa aujourd'hui, cela vaut la peine. Quant à comment je ferais face aux récriminations en rentrant, je ne vais pas y penser maintenant ! »

Comme j'avais peur de me faire gronder, je me sentais mal à l'aise chaque fois que je sortais. Mais, quand je pratiquais ou étudiais le Fa, je me sentais très calme et paisible et je sentais que mon xinxing s'élevait. Cette énergie bienveillante peut faire fondre les choses négatives. Contrairement à ce que j'attendais, mes parents ne me disaient rien lorsque je rentrais à la maison.

Le premier défi que j'ai rencontré quand j'ai commencé à pratiquer a été de mettre de l'ordre dans la relation entre le temps pour étudier le Fa et mes études scolaires. Je m'interrogeais sur les raisons d'aller à l'école. C'est pour acquérir du savoir et les principes de la vie. Maintenant, le Maître a fourni ces principes et je dois bien les étudier. Mais il me faut être attentif à l'école parce que c'est la responsabilité d'un écolier et c'est aussi ce que doit faire un pratiquant parce que nous sommes de bonnes personnes où que nous soyons.

Au début, j'ai rencontré de nombreuses difficultés comme devoir me réveiller très tôt le matin pour pratiquer les exercices et ensuite je devais aussi faire mes devoirs le soir. Je finissais mes devoirs très tard et j'avais déjà très sommeil. Mais quel est le plus important, faire ses devoirs ou étudier le Fa ?

C'est ainsi que je quittais la maison tous les soirs une demi-heure plus tôt pour étudier d'abord le Fa avant de faire mes devoirs. Aussi tard qu'il soit quand je terminais mes devoirs, j'étudiais une leçon du Zhuan Falun. Aussi fatigué que je sois le matin, je me forçais quand même à me réveiller.

C'était très difficile au début. Le matin, quand je ne voulais vraiment pas me lever je me disais : « Ne fais pas attention au sommeil et lève-toi simplement ». Dès que mes pieds touchaient le sol, je me sentais reposé et toute la somnolence disparaissait.

Après avoir terminé mes devoirs, je pensais : « Je suis tellement fatigué. Je devrais vite aller dormir ». Dès que cela m'arrivait, je me rappelais : « Ce que je veux vraiment étudier c'est le Fa et je ne l'ai pas fait. Si je vais dormir, ma journée sera perdue. Étudier le Fa est la chose la plus importante de la journée ». Quand je prenais le livre en main, je me sentais aussitôt réveillé et je voyais le Maître me sourire. À partir de ce moment, aussi tard qu'il soit ou aussi ensommeillé que je sois après avoir terminé mes devoirs, instantanément, j'étais éveillé quand je prenais le Fa et que je commençais à étudier.

Avec la pratique assidue des exercices, mon cerveau devenait de plus en plus clair et je pouvais apprendre les choses par cœur très rapidement. Un jour, notre professeur de langue nous a imparti un certain temps pour mémoriser deux anciens articles en cours. Les autres se débattaient pour mémoriser tandis que je les ai regardés deux fois calmement et avec attention. Ensuite, j'ai commencé à faire mon devoir de maths. Je pensais finir mes devoirs en classe et étudier le Fa le soir.

Mon professeur de langues n'était pas contente quand elle a vu que je faisais mon devoir de math et elle m'a demandé de me lever. Elle a dit : « Je vous ai dit de mémoriser les articles. L'avez-vous fait? » J'ai répondu que je les avais appris. Elle ne m'a pas cru et m'en a fait réciter une partie. J'ai commencé à réciter le premier paragraphe et alors que je le terminais, elle a dit que ce n'était pas ce paragraphe là qu'elle voulait.

J'ai donc récité le deuxième paragraphe et alors que j'avais presque terminé de le réciter, elle a encore dit exprès que ce n'était pas ce paragraphe. Ainsi, j'ai récité le troisième paragraphe. Quand la professeur a vu que j'avais mémorisé le début de l'article elle a pensé que je ne pourrais peut être pas me souvenir du dernier paragraphe, donc elle a dit : « Récitez le dernier paragraphe ».

J'ai réussi à réciter le dernier paragraphe et toute la classe a applaudi et m'a félicité. La professeur a dit : « Vous êtes bon. Vous avez ma permission de faire votre devoir de math ».

Je pouvais facilement comprendre ce que mes professeurs enseignaient et j'étais capable de terminer mes devoir très rapidement. Cela me donnait davantage de temps pour étudier le Fa. L'un complétait l'autre : avec davantage de temps pour étudier le Fa, ma sagesse s'est ouverte et je pouvais facilement saisir ce que mes professeurs enseignaient. Je comprenais beaucoup de choses dès que je les regardais.

