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Plus de 5 000 personnes appellent à libérer Mme Cui Aijun : le mouvement croissant de résistance est irrépressible

25 avril 2013 |   Écrit par un correspondant de Minghui de la province du Hebei, Chine

(Minghui.org) La pratiquante de Falun Gong Mme Cui Aijun, du village de Goukouzi, canton de Shuangshanzi, dans la province du Hebei a été arrêtée le 11 décembre 2012. En l’espace de trois mois, à la mi-mars, plus de 3 800 personnes de sa région avaient signé une pétition de protestation. Depuis lors, 1 841 villageois supplémentaires ont signé leurs noms sur la pétition pressant les autorités communistes de la relâcher immédiatement.

Le bureau du procureur a refusé de reconsidérer le cas de Mme Cui et les abus qu’elle endure aux mains de la Division de la sécurité intérieure du canton de Qinglong (police). Le capitaine de police Li Yinqing continue de la persécuter et refuse de la relâcher, en dépit des protestations publiques. Il a menacé la famille de Mme Cui qu’après les deux Congrès du Parti, il presserait davantage de charges puis la dénoncerait à nouveau auprès du bureau du procureur.


La population locale à la défense de Mme Cui

À la maison, la belle-mère de Mme Cui est âgée de 81 ans et elle est aveugle. Elle pleure presque chaque jour dans l’espoir d’être réunie avec sa belle-fille. Le beau-père de Mme Cui âgé de 91 ans est sourd. Il se tient sur le pas de la porte à attendre le retour de sa belle-fille.


La situation de Mme Cui a éveillé la sympathie et l’indignation de la population locale dans le canton de Qinglong. Plus de 3 800 villageois ont signé leurs noms sur la pétition demandant sa libération. 156 résidents du village de Goukouzi, son village natal, ont signé leurs noms et apposé leurs empreintes digitales exhortant les autorités à la relâcher.


Un des voisins de Mme Cui a écrit sur la pétition : « Le gouvernement met vraiment les gens en colère. Nous espérons que le gouvernement la relâchera, afin qu’elle puisse rentrer à la maison et prendre soin de ses aînés. Ne gaspillez pas de temps et d’efforts pour persécuter de bonnes personnes. Faites plutôt quelque chose de bien pour les gens. »


Un professeur a écrit : « Le Parti communiste est vraiment déraisonnable. Si vous parlez d’envoyer des gens en prison, tous les fonctionnaires communistes sont les premiers qualifiés. Les pratiquants de Falun Gong fabriquent juste des calendriers et informent les gens des faits concernant la persécution. Il n’y a rien de mal là-dedans. Le Parti communiste ne vous laisse rien dire. C’est une dictature à parti unique. Si le Parti dit que vous êtes noir, vous êtes noir. S’il dit que vous êtes blanc, vous êtes blanc. Quelle absurdité ! »


Un homme d’âge moyen a déclaré : « Je signerai mon nom parce que je sais que les pratiquants de Falun Gong sont de bonnes personnes. Ils vivent selon Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Qu’y-a-t-il de mal ? Le Parti communiste est extrêmement corrompu. Peu lui importe que vous soyez un meurtrier ou un incendiaire. Tout ce qui lui importe est de persécuter les bonnes personnes. Le Parti périra bientôt. »


Un homme de 70 ans a dit : « Les aînés de sa famille font vraiment pitié. Leur belle-fille a été arrêtée et ils n’ont personne pour prendre soin d’eux. Le Parti communiste fait vraiment une mauvaise chose. Bien que je ne la connaisse pas, je sais que tous les pratiquants de Falun Gong sont de gentilles personnes. Je signerai cette pétition. »


Une jeune dame a dit : « Je signerai, mais j’ai une requête. Cette pétition doit être remise au plus haut niveau. »

Les fonctionnaires du PCC réagissent par des menaces

Après que la nouvelle que plus de 3 800 personnes ont signé la pétition pour secourir Mme Cui a circulé sur Internet, les représentations communistes impliquées dans sa persécution ont paniqué.


Feng Qi, un instructeur du Bureau de la sécurité intérieure de Qinglong ; Lu Zhendong, le capitaine adjoint ; Guo Zhensheng, un directeur du Bureau de gestion générale (ou Bureau 610) de Shuangsanzi, et Liu du poste de police se sont précipités au village de Goukouzi le 22 mars pour harceler et menacer les villageois qui soutenaient Mme Cui.


