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Un pratiquant de 80 ans traverse le karma de maladie

9 août 2013 |   Écrit par un pratiquant de la province du Sichuan

(Minghui.org) J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en mai 1997 et j’ai maintenant 80 ans. Avant de pratiquer, j’ai souffert de plusieurs affections comme une maladie cardiaque rhumatismale, une maladie coronaire cardiaque, de la neurasthénie et une maladie des reins. Aucune amélioration n’est venue de la médication et des traitements à longs termes. En 1997, j’ai soudainement souffert de toux sévère qui n’arrêtait pas. Je suis allé voir un médecin et il m’a dit que j’avais le cancer des poumons. Je suis devenu émacié. Je ne pouvais marcher normalement et j’ai perdu le sens du goût. J’ai été hospitalisé mais le médecin ne pouvait rien faire pour m’aider et a dû me laisser sortir de l'hôpital.

Le directeur de l’hôpital a dit à ma fille que j’avais seulement quelques jours à vivre. Lorsque je suis rentré à la maison, ma voisine m’a dit que quelqu’un lui avait donné des livres et qu’elle ne pouvait les lire. Je lui ai emprunté les livres (Zhuan Falun, Expliquer le contenu de Falun Dafa et d'autres enseignements du Maître).

J’ai commencé à lire les livres sur mon lit. Plus je lisais, plus j’avais de l'énergie. J’ai fini le Zhuan Falun en deux jours. Ma voisine m’a dit qu’elle avait aussi les figures des exercices. J’ai emprunté cela aussi et j’ai demandé à mon épouse d’apprendre les exercices avec moi. J’ai lu les instructions sous les figures et elle les a suivies. Après deux fois, nous nous sommes rappelés de la plupart d’entre eux. C’est ainsi que j’ai d’abord commencé à étudier le Fa et à pratiquer les exercices. Après la pratique, nous nous sentions tous les deux très détendus. Mon épouse souffrait d’un cancer du foie mais elle s’en est rapidement remise. Nous nous sommes tous deux éveillés sur le fait que le Falun Dafa n’est pas une technique ordinaire, mais une cultivation et pratique de haut niveau.

En peu de temps, nous allions dans la rue dire aux gens âgés qui étaient malades de pratiquer le Falun Dafa avec nous. Nous avons eu une dizaine de personnes qui se sont jointes à nous le premier jour. Nous leur avons appris les exercices. Deux semaines plus tard, nous avons invité des assistants d’autres régions à venir nous montrer les conférences et exercices du Maître. Nous avons aussi donné à chacun une copie du Zhuan Falun. Ensuite, nous avons établi notre groupe d’étude du Fa et le site de pratique. Nous étudiions le Fa pendant deux heures quotidiennement à 14h et pratiquions les exercices quotidiennement à 3h le matin. Les maladies de chacun ont rapidement disparu. Plusieurs des pratiquants âgés étaient ensuite capables d’aider dans les tâches ménagères, ce qu’ils n’auraient jamais rêvé de faire auparavant. Nous sentions tous la joie de ne pas avoir de maladies. En 1999, nous avions plus de 200 pratiquants seulement dans notre ville, dans un canton avec une population de seulement 1000 personnes.

Après que le Parti communiste chinois pervers a commencé à réprimer le Falun Dafa, nous avons commencé à pratiquer les exercices, étudier le Fa et partager chez nous au lieu de le faire à l’extérieur. Nous avons collaboré entre nous pour distribuer des documents clarifiant la vérité, suspendre des banderoles et convaincre les gens de démissionner du PCC. Nous avons tous suivi les enseignements du Maître de près et avons tenté de bien faire les trois choses. En 2008, j’ai établi chez moi un site de production de documents clarifiant la vérité. Nous avons chuté, nous nous sommes relevés, et avons été de l’avant tout en étant dans la persécution perverse.