À l'approche de la période des examens du lycée, la quantité de travail scolaire s'est alourdie, mais étudier devenait de plus en plus facile pour moi. Dans le même temps, quelques aptitudes supranormales qui m'ont aidé dans mes études sont apparues et je pouvais terminer mes devoirs plus rapidement et j'avais du temps pour étudier le Fa.

Un jour mon père est rentré à la maison et a dit avec enthousiasme : « J'ai entendu quelques professeurs dire que tu es le plus doué de ta classe. Les autres enfants doivent étudier beaucoup alors que c'est tellement facile pour toi. Tu es vraiment doué ! »

En fait, il y avait un autre jeune pratiquant dans ma classe et il était aussi assez doué. Autrefois, c'était un fauteur de trouble qui n'étudiait jamais. Après avoir commencé à pratiquer le Falun Gong il écoutait attentivement en classe. Le professeur le félicitait d'être l'étudiant dont les résultats s'étaient améliorés le plus rapidement et qui avait le plus changé. Toute la classe l'a applaudi.

S'éloigner à petits pas de Dafa

En 1999, j'allais au lycée et je ne pouvais pas aller aussi souvent au site d'étude de Fa. À la maison, mes parents ne me permettaient pas d'étudier le Fa ni de faire les exercices. Je me suis relâché de plus en plus. Quand la persécution a commencé, avec les calomnies accablantes envers Dafa et le Maître, je ne savais pas ce qui se passait et je ne savais pas quoi faire. J'ai même pensé que le Maître avait reconnu cela comme un test pour les gens et les pratiquants. À cette époque, ma pensée était totalement alignée sur celle des forces anciennes et beaucoup de mes compréhensions avaient dévié du Fa.

Lentement, mes pensées ont changé et je ne suivais plus les principes du Fa mais je ne m'en rendais pas compte. Je sentais seulement que quand j'étudiais le Fa, je n'avais plus le sentiment de faire des progrès rapides comme autrefois. Mes parents ont détruit les livres de Dafa de mon grand-père et comme ils le menaçaient, il n'osait plus me parler de choses en lien avec la cultivation. Plus tard quand je suis allé à l'université, je ne pouvais plus contacter mon grand-père et je ne lisais plus aucun des écrits récents du Maître. J'étais complètement écarté par les forces anciennes et sans que je m'en rende compte, j'ai lentement chuté.

Je savais seulement qu'à l'intérieur, je ressentais de la douleur et un profond regret. J'ai commencé alors à jouer aux jeux d'ordinateur pour m'engourdir. Plus tard, cela a échappé à mon contrôle et parfois je restais assis à jouer toute la nuit.

En 2004, un pratiquant a distribué dans nos dortoirs des DVD de clarification de la vérité au sujet des fausses auto-immolations de Tiananmen. J'ai été bouleversé après l'avoir regardé–il s'est avéré que les auto-immolations étaient un coup monté. Je n'ai pas dormi de la nuit. Qu'avais-je fait depuis toutes ces années ! J'étais complètement bouleversé. Plus tard, en sombrant dans mes rêves, j'ai vu que j'avais autrefois signé un accord avec des êtres divins disant que je devais me détacher de Dafa pendant dix ans. Il semble que mon côté conscient avait été supprimé parce qu'après m'être réveillé, j'ai lentement et totalement oublié tout cela.

Après avoir reçu mon diplôme, j'étais très occupé par mon travail et j'ai été forcé par mon supérieur à commencer à boire. Une nuit, je me suis réveillé à minuit, j'étais saoul et tout au fond de moi, j'ai gémi : « Est-ce comme ça que je veux vraiment vivre ? Autrefois je cultivais et pratiquais le Falun Gong. J'étais une personne qui pratiquait Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Si ma vie n'est pas remplie avec Authenticité-Bienveillance-Tolérance, j'aimerais mieux mourir. »

Le lendemain, je suis allé chercher des compagnons de pratique que je connaissais. J'en ai finalement trouvé un qui était resté ferme. À nouveau, j'ai pu lire les enseignement du Maître et recommencer à pratiquer.

