(Minghui.org) suite de la 1ère partie et de la 2ème partie

(3) Des être divins dans le monde ordinaire

Maître est à côté de nous. Nous devrions avoir des pensées droites dans toutes les situations difficiles. Quand la peur émerge, restez calme, identifiez-la et éliminez-la.

1) Le Maître est juste à côté de nous

Je sais que le Maître est à mes côtés depuis que j'ai commencé à pratiquer en 1998.

Mes jambes me faisaient mal quand je méditais. Je ne pouvais pas rester plus de dix minutes sans décroiser les jambes. Après une heure, tout le monde peu à peu se levait et partait. Je ne pouvais pas tenir pendant une longtemps. J’étais inquiet.

Une nuit, je méditais et j’ai demandé au Maître de m’aider à éliminer rapidement mon karma ainsi mes jambes ne me feraient pas aussi mal. Immédiatement mes jambes me faisaient tellement mal que j’ai dû les décroiser. Puis j’ai entendu une voix venant de la zone où j’avais la photo du Maître qui disait : « Plaisanter avec le Bouddha ! »

J’ai demandé à ma femme si elle avait entendu, elle aussi, mais elle a dit qu'elle n'avait rien entendu. J’ai compris que demander l'aide du Maître n’avait rien d’une plaisanterie. Le Maître était à côté de moi et m’accordait mon souhait. Donc, j’ai croisé mes jambes et je ne les ai pas décroisées peu importe la douleur. En conséquence, je me suis évanoui plusieurs fois en faisant la méditation assise. J’ai passé le test, et après, mon corps est devenu très léger. Quand je dormais la nuit, mon corps flottait dans l'air, même avec une couverture sur moi. Lors de mes études, je flottais dans l'air avec le livre dans mes mains. J’avais les capacités supra normales décrites dans le Zhuan Falun.

2) Une pensée dans une situation dangereuse

Il y a plusieurs années, j’étais dans une maison où nous faisions des documents de clarification de la vérité lorsque plusieurs policiers ont encerclé la maison. La fenêtre n'était pas verrouillée et la police l’a ouverte pour s’y glisser. L'un d'eux m'a hurlé : « Je vous vois ! » Je n’avais nulle part où aller, donc je me suis assis pour émettre des pensées droites, demander au Maître de me donner une chance.

Soudain, tout l'extérieur me semblait loin. J’ai entendu quelqu'un crier : « Problème ! » Après avoir émis des pensées droites, tous les policiers étaient partis. Je suis parti en toute sécurité avec l'aide du Maître.

3) Sans peur

La police a arrêté un pratiquant et le lendemain, la police a encerclé le complexe d'habitation où un autre pratiquant et moi vivions. Ils ont bloqué les issues. J’ai fait monter l'autre pratiquant sur mon scooter. J’ai choisi une sortie et j’ai émis des pensées droites.

À la sorite, il y avait le capitaine de la Division de la sécurité intérieure locale. J’ai émis la pensée que personne ne pouvait m’arrêter sur mon chemin, et plus je m’approchais du capitaine, plus j’augmentais ma vitesse. Il est rapidement sorti de mon chemin et nous nous sommes éloignés.

4) Récupérer des documents sous l’œil de la police

Le lendemain où nous nous étions échappés, je voulais revenir pour récupérer les documents d'information que nous avions. La police savait dans quel complexe nous vivions, mais pas quel appartement. Mon compagnon de pratique a pensé que c’était trop risqué, mais j’ai insisté. J’étais lucide et j’avais des pensées droites.

J’ai vu de nombreux policiers entourant le complexe. J’ai émis une pensée pour qu’ils s’éloignent. Ils se sont progressivement éloignés d'environ 50 mètres de l'entrée. Je pensais qu'ils étaient encore trop près, donc j’ai émis une autre pensée pour qu’ils reculent encore de 50 mètres. Ensuite, je les ai tous regardé s’en aller.

J’ai pénétré à l'intérieur du complexe et, dès que je suis entré dans l'appartement, j’ai entendu frapper à la porte. Cela m’a fait peur, mais j’ai vite pris le contrôle de ma peur. J’ai émis des pensées droites vers elle jusqu'à ce qu'elle disparaisse. J’ai pris les livres de Dafa, des prospectus et des banderoles. Puis j’ai attrapé des vêtements de rechange pour l'autre pratiquant. Je n’avais pas emballé aucune de ces choses. Je ne me sentais pas en sécurité, donc je me suis assis pour émettre des pensées droites. Après un moment, je me sentais calme et lucide, ma crainte de la persécution a disparu. J’ai quitté l'appartement avec quatre grands sacs.