Mon épouse et moi avons commencé à graver des disques clarifiant la vérité de 6h à 15h le 17 mars 2012. Après avoir le repas, j’ai commencé à me sentir étourdi, faible et je toussais beaucoup. Je suis allé au lit pour me reposer et ça a empiré, j’ai eu une haute fièvre, une toux récurrente et je vomissais de la mousse blanche. J’avais le souffle court et rapide. Je me sentais fatigué et je ne pouvais fermer ma bouche pour continuer à respirer. Je ne pouvais bouger et je crachais beaucoup de glaires. Ma bouche était très sèche et je devais boire beaucoup d’eau. J’avais besoin de l’aide de mon épouse pour faire quoi que ce soit. Je ne pouvais ni marcher ni parler. Je devais utiliser les gestes de mains pour communiquer, je ne mangeais rien pendant trois jours et j’ai cessé d’aller aux toilettes pendant huit jours. Mais ma pensée logique et mes sens étaient clairs. Je savais que c’était la perversité qui interférait avec moi.

J’ai tenté de regarder calmement à l’intérieur. Je pensais en moi-même que je devais avoir des lacunes dont la perversité profitait. Je me suis forcé à ne pas l’admettre ni coopérer avec. Comme je continuais à regarder à l’intérieur, j’ai dit au Maître que je ne reconnaîtrais pas l’interférence de la perversité et j’ai demandé au Maître de me renforcer pour l’éliminer.

Trois semaines ont passé. Mon visage était pâle et défiguré. Comme je n’avais pas étudié le Fa, ni pratiqué les exercices, ni mangé, j’étais émacié. Certains pratiquants de notre site de pratique sont venus me voir. Ils m’ont acheté un lecteur de DVD et m'ont passé les conférences du Maître. Ils ont aidé à émettre la pensée droite pour éliminer l’interférence. Ils ont aussi étudié le Fa et partagé avec moi. Mais ils pensaient que ce qui m’était arrivé était trop soudain. Puisque je ne pouvais ni bouger, ni manger, ni dormir, certains pratiquants semblaient perdre espoir et confiance en moi.

C’était le festival de Qingming et nos enfants sont venus de l’extérieur de la ville en visite. En me voyant dans cette état, ils ne voulaient pas partir et se préparaient à ma mort. J’ai insisté pour qu’ils s’en aillent. Mon fils ainé est parti, mais ma troisième fille ne voulait pas partir. Elle pleurait et voulait rester pour prendre soin de moi quelques jours de plus. Je lui ai dit que ça allait et que je n’avais pas besoin qu’on prenne soin de moi. J’ai dit que je ne mourrais pas.

J’ai calmement récité le poème du Maître «Pensée droite, comportement droit» (Hong Yin Vol. II) :

«Les grands Éveillés ne craignent pas les épreuves

La volonté taillée dans le diamant

Aucun attachement à la vie ou à la mort

Franc et sans obstacle, le chemin de la rectification de la Loi»

Dans le poème «La grâce entre Maître et disciples» (Hong Yin Vol. II), le Maître a écrit:

«Si les disciples sont emplis de pensées droites

Le Maître a le pouvoir de changer la décision du Ciel»

Dans «La pensée droite des disciples de Dafa est puissante» (Points essentiels pour un avancement diligent (II)), le Maître a dit:

«En aucune circonstance on ne doit s’accorder aux exigences, ni aux ordres, ni aux instigations de la perversité.»

Comme je récitais le Fa, j'ai eu plus d'énergie. J’ai commencé à comprendre pourquoi le Maître parlait de «ne pas coopérer» avec la perversité. J’ai pensé en moi-même: Est-ce que j’ai coopéré avec la perversité? Est-ce que j’ai parcouru mon chemin de rectification du Fa avec confiance et droiture? En fait, j’avais coopéré avec la perversité sans le savoir. Parce que véritablement lorsque l’on «ne coopère pas», on le désintègre.

Dans «Éliminer les interférences» (Points essentiels pour un avancement diligent (II)), le Maître a dit:

«La Loi peut briser tous les attachements, la Loi peut briser toutes les perversités, la Loi peut briser tous les mensonges, la Loi peut affermir la pensée juste.»