Toutefois, le mouvement populaire ne peut plus être endigué. Après que 3 800 personnes aient pétitionné pour Mme Cui, 1 841 autres personnes de la région se sont portées à son secours et ont réclamé sa libération immédiate, afin qu’elle puisse rentrer à la maison et prendre soin de ses beaux-parents âgés.

 Signatures de 1 841 personnes du canton autonome mandchou de Qinglong


Historique

Guo Zhensheng, le directeur du Bureau 610 dans le canton de Shuangshanzi ; Zhang Qiwen, le secrétaire du Parti du village de Goukouzi ; Zhang Qinglin, le directeur adjoint du canton de Shuangshanzi, le capitaine adjoint du poste de police de Shuangshanzi ; et l’instructeur Xi Baoyu sont entrés par effraction au domicile de Mme Cui et l’ont arrêtée le 11 décembre 2012. Ils ont aussi confisqué ses biens personnels, pour une valeur de plusieurs milliers de dollars.


Les personnes susmentionnées ont alors conspiré avec le Bureau de la sécurité intérieure du canton de Qinglong et avec Feng Qi et l’ont transférée au Premier centre de détention de la ville de Qinhuangdao voici maintenant plus de trois mois, et ils ne l’ont toujours pas autorisée à voir sa famille.


Depuis que Mme Cui a été arrêtée, sa famille est allée à répétition au poste de police et au centre de détention demander sa libération, mais ils se sont fait insulter, menacer et intimider par la police qui a même détenu le mari et la fille de Mme Cui toute une nuit. Le capitaine adjoint du Bureau de sécurité du canton de Qinglong a hurlé : « Même si les pratiquants de Falun Gong ne signent ou ne disent rien, nous pouvons quand même les condamner. »


Avant que Mme Cui ne pratique le Falun Gong, elle souffrait d’une maladie chronique. Elle a entrepris la pratique lorsque l’hôpital lui a dit qu’ils ne pouvaient pas soigner sa maladie.


Peu de temps après avoir commencé la pratique, toutes ses maladies ont disparu. Elle est devenue heureuse et se sentait bénie. Grâce à la pratique, elle est passée par de grands changements tant physiques que mentaux et est devenue une meilleure personne. Elle a changé son mauvais caractère et est devenue plus douce et aimable.


Depuis lors, elle a vécu selon les principes de Vérité-Bienveillance-Tolérance dans sa vie quotidienne, en bonne harmonie avec sa famille et ses voisins. Ces derniers ont été grandement surpris par les changements qu’ils ont constatés chez elle.


C’est pourtant cette bonne personne qui est à présent injustement persécutée. Mme Cui est forcée à effectuer un travail d’esclave 15 heures par jour en étant détenue dans le Premier centre de détention de Qinhuangdao. Si elle ne termine pas son travail à temps, les gardes la punissent en la forçant à rester debout pendant deux heures la nuit, et parfois ils la privent de sommeil. Ils ne lui donnent qu’un petit pain à manger pour tout repas. Elle a perdu beaucoup de poids et s’est émaciée. Ses pieds ont enflé et elle ne peut plus marcher en tenant le dos droit.

Autorités impliquées dans la persécution :

Bureau de la sécurité publique du Canton de Qinglong :
Xiao Qihui, capitaine, +86-13933649999 (portable)
Li Yinqing, bataillon du Bureau de la sécurité intérieure, +86-13933584481 (portable)
Feng Qu, instructeur du Bureau de la sécurité intérieure, +86-13933570886 (portable)
Lu Zhendong, bataillon adjoint, +86-13933690365 (portable)
Poste de police de la ville de Shuangshanzi :
Xia Baoyu, capitaine adjoint, +86-13503230219 (portable)
Bureau d’administration générale de Shuangshanzi :
Guo Zhensheng, directeur, +86-13930302026 (portable)
Village de Goukouzi :
Zhang Qiwen, secrétaire du Parti, +86-15076000413 (portable)
Zhang Wei, chef de village, +86-13933545189 (portable)

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Traduit de l'anglais en Europe