5) Altruiste et sans peur

Si je ne pensais qu'au pratiquant que j’avais essayé de sauver, si je ne pensais qu'à la personne à laquelle j’avais clarifié la vérité, si je ne pensais qu'au Falun Dafa quand je faisais appel à Pékin, mon corps dans d'autres dimensions devenait énorme.

Environ 20 d'entre nous sommes allés à Pékin pour faire appel pour le Falun Dafa en 1999. Avant d’y arriver, la police a arrêté tout le monde sauf moi. Je suis arrivé à Pékin, mais dès que je suis descendu du train, la police m'a attrapé. Je me suis échappé et je me suis rendu au Bureau des appels. Il y avait beaucoup d'agents devant le Bureau et la porte était fermée. Je ne pouvais pas parler à personne là-bas. J’ai quitté Pékin deux jours plus tard.

Je me sentais très mal après être rentré. Je me demandais pourquoi je ne pouvais pas parler en faveur du Falun Dafa. Je savais qu’une partie était parce que j’avais peur. Je ne veux pas perdre mon emploi, je ne veux pas perdre ma vie. Je suis attaché à mon ego.

Je me suis senti mieux après avoir réalisé mon attachement. J’ai décidé de retourner à Pékin. Ma femme m'a supplié de ne pas y aller. Elle a offert de payer les autres pour qu’ils aillent à Pékin pour faire appel pour le Falun Dafa à ma place, mais j’ai refusé. Mon beau-père ne voulait pas que j'y aille, lui non plus, et a essayé de me convaincre. Il a dit que je pouvais perdre ma vie. Je lui ai dit que, peu importe leurs menaces, même la mort, je ne craignais pas de faire la bonne chose.

Alors que j'attendais le train pour Pékin, il y avait un petit garçon dans la salle qui mendiait de l'argent. Quand il m'a approché, j’ai pensé que j’aimerais lui donner un peu de monnaie. Il se tenait en face de moi, m’a tapoté la jambe, et m'a donné le pouce levé. « Bon travail ! » a-t-il dit à haute voix. Puis il est parti pour demander de l'argent. Je pense que c’était le Maître qui me disait que j'avais enfin transcendé le côté humain.

J’étais à Pékin, mais le Bureau des appels ne recevait pas les pratiquants de Falun Dafa. Au lieu de cela, ils ont aidé les policiers à nous arrêter. Je suis tombé sur trois employés qui sortaient du bureau. Je les ai arrêtés et leur ai dit : « C’est inacceptable que le gouvernement maltraite le Falun Dafa. Je suis ici pour vous dire ce qui est arrivé. » Ils ont non seulement écouté, ils ont commencé à écrire ce que je disais.

Je leur ai laissé et mon nom et mon adresse véritable. Je leur ai dit que j'avais amélioré mon caractère en raison de la pratique, et comment j’avais été guéri de la leucémie. En fin de compte j'ai vu un membre du personnel écrire exactement ce que je disais : « Le Falun Dafa est la Loi de l'univers. »

Peu de temps après être rentré à la maison, un superviseur au travail a passé une vidéo qui calomniait le Falun Dafa pour que nous la voyions tous. J’ai dit : « Pourquoi n’avez-vous toujours pas compris ce qui est arrivé ? Je dois aller à Pékin pour faire appel de nouveau ! » Le superviseur a immédiatement éteint la vidéo et a dit : « Bon, je ne la passerai pas si vous n'y allez pas. »

Au cours de ces 15 dernières années, j’ai pratiqué comment abandonner l’égoïsme tout en validant les enseignements du Falun Dafa. La police ne m'a jamais demandé mon nom quand j’ai essayé de sauver les pratiquants qui étaient détenus.

Plus je suis désintéressé, moins j’ai de limites et tout ce qui se passe autour de moi est en douceur. Quand un pratiquant pense seulement aux êtres, le pouvoir de Authenticité-Bienveillance-Tolérance va se manifester en lui. Les gens autour de lui seront éveillés et sauvés et seront reconnaissants pour le salut du Falun Dafa.

Merci, Maître, pour votre protection et votre salut.

(Onzième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l’anglais au Canada