J’ai pensé en moi-même: Je dois nier les arrangements de la perversité et suivre avec confiance et droiture ce que le Maître veut. Je dois commencer maintenant. J’ai commencé à étudier le Fa et demandé à mon épouse de m’aider à m’asseoir. Lorsque nous avons étudié le Fa ensemble, elle a lu le Fa à haute voix, tandis que je lisais le Fa silencieusement. Nous avons étudié le Fa chaque jour. Après trois jours, je pouvais lire le Fa tout haut, et je tenais le livre dans mes mains. Lorsque c’était le moment d’émettre la pensée droite, je demandais à mon épouse de m’aider à m’asseoir.

J’ai commencé à manger aux repas. Lorsque j’avais été très malade, je ne pouvais que manger une petite banane et quelques cuillères de soupe aux œufs. Maintenant, je devais avoir de la détermination. Je devais me forcer à manger, même si c’était difficile à goûter. J’ai mangé des fruits et des racines de lotus même s'ils avaient un goût amer, épicé et piquant. Mon estomac ne pouvait même pas prendre du porridge de riz. J’ai dit aux molécules dans mon corps: «Vous êtes aussi une partie de mon corps. Vous devez coopérer avec moi pour valider le Fa. En mangeant, vous désintégrez la persécution de la perversité. Et vous aurez un bon futur. Même s’il est difficile de manger, vous devez manger. Vous devez soutenir mon corps et les autres êtres dedans.» Graduellement, je pouvais manger plus et la nourriture avait meilleur goût.

Pour le festival de Qingming, plusieurs personnes sont venues à la maison de l’extérieur de la ville pour balayer les tombes de leurs ancêtres. Il n’y avait pas assez de documents clarifiant la vérité, telles que les brochures et les disques de Shen Yun, pour répondre à la demande de tous ces gens. Mon épouse s’est empressée de faire des documents clarifiant la vérité et n’a pas dormi pendant trois jours. Pendant ce temps, elle a passé beaucoup de temps à s'occuper de moi. Je me sentais extrêmement coupable d’être un fardeau pour elle et de ne pouvoir aider. Je me suis dit en moi-même: «La perversité me persécute justement quand c’est le plus critique pour sauver plus de gens. Elle veut détruire les êtres. Lorsque nous les sauvons, la perversité interfère avec nous. Si je reste simplement allongé au lit, ça signifie que je reconnais la persécution de la perversité. Si je ne fais rien d’autre que d’interférer avec mon épouse, n’est-ce pas la perversité qui atteint son but en me détruisant ainsi que les autres êtres? Je suis un disciple de Dafa et les choses que je fais sont pour valider Dafa. Je ne dois pas montrer ma faiblesse lorsque je fais face à la perversité.» J’ai sérieusement averti la perversité: «Même si j’ai des lacunes, je suis encore un pratiquant. Je vais délaisser mes attachements en utilisant la puissance du Fa. Mon Maître prendra soin de moi. Aucun être pervers n’est digne d’interférer avec moi. Sinon, je vais te désintégrer. Je veux être un disciple avec dignité, pas un démon qui tente de saboter le Fa. Tu dois me laisser tranquille maintenant, sinon je vais t’éliminer.»

Je me suis souvenu de ce que le Maître a dit dans le Zhuan Falun: «En réalité, je vous le dis, ils ne sont pas redoutables, ils ne sont rien pour un vrai pratiquant, même s’ils ont déjà cultivé pendant huit cents ou mille ans, un petit doigt suffit pour les écraser.»

J’ai dit au Maître: «Maître, j’ai eu tort. Je n’ai pas écouté tes paroles. J’ai chuté, mais je vais me ressaisir et faire ce qui est droit à l’avenir.»

Je voulais tellement pouvoir me lever tout seul, alors j’ai demandé à mon épouse de me tenir. J’ai essayé de me lever, mais mes jambes étaient trop molles pour soutenir mon poids, encore moins pour marcher. J’ai demandé à mon épouse de me tenir de nouveau le bras, pensant que peu importe combien c’était difficile, je devais marcher. Après avoir fait quelques pas, j’ai commencé à tousser et j’étais tellement fatigué. J’ai dit à mon épouse que c’était le moment de sauver plus d’êtres et qu’elle ne devait pas me laisser interférer. Elle devait fournir des documents pour sauver les êtres. Je lui ai demandé de me permettre d’aider à graver les CD pour qu’elle puisse se concentrer à faire des dépliants et des magazines hebdomadaires. Au début, elle n’a pas été d’accord. Mais je lui ai alors dit que graver plus de CD était une affaire sérieuse et que je devais le faire. Je me suis allongé sur mon lit et avec l’aide de mon bureau, j’ai commencé à faire des CD de Shen Yun et d’autres. J’ai fait environ 17 VCD et 9 DVD en une heure. Je pouvais graver environ 300 VCD en une nuit. Même si mon rythme était assez lent, nous arrivions à atteindre les besoins des pratiquants qui les utilisaient pour sauver plus d’êtres.

