(Minghui.org) Je suis une femme dans la cinquantaine, et je vis avec ma famille dans un petit village de la province du Shandong. Il y a trois ans, j’ai découvert une petite boule dure en train de grandir dans mon sein gauche. Cela ne me faisait pas mal ni ne me dérangeait. Et comme je suis une paysanne, je n’y ai pas prêté attention et j’ai continué à travailler.


En avril 2011, la taille de la particule dure a brusquement augmenté très rapidement. J’étais effrayée et les membres de ma famille également. Je suis allée à l’hôpital de la ville et le diagnostic a montré que j’étais atteinte d’un cancer du sein en phase terminale. Le médecin a dit que puisque le cancer s’était déjà propagé, l’hôpital ne pouvait plus faire d’intervention chirurgicale. Il m’a recommandé de me faire opérer à l’hôpital de la province le plus tôt possible. Toute ma famille était anéantie et nous nous sommes tous mis à pleurer. Nous avons préféré ne pas y croire et admettre que le diagnostic était erroné. C’est pourquoi je suis allée me faire examiner dans un autre hôpital de la ville. Le résultat a été semblable. Et ils m’ont aussi conseillé d’aller dans un hôpital plus grand afin de me faire opérer le plus tôt possible. À ce moment-là, ma famille a eu l'impression que le ciel s’effondrait.


J’ai réalisé que ma mère était déjà dans ses quatre-vingt ans, et que mon enfant n’était pas encore grand. La situation financière de ma famille n’était pas bonne. Ma maladie s’était déjà propagée, et même avec la chirurgie je ne guérirais apparemment pas. Non seulement j’allais perdre de l’argent, mais aussi la vie. Alors j’ai décidé de ne pas subir d’opération. J’ai décidé de vivre ainsi jusqu’à ma mort.


Une fois cette décision prise, j’ai pensé que je ne vivrais plus longtemps, alors j’ai senti que je devais aller rendre visite à mes parents une dernière fois. Après avoir rendu visite à plusieurs d’entre eux, je suis allée chez ma cousine. Ma cousine est pratiquante de Falun Dafa. En apprenant ma situation elle a dit : « Ce n’est pas la fin, Dafa peut te sauver. Cela dépend seulement de toi : tu y crois ou tu n’y crois pas. » J’ai ressenti un peu d’espoir, mais j’avais toujours des doutes. Ma cousine m’a dit : « Tu devrais déjeuner chez moi aujourd’hui. Je vais préparer le repas, ensuite tu regarderas un peu la télévision. »


Elle a passé le DVD du spectacle du Nouvel An chinois 2011 de Shen Yun. Je ne connaissais rien là-dessus et j’ai simplement trouvé ça formidable. En regardant, je ne cessais de demander : « Mais quel est donc ce spectacle ? C’est excellent ! » Après un moment, je me suis sentie malade et j’ai eu envie de vomir. Ma cousine a dit : « Tu as une affinité prédestinée, c’est une bonne chose, et tu ne dois pas avoir peur. » Elle a mis devant moi une cuvette. J’ai vomi une sorte de liquide jaune. Mon estomac grondait et le bruit que cela faisait était si fort que même les autres pouvaient l’entendre. Après avoir vomi, je me suis sentie mieux. Ma cousine a dit que je devais avoir de l'affinité prédestinée avec Dafa et que Maître Li était en train de purifier mon corps. Elle a dit que je devrais pratiquer Dafa. J’ai dit alors : « Si je guéris, je montrerai le rapport de l’hôpital à chacun pour promouvoir Dafa et je dirai que le Falun Dafa est bon. »


Plus tard, j’ai ramené avec moi une copie du livre Zhuan Falun que m’a passé ma cousine. J’ai fini de le lire sans m’arrêter. J’ai senti que ce livre était très bon et que c’était en effet un livre céleste. Pourquoi ne m’étais-je pas rendu compte de cela plus tôt ? J’ai alors dit aux membres de ma famille que j’allais pratiquer le Falun Dafa.


Quelques jours plus tard, les membres de ma famille étaient encore inquiets à mon sujet. Ils m’ont emmenée à l’hôpital de la ville afin qu’on m’examine une fois de plus. Les résultats ont montré que j’étais parfaitement normale. Le médecin a dit : « Il n’y a rien d’anormal chez vous. Pourquoi avez-vous fait un examen ? » Les membres de ma famille se tenaient près de nous et ils se sont mis à sangloter. Cette fois, c’était des larmes d’excitation et de soulagement.


Après être rentrée chez moi, nous nous sommes agenouillés – mon mari et moi – devant la photo du Maître, et nous avons pleuré. Nous avons remercié le Maître pour avoir sauvé ma vie. Cette nuit-là, j’ai fait un rêve. Quelqu’un était en train de retirer quelque chose de mon sein gauche ; et je me suis réveillée sous l’effet de la douleur. À ce moment, j’ai entendu une voix : « Le plus gros a été enlevé, qu’en est-il du petit ! » J’ai immédiatement dit : « Maître, enlevez le petit aussi, je vous en prie ! » Plus tard j’ai touché mon corps et j’ai trouvé que la particule dure avait disparu de mon sein, mais il n’y avait pas de séquelles à la surface. J’étais si excitée que j’ai fondu en larmes.


J’avais un cancer en phase terminale. Pas plus que sept jours ont passé entre la date de mon premier examen et le jour où je me suis fait de nouveau examinée, et la particule dure dans mon sein avait disparu. Ma famille et mes parents ont été témoins de ce miracle. C’est pourquoi ma mère, ma sœur aînée et son mari, ma seconde sœur aînée, mon jeune frère et sa femme, ont tous commencé à pratiquer le Falun Dafa. Ma seconde sœur aînée avait un cancer de l’intestin. Elle ne pouvait pas payer une opération chirurgicale et restait à la maison, attendant la mort. Je suis allée chez elle pour lui faire part de mon expérience miraculeuse, et lui ai conseillé de pratiquer le Falun Dafa. Elle a écouté les conférences audio du Maître et plus tard son cancer de l’intestin a disparu. Elle est alors retournée à son travail.


Je tiens ma promesse, celle d’utiliser ma propre expérience pour faire savoir aux gens les merveilles et les miracles du Falun Dafa.

Traduit de l'anglais en Europe