Traverser l'interférence des forces anciennes

La cultivation est sérieuse. Quand j'ai recommencé à pratiquer, mes parents se sont vite rendu compte que je lisais des livres de Dafa. Depuis que j'étais petit, ils avaient toujours exercé un contrôle strict sur moi et ne me permettaient pas de pratiquer. Maintenant, Dafa est persécuté et ils avaient encore plus peur. C'était le cas en particulier de ma mère. La tension mentale chez elle était très forte et elle m'a forcé à accepter de ne pas pratiquer. J'ai accepté avec désinvolture car mon intention était de la convaincre plus tard que ce que je faisais était juste.

Plus tard, j'ai raconté à des compagnons de pratique ce qui s'était passé et certains pratiquants ont pensé que comme je venais tout juste de recommencer à cultiver et pratiquer, lui dire cela pour la calmer pouvait aller. Le résultat a été qu'après quelques jours, j'ai été persécuté. La police est entrée chez moi en donnant comme excuse pour m'arrêter que j'avais des livres de Dafa dans mon ordinateur.

De nombreuses pensées humaines ont fait surface : « Je ne suis pas marié, comment trouverais-je une épouse un jour ? » « Je ne peux pas garder mon travail de fonctionnaire et mes parents ne me comprendront pas... » Mais au dernier instant j'ai pensé : « Je peux enfin cultiver. Il doit y avoir des pratiquants en prison. Je pourrai étudier le Fa et cultiver avec eux ».

Quand j'ai pensé à la cultivation, ma ceinture a soudain craqué et s'est cassée. J'ai sursauté mais j'ai compris d'un coup que cela m'éveillait à quelque chose. Je sortirais sûrement sain et sauf.

Il s'est avéré que la police avait prévu de m'arrêter depuis longtemps. Quand j'étais emprisonné au centre de détention, j'ai vu que la situation était très mauvaise. Mes parents avaient peur que la tension mentale ne me pousse à m'effondrer, ils ont donc confié à quelqu'un le soin de me réconforter. Je leur ai dis que tout irait bien pour moi et que je sortirais certainement.

Au centre de détention, un prisonnier posait une question étrange (une devinette) afin de rendre les choses difficile pour les autres. Plusieurs personnes ont essayé pendant deux jours de la résoudre, en vain. Quelqu'un a dit qu'il fallait me laisser, moi, un pratiquant de Falun Gong, essayer d'y répondre. Dans mon cœur, j'ai demandé l'aide du Maître pour me renforcer et me permettre de valider la grandeur de Dafa devant eux.

Après avoir regardé la question, la réponse est apparue dans ma tête. Quand j'ai donné la réponse de vive voix, ils étaient tous abasourdi et ils ont entonné « Formidable, Formidable » ! Ce prisonnier a également dit : « Étonnant ! Je vous admire ».

Un jeune homme a dit très fort : « Je dois pratiquer le Falun Gong quand je serais libéré ». Un homme âgé qui était allé faire appel et avait été arrêté m'a secoué les bras en criant : « Je vous crois. Je veux démissionner du PCC. Comment dois-je faire pour démissionner ? »

Comme je venais à peine de recommencer à cultiver, je ne comprenais pas tout à fait ce qu'étaient les trois démissions. Je lui ai donc dit seulement qu'il lui fallait se souvenir dans son cœur qu'il n'était plus membre du PCC.

L'histoire de ma capacité à résoudre la devinette s'est vite répandue parmi les autres prisonniers et la plupart d'entre eux ont changé leur opinion envers le Falun Gong. Pendant ces quelques jours au centre de détention, c'était comme si j'étais assis à l'intérieur d'un cercle protecteur avec une couche qui me recouvrait et me protégeait. Mon cerveau était aussi vide et je n'avais aucune pensée négative.

Quelques jours plus tard, la situation a rapidement changé car les documents de preuves qui avaient été rapportés à la ville ont été supprimé par quelqu'un et ils n'ont pas été approuvé. Au début, il n'y avait aucun moyen de me secourir, mais plus tard, il s'est avéré que les directeurs de mon entreprise, des personnes du département de police et du département de l'inspection disciplinaire sont venus me parler et ont parlé avec le directeur du poste de police en demandant ma libération. Le directeur du poste de police qui me poursuivait n'a pas pu résister à cette pression mais ne voulait pas me relâcher. Il m'a donc envoyé dans un centre de lavage de cerveau.

Quand j'ai été envoyé au centre de lavage de cerveau, je suis devenu léthargique sans que l'on comprenne pourquoi. Ces gens avaient très peur parce que ma famille et des responsables de mon entreprise venaient souvent demander que je sois libéré et autorisé à retourner travailler. Plus tard, un responsable de la ville est venu et a dit au personnel du centre de lavage de cerveau : « Il faut que vous expliquiez clairement la situation. Si vous êtes en mesure d'expliquer clairement les crimes, alors faites-lui ce que vous devez faire. Si vous ne pouvez pas, ne laissez pas l'affaire s'éterniser. » Ainsi, je suis rentré chez moi le lendemain.

