(Minghui.org) Le 31 août 2013, des pratiquants de Falun Dafa ont poursuivi leur campagne de signatures devant l'entrée du parc Taman Rakyat dans la ville de Klang. Ils ont clarifié la vérité aux résidents locaux et ont parlé aux gens du prélèvement d'organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants sanctionné par le Parti communiste chinois.

Campagne de signatures devant l'entrée du parc Taman Rakyat dans la ville de Klang.

De nombreuses personnes faisant leurs exercices du matin ont appris les faits sur la persécution cruelle du Falun Gong en Chine et ont signé leur nom pour soutenir la pétition initiée par l'organisation Médecins contre le prélèvement forcé d’organes (en anglais DAFOH : Doctors Against Forced Organ Harvesting). La pétition demande au Rapporteur spécial de l'Organisation des Nations Unies d'enquêter et de mettre fin immédiatement aux activités criminelles du régime chinois.

Une dentiste : « Si Dieu le veut, cela prendra fin du jour au lendemain »

Mme Bavani, une dentiste indienne, était bouleversée d'entendre que le PCC prélève des organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants. Elle a répété : « Mon Dieu ! Mon Dieu ! » Elle a signé son nom et a ensuite encouragé les pratiquants en disant : « Vous faites une bonne chose. Si Dieu le veut, cela prendra fin du jour au lendemain. »

Deux Chinoises qui ont entendu parlé de ce qui se passait en Chine ont immédiatement signé leur nom. Elles ont demandé à leurs amis de signer également.

Un Malaisien qui est venu au stand a écouté un pratiquant lui parler des prélèvements forcés d'organes. Après avoir signé son nom, il a dit être le responsable d'une organisation non-gouvernementale. Il a dit remarquer que les pratiquants étaient différents et que leur état d'esprit droit est ce dont chacun a besoin. Il a dit qu'il allait demander à ses subordonnés d'apprendre des pratiquants et de soutenir le Falun Gong.

Un autre Malaisien, qui a dit être un commissaire aux comptes, avait déjà lu le rapport sur les prélèvements d'organes sur des personnes vivantes perpétrés par le régime chinois, publié par David Matas, candidat au prix Nobel de la paix. Lui et son fils ont signé la pétition.

Un commissaire aux comptes et son fils signent la pétition

Il a dit avoir un parent qui s'est rendu en Chine pour une greffe de rein il y a cinq ans, mais qui est décédé par la suite.

Un pratiquant lui a dit que le Parti communiste chinois a interdit le Falun Gong en 1999, alors que la pratique avait environ 100 millions de disciples. C'est à cette époque que les prélèvements d'organes sur des personnes vivantes ont commencé et cela est toujours d'actualité aujourd'hui. Le PCC a des milliers de pratiquants de Falun Gong emprisonnés pour sa « banque d'organes ». De nombreux patients inconscients se rendent en Chine lorsqu'ils entendent dire qu'ils peuvent y trouver un organe compatible en très peu de temps. Les hôpitaux faisant des greffes d'organes sont passés de 150 à 600. Le Parti implique l'armée, la police et les hôpitaux dans ces crimes, dont les médecins, qui en bénéficient également. De nombreuses personnes innocentes qui ne se doute de rien sont également impliquées.

Il a hoché de la tête et a été d'accord. Il a dit vouloir parler des crimes de prélèvement d'organes en Chine à ses parents et amis. Son épouse est aussi venue et a signé la pétition.

Traduit de l'anglais au Canada