Quand c'était le moment pour les pratiquants de pratiquer les exercices mondialement, j’ai demandé à mon épouse de me soulever pour que je puisse m’asseoir sur mon lit pour faire la pratique. J’ai découvert que je ne pouvais le faire parce que le lit semblait très instable. Je pensais que le coussin devait avoir un problème alors je l’ai changé pour un autre coussin, mais ça a empiré. Je me suis éveillé au fait que le Maître ne voulait pas que je m’assoie sur mon lit pour pratiquer les exercices et que je devais me tenir debout. Alors j’ai demandé à mon épouse de me tenir les bras pour que je puisse me lever. Mes jambes étaient trop faibles pour soutenir le poids du haut de mon corps, alors j’ai appuyé mes genoux sur le bord du matelas pour m’aider à me tenir debout.

Lorsque j’ai pratiqué le premier exercice, le mouvement d’étirement m’a rendu si fatigué que je devais prendre de profondes respirations. La sueur sortait de tout mon corps. Mes pieds étaient tirés vers le bas par une force et tremblaient. J'ai arrêté et me suis assis pour me reposer un moment. Cela m’a pris 30 minutes pour finalement terminer le premier exercice. Le deuxième exercice était si difficile que je l’ai sauté. Lorsque j’ai pratiqué le troisième, j’étais si fatigué que je pouvais à peine respirer. Lorsque j’ai fait le quatrième, je me sentais bien lorsque je m'accroupissais pour faire le tour, mais lorsque je remontais, je sentais comme si je manquais d’air. Ma sueur était comme de la pluie. J’ai seulement médité pendant 30 minutes. C’était la première nuit que j’essayais de faire la pratique depuis que les interférences avaient commencé. Le jour suivant, je me suis dit que je n’avais pas terminé tous les exercices la première nuit, même si j’avais fait des progrès. Ce soir j’allais terminer tous les exercices.

Dans «Enseignement de la Loi à la conférence de Loi internationale à New York», le Maître a dit:

«Si un pratiquant peut véritablement abandonner la question de la vie et de la mort, alors cette question de la vie et de la mort va vous quitter pour toujours.»

Dans «Pensée droite, comportement droit» (Hong Yin Vol. II), le Maître a dit:

«Les grands Éveillés ne craignent pas les épreuves

La volonté taillée dans le diamant»

Je me suis dit en moi-même: «Je ne vais pas abandonner la pratique seulement parce que c’est difficile à faire. Si je n’ai même pas peur de mourir, pourquoi aurais-je peur de quoi que ce soit?» Lorsque ce fut le moment de pratiquer les exercices, je me suis levé lentement tout seul. Je n’avais pas besoin de l’aide de mon épouse et je ne me suis pas appuyé sur le bord du matelas. Je me suis tenu debout normalement. J’ai demandé au Maître de me renforcer et je lui ai promis que je finirais de pratiquer tous les exercices coûte que coûte. Même si j’étais exténué et que la sueur couvrait chaque pouce de ma peau, j’ai réussi à terminer presque tous les exercices sauf le quatrième, que je n’ai fait qu’une fois sur les trois fois. La troisième nuit, lorsque j’ai fait la pratique, la sueur a de nouveau couvert mon corps. Mais cette fois, j’ai terminé tous les exercices sans m'arrêter au milieu.

J’ai continué à pratiquer les exercices chaque nuit. M’asseyant d’abord 30 minutes en méditation, j’ai finalement réussi à m’asseoir pendant une heure. J’ai essayé de marcher autour de la maison sans l’aide de mon épouse et de faire les choses moi-même sept jours plus tard. J’ai réussi à fabriquer des documents clarifiant la vérité sans l’aide de personne. Deux semaines plus tard, je pouvais descendre les escaliers, marcher quelques coins de rue et monter au quatrième étage. Je guérissais très rapidement.