Mais, l'agent du PCC qui était avec moi au centre de lavage de cerveau m'a poussé par tromperie à signer quelque chose. Il m'a menti en disant qu'une signature suffirait et que je n'avais besoin de rien écrire. En conséquence, je suis tombé dans le piège et j'ai coopéré avec la perversité. J'ai donné aussi sans le vouloir une excuse aux forces anciennes pour continuer à me persécuter.

Quand je suis rentré chez moi, la pression dans l'autre dimension n'a pas diminué. Comme j'avais été illégalement arrêté, la tension mentale chez mon grand-père était très grande. Il était en très bonne santé à l'origine mais soudain, un grave karma de maladie s'est manifesté. Quelques jours après mon retour, il est décédé.

Lorsque mon grand-père est décédé, ma mère m'a raconté calmement : « Quand d'autres personnes sont décédées, ils portaient des fers et des messagers venus de l'enfer les emmenaient en les tirant. Comment se fait-il que des êtres célestes soient venus accueillir ton grand-père quand il est décédé ? Pratiquer le Falun Gong est différent ! »

Je me suis retrouvé seul pour affronter davantage de pression. Ma famille ne comprenait pas et pensait que je cherchais des problèmes. Les responsables de mon entreprise pensaient également que je leur causais des problèmes par le fait que je persistais à pratiquer le Falun Gong.

Je ne savais pas comment faire pour traverser cet environnement répressif, alors, par désespoir, j'ai continué à étudier le Fa. Progressivement, j'ai compris que ce n'est pas une question de cultivation personnelle et je me suis souvenu de certains principes du Fa de la cultivation de la période de la rectification de Fa.

À cette époque, les mains noires des forces anciennes sont rentrées dans mon entreprise et ont commencé à interférer. L'entreprise a téléphoné à mes parents, les a menacés et a forcé mon père à écrire une « garantie de ne pas cultiver » en mon nom.

Ma mère était tellement en colère contre les responsables qui me menaçaient qu'elle a fait un infarctus et a été hospitalisée. Quand l'ambulance est arrivée, tout le monde dans l'entreprise a compris ce qui s'était passé. J'ai demandé au Maître de ne pas laisser mourir ma mère afin que les gens n'aient pas de mauvaises perceptions du Dafa. Le Maître m'a éveillé au fait que tant que j'avançais avec droiture, personne n'oserait causer des problèmes et que ma mère irait bien.

Quand j'ai pris la lettre de garantie et l'ai déchirée, je me suis soudain détendu. Tous les champs des autres dimensions se sont éclaircis en un instant. Je savais que l'arrangement des forces anciennes avait été éradiqué.

Quand je suis rentré chez moi, ma mère m'attendait déjà et m'a étonné en me racontant que lorsqu'elle était allongée dans l'ambulance, elle s'est sentie tout d'un coup éveillée et elle n'avait jamais senti une telle énergie auparavant. Elle est descendue de l'ambulance et elle est rentrée à pied à la maison. Elle se sentait bien et très à l'aise. Elle a déclaré « Cela est extraordinaire ! »

Mon père craignait toujours que les responsables de l'entreprise ne me rendent les choses difficiles. Je lui ai dit que le bien et le mal se faisaient la guerre et j'ai saisi cette occasion pour lui clarifier certaines vérités au sujet de Dafa. Il a dit avec beaucoup d'enthousiasme : « Mon fils, tu es vraiment remarquable. Ton Maître est vraiment remarquable. Il s'est passé tellement de choses ces derniers jours et malgré tout tu arrives encore à passer sans encombres à travers d'une telle catastrophe. Ton Maître te protège ».

Je ne savais pas si j'avais dépassé les limites en déchirant le papier de garantie. Donc ce soir-là, j'ai trouvé un collègue et lui ai demandé ce qu'il en pensait. Il a levé le pouce en disant « Remarquable. Nous savons ce qui se passe ». Plus tard, il ne s'est rien passé. Au contraire, de bonnes choses sont arrivées.

Se concentrer sur le salut des êtres

L'interférence diminue quand le chemin emprunté est le bon et qu'une personne a suffisamment de pensées droites. L'environnement de mon étude de Fa est devenu bon et j'ai bien d'avantage d'énergie quand je fais les trois choses.

Un jour je suis allé à l'entrée d'un village pour y accrocher des affiches. J'ai soudain eu peur et j'ai émis aussitôt la pensée droite pour éliminer cela. J'ai pris conscience que, quels que soient les facteurs pervers présents, je dois les éliminer parce que je suis venu ici pour sauver les gens. En un instant, le champ s'est éclairci.

Quand j'étais sur le point de partir après avoir accroché les affiches, quelqu'un est passé et il s'est retourné pour voir ce que je venais d'afficher. Il a lu à haute voix : « Falun Dafa est bon ». Derrière moi, il a crié « Attendez ! Avez-vous des DVD ? » Il s'est trouvé justement que j'avais un DVD de Shen Yun et je le lui ai donné. Il était très heureux.

Je mets souvent des DVD de Shen Yun dans ma voiture et je me déplace à divers endroits. J'arrête la voiture en voyant des gens dans la rue, je leur présente le spectacle et leur donne des DVD. Parfois, je distribue plus de 200 DVD en un seul voyage.

Un jour, quand j'ai donné un DVD de Shen Yun à une personne, elle a dit : « C'est Falun Gong, n'est-ce pas ? Je n'en veux pas. » La personne à côté de lui avait vu le DVD de Shen Yun de l'an dernier et a demandé s'il pouvait l'avoir. J'ai décrit le contenu merveilleux du DVD. La personne qui l'avait d'abord refusé a écouté avec attention et visiblement, il en voulait mais se trouvait gêné de le demander. Je lui en ai donc donné un aussi en disant : « Voyez vous, j'ose distribuer ces DVD et vous, vous n'osez pas le regarder ? » Il a ri en prenant le DVD.

Je suis allé dans une ville et dès que j'ai mentionné le fait que je distribuais des DVD de Shen Yun, un homme a crié très fort : « Les DVD de Shen Yun de cette année ! » J'ai tout de suite été entouré par plein de monde. J'ai donné tous les DVD en quelques minutes et les gens disaient qu'ils souhaitaient que Shen Yun vienne bientôt en Chine.

Conclusion

Un jour, alors que je méditais, j'ai vu tous les détails d'un événement qui s'était produit quand j'étais jeune :

Vers 1992, je faisais tous les soirs le même rêve. Je rêvais que je tombais d'un endroit très haut et que je n'arrivais pas à voir la fin. Je continuais à tomber, tomber. Je me réveillais, terrifié. J'ai fait ce rêve un bon nombre de fois et dans ces rêves, je tombais toujours sans jamais toucher le sol.

La dernière fois que j'ai fait ce rêve, je suis enfin tombé par terre et je me suis réveillé terrifié. Quand j'ai donné un coup de coude à mon père, il m'a dit « As-tu encore eu un mauvais rêve où tu tombais ? » Et je lui ai demandé : « Papa, qui est Li Hongzhi ? Cette fois-ci quand je suis tombé par terre, j'ai vu un vieil homme à la barbe blanche. Il m'a dit qu'il fallait que je trouve quelqu'un du nom de Li Hongzhi. »

Maintenant, je comprend que le rêve me disait que le cosmos dans lequel je me trouvais était déjà dans une mauvaise passe. Si on n'y faisait rien, il serait détruit. Le vieil homme m'a expliqué que c'est seulement en osant tout risquer pour descendre dans le monde humain pour trouver le Maître que je pourrais avoir de l'espoir. Mais je pourrais aussi être détruit dans le monde humain.

À ce moment, j'ai pensé que si je descendais, ce cosmos aurait une lueur d'espoir ! C'est ainsi que j'ai fermé les yeux et que j'ai sauté. Le vieil homme m'a suivi pour s'assurer que je cherchais le Maître. Il m'a dit qu'il fallait que je le trouve.

Dans cette vie, je me suis connecté avec cette occasion datant de millénaires. J'ai vraiment beaucoup de chance. Quand j'ai reparlé à mon père de ce moment où je me suis réveillé du cauchemar et lui avais demandé où trouver le Maître, il a répondu qu'il avait oublié cette affaire depuis longtemps.

Tout le monde est venu ici pour le Fa mais combien de gens sont perdus dans le monde humain ou ont été trompés par le parti pervers et ont oublié le souhait chéri depuis longtemps de venir ici. Les disciples de Dafa doivent bien faire les trois choses parce que ce sont les promesses que nous avons faites au Maître avant de venir ici et c'est aussi le souhait du monde des êtres.


Heshi

Dixième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale (l'an 2013)

Traduit de l'anglais en Europe