Pourquoi cela m'était-il arrivé?

Avec l’étude du Fa et en regardant à l’intérieur, j’en suis venu à comprendre que j’étais persécuté par la perversité sous la forme de karma de maladie. Certaines des raisons étaient que je recherchais la quantité dans l’étude du Fa plutôt que de l’étudier avec un cœur calme et consacré. J’avais trop de conceptions de personnes ordinaires et d’attachements comme me faire valoir, le contentement de soi, la jalousie, le combat et la luxure. J’étais souvent interféré par «pas deux voies de cultivation». De plus, lorsque l’incident de Wang Lijun et Bo Xilai est survenu, j’ai développé l’attachement à la dépendance envers les autres, pensant que la bête rouge (le Parti communiste chinois) se tuait elle-même. J’allais en ligne chaque jour pour chercher des articles à partager avec d’autres pratiquants. J’avais complètement perdu l’état d’un véritable pratiquant et j’interférais avec les autres pratiquants. À cause de cela, j’ai retardé le fait de sauver davantage d’êtres. C’était un problème sérieux et une énorme lacune!

En fait, tout ce qui arrive sur cette terre est arrangé par le Maître, qui a créé des occasions pour que nous élevions notre xinxing, sauvions plus d’êtres et bâtissions notre vertu majestueuse. Comment pouvons-nous dépendre des gens ordinaires pour faire quoi que ce soit? Après avoir extirpé mes attachements, je me suis senti si triste pour mon manque de diligence que les larmes ont coulé sur mon visage. J’ai découvert que j’avais encore tellement d’attachements même après plus de douze ans de cultivation dans Dafa. Néanmoins, j’étais déterminé à les éliminer.

En fait, aussitôt que le démon de maladie a interféré avec moi, j’aurais dû le nier et émettre la pensée droite pour l’éliminer. J’aurais dû étudier le Fa au lieu de tomber dans mon lit. Lorsque je suis allé au lit, cela voulait dire que je voulais coopérer avec la perversité. Lorsque la perversité voulait me rendre fatigué, je ne voulais pas bouger et j’oubliais de faire les «trois choses». Lorsque la perversité me rendait incapable de parler, j’utilisais des gestes de mains. Lorsque la perversité me rendait incapable de goûter, j’arrêtais de manger. Si je ne pratique pas les exercices et que je n’étudie pas le Fa, je ne suis qu’une personne ordinaire. Est-ce qu’une personne ordinaire peut vivre si elle arrête de manger? Ce que j’ai fait, c’était en fait coopérer avec la perversité. C’est pourquoi j’ai été persécuté. Je l’ai invitée et j’ai gaspillé un mois de temps. Si ce n’était la compassion et l’attention du Maître, je serais tombé dans le piège de la perversité. Combien c’était dangereux!

La raison pour laquelle j’écris ce partage, c'est pour dire aux pratiquants qui ont souffert de karma de maladie qu’ils ne devraient pas coopérer passivement avec la perversité. Un être humain ou une divinité, c’est déterminé par une seule pensée. Si nous nous tenons vraiment fermement avec le Fa et éliminons l’interférence de la perversité avec nos pensées droites et nos actions droites, elle devient rien. Plus nos pensées sont droites, plus rapidement nous pouvons l’éliminer. J’ai laissé tomber le Maître. Mais je promets au Maître qu’à l’avenir, je suis déterminé à abandonner mes attachements humains et bien parcourir mon chemin de cultivation. Je vais toujours regarder à l’intérieur et j’irai de l’avant pour devenir une personne altruiste qui met toujours les intérêts d'autrui en premier. Je vais chérir la dernière phase de notre parcours, j’étudierai le Fa et ferai bien les «trois choses», remplirai mes vœux historiques et retournerai à la maison avec le Maître.

Je n’ai pas eu beaucoup d’instruction et c’est le premier partage que je soumets. Veuillez signaler quoi que ce soit d'inapproprié.

Traduit de l’anglais au Canada